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Saint-Aignan-Grandlieu

Saint-Aignan-Grandlieu (ou Saint-Aignan-de-Grand-Lieu, ou Saint-Aignan-de-Grandlieu) est une commune ou un village de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire qui compte 3879 habitants (en 2015) et dont les habitants s'appellent les Aignanais.

Saint-Aignan-Grandlieu
Saint-Aignan-Grandlieu
L'église de Saint-Aignan-Grandlieu.
Blason de Saint-Aignan-Grandlieu
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Nantes Métropole
Maire
Mandat
Jean-Claude Lemasson
2020-2026
Code postal 44860
Code commune 44150
Démographie
Gentilé Aignanais
Population
municipale
3 973 hab. (2020 en augmentation de 3,11 % par rapport à 2014)
Densité 221 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 28″ nord, 1° 37′ 46″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 29 m
Superficie 17,94 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nantes
(banlieue)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rezé-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Aignan-Grandlieu
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Saint-Aignan-Grandlieu
Liens
Site web saint-aignan-grandlieu.fr

    Géographie

    Situation de la commune de Saint-Aignan-Grandlieu dans le département de la Loire-Atlantique.

    Situation

    Le village fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du Pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais.

    Le village de Saint-Aignan-Grandlieu est située en bordure nord du Lac de Grand-Lieu, à environ 10 km au sud de Nantes (mairie).

    Les communes limitrophes sont (en sens inverse des aiguilles d'une montre) Bouguenais au nord, Bouaye, Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, La Chevrolière et Pont-Saint-Martin.

    Transports

    La commune est desservie par 1 lignes de bus (98) du réseau TAN[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 802 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[10], à 12,5 °C pour 1981-2010[11], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Aignan-Grandlieu est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [13] - [14] - [15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nantes, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[16] et 645 324 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nantes est la huitième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux et Nice[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19] - [20].

    La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Grand-Lieu, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (30,8 %), prairies (20,8 %), forêts (14,5 %), zones urbanisées (13,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,4 %), terres arables (5 %), cultures permanentes (2,3 %), eaux continentales[Note 6] (2,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctus Anianus en 1187[26].

    Le nom de Saint-Aignan-Grandlieu vient de Saint Aignan d’Orléans, évêque d’Orléans, et du lac de Grand-Lieu voisin de la ville. En gallo la commune se nomme Saent-Aenyan-Graund-Loe et a été traduit Sant-Enion-al-Lenn-Veur en breton. L'appellation officielle de la commune est Saint-Aignan-Grandlieu (code officiel géographique de l'Insee), mais elle est souvent appelée Saint-Aignan de Grand Lieu[27].

    Une presqu'île située sur la commune de Saint-Aignan, correspondant au bois de Saint-Aignan, portait aussi le nom attesté antérieurement de presqu'île du Dun (dunum = forteresse). Un auteur du XVIIIe siècle y signale la présence de vestiges d'un fort important[28].

    Histoire

    En 936, Saint-Aignan est le théâtre d’une bataille entre Alain II de Bretagne et les Normands.

    Une chapellenie des Trois-Maries a existé à Saint-Aignan au Moyen Âge, son nom fait référence au culte des Trois Maries[29] qui était alors couramment pratiqué et provenant de la Légende dorée.

    Le le ballon monté Franklin, s'envole de la gare d'Orléans à Paris alors assiégé par les prussiens et termine sa course à Saint-Aignan, après avoir parcouru 403 kilomètres[30].

    Politique et administration

    La nouvelle mairie de Saint-Aignan-Grandlieu a ouvert le , place Millénia.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 mars 1971 Marcel Leroux
    (1903-1975)
    Avocat au barreau de Nantes, ancien bâtonnier
    mars 1971 1975 Jean Bertin
    1975 mars 1977 Alain Chéneau
    mars 1977 mars 1989 Paul Pouvreau[31] DVD Secrétaire administratif à l'arsenal d'Indret, adjoint au maire (1975-1977)
    mars 1989 août 2004 Claude Gobin UDF Sous-préfet hors classe
    Conseiller général de la Loire-Atlantique (canton de Bouaye) (1994-2004)
    Président du SIVOM de la Région de Bouaye (1995-2001)
    Vice-président de la Communauté urbaine Nantes Métropole (1990-2004)
    Président de l'OPAC de Loire-Atlantique (2001-2004)
    Démissionnaire
    septembre 2004 mars 2008 Jean-Pierre Guilbaud DVD Ancien commercial de l'audiovisuel
    mars 2008 En cours Jean-Claude Lemasson[Note 7] DVG Chef d'entreprise
    10e vice-président de Nantes Métropole
    Vice-président de Sud Loire Avenir

    Jumelages

    La ville est jumelée avec la commune allemande de Thüngersheim[32]. Une convention d'échanges culturels et artistiques a été signée par Claude Gobin, alors maire de la commune et Albert Dausaker, maire de Thüngersheim en 1995 à Thüngersheim et 1996 à Saint-Aignan de Grand Lieu.

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Saint-Aignan-Grandlieu fait partie de l'aire urbaine, de l'unité urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Nantes[33]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « intermédiaire » : 74 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires », 25 % dans des zones « peu denses » et 1 % dans des zones « très peu denses »[34].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

    En 2020, la commune comptait 3 973 habitants[Note 8], en augmentation de 3,11 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1678169461 1721 2881 2241 2491 2051 204
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1091 1091 2101 2551 2801 2961 3681 3341 333
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2831 3651 2741 1291 1101 0511 0721 1461 345
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 3721 3571 7172 4893 0333 4783 4813 4803 590
    2017 2020 - - - - - - -
    3 9443 973-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,3 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 968 hommes pour 1 992 femmes, soit un taux de 50,3 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    0,3
    3,5
    75-89 ans
    5,4
    18,2
    60-74 ans
    16,9
    23,2
    45-59 ans
    25,2
    18,8
    30-44 ans
    19,2
    15,0
    15-29 ans
    13,9
    21,1
    0-14 ans
    19,0
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Nantes. Elle possède deux écoles maternelles et élémentaires : l'école publique Jules d'Herbauges et l'école privée Saint-Pierre.

    La maison de l'enfance abrite aussi une crèche multi-accueil.

    Logo de la Mairie de Saint-Aignan-Grandlieu

    Économie

    Industrie

    La commune accueille sur son territoire la zone industrielle aéroportuaire D2A. On y trouve entre autres le siège social ainsi qu'un site de production de la marque de produits secs Tipiak.

    Une partie de l'aéroport de Nantes-Atlantique occupe le nord de la commune, notamment les pistes, la zone de fret, la tour de contrôle et Météo-France.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église de Saint-Aignan-Grandlieu décorée pour Noël 2012.

    Parmi les monuments importants de la commune :

    • àn retrouve son église. D'extérieur modeste, elle est richement décorée à l'intérieur d'un style baroque entièrement rénové en 2001 :
      • une cloche de 1776 est conservée à l'intérieur de l'édifice,
      • un orgue Londe de style baroque allemand de 16 jeux[41] ;
    • le second monument est la fontaine Saint Rachoux. L'eau de cette fontaine aurait la propriété de guérir une maladie des nourrissons intitulée la « rache », plus connue sous le nom de la teigne ;
    • le site d'observation « Pierre aïgue », situé au sud de la commune, permettant d'observer le lac de Grand-Lieu, ainsi que sa faune et sa flore.

    Légende

    Dans la région autour du lac de Grand-Lieu, la légende de la cité d'Herbauges veut qu'au soir de Noël le son des cloches d'un village disparu se fasse entendre.

    Vue sur le lac de Grand-Lieu du site des Pierres Aigues.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules à la bande d'argent accompagnée de trois trèfles du même, deux en chef et un en pointe.
    Commentaires : Blason d'un puîné Goheau (XVIe siècle). Blason enregistré le .

    Événements

    Du 25 au , la commune accueillit le congrès 2012 de l'espéranto en France.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Michel Kervarec, Chemins d'historiens, mélanges pour Robert Durand, Rennes, Apogée, , 64 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Réélu en 2014 et 2020.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Carte interactive du réseau TAN
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Nantes-Bouguenais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Aignan-Grandlieu et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Nantes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    27. Mairie de St Aignan de Grand Lieu, « Accueil », Mairie de St Aignan de Grand Lieu : Site Internet,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    28. Kervarec 1999.
    29. Claudia Rabel, Des histoires de famille : la dévotion aux trois Maries en France du XIVe au XVe siècle : textes et images, Revista de historia da arte, 7, 2009, p. 121-136, consultable http://blog.pecia.fr/
    30. Ballon no 40 : « Le Franklin »
    31. « L'ancien maire de la commune Paul Pouvreau est décédé », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
    32. « http://www.cncd.fr/frontoffice/bdd-cooperation.asp?partenaire_id=15998 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
    33. « Commune de Saint-Aignan-Grandlieu (44150) », Insee (consulté le ).
    34. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Aignan-Grandlieu (44150) », (consulté le ).
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    41. ÉGLISE SAINT AIGNAN DE GRAND LIEU - orgue
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