X 2100
Les X 2100 sont une série d'autorails monocaisse de la SNCF construits entre 1980 et 1983 et dont les derniÚres unités sont retirées du service en 2018. Quatre unités acquises par les régions sont numérotées dans la série des X 92100.
Exploitant(s) | SNCF/TER |
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DĂ©signation | X 2101-2150 et X 92101-92104 |
Motorisation | Diesel turbocompressé |
Composition | Autorail monocaisse |
Couplage | UM 3 entre eux et avec X 2200 / X 2800 et jumelage possible avec d'autres autorails |
Conception | Bureau d'Ă©tudes SNCF |
Construction | 53 |
Constructeur(s) | ANF Industries |
Transformation | 1 autorail en X 92104 |
Mise en service | 1980-1983 |
Modernisation | 1995 |
PĂ©riode de service | 1980 / 2018 |
Effectif | 0 |
Service commercial | TER |
Retrait |
1re cl. | 2e cl. | Strap. | |
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8 | 48 | 9 |
Disposition des essieux | 2 bogies dont 1 moteur |
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Ăcartement | standard (1 435 mm) |
Carburant | gazole |
Moteur thermique | 1 moteur Saurer, S1 DHR, puis Man aprĂšs modernisation. |
Puissance |
440 puis 480 kW Ă 1550 tr/min |
Transmission | hydraulique Voith 420 R |
Capacité en carburant | 1 000 L |
Masse en service | 43,7 t |
Largeur | 2,870 m |
Hauteur | 3,810 m |
Longueur totale | 22,400 m |
Empattement | 15,400 m |
Bogies | Y 233 et Y 234 |
Empattement du bogie | 2,400 m |
DiamĂštre des roues | Ă840 |
Vitesse maximale | 140 km/h |
Ils s'inspirent de la longue lignĂ©e des Ă©lĂ©ments automoteurs diesels, et notamment les X 4750. Ils reprĂ©sentent, avec la catĂ©gorie trĂšs proche des X 2200, les derniers engins avant la gĂ©nĂ©ration moderne de matĂ©riels TER. Leur puissance jugĂ©e insuffisante et leur moteur trop polluant valent Ă une grande partie de la sĂ©rie d'ĂȘtre remotorisĂ©e dans les annĂ©es 2000, ce qui s'accompagne pour les unitĂ©s traitĂ©es d'une rĂ©novation des espaces intĂ©rieurs et l'adoption de la livrĂ©e TER « institutionnelle » bleue et grise.
GenÚse de la série
En 1977 la livraison par ANF des Ă©lĂ©ments automoteurs diesel (EAD) approche de son terme mais il reste encore des reliquats des anciennes sĂ©ries de X 2400, X 2700 (RGP2) et X 3800 Ă amortir dans un contexte oĂč malgrĂ© tout, les besoins quantitatifs dâautorails ont tendance Ă diminuer, oĂč en tout cas, Ă changer de nature car le trafic de petites lignes secondaires est transfĂ©rĂ© sur route alors que la desserte de celles qui subsistent doit se faire avec un matĂ©riel mieux adaptĂ©[C 1]. En outre, les EAD composĂ©s de deux caisses prĂ©sentent parfois une surcapacitĂ© par rapport aux relations qu'ils effectuent. Enfin, la radiation des anciens autorails laisse inemployĂ©es des remorques unifiĂ©es qui ont encore un important potentiel kilomĂ©trique[F 1].
Pour concilier ces objectifs, la SNCF passe commande auprĂšs dâANF, le , de cinquante exemplaires dâun nouvel autorail monocaisse et monomoteur. Construit sur le mĂȘme principe que les EAD avec moteur et transmission sous plancher, son style doit sâapparenter Ă celui des nouvelles remorques « Massif central » (XR 6000) quâil est amenĂ© Ă tracter. Le niveau de confort se doit dâĂȘtre meilleur que celui des EAD, notamment sur des voies parfois imparfaites, et les performances proches de celles des X 4750[C 2].
Description
Caractéristiques techniques
La sĂ©rie des X 2100 profite de techniques dĂ©jĂ Ă©prouvĂ©es sur des matĂ©riels en service. La caisse est autoportante avec des boucliers de protection aux extrĂ©mitĂ©s et des faces en polyester comme sur les ETG et les RTG ; le moteur, sous la caisse, est le Saurer S 1 DHR qui Ă©quipe dĂ©jĂ les X 4750 ; la transmission hydraulique Voith 420 R est Ă©galement identique[C 1] et les bogies, de la mĂȘme famille que ceux des RTG, offrent une trĂšs bonne qualitĂ© de suspension[4].
D'autres caractĂ©ristiques sont par contre innovantes ou reprĂ©sentent une amĂ©lioration de techniques Ă©prouvĂ©es. Le frein hydrodynamique dĂ©jĂ employĂ© sur les turbotrains est rendu plus efficace. Les autorails peuvent circuler en unitĂ©s multiples entre eux et avec les X 2200 ou les X 2800 rĂ©novĂ©s ; ils peuvent ĂȘtre jumelĂ©s avec toutes les autres sĂ©ries d'autorails en service[F 2]. L'Ă©quipement Ă©lectrique permet l'alimentation de quatre remorques XR 6000. L'emplacement des portes d'accĂšs aux plateformes, au droit de l'axe des bogies, permet de fixer sur ces derniers une partie de l'emmarchement[5] ; ces portes, d'un nouveau modĂšle, peuvent s'ouvrir quelle que soit la hauteur du quai[C 3].
Par contre, le style de l'appareil ne fait pas l'unanimité chez les stylistes de l'époque comme Jacques Cooper ou Roger Tallon[F 3]. La forme de la caisse cubique et surtout le profil plat de l'avant de l'engin, peu aérodynamiques, ainsi que la motorisation d'origine un peu faible dégradent les performances de l'engin, notamment lorsqu'il tracte une remorque ; dans ces conditions de circulation, à puissance égale, il pÚse 9 % de plus qu'un X 4750[6] et il lui arrive de ne pouvoir atteindre sa vitesse maximale de 140 km/h[7].
Aménagements intérieurs et livrées
L'X 2100 se distingue de la grande famille des EAD dans la conception de ses espaces intĂ©rieurs. Les banquettes accueillant cinq voyageurs par rangĂ©e sont remplacĂ©es par quatre fauteuils individuels avec couloir central. Deux salles de seconde classe encadrent, au centre de l'autorail, un compartiment de huit places de premiĂšre classe, des toilettes et un local technique (groupe de refroidissement du moteur, Ă©chappement)[8]. Toutefois, le tuyau d'Ă©chappement, accolĂ© au compartiment de premiĂšre classe, et le moteur placĂ© sous le plancher de celui-ci engendrent un manque de confort pour ces passagers : sur la sĂ©rie dĂ©rivĂ©e des X 2200, le dĂ©placement du compartiment de premiĂšre classe en extrĂ©mitĂ© de caisse remĂ©die Ă cet inconvĂ©nient[9]. Par dĂ©placement d'une cloison pivotante, la taille de la cabine de conduite non utilisĂ©e pendant la marche peut ĂȘtre rĂ©duite, comme sur le matĂ©riel articulĂ© du mĂ©tro[F 4], ce qui permet d'agrandir l'espace de stockage des bagages[5]. L'exploitation de l'autorail par un seul agent, le conducteur assurant Ă©galement la vente des titres de transport lors de la montĂ©e des voyageurs, Ă©tait envisagĂ©e par la SNCF mais ne sera pas mise en application, en raison de l'hostilitĂ© du personnel[F 4].
La livrée d'origine des X 2100 est identique à celle des remorques dites « Massif central » et des X 2800 rénovés, alliant le bleu anglais au gris ardoise et au gris argent[C 1]. Les trois exemplaires appartenant à la région Pays de la Loire reçoivent une livrée spécifique jaune orangé et blanc, en harmonie avec celle des RTG qui assurent alors la transversale Nantes-Lyon[F 5]. Lors de la mise en place des livrées TER individualisées, des autorails sont repeints en « vert perroquet » (Bretagne) ou « bleu isabelle » (Pays de la Loire).
- L'X 2104 en livrée d'origine en gare de (Brive-la-Gaillarde, en 2008).
- Un engin en Livrée « Pays de la Loire » à Nantes.
- L'X 92101 en livrée « bleu isabelle » aux Les Sables-d'Olonne, en 1999.
- L'X 2137 en tĂȘte d'une composition « vert perroquet » aux Sables-Blancs, en 2008).
Remotorisation et rénovation
Ă la fin des annĂ©es 1990, les moteurs Saurer des X 2100 posent des problĂšmes de maintenance, de vibrations, de consommation et de pollution. La dĂ©cision est prise de les remplacer sur tout ou partie du parc, qui arrive Ă mi-vie. Un moteur dĂ©jĂ utilisĂ© sur des engins de travaux publics et des camions est retenu. Il s'agit du moteur MAN 2842 LE Ă douze cylindres en V et avec turbocompresseur. Pouvant dĂ©velopper jusqu'Ă 588,8 kW, il est limitĂ© sur les X 2100 Ă 478,4 kW pour rester compatible avec la boĂźte de vitesses existante sur les autorails. L'X 2131 sert de prototype Ă cette remotorisation rĂ©alisĂ©e en sur la base d'un kit « prĂȘt Ă monter » rĂ©alisĂ© par Socofer[10]. Cette opĂ©ration se rĂ©vĂ©lant un succĂšs une fois des ajustements effectuĂ©s[C 4], il est dĂ©cidĂ© de l'Ă©tendre Ă l'ensemble de la sĂ©rie (sauf douze exemplaires, radiĂ©s en prioritĂ©) Ă partir de 2003[11].
En 2006, la rĂ©gion Midi-PyrĂ©nĂ©es dĂ©cide de moderniser vingt autorails X 2100 qui circulent sur son territoire. En 2010, la rĂ©gion Bretagne fait de mĂȘme avec ses 21 engins. Cette modernisation, appelĂ©e OPCE (opĂ©ration confort esthĂ©tique) accompagne la remotorisation dĂ©jĂ Ă©voquĂ©e. Les espaces voyageurs sont rĂ©organisĂ©s, un espace pour personnes Ă mobilitĂ© rĂ©duite est crĂ©Ă©, le tissu remplace le skaĂŻ dans le revĂȘtement des siĂšges et une moquette est placĂ©e au sol. Les autorails ainsi traitĂ©s reçoivent la livrĂ©e TER institutionnelle, bleue et Ă deux tons de gris[12].
CarriĂšre
Du 17 au , l'X 2101, prototype de la série, effectue des essais avec deux remorques XR 6000 et l'X 2848, tous en livrée bleue et blanche, sur la ligne des Alpes. L'X 2101, alors affecté au dépÎt de Lyon-Vaise, effectue des essais sur les lignes Lyon - Grenoble, Grenoble - Montmélian et Grenoble - Monestier-de-Clermont. à la suite de ces essais qui démontrent leur incapacité à tirer plusieurs remorques en fortes rampes, les X 2100 sont affectés à d'autres dépÎts desservant des lignes à profil moins difficile, comme celui de Limoges ou de Rennes.
La mise en service des 50 exemplaires de la série (X 2101 à 2150) pour le compte de la SNCF intervient entre le et le . La région Pays de la Loire acquiert, de son cÎté, trois autorails (X 92101 à 92103) qu'elle loue à la SNCF et qui sont mis en service en 1980[13]. En 1982, la région Midi-Pyrénées rachÚte à la SNCF le X 2133 renuméroté X 92104. Ce sont donc au total 53 autorails au type X 2100 qui sont construits[14].
Le l'X 2149 heurte un camion-citerne sur un passage à niveau à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt[15] - [C 5]. L'incendie qui se déclare alors fait plusieurs victimes et l'autorail, non réparable, est radié en 2003[C 5]. Les derniers engins encore en activité, en circulation en Bretagne[16], sont radiés le [17] aprÚs avoir effectué leur dernier train sur Rennes - Retiers le [16]. Il n'y a plus, à cette date, d'autorail SNCF équipé d'organes de tamponnement et d'un attelage, apte à tracter des remorques[F 6].
Relations assurées
Au cours de leur carriÚre, les X 2100 et les X 92100 ont circulé sur les lignes de plusieurs régions[18] - [C 6] - [F 7].
Bretagne
- Rennes â Saint-Malo (avant l'Ă©lectrification)
- Saint-Brieuc â Dinan â Dol-de-Bretagne
- Brest â Quimper
- Saint-Malo â Granville (desserte estivale Ligne de Baie)
- Auray â Quiberon (desserte estivale baptisĂ©e le « Tire Bouchon »)
- Rennes â ChĂąteaubriant
- Saint-Brieuc â Guingamp â Lannion
- Saint-Brieuc â LoudĂ©ac (avant la fermeture en 2006)
- Morlaix â Roscoff (avant la fermeture en 2018)
- Rennes â Messac - Guipry
- Rennes - Redon - Vannes - Quimper
Languedoc-Roussillon
Limousin
Midi-Pyrénées
- Toulouse - Rodez
- Toulouse - Mazamet
- Rodez - Brive-la-Gaillarde
Pays de la Loire
Principalement les X 92100, parfois en pool avec des X 2100 de Bretagne.
- Nantes - Le Croisic
- Redon - Saint-Nazaire
- Nantes - Les Sables-d'Olonne
DĂ©pĂŽts titulaires
Seuls six dépÎts ont compté des X 2100 à leurs effectifs : Lyon-Vaise, Nantes, Rennes, Saintes, Toulouse et Limoges[C 7]. Les trois premiers ont réceptionné l'ensemble des autorails sortant de construction, les trois autres en recevant à l'occasion de mutations[F 8].
Au , plus aucune supervision technique de flotte (STF) ne possÚde cette série.
Préservation
- X 2115 : Chemin de fer touristique du Haut Quercy[20]
- X 2124 : Préservé par le CFTST Autorails de Touraine au dépÎt de Vierzon[21]
- X 2135 : TRANSVAP[22]
- X 2137 : Chemin de fer touristique du Haut Quercy[20]
- X 2139 : Chemin de fer de la Vendée[23]
- X 2140 : Train touristique de la Vallée du Loir[24]
- X 2141 : Préservé par le CFTST Autorails de Touraine au dépÎt de Vierzon[21]
- X 2144 : Train touristique de la Vallée du Loir[24]
- X 2145 : Chemin de fer touristique du Haut Quercy[20]
Modélisme
- La firme Lima a produit cet autorail en H0.
- Le modÚle Lima a ensuite été repris par Jouef en 2013. La motorisation, la transmission et l'électronique ont été revus[25]. Depuis, la firme Jouef décline son modÚle et sort réguliÚrement de nouvelles versions[26]
- à l'échelle N l'artisan Rémois Stéphane Levaux sous le nom de MISTRAL a commercialisé cet autorail en 1984[27].
Galerie de photographies
- Deux X 2100 encadrant deux remorques XR 6000 passent au niveau de l'isthme de PenthiĂšvre, entre Auray et Quiberon.
- Poste de conduite d'un X 2100 Ă Quiberon.
- TER Rodez-Toulouse composĂ© des X 2131 en tĂȘte et 2119 en queue encadrant une remorque XR 6100, taguĂ©e.
Notes et références
- « X 2100-2200 : le dernier autorail SNCF », Loco Revue, 2002 :
- Fieux 2002, p. 29-30.
- Fieux 2002, p. 31.
- Fieux 2002, p. 30-31.
- Fieux 2002, p. 30.
- Fieux 2002, p. 32.
- Fieux 2002, p. 35.
- Fieux 2002, p. 32-33.
- Fieux 2002, p. 33.
- « Les X 2100 : des autorails monocaisses de transition », Rail Passion n°105 de juillet 2006 :
- Collardey 2006, p. 41.
- Collardey 2006, p. 41-42.
- Collardey 2006, p. 42.
- Collardey 2006, p. 50.
- Collardey 2006, p. 49.
- Collardey 2006, p. 42-47.
- Collardey 2006, p. 47.
- Autres références
- Redoutey 2007, p. 273.
- Revue bimestrielle Voies Ferrées, Le matériel moteur de la SNCF, en plusieurs articles sur plusieurs numéros par année
- Revue mensuelle Rail Passion, Ătat trimestriel du matĂ©riel moteur SNCF, un article par trimestre
- Michel 1980, p. 6.
- Michel 1980, p. 5.
- Michel 1980, p. 4.
- Constant 1999, p. 73.
- Michel 1980, p. 4-5.
- Constant 1999, p. 70.
- Bernard Vieu, « L'X 2131, prototype pour une nouvelle motorisation de la sĂ©rie 2100:2200 », La Vie du rail, no 2804,â , p. 5.
- FrĂ©dĂ©ric Didelot, « Une remotorisation nĂ©cessaire », Ferrovissime, no 54,â , p. 49 (lire en ligne).
- FrĂ©dĂ©ric Didelot, « Une remotorisation nĂ©cessaire », Ferrovissime, no 54,â , p. 48-50 (lire en ligne).
- Luc Robert, « Les autorails X 92100 entrent en scĂšne », La Vie du rail, no 1757,â , p. 46-48.
- Constant 1999, p. 67-68.
- « 16 ans aprÚs la catastrophe de Port-Sainte-Foy (24), des passages à niveau sous surveillance », article de Sud-Ouest du 9 septembre 2013, consulté le 23 octobre 2014.
- « X 2100, XR 6100, c'est fini », Rail Passion n°248 de juin 2018, page 8.
- Bernard Collardey, « Les X 2100 s'esquivent », Rail Passion, no 251,â , p. 20.
- Bernard Collardey, « Coup dâĆil sur l'utilisation future des X 2100 », La Vie du rail, no 1730,â , p. 7.
- Le Train: spécial 28 4/2001 (ISSN 1267-5008)
- « l'Echo du Rail No. 449, page 25 », sur oxi90.com (consulté le )
- « Deux autorails des années 80 remis en route à Vierzon », sur leberry.fr (consulté le )
- « Les autorails », sur transvap.fr (consulté le )
- « Grutage du X 2139 », sur facebook.com (consulté le )
- « Le Train de la vallée du Loir se développe », sur lanouvellerepublique.fr (consulté le )
- Aurélien Prévot, « X 2100-2200 Jouef en H0 », Loco-Revue, n°796, novembre 2013, Auray, LR Presse, pages 32-33.
- Aurélien Prévot, "Le retour des X 2100 et X 2200", Loco-Revue, n°812, mars 2015, Auray, LR Presse, page 11.
- Clive Lamming, 3000 modĂšles ferroviaires : argus et caractĂ©ristiques techniques des trains miniatures français, vol. 2, Ăditions Milan, , 246 p. (ISBN 978-2-84113-451-9)
Voir aussi
Bibliographie
- « Ătat annuel du matĂ©riel moteur SNCF », Rail Passion, no 139, .
- Alain Blot, X2100, X2200 et leurs remorques XR6000, l'auteur, , 224 p. (ISBN 978-2-7466-9133-9).
- Bernard Collardey, « Les X 2100 : des autorails monocaisses de transition », Rail Passion, no 106,â , p. 40-50.
- Olivier Constant, Encyclopédie du matériel moteur SNCF : Supplément à la revue « Le Train », t. 4 : Les autorails des années 1950 à nos jours (2e partie), Publitrains, , 98 p. (ISSN 1267-5008).
- LoĂŻc Fieux, « X 2100-2200 : le dernier autorail SNCF », Loco Revue, no 658,â , p. 29-35 (lire en ligne).
- William Lachenal, « X 2101 : escapade alpine », Voies FerrĂ©es,â , p. 18-19. En essais sur la ligne des Alpes.
- RenĂ© Michel, « Les autorails X 2100 », La Vie du rail, no 1730,â , p. 4-7.
- AurĂ©lien PrĂ©vot, « 2100-2200 Jouef en H0 », Loco Revue, no 796,â , p. 32-33.
- Denis Redoutey, Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La Vie du Rail, , 5e éd., 400 p. (ISBN 978-2-915034-65-3).