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Saint-Vivien-de-Médoc

Saint-Vivien-de-Médoc est une commune du sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Vivien-de-Médoc
Saint-Vivien-de-Médoc
La mairie.
Blason de Saint-Vivien-de-Médoc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Lesparre-Médoc
Intercommunalité Communauté de communes Médoc Atlantique
Maire
Mandat
Jean-Pierre Dubernet
2020-2026
Code postal 33590
Code commune 33490
Démographie
Gentilé Viviennais
Population
municipale
1 795 hab. (2020 en augmentation de 4,3 % par rapport à 2014)
Densité 61 hab./km2
Population
agglomération
2 838 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 45° 25′ 52″ nord, 1° 02′ 04″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 12 m
Superficie 29,4 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Saint-Vivien-de-Médoc
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Nord-Médoc
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Vivien-de-Médoc
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Saint-Vivien-de-Médoc
Liens
Site web www.stviviendemedoc.fr

    Géographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune située dans le Médoc sur la route départementale 1215 (ex-RN 215, ex D.1) entre Lesparre-Médoc et Le Verdon-sur-Mer, sur la rive gauche de l'estuaire de la Gironde. Elle est le centre de l'unité urbaine de Saint-Vivien-de-Médoc formée avec Vensac[1].

    Entrée de la commune.

    Communes limitrophes

    Les communes d'Arces, Talmont-sur-Gironde et Barzan sont sur la rive droite de l'estuaire de la Gironde[2].

    Climat

    La rue principale.

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 893 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vensac David », sur la commune de Vensac, mise en service en 1984[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 902 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et à 61 km[12], la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010[13] à pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Vivien-de-Médoc est une commune rurale car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Vivien-de-Médoc, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 2 838 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    La commune, bordée par l'estuaire de la Gironde, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (36,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (37,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux maritimes (31,1 %), prairies (22,6 %), zones humides côtières (17,2 %), forêts (11,6 %), terres arables (10,6 %), zones urbanisées (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Vivien-de-Médoc est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le chenal du Gua. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2009[29] - [27].

    Saint-Vivien-de-Médoc est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[30]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[31] - [32].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Vivien-de-Médoc.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 55,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 245 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 245 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[27].

    Histoire

    Au Ve siècle la commune était appelée Saint Vivien de Bégays[34]. Vivien (nom français) est le résultat du nom gallo-romain Vivianus.

    Begays est un gasconisme pour désigner le « Viguier » ou « Vigier », magistrat urbain, qui vient du latin vicarius (qui a donné vicaire).

    Le vicarius était à Rome un délégué du préfet du prétoire. Ce nom est postérieur à l'époque gallo-romaine en Occitanie et en Catalogne, où il était une forme de juridiction, un tribunal local.

    La Pointe aux Oiseaux était une station pour les quatre combattants survivants britanniques pendant l'Operation Frankton (1942).

    Héraldique

    Politique et administration

    Le monument aux morts.

    A partir des élections municipales de 1900, les socialistes entrent dans la municipalité de Saint-Vivien, ainsi qu'à Grayan[35]

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Jean Metayer SFIO Retraité des Douanes
    1947 1959 Gaston Villeneuve Agriculteur
    1959 1965 François Dillemann Agriculteur
    1965 1993 Jacques Noël PS Médecin, conseiller général (1976-1988)
    1994 2008 Jeanne Baudray PS Retraitée du commerce
    2008 En cours Jean-Pierre Dubernet DVG Cadre retraité

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

    En 2020, la commune comptait 1 795 habitants[Note 6], en augmentation de 4,3 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6146606757528979679851 0101 133
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1401 2281 3041 2571 3211 4211 5061 5111 514
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4841 4331 2591 0611 0311 0581 1069081 019
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 0271 0181 0961 1611 2821 3651 4801 5131 700
    2018 2020 - - - - - - -
    1 7891 795-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Le clocher et la façade
      Le clocher et la façade
    • L'abside
      L'abside
    • Le port : Les eaux limoneuses de l'estuaire abritent une vie foisonnante, et de nombreux petits ports de pêche se succèdent le long des rives de la Gironde. En avril et au printemps, les pêcheurs guettent ainsi l'arrivée de la "lamproie", le poisson à la bouche-ventouse, ou celle de "l'alose", le poisson argenté, avant que l'automne et l'hiver n'annoncent le retour des précieuses "pibales", ou "civelles", qu'il faut extraire du fleuve avant que les alevins au corps translucide ne se métamorphosent en anguilles.

    Situé en bordure d'un étroit chenal que les bateaux doivent remonter sur 3 kilomètres pour rejoindre l'estuaire, le petit port de Saint-Vivien reste un lieu de flânerie très agréable qu'une fête animée vient célébrer chaque mois d'août.

    Le port de Saint-Vivien.
    Le port.

    Personnalités liées à la commune

    Personnalités réelles

    Personnalités fictives

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. [UU202033106-saint-vivien-de-medoc Insee, Unité urbaine 2020 de Saint-Vivien-de-Médoc]
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Vensac David - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Vivien-de-Médoc et Vensac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Vensac David - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Vivien-de-Médoc et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Saint-Vivien-de-Médoc », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    24. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Vivien-de-Médoc », sur Géorisques (consulté le )
    28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    30. « Le risque feux de forêts. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    31. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    32. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    34. Jacques Baurein, article 2.V, p. 248.
    35. Alain Anziani, Cent ans de socialisme en Gironde, 1999; p. 22
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 1, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne) : article 2.V, pages 249–251.

    Articles connexes

    Liens externes

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