Saint-Florentin (Yonne)
Saint-Florentin est une commune française située dans le département de l'Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Saint-Florentin | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Yonne | ||||
Arrondissement | Auxerre | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Serein et Armance (siège) |
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Maire Mandat |
Yves Delot 2020-2026 |
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Code postal | 89600 | ||||
Code commune | 89345 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
4 211 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 147 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 00′ 09″ nord, 3° 43′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 89 m Max. 192 m |
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Superficie | 28,6 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Florentin (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Saint-Florentin (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Florentin (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | saint-florentin.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Florentinois.
Géographie
Hydrographie
La commune est baignée par l'Armance et l'Armançon et par le canal de Bourgogne sur lequel est établi un des cinq ports de plaisance du département de l'Yonne.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la N77 à mi-chemin entre Auxerre et Troyes et la gare de Saint-Florentin - Vergigny sur la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles. Des TER toutes les heures avec le cadencement.
Communes limitrophes
Champlost, Avrolles | Venizy, Turny | Neuvy-Sautour | ||
Brienon-sur-Armançon | N | Beugnon Germigny | ||
O Saint-Florentin E | ||||
S | ||||
Mont-Saint-Sulpice | Vergigny | Chéu |
Urbanisme
Typologie
Saint-Florentin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Florentin, une unité urbaine monocommunale[5] de 4 362 habitants en 2017, constituant une ville isolée[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Florentin, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,7 %), prairies (21,3 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), forêts (7,1 %), zones urbanisées (6,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,4 %), eaux continentales[Note 3] (0,6 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
Le bourg aurait pris le nom de « Saint-Florentin » lorsque Godelime, comtesse de Chartres et Lémisse, comtesse du Perche, les sœurs du comte de l'époque, rapportèrent en 833, au retour d'un pèlerinage, les reliques de saint Florentin, saint martyrisé par les Vandales du chef Crocus en 406.
L'ancienne commune d'Avrolles (à l'ouest) a fusionné avec Saint-Florentin en 1970.
Histoire
Sous l'Ancien Régime, Saint Florentin a le titre de Vicomté (puis de Comté), elle dépend de l'intendance de Paris ; elle est le siège d'une élection, d'un bailliage et d'une maréchaussée, et dispose d'un grenier à sel et de casernes[12].
Saint Florentin était un poste gallo-romain appelé Castrodunum. Au carrefour de voies romaines, Jules César aurait planté sa tente à La Trecey (dont le nom viendrait d'Atrium caesaris) et la ville d'Avrolles est bâtie au pied de l'ancien oppidum d'Eburobriga dont on voit encore l'un des remparts. Le temple de Flore (Templum florae), devenu ensuite Castrum florentinum, forma une bourgade qui prit d'abord le nom de Château-Florentin, sans doute après la construction d'une forteresse par Gondebaud, puis vers le XIIe siècle son nom actuel.
Ville-forteresse à la limite de plusieurs provinces, elle fut souvent convoitée, par les uns et les autres : Wisigoths, Francs, Burgondes en 511, Francs de Neustrie (notamment lors de la célèbre bataille du Champlandry entre les armées de Brunehilde et de Frédégonde en 587), Normands (siège de 886), Champenois qui l'annexèrent en 936 et l'érigèrent en comté, Anglais (pendant la guerre de Cent Ans en 1356), à nouveau les Bourguignons qui la détruisirent complètement en 1359 et l'annexèrent en 1420, Huguenots au cours des guerres de religion en 1562, et encore pendant la guerre de Trente Ans par un lieutenant du Saint-Empire Romain Germanique, etc., jusqu'au bombardement de 1944.
Moyen Âge
La ville de Saint-Florentin dispose d'un château situé en hauteur. Elle est détenue par le comte de Troyes[13]. Il fixe en la ville dès le début du XIe siècle le siège d'une châtellenie avec un prévôt chargé d'administrer ses domaines et de rendre la justice ; et un vicomte qui semble succéder à un très vieux lignage remontant aux Carolingiens. Les vassaux comtaux de la contrée doivent le service au château de la ville, tels le comte de Joigny (pour son comté) et le vicomte de Joigny. Au point de vue ecclésiastique c'est le siège d'une doyenné du diocèse de Sens
Depuis la seconde moitié du XIIe siècle, la ville est protégée au Nord et au Nord-Ouest par deux cadets de féodaux importants : un fils du sire de Trainel à Venisy, et un fils du comte de Bar-sur-Seine à Champlost. Au Nord-Est, le sire d'Ervy domine le bassin de l'Armance. Le vicomte pour sa part dispose de Villers-Vineux. La vicomté sera vendue à la Couronne au début du XIVe siècle. Le comte est présent encore plus au loin à Chablis, qu'il tient en pariage avec l'abbaye Saint-Martin de Tours.
Une agitation se produit localement quand Érard de Brienne-Ramerupt, sire de Venisy, tente de s'emparer de la couronne comtale de Champagne avec l'appui de sa parentèle.
La ville profite de la prospérité générale du comté à l'époque des foires de Champagne. Elle se situe à mi-chemin entre Troyes (ville majeure de foires) et Auxerre (ville majeure du commerce du vin en France).
La guerre de Cent Ans
Une fois le comté de Champagne intégré à la Couronne de France à la suite du mariage en de Jeanne de Champagne-Navarre avec Philippe le Bel, Saint-Florentin est à plusieurs reprises "engagé" auprès de favoris du moment, ou d'individus dont il faut s'assurer le concours. Des individus, tels les des Portes, parviennent à quitter la ville et à s'illustrer auprès des services centraux de l’État.
Au début du XVIe siècle, des Thierriat et des Chubrier quittent la ville pour aller s'établir à Auxerre et s'insérer dans le patriciat de cette cité. Pour autant, la ville dépend du bailliage de Troyes, suivant en cela son statut féodal, et se trouve être le siège d'une élection.
Temps modernes
La ville dispose d'un collège au XVIIIe siècle. Louis Pouillot, prêtre originaire de Brienon, curé de Bouilly, qui dirige ce collège comme principal ou régent, se réfugie clandestinement dans la forêt d'Othe pour sauver sa vie menacée par les républicains, et il meurt au presbytère de Vergigny le 21 brumaire an 2 () ; son frère Jean-Pierre Pouillot fut le curé de Vergigny[14]. Le collège est alors fermé.
Révolution française
Pendant la Révolution, Saint-Florentin fut un des lieux les plus dynamiques de la Théophilantropie, une religion qui succéda au « culte de la Raison et de l'Être suprême » entre 1798 et 1801. Pendant la Convention, les républicains anti-cléricaux débaptisèrent Saint-Florentin et l'appelèrent Mont-Armance (du 8 germinal an II - — jusqu'au 6 ventôse an III -).
Le comte de Saint-Florentin, ministre du roi Louis XV, avait procuré divers avantages à sa ville au début du XVIIIe siècle. Ils s'avèreront décisifs lors de la réorganisation de la carte administrative en 1790.
Et paradoxe, si elle fait partie du département de l'Yonne depuis 1790 et de la région Bourgogne au XXe siècle, ses armoiries portent les armes de Champagne et de Navarre depuis 1234 (les comtes de Champagne étant rois de Navarre de 1234 à 1328, et sous les rois Bourbons depuis 1589).
Elle fut chef-lieu du district de Saint-Florentin de 1790 à 1795. Cette désignation a gravement indisposé la ville de Brienon-l'Archevêque, qui se posait en rivale. Le gouvernement a maté cette opposition en faisant stationner longtemps des gendarmes à Brienon. au domicile des élus.
Pendant l'occupation autrichienne de 1814, un magasin militaire est créé. Il crée quelques difficultés en réquisitionnant des marchandises dans les arrondissements de Joigny et de Tonnerre. Un hôpital militaire qui y est installé reçoit 64 Autrichiens et 36 Würtembergeois.
L'empereur d'Autriche François 1er traverse la ville nuitamment, le 2 octobre 1815.
Restauration
Interrompu pendant la période révolutionnaire, les travaux de creusement du canal de Bourgogne s'achèvent tardivement sous la Restauration.
Seconde Guerre mondiale
La rencontre dite de Saint-Florentin, le entre le maréchal Pétain et le maréchal Goering, représentant du Reich, s'est déroulée dans le train spécial du Reichsmarschall, en gare de Saint-Florentin-Vergigny, sur la commune voisine de Vergigny.
Passages de célébrités
Jeanne d'Arc y a probablement fait halte en 1429 en se dirigeant vers Reims pour le sacre de Charles VII ; l'écrivain Stendhal (Henri Beyle) y a dîné le ; le maréchal Pétain y a rencontré le maréchal Goering le , à la gare. Le 19 février 1939, Joséphine Baker a donné une représentation au cinéma lors d'un gala de bienfaisance organisé au profit des réfugiés espagnols ayant fui le franquisme[15].
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
L'installation de stockage des déchets située dans la ville valorise le biogaz produit en le purifiant pour obtenir du biométhane injecté sur le réseau de gaz naturel depuis 2017[17].
Jumelages
Zeltingen-Rachtig (Allemagne) depuis 1966
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].
En 2020, la commune comptait 4 211 habitants[Note 4], en diminution de 8,73 % par rapport à 2014 (Yonne : −2,24 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Remarque : Depuis le 1.1.1971, la commune de Saint-Florentin inclut l'ancienne commune d'Avrolles.
Sports
La ville de Saint Florentin possède des équipements sportifs de hautes qualités, avec une piste d'athlétisme en tartan de 400 mètres avec 6 couloirs, permettant l'accueil de manifestations sportives nationales comme les Pointes d'or (championnat de France benjamin et minime). Par ailleurs, un nouveau dojo a vu le jour en 2010, ce nouvel outil va permettre aux adeptes de sports de combat d'assouvir leur passion dans un écrin exceptionnel qui allie environnement et sport de compétition. Enfin, Saint Florentin possède une piscine tournesol de 4 couloirs sur 25 mètres, un stade municipal accueillant football, pétanque et rugby, et un gymnase profitant essentiellement aux scolaires et associations telles que le tennis ou le futsal.
Économie
L'usine Aluminium France extrusion (autrefois dénommée Alusuisse) est un employeur majeur de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Florentin possède un des rares jubés de France, de très beaux vitraux de l'école de Champagne datant du XVIe siècle[22] ainsi que de remarquables statues des XVIe et XVIIe siècles. Elle est classée monument historique depuis la première liste de 1840.
- L'église Saint-André d'Avrolles, du XIIe siècle et remaniée au XVIe[23].
- La fontaine aux dragons a été réédifiée en 1979 sur le modèle de celle démolie en 1859. D'inspiration gothique et Renaissance, elle est remarquable par la finesse de ses sculptures et la beauté de ses statues dont Saint-Florentin, Sainte Barbe, Saint Martin et Sainte Béate, des saints vénérés dans la région florentinoise.
- Le canton possède un musée : le Musée en Florentinois. C'est le dernier musée cantonal de l'Yonne, qui présente une collection encyclopédique très variée allant de la préhistoire à aujourd'hui. Citons par exemple la copie en plâtre de la Vénus de Milo offerte par le Louvre au musée vers 1870, copie à visée pédagogique.
- Le pont-canal de Saint-Florentin permettant au canal de Bourgogne d'enjamber l'Armance. Cet aqueduc en pierre à cinq arches, construit en 1810, est situé tout près du port de plaisance de Saint-Florentin au niveau de l’écluse 108.
Une vieille tour dans Saint-Florentin
Personnalités liées à la commune
- Guillaume d'Avaugour
- Louis Phélypeaux (1705-1777)
- Jacob-Nicolas Moreau (1717-1803), historien
- Pierre-Edme-Nicolas Jeannest-la-Noue (1748-1816)
- Jérôme Gallimard de Vaucharmes (1758-1847), lieutenant-colonel du 2nd bataillon des volontaires de l'Yonne
- Alfred Victor Espinas (1844-1922, né à Saint-Florentin)
- Jean Boussard (1844-1923), architecte, né à Cry
- Ernest Damé (1845-1920), sculpteur né à Saint-Florentin
- Camille Hermelin (1850-1918), inconnu au bataillon
- Joseph Chailley (1854-1928), homme politique, né à Saint-Florentin
- Joséphine Baker (1906-1975), chanteuse, danseuse, actrice, résistante, militante des droits humains ayant séjourné dans la commune durant ses vacances entre 1937 et 1941
- Sébastien Maillard (1981-...), sportif (athlétisme)
- Jacob-Nicolas Moreau
- Camille Hermelin
- Publicité dans La revue hebdomadaire, 12 nov. 1898, p. 3
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Site de l'office de tourisme
- Saint-Florentin sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Arrêté préfectoral du 27 avril 1970, J.O. du 11 juin, effet en 1971 (Code Officiel Géographique).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Florentin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Florentin », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Doisy, Le Royaume de France (1753), p. 913
- Camille Hermelin. Histoire de Saint-Florentin. BSSY. (quel tome ?)
- "Un siècle de l'histoire d'une commune rurale : Vergigny", p. 24, par Georges Lizerand, chez Delalain, 1949
- Centre France, « Histoire - La brève liaison de Joséphine Baker avec Saint-Florentin », sur www.lyonne.fr, (consulté le )
- Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 1er janvier 2014.
- Antonin Gouze, « Waga-Energy transforme nos déchets en gaz de ville », sur lexpress.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- .
- https://www.journees-du-patrimoine.com/SITE/eglise-saint-andre--saint-florenti-235938.htm