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Alban (Tarn)

Alban (en occitan Albanh[1]) est une commune française située dans l'est du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Ségala, un territoire s'étendant sur les départements du Tarn et de l'Aveyron, constitué de longs plateaux schisteux, morcelés d'étroites vallées.

Alban
Alban (Tarn)
Le collège Alain-Fournier.
Blason de Alban
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté de communes des Monts d'Alban et du Villefranchois
(siège)
Maire
Mandat
Bernard Lafon
2020-2026
Code postal 81250
Code commune 81003
Démographie
Gentilé Albanais
Population
municipale
925 hab. (2020 en diminution de 2,01 % par rapport à 2014)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 24″ nord, 2° 27′ 38″ est
Altitude Min. 357 m
Max. 644 m
Superficie 9,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut Dadou
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Alban
Géolocalisation sur la carte : France
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Alban
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Alban
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Alban

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Assou, l'Oulas, le Ruisseau de Blasou, le ruisseau de Malagousse et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Alban est une commune rurale qui compte 925 habitants en 2020. Ses habitants sont appelés les Albanais ou Albanaises.

    Géographie

    Localisation

    Alban est une commune située à 30 km d'Albi en partant vers Millau. Elle est située sur les premiers contreforts du Massif central, sur un plateau.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Curvalle, Le Fraysse, Paulinet et Saint-André.

    Communes limitrophes d’Alban[2]
    Saint-André
    Le Fraysse Alban Curvalle
    Paulinet

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par des services réguliers du réseau régional liO : la ligne 708 la relie à Albi et à Lacaune, et la ligne 720 la relie à Albi et à Millau.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Assou, l'Oulas, le ruisseau de Blasou, le ruisseau de Malagousse, le ruisseau de Barayré, le ruisseau de Bazuéjouls et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    L'Assou, d'une longueur totale de 36,7 km, prend sa source dans la commune du Fraysse et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Dadou à Laboutarie, après avoir traversé 12 communes[5].

    L'Oulas, d'une longueur totale de 24,2 km, prend sa source dans la commune de Massals et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Dadou à Rayssac, après avoir traversé 6 communes[6].

    Le ruisseau de Blasou, d'une longueur totale de 12,7 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest puis vers le nord. Il se jette dans le Tarn à Ambialet, après avoir traversé 3 communes[7].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier d'Alban.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[8].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 180 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Paulinet », sur la commune de Paulinet, mise en service en 1992[13] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 133,5 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 29 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[17] à 13,8 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[19] : la « vallée du Tarn, amont » (36 322 ha), couvrant 57 communes dont 31 dans l'Aveyron, une dans la Lozère et 25 dans le Tarn[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Alban est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [21] - [I 1] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (66,5 %), forêts (25 %), zones urbanisées (8,5 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Alban est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Assou, le ruisseau de Blasou et l'Oulas. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1992[27] - [24].

    Alban est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6] - [28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Alban.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[29]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 54,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 445 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 156 sont en en aléa moyen ou fort, soit 35 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Alban est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[33].

    Toponymie

    Le nom Alban provient d'un anthroponyme gallo-romain.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Jacques Fabas DVG
    mars 2008 mars 2014 Marin Pousthomis[34]
    mars 2014 mai 2020 Jean-Louis Fournier DVD Directeur d'agence bancaire
    Conseiller général du canton d'Alban (2004-2015)
    mai 2020 En cours Bernard Lafon[35]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

    En 2020, la commune comptait 925 habitants[Note 7], en diminution de 2,01 % par rapport à 2014 (Tarn : +1,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 078196268279332680676694835
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    748824840786824827938914955
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    926917937852804840932902856
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    899994935921904848940966931
    2018 2020 - - - - - - -
    937925-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 430 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 885 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 870 â‚¬[I 4] (20 400 â‚¬ dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]4,8 %5,8 %8,9 %
    Département[I 7]8,2 %9,9 %10 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 519 personnes, parmi lesquelles on compte 78,6 % d'actifs (69,7 % ayant un emploi et 8,9 % de chômeurs) et 21,4 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 594 emplois en 2018, contre 526 en 2013 et 556 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 367, soit un indicateur de concentration d'emploi de 161,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,6 %[I 10].

    Sur ces 367 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 216 travaillent dans la commune, soit 59 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 75,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 14,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    119 établissements[Note 10] sont implantés à Alban au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble119
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1613,4 %(13 %)
    Construction1714,3 %(12,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3529,4 %(26,7 %)
    Activités financières et d'assurance32,5 %(3,3 %)
    Activités immobilières21,7 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1411,8 %(13,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2218,5 %(15,5 %)
    Autres activités de services108,4 %(9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,4 % du nombre total d'établissements de la commune (35 sur les 119 entreprises implantées à Alban), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[40] :

    • JMS Distri, supermarchés (4 837 k€)
    • Soc Serres & Cie, préparation industrielle de produits à base de viande (4 647 k€)
    • Maison Roustit, fabrication de plats préparés (3 090 k€)
    • La Coupiagaise, fabrication industrielle de pain et de pâtisserie fraîche (2 690 k€)
    • Holding Serres Et Fils, activités des sociétés holding (414 k€)

    Agriculture

    La commune est dans le Segala, une petite région agricole située dans le nord-est du département du Tarn. C’est la relative pauvreté du sol de cette région où ne poussait jadis que le seigle qui a donné son nom à cette aire géographique. Situé en moyenne altitude, le Ségala s’étend sur des territoires vallonnés et riches en schiste[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations25201714
    SAU[Note 13] (ha)671627674868

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 25 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 20 en 2000 puis à 17 en 2010[43] et enfin à 14 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[44] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 671 ha en 1988 à 868 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 27 à 62 ha[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église d'Alban dans les années 1910.

    Les monuments les plus anciens de la commune sont le palet de la Vierge et le palet du Diable (composant le site mégalithique d'Alban), un dolmen et un menhir liés par une légende.

    L'église Notre-Dame d'Alban est inscrite à l'inventaire des monuments historiques grâce à ses fresques peintes par le peintre Nicolas Greschny[45]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[45].

    Club de rugby

    L'Union sportive du canton d'Alban, ligue Occitanie de rugby, comité départemental de rugby du Tarn, monté en Fédérale 3 pour la saison 2020-2021. École de rugby et gestion éducative de secteur avec les clubs voisins.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Alban

    Son blasonnement est : Coupé : au premier parti au I d'or à la croix pattée alésée de gueules et au II de gueules aux lettres N, D et A (Initiales de Notre-Dame d'Alban), capitales entrelacées d'or, à la Vierge de Notre-Dame de Lourdes d'argent brochant sur le tout, au second d'argent à la caravelle de sable, équipée de gueules, voguant sur une mer de sinople ; à la fasce d'azur chargée de trois fleurs de lys d'or brochant sur le coupé.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique d'Alban » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Alban » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Alban » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Alban » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Alban » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Institut d'études occitanes du Tarn, Répertoire toponymique des communes du Tarn
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale d'Alban », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « l'Assou »
    6. Sandre, « l'Oulas »
    7. Sandre, « le ruisseau de Blasou »
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