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Simorre

Simorre (Cimòrra en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Simorre
Simorre
Le centre-ville en 2015.
Blason de Simorre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Auch
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux Arrats Gimone
Maire
Mandat
Éric Truffi
2020-2026
Code postal 32420
Code commune 32433
Démographie
Gentilé Simorrains
Population
municipale
707 hab. (2020 en augmentation de 1,43 % par rapport à 2014)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 04″ nord, 0° 44′ 09″ est
Altitude 180 m
Min. 182 m
Max. 321 m
Superficie 35,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Val de Save
Législatives Première circonscription
Localisation
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Simorre
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Simorre
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Gimone, la Marcaoue, la Lauze, la Bergone, le Ricaut et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée et coteaux de la Lauze ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Simorre est une commune rurale qui compte 707 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 1 842 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Simorrains ou Simorraines.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Notre-Dame, classée en 1846, et l'église Saint-Valentin, inscrite en 1978.

    Géographie

    Localisation

    Simorre est situé en Haut-Astarac, à 32 km au sud d'Auch. La ville est située au carrefour des routes D 12, qui la traverse du Nord au Sud, et de la route D 129, qui la traverse d'Est en Ouest. La route D 234 relie Simorre à Lombez.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Villefranche-d'Astarac, Betcave-Aguin, Faget-Abbatial, Lamaguère, Pellefigue, Sabaillan, Saint-Élix-d'Astarac, Sémézies-Cachan, Tachoires et Tournan.

    Géologie et relief

    Simorre se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Simorre.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Gimone, la Marcaoue, la Lauze, la Bergone, le Ricaut, un bras de la Gimone, un bras de la Gimone, la Jourdianne, la Lère, Riou Peyrine, le ruisseau de Gourgot, le ruisseau de la Lapine, le ruisseau de la Mondone, le ruisseau de Lantan, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 43 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    La Gimone, d'une longueur totale de 135,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelferrus, après avoir traversé 54 communes[5].

    La Marcaoue, d'une longueur totale de 36,4 km, prend sa source dans la commune de Simorre et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Gimone à Touget, après avoir traversé 15 communes[6].

    La Lauze, d'une longueur totale de 22,9 km, prend sa source dans la commune d'Aussos et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Gimone à Saramon, après avoir traversé 11 communes[7].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s'agit d'une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 759 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985[13] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[14] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 685,4 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 25 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[16] à 13,5 °C pour 1991-2020[17].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée et coteaux de la Lauze »[19], d'une superficie de 5 399 ha, des coteaux occupés par un maillage bocager plus faiblement représenté dans le fond des vallées alluviales, avec des milieux à orchidées remarquables[20].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[21] : les « coteaux de la Lauze » (588 ha), couvrant 5 communes du département[22], et l'« unité bocagère entre la Lauze et l'Arrats » (803 ha), couvrant 5 communes du département[23] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [21] :

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Simorre.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Simorre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [26] - [I 1] - [27]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,3 %), terres arables (24,1 %), prairies (13,2 %), forêts (8,7 %), zones urbanisées (1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    Une rue de Simorre.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Simorre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gimone, la Marcaoue et la Lauze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[31]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2000, 2008, 2009 et 2018[32] - [29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Simorre.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 431 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 431 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2003, 2011, 2015, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[29].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de la Gimone, un ouvrage de classe A[Note 8] disposant d'une retenue de 25 millions de mètres cubes. La fiche réflexe du PPI définit le temps d'arrivée de l'onde et la zone d'accueil selon la position des habitants concernés par rapport à la Gimone (rive droite ou gauche)[36] - [37]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[38] - [37].

    Toponymie

    D'après l'étude de Lucien Babonneau publiée dans les années 1960, le toponyme de Simorre viendrait du celte-ibère Cimogorra, avec les deux racines "CIM" = remarquable, et "GORRA" = hauteur[39].

    Histoire

    Simorre est une des plus anciennes sauvetés du Gers. Autrefois bâtie au sud-ouest sur le pendant d'une colline, la ville est détruite par un incendie et rebâtie en 1141 près de la Gimone sur un enclos donné par les Bénédictins de Simorre. Le père abbé, qui en était le seigneur, leur accorde des coutumes en 1268.

    Le tombeau de saint Cérats en 2021.

    L'abbaye, attestée dès 817, a été construite au VIe siècle sur l'emplacement d'un ancien oratoire élevé au Ve par saint Cerats (Cérat, Cérétius) dont le tombeau se trouve dans la chapelle de Saintes. L'abbaye fut ravagée par les Sarrasins et par les Normands.

    L'église est fortifié aux XIIe et XIVe siècles pour servir de refuge puis remaniée au XIXe. Son abbatiale possède un patrimoine remarquable (trésor, reliquaire, stalles…). Le village possède encore sa vieille halle centrale et de nombreuses maisons à colombage et à encorbellements.

    À Simorre, village voisin du centre potier de Sémézies-Cachan, le lundi de Pâques, avait lieu la heyro dous chioulets (foire des sifflets). Au cours de cette journée placée sous le patronage de saint Cérats, le patron de Simorre, la foule s'installait autour de l'oratoire de l'abbaye de Saintes où la tradition situait le tombeau du saint. On achetait les sifflets aux potiers venus vendre leur production, mais on y louait aussi domestiques et servantes[40].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[41]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Paul-François Ducor avocat
    1791 1792 Jacques Tando maître-chirurgien
    1792 1793 Bertrand Lizon commerçant
    1793 1794 Pierre Labarthe-Brandelac notaire
    1794 1795 Jacques Tando
    1795 1799 Municipalité cantonale révolutionnaire
    1799 1801 Jean Bénac fabricant de chandelles
    1801 1815 Antoine Parçon
    1815 1821 Charles Bernard-Augustin de Carsalade du Pont
    1821 1827 Jean-Pierre-François Marre
    1827 1833 Jean-Jacques-Marie Ducor négociant
    1833 1834 Bertrand-Benoît Tando docteur
    1834 1835 Germain Saint-Martin notaire, maire par intérim
    1835 1840 Jean-Bernard Lassus ancien capitaine
    1840 1845 Pierre Mazières
    1845 1848 Hector Lasserre notaire
    1848 1863 Jean-Louis Parçon pharmacien
    1863 1870 Alexis-Alcide-Pierre Cortade
    1870 1871 Ferdinand Lissagaray notaire
    1871 1888 Alexis-Alcide-Pierre Cortade
    1888 1900 Auguste Saint-Martin notaire
    1900 1912 Célestin Ducassé vétérinaire
    1912 1915 André Saint-Martin docteur en droit, mort pour la France en 1915
    1915 1929 Célestin Ducassé vétérinaire
    1929 Pierre-Louis Saint-Martin instituteur honoraire
    avant 1973 ? Jean Camajou DVD Pharmacien
    2001 2014 Claude Silberzahn Ancien directeur de la DGSE
    Ancien préfet
    2014 2020 André Laffont[42] DVG Retraité
    2020 En cours Éric Truffi
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44]. En 2020, la commune comptait 707 habitants[Note 9], en augmentation de 1,43 % par rapport à 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 2521 3941 4821 5191 6011 7291 6811 8421 806
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 8211 8031 8131 8401 8091 8011 7191 5681 559
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 5351 4241 1591 2011 1671 1201 058999931
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    911806804708698665660706710
    2020 - - - - - - - -
    707--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Simorre dispose d'un groupe scolaire complet de classes maternelles et élémentaires.

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 306 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 607 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 820 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]5,2 %8,9 %9,6 %
    Département[I 7]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 343 personnes, parmi lesquelles on compte 70,9 % d'actifs (61,2 % ayant un emploi et 9,6 % de chômeurs) et 29,1 % d'inactifs[Note 11] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 194 emplois en 2018, contre 201 en 2013 et 207 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 220, soit un indicateur de concentration d'emploi de 88 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,5 %[I 10].

    Sur ces 220 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 116 travaillent dans la commune, soit 53 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 64,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,1 % les transports en commun, 8,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 23,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    89 établissements[Note 12] sont implantés à Simorre au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble89100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    2528,1 %(12,3 %)
    Construction77,9 %(14,6 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1921,3 %(27,7 %)
    Information et communication11,1 %(1,8 %)
    Activités financières et d'assurance11,1 %(3,5 %)
    Activités immobilières33,4 %(5,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    910,1 %(14,4 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1516,9 %(12,3 %)
    Autres activités de services910,1 %(8,3 %)

    Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,1 % du nombre total d'établissements de la commune (25 sur les 89 entreprises implantées à Simorre), contre 12,3 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[47] :

    • Despaux ML, commerce de détail alimentaire sur éventaires et marchés (255 k€)
    • Alliance Verte, autres activités de soutien aux entreprises n.c.a. (101 k€)
    • Hebisol, activités spécialisées, scientifiques et techniques diverses (k€)

    Agriculture

    La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du département du Gers, un quart de sa superficie, et correspondant au pied de lʼéventail gascon[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations75594734
    SAU[Note 15] (ha)2 3722 5652 2622 708

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 75 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 59 en 2000 puis à 47 en 2010[50] et enfin à 34 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 55 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[51] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 2 372 ha en 1988 à 2 708 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 80 ha[50].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame[52] Logo monument historique Classé MH (1846). Église abbatiale construite au XIVe siècle, dont l'aspect d'église fortifiée a été créé au XIXe siècle par Viollet-le-Duc.
      On remarque trois types de matériaux de construction : la brique d'origine, la pierre, cadeau d'une autre abbaye lors de l'extension de l'église et les briques rapportées au XIXe siècle pour donner un aspect fortifié à l'église.
    • L'église Notre-Dame
    • L'église en 2014.
      L'église en 2014.
    • Le transept sud et le chevet.
      Le transept sud et le chevet.
    • Le chœur, l'autel et les stalles.
      Le chœur, l'autel et les stalles.
    • Vitraux.
      Vitraux.
    • Vitrail Renaissance représentant saint Cérats.
      Vitrail Renaissance représentant saint Cérats.
    • Église Saint-Valentin de Baillasbats.
    • Église de Saintes. Elle a fait l'objet de travaux et d'une reconversion au cours des années 2010.
    • L'église de Saintes
    • L'église en 2021.
      L'église en 2021.
    • Le clocher-mur.
      Le clocher-mur.
    • L'intérieur à l'occasion de la Ronde des Expos.
      L'intérieur à l'occasion de la Ronde des Expos.
    • Vitrail profane.
      Vitrail profane.
    • La chapelle du tombeau de saint Cérats à Saintes. La chapelle primitive a été vendue comme bien national en 1793 puis rasée. Le pèlerinage a repris à partir de 1815. Le sanctuaire a été relevé par le clergé en 1842, année où a débuté la réédification de la chapelle qui a perduré jusqu'en 1844. Une tentative avortée d'agrandissement a eu lieu en 1877. À partir de 2015, une association nommée "les Amis du Patrimoine de Saintes" réhabilite l'édifice, qui préserve notamment le tombeau de saint Cérats et la fontaine associée
    • La chapelle du tombeau de saint Cérats
    • La façade est.
      La façade est.
    • Le fronton.
    • L'allée d'arbres symbolisant la nef manquante lors de "La Ronde des expos".
      L'allée d'arbres symbolisant la nef manquante lors de "La Ronde des expos".
    • L'entrée en bordure de la D12.
      L'entrée en bordure de la D12.
    • La fontaine.
      La fontaine.
    • L'intérieur.
      L'intérieur.
    • Site castral de Baillasbats, à l'emplacement de la chapelle Saint-Valentin. Aucun vestige de l'ancien château, détruit au XIXe siècle, n'est aujourd'hui visible en élévation.
    • Site castral de Lasségan. Aucun vestige de l'ancien château n'est aujourd'hui visible en élévation.
    • Château de Sardac, figuré sur le cadastre de 1828[53]. Aucun vestige de l'ancien château n'est aujourd'hui visible en élévation.
    • Motte castrale du Tuco.
    • Le Musée Paysan d'Émile[54] - [55] invite à revivre la vie quotidienne des paysans gascons.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    Parti : au premier d'azur aux deux fleurs de lys d'or l'une sur l'autre, au second de gueules à la crosse épiscopale d'argent surmontée de trois étoiles du même rangées en chef[56].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[35].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l'occupation d'un logement connu à la taxe d'habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l'Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Simorre » sur Géoportail (consulté le 13 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Simorre » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Simorre » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Simorre » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Simorre » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Simorre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « la Gimone »
    6. Sandre, « la Marcaoue »
    7. Sandre, « la Lauze »
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d'outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Auch - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Simorre et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Auch - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Simorre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « site Natura 2000 FR7300897 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Simorre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « coteaux de la Lauze » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF l'« unité bocagère entre la Lauze et l'Arrats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « coteaux de la Lauze et de l'Arrats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. « Les risques près de chez moi - commune de Simorre », sur Géorisques (consulté le )
    30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    31. DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
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    33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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    35. Article R214-112 du code de l’environnement
    36. « Barrage de la Gimone », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
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    38. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur www.gers.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    39. Lucien Babonneau in L'église fortifiée de Simorre
    40. Usages et traditions : le rite du jouet
    41. Louis Saint-Martin, « Monographie de Simorre », Bulletin de la Société archéologique, historique littéraire et scientifique du Gers, Auch, Imprimerie Frédéric Cocharaux, , p. 135-136 (lire en ligne)
    42. Site de la préfecture - Fiche de Simorre
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. « Entreprises à Simorre », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    48. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    49. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l'agriculture et de l'alimentation, 10 décembre 2021
    50. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Simorre - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    51. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
    52. Gallica BnF : J. Clermont, L'église abbatiale de Simorre, Bulletin de la Société archéologique du Gers, 3e trimestre 1928, Auch, 1928
    53. Archives départementales du Gers, 3P_SIMORRE_21, section I1, no 99.
    54. « Simorre. Un projet ambitieux autour du Musée paysan d'Emile », sur ladepeche.fr (consulté le ).
    55. « Musée Paysan d'Émile ! », sur Musee Paysan (consulté le ).
    56. « Banque du blason »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)

    Articles connexes

    Liens externes

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