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Saint-Martin-de-BrĂ´mes

Saint-Martin-de-Brômes (Sant-Martin en occitan provençal) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Saint-Martin-de-BrĂ´mes
Saint-Martin-de-BrĂ´mes
La tour de l'Horloge.
Blason de Saint-Martin-de-BrĂ´mes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Intercommunalité Durance-Luberon-Verdon Agglomération
Maire
Mandat
Laurence Depieds
2020-2026
Code postal 04800
Code commune 04189
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Martinois
Population
municipale
634 hab. (2020 en augmentation de 10,07 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 30 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 46′ 15″ nord, 5° 56′ 46″ est
Altitude Min. 307 m
Max. 588 m
Superficie 21,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Manosque
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Valensole
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Martin-de-BrĂ´mes
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Saint-Martin-de-BrĂ´mes
Liens
Site web saint-martin-de-bromes.fr

    Ses habitants sont appelés les Saint-Martinois.

    GĂ©ographie

     Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
    Saint-Martin-de-Brômes et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Le village est Ă  une altitude de 358 m[1].

    Communes limitrophes de Saint-Martin-de-BrĂ´mes
    Valensole
    Gréoux-les-Bains Saint-Martin-de-Brômes Allemagne-en-Provence
    Saint-Julien (Var) Esparron-de-Verdon

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Colostre : son confluent avec le Verdon est un site inscrit.

    Environnement

    La commune compte 1 326 ha de bois et forĂŞts, soit 63 % de sa superficie[2].

    Voies routières

    La commune est desservie par les routes départementales RD 952 et RD 82.

    Lignes régionales, réseau Zou !

    Saint-Martin-de-BrĂ´mes est desservie par une ligne EXPRESS[3] :

    Ligne Tracé
    67Marseille ↔ Gréoux-les-Bains ↔ Saint-Martin-de-Brômes ↔ Riez
    Lignes intercommunales

    Le village est relié par deux lignes intercommunales du réseau Trans'Agglo[4] :

    Ligne Tracé
    132Puimoisson ↔ Riez ↔ Allemagne-en-Provence ↔ Saint-Martin-de-Brômes ↔ Gréoux-les-Bains ↔ Manosque
    136Manosque ↔ Gréoux-les-Bains ↔ Saint-Martin-de-Brômes ↔ Esparron-de-Verdon ↔ Quinson (Ligne estivale)
    Lignes scolaires

    Des lignes de transports scolaires ont été mises en place pour rallier le collège de Riez ainsi que les lycées et collèges de Manosque. Ces lignes sont financées par la communauté d'agglomération Durance-Luberon-Verdon au travers du réseau Trans'Agglo. En plus des lignes existantes du réseau, d'autres ont été rajoutées.

    Ligne Tracé
    145 SSaint-Martin-de-Brômes ↔ Allemagne-en-Provence ↔ Riez

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Valensole auquel appartient Saint-Martin-de-Brômes est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[5], et en zone 3 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[6]. La commune de Saint-Martin-de-Brômes est également exposée à trois autres risques naturels[6] :

    • feu de forĂŞt ;
    • inondation ;
    • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernĂ©e par un alĂ©a moyen Ă  fort[7].

    La commune de Saint-Martin-de-Brômes est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de rupture de barrage[8]. Quatre barrages menacent une partie restreinte du territoire de Saint-Martin-de-Brômes : les barrages de Castillon, Sainte-Croix, de Quinson et de Gréoux[9]. Le premier ne menace la commune que d’une inondation forte, comparable aux très fortes crues du Verdon[10] : de plus, l’onde de submersion mettrait plus de deux heures à parvenir à Saint-Martin-de-Brômes[11]. Les autres barrages, plus proches, et surtout le barrage de Sainte-Croix, au réservoir beaucoup plus volumineux, causeraient des submersions plus importantes.

    Le plan de prĂ©vention des risques naturels prĂ©visibles (PPR) de la commune a Ă©tĂ© approuvĂ© en 1998 pour les risques d’inondation et de sĂ©isme[12] et le Dicrim existe depuis 2011[13]. Deux incendies, le 7 aoĂ»t 2005, dĂ©truisent 2 458 ha de forĂŞt, en touchant Ă©galement les communes de Quinson, Manosque et Esparron-de-Verdon[14].

    Toponymie

    Le nom du village apparaît pour la première fois en 1042 (ecclesiam. de Brumeç), puis vers 1064-1079, sous le nom de Sancti Martini de Bromezes, forme occitane du nom de saint Martin de Tours, qui a été francisée par la suite[15] - [16]. Le toponyme Brumeç est préceltique[17], et sa signification très probablement liée à un cours d’eau[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-de-Brômes est une commune rurale[Note 1] - [19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Manosque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,7 %), terres arables (14,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), zones urbanisées (2,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Économie

    Agriculture

    Bien que Saint-Martin-de-Brômes soit inclus dans le périmètre de l’appellation d'origine contrôlée (AOC) du vin de Pierrevert, la vigne n’y est pas cultivée. Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, mais uniquement pour l’autoconsommation[26].

    La culture de l’olivier est une des principales de la commune. Alors que la production d’huile d’olive Ă©tait importante jusqu’au dĂ©but du XXe siècle (avec 7 200 pieds), elle connait un fort dĂ©clin pour finir, avec seulement 3400 pieds en 1994[27]. Sa culture, pratiquĂ©e dans la commune depuis des siècles, est limitĂ©e Ă  certains versants. Le terroir de la commune se situe en effet Ă  la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement ĂŞtre exploitĂ© au-delĂ  des 650 mètres : Ă  Saint-Martin-de-BrĂ´mes, il s’agit des versants bien exposĂ©s des vallons entaillant le plateau de Valensole[28].

    Activités de services

    • deux campings ;
    • un hĂ´tel-restaurant ;
    • une Ă©picerie ;
    • un salon de coiffure.

    Histoire

    Protohistoire

    L'oppidum de Buffe-Arnaud, celto-ligure et fouillé en 1992[29], lors de travaux sur la RD 952, est la plus ancienne agglomération présente sur le territoire de la commune. Il est situé au confluent du Colostre et du Verdon : les escarpements formés par ces rivières le défendent sur trois côtés, un mur de pierres liées à la terre sur le dernier. Il est occupé du VIe siècle av. J.-C. au milieu du Ve siècle. De 450 environ av. J.-C. jusqu’en 225, l’oppidum ne livre plus de traces d’occupation ; il est ensuite à nouveau habité au IIIe siècle av. J.-C. jusqu'à la conquête romaine, à la fin du IIe siècle av. J.-C. Une tour-porche montre que l'oppidum était sous l'influence des colonies grecques de la côte. Il a été assiégé par les Romains en 124 av. J.-C.[30]. Un autre oppidum se trouvait en vis-à-vis de celui-ci, au Bas-Défends, mais n'a été que rapidement fouillé en 1996.

    Antiquité

    La commune a livré des vestiges de l’occupation romaine : tombes et sarcophages de plomb exposés au musée (début du IVe siècle), milliaire de Carus. Elle se trouvait sur la voie allant de Riez (Colonia Julia Augusta Apollinarium Reiorum) à Aix-en-Provence[31].

    Moyen Ă‚ge et Ancien RĂ©gime

    Au début du IIe millénaire, le territoire de la commune est appelé vallée d’Archincosco, et était sous la domination d’un ministral, jusqu’à la fin du XIe siècle[31]. Le premier site d’implantation de la communauté est le castrum de Notre-Dame, situé actuellement dans la commune d’Allemagne-en-Provence[32]. Le castrum était détenu par abbaye Saint-Victor de Marseille, qui confiait l’administration de la seigneurie à un laïc[33].

    L’abbaye Saint-Victor de Marseille possède également l’église de Saint-Martin, celle de Saint-Pierre-d’Archincosco, qu’elle reçoit du ministral avec la tasque (redevance semblable à la taille) avec des terres et d’autres droits[31]. Elle possède aussi deux fiefs, à Saint-Martin et à Brômes, et y était représenté par plusieurs seigneurs. Les Castellane y sont seigneurs de 1227 à 1673[34], les Payan leur succédant au XVIIIe siècle[35].

    PĂ©riode contemporaine

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[36]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Brômes[37].

    Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 8 habitants de Saint-Martin-de-Brômes sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant la déportation en Algérie[38].

    Comme de nombreuses communes du département, Saint-Martin-de-Brômes se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[39]. La même instruction est donnée aux filles, bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[40]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[41].

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Martin-de-BrĂ´mes Blason
    Coupé : au 1er de gueules à la fasce d'or, au 2e d'or à l'écureuil d'azur[42].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Saint-Martin-de-BrĂ´mes fait partie :

    Municipalité

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1945 Yves-Joseph Baud[43]
    mars 1981 mars 1995 René Burle
    mars 1995 mars 2007 Serge Harivel
    mars 2007 2020 Jean-Christophe Petrigny[44] - [45] PS Employé
    Conseiller départemental (2015-2021)
    Vice-président de Durance-Luberon-Verdon Agglomération (2014-2020)
    puis président depuis 2020[46]
    2020 En cours
    (au )
    Laurence Depieds[47] SE Agent de service culturel

    Budget et fiscalité 2021

    En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[48] :

    • total des produits de fonctionnement : 591 000 â‚¬, soit 925 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 545 000 â‚¬, soit 952 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 154 000 â‚¬, soit 139 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 358 000 â‚¬, soit 196 â‚¬ par habitant.
    • endettement : 324 000 â‚¬, soit 521 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 11,53 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 19,10 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 87,56 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Enseignement

    La commune est dotée d’une école primaire[49].

    Environnement et recyclage

    La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.

    Économie

    Emploi

    En 2019, la commune compte 370 personnes de 15 à 62 ans. La part des actifs est de 65,4%. 9,2 % sont chômeurs. 8,2% sont étudiants; 7,6% retraités et 9,7% sont sans activité.

    20,5% travaillent sur la commune et 79,5% travaillent à l'extérieur.

    Entreprises, commerces, activités artistiques

    • En 2020, la commune compte 60 entreprises
    • 6 dans l'industrie
    • 10 dans la construction
    • 22 dans le commerce
    • 2 dans la communication
    • 3 dans les activitĂ©s immobilières
    • 4 dans des activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es
    • 6 dans d'autres activitĂ©s de service [50].

    Tourisme

    La commune compte un hĂ´tel restaurant 2 Ă©toiles

    Les deux campings offrent 54 emplacements :

    - Un camping une Ă©toile avec 20 emplacements

    - Un camping deux Ă©toiles avec 34 emplacements.

    - 18 gites sont officiellement recensés.

    DĂ©mographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[52].

    En 2020, la commune comptait 634 habitants[Note 3], en augmentation de 10,07 % par rapport Ă  2014 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,39 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1765 1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    418499511501541540500526507
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    501476463449454431403392406
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    391347334264271245202229184
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    167222217244339403450458539
    2014 2019 2020 - - - - - -
    576627634------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee Ă  partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    L’histoire démographique de Saint-Martin-de-Brômes, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure des années 1810 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1926, la commune a perdu la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1831[55]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la commune a connu une forte croissance, triplant sa population et rejoignant le maximum d'il y a presque deux siècles.

    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    58 feux28 feux

    Lieux et monuments

    Église de Saint-Martin-de-Brômes
    • La tour de l’Horloge ou des Templiers est une tour de guet des Castellane.
    • Une maison de la rue principale possède une baie gĂ©minĂ©e du XIVe siècle, dont les chapiteaux sont sculptĂ©s de feuillages très dĂ©coupĂ©s[56]. D’autres maisons de la mĂŞme rue datent du XVe ou du XVIe siècles[57].
    • Le pont sur l’affluent du Colostre, Ă  1,5 km du village en direction d’Allemagne, en contrehaut de la RD 952, est construit après 1650, voire au XVIIIe siècle. Il est constituĂ© d’une arche en plein cintre. Ses arcs de tĂŞte sont doublĂ©s par des arcs en pierres taillĂ©es de façon plus fruste[58].

    Vie locale

    Un réseau associatif très complet œuvre sur la commune[68].

    Cultes

    Culte catholique dans l'Ă©glise Saint-Martin[69].

    Environnement

    682 taxons terminaux (espèces et infra-espèces) ont été recensés sur le territoire de la commune[70].

    Santé

    La commune dispose de[71] :

    • un KinĂ©sithĂ©rapeute,
    • un cabinet de soins infirmiers.
    • un docteur

    Transports en commun

    La ville de Saint-Martin-de-Brômes est desservie par la ligne de bus entre Riez et Manosque[72]. Une connexion est faite à Manosque avec la gare SNCF, et la gare routière. Il existe aussi un service d'autocars régionaux (autocars Sumian, à Gréoux-les-Bains) qui relie 3 fois par jour sauf le Dimanche et les jours fériés Riez à Marseille en passant par St-Martin de Brômes, Gréoux, Vinon et Aix-en-Provence. Une correspondance existe à Aix-en-Provencepour la gare d'Aix TGV et l'aéroport Marseille-Provence.

    Personnalités liées à la commune

    Enrico Campagnola, peintre et sculpteur

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. Â« Villes et villages de France Â», 1989, ReliĂ©, 72 p. (non-paginĂ©) (ISBN 2-7399-5004-7).
    2. Roger Brunet, « Durance-Luberon-Verdon Agglomération », Le Trésor des régions, consultée le 26 décembre 2022
    3. Zou ! Le réseau de transport de la Région Sud
    4. DLVA Transports intercommunaux
    5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
    6. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 11 juillet 2011, consultée le 15 août 2012.
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37.
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 88.
    9. DREAL, « Cartographie de l’onde de submersion des grands barrages », Région PACA, consulté le 9 août 2012.
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Plan particulier d'intervention des barrages de Castillon et Chaudanne, version du 4 juillet 2012, p. 14.
    11. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 29.
    12. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98.
    13. Document, base Dicrim, consultée le 15 août 2012.
    14. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 52
    15. Ernest Nègre, Toponymie gĂ©nĂ©rale de la France : Ă©tymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28474, p 1627
    16. Laurence Mombel, « Saint-Martin-de-Brômes : un patrimoine à découvrir », in verdon : ivern 2000-2001 no 4, p 36
    17. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
    18. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 33.
    19. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59.
    27. Claudine Durbiano, « L'oliveraie provençale, production de qualitĂ© et requalification territoriale Â», MĂ©diterranĂ©e, Tome 95, 3-4- 2000. « Dynamiques spatiales des cultures spĂ©ciales Â». p. 19.
    28. RĂ©paraz, op. cit., p. 58.
    29. Laurence Mombel, op. cit. p 37
    30. Laurence Mombel, op. cit., p 39-41
    31. Daniel Thiery, « Saint-Martin-de-Brômes », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012.
    32. Daniel Mouton, « Genèse des premières fortifications provençales », Laboratoire d’archéologie médiévale et moderne en Méditerranée, consulté le 11 novembre 2013.
    33. Yann Codou, « Le paysage religieux et l'habitat rural en Provence de l'antiquité tardive au XIIe siècle », Archéologie du monde médiéval, tome 21, 2003, p. 53.
    34. Laurence Mombel, op. cit., p. 44.
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    58. . Il a été reconstruit après une crue du Colostre en 1867. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 112
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    63. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 488
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    65. Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p 58
    66. Laurence Mombel, op. cit., p 38
    67. Monument aux morts Conflits commémorés 1914-18 et 1939-45
    68. Annuaire des associations
    69. L’église Saint-Martin
    70. Liste des espèces recensées) : Inventaire national du patrimoine naturel des communes
    71. Santé | Mairie de Saint Martin de Brômes (saint-martin-de-bromes.fr)
    72. horaires de bus Riez-Manosque
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