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Abbaye de Cherlieu

L’abbaye de Cherlieu était une abbaye cistercienne. Il n’en reste que des ruines, situées au hameau de Cherlieu, dans la commune de Montigny-lès-Cherlieu, département de la Haute-Saône (France).

La ferme du Ferry, ancienne dépendance de l'Abbaye de Cherlieu
Abbaye de Cherlieu
image de l'abbaye
Les vestiges de l'Ă©glise abbatiale

Diocèse Diocèse de Saint-Claude
Numéro d'ordre (selon Janauschek) XLIV (44)[1]
Fondation 17 juin 1131
Dissolution 1791-1872
Abbaye-mère Clairvaux
Lignée de Clairvaux
Abbayes-filles Acey (1136-1790 / depuis 1872)
Le Gard (1137-1790)
Hauterive (1132-1848)
Les Gardes (1139-1790 / depuis 1818)
Le Haut-CrĂŞt (1143-1536)
Beaulieu (1166-1790)
Congrégation Ordre cistercien
PĂ©riode ou style Art roman / Art gothique
Protection Logo monument historique Inscrit MH (1984, Façades et toitures)
Logo monument historique ClassĂ© MH (1984, Ruines et calvaire)
Logo monument historique Inscrit MH (1998, Logement du portier)[2]
Logo des sites naturels français Site classé (1997)

CoordonnĂ©es 47° 46′ 53″ nord, 5° 49′ 31″ est[3]
Pays Drapeau de la France France
Province Comté de Bourgogne
Région Franche-Comté
DĂ©partement Haute-SaĂ´ne
Commune Montigny-lès-Cherlieu
Site https://www.cherlieu-abbaye-cistercienne.fr
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-SaĂ´ne
(Voir situation sur carte : Haute-SaĂ´ne)
Abbaye de Cherlieu
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Abbaye de Cherlieu

Fondation

Prieuré en 1127

Avant l’abbaye il existe un petit prieuré d’Antonins, sur la colline de St Antoine, entre Cherlieu et Marlay ; il en restait des vestiges jusqu’au XIXe siècle.

Création de l’abbaye

La création de l’abbaye est attestée par une charte d’Anséric, archevêque de Besançon, envers Germain, prieur de Cherlieu en 1127. Les premiers bienfaiteurs seront les nobles de Jussey, et Renaud III, comte de Bourgogne, alors même que le prieur et ses compagnons, miséreux, sont contraints à manger des feuilles de chêne.

Guy, 1er abbé

Il est issu de Clairvaux et vient à Cherlieu en janvier 1131 avec 12 religieux ; plus tard, il aura jusqu’à 600 moines sous son autorité ; ce sera un des prélats les plus distingués de Bourgogne.

Cherlieu sera à l’origine de nouveaux monastères :

Le comte Renaud III et les chanoines de Besançon favorisent les progrès de l’ordre ; l’abbé Guy a néanmoins à subir la haine de Pierre de Traves et de l’abbé de Faverney ; saint Bernard prend fait et cause pour Guy et porte l’affaire à Rome. Le séjour du saint à Cherlieu est attesté à plusieurs reprises par différents prodiges sur des malades.

Les cisterciens reçoivent de nombreuses largesses des seigneurs du voisinage. À la mort de Guy, vers 1157, l’abbaye, attachée à l’ordre de Cîteaux, a assis son influence et s’est assurée la protection des papes Innocent II et Eugène III.

Avec les successeurs de Guy au XIIe siècle, les évêques et les princes enrichissent Cherlieu ; en 1160, Cherlieu possède les terres de Marlay, Agneaucourt, Montigny et ses dépendances, les terres et les granges de Fontain et Romain (Preigney), des terres à Jussey, Gevigney, la grange des Craies (Jussey), les terres de Vernois-sur-Mance et Betoncourt-sur-Mance, les granges de Bichecourt, de Girecourt, de Villers (Malvillers), de Courcelles (Cornot), des biens à Gourgeon, Audricourt (lieu disparu), Assoncourt (disparu), Nervezain, Purgerot, Chargey-lès-Port, Gondelancourt (Port d’Atelier), les granges de Trémoncourt (Venisey), Miévillers (Cendrecourt), Magny-lès-Jussey et Gommancourt (Saponcourt), la grange des Charmes (Semmadon), des biens à Pressigny et des pêcheries à Conflans-sur-Lanterne… À la fin du XIIe siècle, les dons au monastère se multiplient, en même temps que s’émousse la discipline dans la vie de la communauté.

L’église de Cherlieu

Maquette de l'Ă©glise de Cherlieu de Messieurs Jacquet et Perlot

De style transitionnel entre architecture romano-byzantine et gothique, elle est construite entre 1150 et 1220 sous forme de croix latine à 3 nefs : c’est la plus grande, et une des plus belles de Franche-Comté.

De 105 mètres de long et de 54 mètres de large au niveau du transept, elle possède une voĂ»te Ă  22 mètres ; des rosaces ornent la façade et le transept, et 50 fenĂŞtres laissent passer la lumière. Sept chapelles entourent le maĂ®tre-autel, de lui sĂ©parĂ©es par huit colonnes et une boiserie en chĂŞne de 4 mètres de haut. Le clocher est situĂ© au centre du transept.

L’église sert de modèle à la cathédrale de Langres et à l’abbaye d’Acey. Le cloître ancien est un carré, constitué de 4 fois 10 arcades.

Des sépultures dans l’église de Cherlieu au temps de sa splendeur

Désastres des XIVe et XVe siècles

La peste, la famine et la guerre affectent successivement le monastère au cours des années 1350 ; les Routiers et les Tard-venus ne sont pas en reste.

Les bandes des Écorcheurs envahissent l’abbaye en 1437-1439, l’abbé Étienne est capturé en 1439, remis en liberté contre rançon.

L’abbaye a alors autorité sur 32 villages. Au monastère, discipline et bonnes mœurs font toujours défaut au quotidien.

L’abbé fait construire une tour crénelée à proximité du château de Chauvirey ; elle sera démolie à la Révolution.

Sont inhumés à Cherlieu :

Sous Charles le Téméraire, la comté de Bourgogne est tourmentée par les Français de Louis XI sous la conduite de Pierre de Caron, les Allemands, les Suisses ; Cherlieu n’échappe pas à ces tueries, pillages, incendies, notamment en mai 1475 ; l’abbé Gilles de la Cour, fait prisonnier par les Allemands en 1476, est libéré contre rançon.

XVIe et XVIIe siècles, le désastre continue

La décadence s’accentue dans le monastère, avec les abus liés à la commende.

En avril 1569 les Allemands de Guillaume de Nassau viennent à la rescousse des Protestants français, sous la direction de Wolfgang de Bavière, duc des Deux-Ponts. Le baron de Savigny, seigneur de Saint-Rémy incendie le cloître. Les tombeaux sont profanés.

En mai 1569, il ne reste de l’abbaye que l’église, quoique incendiée ; les champs sont dévastés, les fermiers réduits à l’aumône.

Le monastère restera désert pendant 30 ans. En février 1595, le lorrain de Tremblecourt ravage tout. En 1598 sept religieux sont envoyés de Cîteaux.

L’abbé Ferdinand de Rye s’attache à faire restituer à Cherlieu la plupart de ses titres et biens, augurant une période de calme. Une croix visible de nos jours y fait référence, construite en 1613.

En 1636, lors de la guerre de Dix Ans, les Français s’abattent sur le monastère ; en 1637, ce sont les Suédois de Bernard de Saxe-Weimar, puis à nouveau les Français de Du Hallier (maréchal de l'Hôpital) en 1641. L’abbaye est dévastée, elle ne compte plus que huit religieux.

XVIIIe siècle, le renouveau avant la tempête

Plan de l'abbaye, les vestiges sont en rouge

En 1701, on construit un nouveau cloître ; en 1773, c’est un nouveau palais monastique qui voit le jour. La communauté est alors la plus riche de la province, même si la piété n’est plus de mise à Cherlieu.

En 1789, les 30 villages qui dépendent de Cherlieu viennent réclamer les titres de redevances seigneuriales. Les moines doivent signer, mains liées, corde au cou sous le glaive, sur la place de Montigny, la renonciation à leurs droits. Les archives brûlent.

Toute l’abbaye est vendue le , durant 11 jours ; le cloître est démoli ; l’église, démontée, sert de carrière pendant plus d’une trentaine d’années, et se dégrade au cours des décennies ; les tombes, dont celle d’Othon IV, alors restaurée, sont mises en pièces.

Ne subsistent aujourd’hui que des restes du cloître du XVe siècle et des bâtiments conventuels des XVIIe et XVIIIe siècles, transformés en ferme, ainsi que le logement du portier ; de l’église, seul est encore debout un mur du transept. À la ferme du Ferry, un calvaire du XVIIe siècle témoigne encore de l’histoire religieuse des lieux. À Marlay, on voit encore des éléments de la tuilerie et du four à chaux ; les bâtiments datent du XVIe siècle. À Agneaucourt des témoins du broyage du minerai de fer extrait à Noroy subsistent.

La vie quotidienne de l’abbaye

La « grange »

C’est l’entité de base qui subvient aux nécessités quotidiennes ; elle se suffit à elle-même. Les moines y travaillent ; ce sont essentiellement des frères convers. Elle a un but purement agricole et pastoral.

Les bâtiments comportent généralement, en dehors des éléments agricoles, une chapelle, un dortoir, un réfectoire, un chauffoir.

Elle ne doit pas être éloignée de plus d’une journée de marche de l’abbaye, de façon que les frères convers puissent y venir à la messe du dimanche.

Elle cultive essentiellement des céréales : froment, avoine, seigle, voire des fèves. Des vignes sont localisées à Craies (de Montigny à Chazel), et à Purgerot.

L’élevage

Il s’exerce sous forme de droit de pâturage.

On trouve des bœufs, (traction des charrettes, charrues…), des porcs (pour la viande, le parchemin…) qui bénéficient de la glandée et de la fagine, des moutons.

Le paysage est également constitué de bois, friches, jachères, vaine pâture.

La pĂŞche

Elle s’exerce surtout le long de la Saône, et à Conflans-sur-Lanterne.

Le moulin

On en trouve sur la plupart des cours d’eau ; ce sont :

des moulins Ă  grains, Ă  huile ;
des foulons Ă  chanvre ;
des pilons pour le concassage du minerai ;
des marteaux-pilons ;

Le minerai

Le fer, extrait au mont de Noroy et au Pouligney (vers la ferme des Craies), est broyé et traité au moulin d’Agneaucourt.

Il sert à l’outillage, le cerclage des roues et des tonneaux, la ferronnerie ; on note la présence d’un haut-fourneau à Tartécourt en 1730…

Le sel

Il est indispensable à la conservation de la viande (salaisons), il provient de Scey-sur-Saône : l’eau salée, extraite de la source souterraine est chauffée dans une chaudière à sel[4].

L’abbaye s’approvisionne également dans une montée de muire à Lons-le-Saunier et à Marsal en Lorraine.

L’artisanat

On note la présence d’une tuilerie et d’une briqueterie à Marlay.

On peut penser que les moines utilisent la laine, fabriquent des fromages, et travaillent le cuir.

Le parchemin est parvenu jusqu’à nous via le cartulaire de l'abbaye.

Le commerce

Cherlieu bénéficie d’une grande liberté de mouvement, par l’exemption de péage sur certains ponts, la gestion en propre des bacs de Miévillers et de Port d’Atelier, le libre passage à Port-sur-Saône et Scey-sur-Saône.

L’abbaye est présente sur les marchés de la région.

Lieux liés à la vie de l’abbaye

Lieux cités dans les documents et disparus aujourd’hui

Assoncourt et Exencourt (vers Gourgeon ?), Forlesmont et Etramont (vers Baulay ? ), Gondelencourt (Port-d’Atelier ? ), Olencourt (vers Semmadon ? ), Maboncourt (Aboncourt ? ), Noncourt, Chaumont (vers Pisseloup), Andricourt (vers Gourgeon), les Courcelles (vers Cornot)

Les granges en 1300

Marlay, Agneaucourt, Montigny, Romain et Fontain (vers Preigney), Velotte (vers Montigny), Grange-Neuve (vers le moulin du Battant), Les Craies (Jussey),

Les Charmes (entre Semmadon et Arbecey), Villers (Malvillers),

Bichecourt (entre Betoncourt-sur-Mance et Vernois-sur-Mance), Gircourt (entre Vitrey-sur-Mance et Rosières),

Corcelottes (vers Cornot), Courcelles (vers Cornot), les Minières (entre Gourgeon et Nervezain), Purgerot, Gondelencourt (Port d’Atelier ? ),

Miévillers (vers Cendrecourt), Trémoncourt (vers Venisey), Saponcourt, Betaucourt, Gommoncourt (vers Saponcourt), Grande-Vigne (vers Purgerot), Magny-lès-Jussey

Les moulins

Moulins de l’Etang (vers Betaucourt), des Poupières (vers Betaucourt ? ), Belin (vers Cendrecourt), de Boccey (vers Miévillers), d’Effondray (entre Fouchécourt et Port d’Atelier), Bosliébrant (Purgerot),

  • sur la Mance

Moulins de Betoncourt-sur-Mance, Bichecourt, Molinssoules (Ă  Jussey),

  • sur la Lanterne

Moulins de Conflans-sur-Lanterne, Briaucourt,

  • sur la Gourgeonne

Moulins de Gourgeon, les Courcelles (vers Cornot), Vauconcourt,

  • sur la Sorlières

Moulins de Villers, de la Rochotte (près des Courcelles),

  • sur l’Ougeotte

Moulins de Montigny, Agneaucourt, La Perrière (vers Bougey),

  • sur le ruisseau des Écrevisses, Ă  proximitĂ© de l’abbaye

Moulins du Battant, du Ferry,

  • autre lieu

Moulin de Magny-lès-Jussey,

Les fours banaux

Montigny, Preigney, Lavigney, Cendrecourt, Betaucourt, Briaucourt

Autres dépendances

Pêcheries aux Poupières (entre Betaucourt et Cendrecourt), à Jussey, à Miévillers, à Warengecourt (vers Fouchécourt ?), à Gondelencourt, à Purgerot, à Bichecourt, à Conflans-sur-Lanterne,

Le vocabulaire spécifique de l’époque de l’abbaye

  • la grange : voir ci-dessus
  • la manse : petite unitĂ©, Ă©quivalent Ă  une ferme du dĂ©but du XXe siècle, exploitĂ©e par une famille
  • le meix : c’est le potager
  • les essarts : terres dĂ©frichĂ©es
  • les noues : terre grasse et humide
  • la glandĂ©e : pâturage des porcs dans les forĂŞts de chĂŞnes
  • la fagine : fruit du hĂŞtre, prisĂ© par les porcs
  • le puits Ă  muire : puits Ă  eau salĂ©e

Les mesures

  • les prĂ©s : la fauchĂ©e, surface fauchĂ©e en une journĂ©e, soit environ 50 ares ; l’andain : surface fauchĂ©e par un agriculteur lors d’un passage dans le prĂ©
  • la vigne : l’ouvrĂ©e, la surface travaillĂ©e en une journĂ©e soit environ 4,5 ares ; le muid ( = 288 pintes ~ 275 litres…alors que le muid de Jussey est estimĂ© Ă  320 litres), la feuillette (144 pintes ~ 137 litres)

Les abbés de Cherlieu

PĂ©riodeNom
1127Germain, prieur
1131-1157Widon ou Guy, premier abbé
1160-1176Luc, de la maison de Soye
1179Pierre
1188Guy II
1196Gombaud ou Agodard
1209Galo
1214-1226Guy III
1227Renaud I
1227-1256Guillaume I
1256-1257Albéric
1266-1270Divon ou Bisuntius
1271-1277Gauthier
1278Guy IV
1282-1292Jean Ier
1298-1312Guillaume II
1314Thiébaud
1317-1320Jean II
1321-1328Renaud II
1331-1336Arnould
1337Guy V, de Caudenay
1340-1357Nicolas
1358-1364Eudes de Pierrefite
1369-1377Jean III
1393-1396Guy IV de Pierrefite
1396-1400Jean IV de Vaux
1400-1410Jean V d’Aynans
1412-1416Laurent
1416-1439Étienne de Jussey
1443-1456Jacques de Montigny
1456-1477Gilles de la Cour
1477-1497Drouhot Henrion
1497Remy de Brassey, dit Morelot
1518Charles de Brassey, premier abbé commendataire
1522-1546Claude Ier de Nicey
1546-1584Claude II de la Baume, archevêque de Besançon
1588-1599Prosper de la Baume
1599-1636Ferdinand de Rye, archevêque de Besançon
1636-1637François de Rye, archevêque de Besançon
1637-1666Pierre de Cléron
1666-1694Jean-Ignace de Froissard de Broissia, (prieur de Laval),
1694-1734Antoine-François de Blitterswyck de Montcley, archevêque de Besançon
1734-1751Jean-Louis de Berton des Balbes de Crillon, archevĂŞque de Narbonne
1751-1758Playcard de Raigecourt, depuis Ă©vĂŞque d'Aire
1758-1780Mathias Poncet de La Rivière, ancien évêque de Troyes
1780-1790Mathieu-Jacques de Vermond

Protections

Les vestiges de l'abbaye bénéficient de multiples protections au titre des monuments historiques[2]: une inscription en 1984 pour les façades et toitures des bâtiments conventuels subsistants, un classement en 1984 pour les ruines de l'église et le calvaire et une inscription en 1998 pour le logement du portier.

Le site de l'abbaye est un site classé par décret du pour son caractère historique et pittoresque[5].

Notes et références

  1. (la) Leopold Janauschek, Originum Cisterciensium : in quo, praemissis congregationum domiciliis adjectisque tabulis chronologico-genealogicis, veterum abbatiarum a monachis habitatarum fundationes ad fidem antiquissimorum fontium primus descripsit, t. I, Vienne, , 491 p. (lire en ligne), p. 112-113.
  2. Notice no PA00102229, base Mérimée, ministère français de la Culture
  3. « Cherlieu », sur http://www.cistercensi.info, Ordre cistercien (consulté le ).
  4. Jules Finot, Essai historique sur les origines de la gabelle et sur l'exploitation des salines de Lons-le-Saunier et de Salins jusqu'au quatorzième siècle, (lire en ligne), p. 65.
  5. [PDF] Site classé : Site cistercien de Montigny-les-cherlieu, DREAL Franche-Comté.

Voir aussi

Bibliographie

  • abbĂ© Louis Besson, MĂ©moire historique sur l'abbaye de Cherlieu, Bintot, (lire en ligne)
  • L'abbaye de Cherlieu XIIe – XIIe siècles. Économie et sociĂ©tĂ© par Jean-Pierre Kempf, 1976
  • Dictionnaire des communes, 1972
  • Éliane Vergnolle, Catherine Chapuis, Jean-Paul Borsotti, Gilles Moreau et Lucas Gonçalves (avec la collaboration de), « Heurs et malheurs de l'ancienne abbaye cistercienne de Cherlieu (commune de Montigny-lès-Cherlieu) », dans Congrès archĂ©ologique de France. 179e session. Haute-SaĂ´ne : L'art de bâtir en Franche-ComtĂ© au siècle des Lumières. 2020, Paris, SociĂ©tĂ© française d'archĂ©ologie, (ISBN 978-2-901837-95-4), p. 195-212
  • Village de Saint Marcel - avec la notice historique de Jules Roy, de La Roche-Morey, de Jonvelle, de Chauvirey-le-Vieil

voir L'abbaye de Cherlieu de l'abbé L. Besson en 1847

voir La terre de Chauvirey de Marie-Antoine-Alphonse Du Bouvot de Chauvirey en 1865

voir l'Histoire de Jonvelle des abbés Coudriet et Chatelet en 1864

voir Vocabulaire de français régional du révérend père Henri Fleisch en 1951

Articles connexes

Liens externes

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