Sabres (Landes)
Sabres est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).
Sabres | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Landes | ||||
Arrondissement | Mont-de-Marsan | ||||
IntercommunalitĂ© | CommunautĂ© de communes CĆur Haute Lande (siĂšge) |
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Maire Mandat |
GĂ©rard Moreau 2020-2026 |
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Code postal | 40630 | ||||
Code commune | 40246 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Sabrais, sabraise, sabraises | ||||
Population municipale |
1 163 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 7,3 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 08âČ 56âł nord, 0° 44âČ 19âł ouest | ||||
Altitude | Min. 58 m Max. 107 m |
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Superficie | 160,13 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Haute Lande Armagnac | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
Sabres se situe en Haute Landes et faisant partie du parc naturel régional des Landes de Gascogne, dans le bassin de la Leyre.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Arengosse, Commensacq, Labrit, Luglon, Luxey, Morcenx, Solférino, Trensacq, Vert et Morcenx-la-Nouvelle.
Hydrographie
La Grande Leyre naßt dans le marais de Platiet au sud-ouest de Sabres. Le bourg est traversé par le ruisseau de l'Escamat, un affluent de la Leyre.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et en service de 1971 Ă 2017 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[8]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,6 | 1,6 | 3,3 | 5,4 | 9,2 | 12,2 | 13,9 | 13,8 | 10,8 | 8,6 | 4,6 | 2,3 | 7,3 |
Température moyenne (°C) | 6 | 7 | 9,7 | 11,8 | 15,6 | 18,7 | 20,8 | 20,8 | 17,9 | 14,3 | 9,3 | 6,5 | 13,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,4 | 12,4 | 16,1 | 18,2 | 22,1 | 25,3 | 27,6 | 27,7 | 25 | 20 | 13,9 | 10,6 | 19,1 |
Record de froid (°C) date du record |
â20 08.01.1985 |
â14 11.02.12 |
â11,8 06.03.1971 |
â6 04.04.1996 |
â2 10.05.1982 |
2 12.06.1994 |
3 11.07.1972 |
2,8 20.08.1972 |
â1 20.09.1977 |
â4,5 16.10.09 |
â11 22.11.1998 |
â13 17.12.01 |
â20 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21 23.01.1971 |
26 23.02.1990 |
29,6 25.03.1981 |
33,5 30.04.05 |
36 26.05.17 |
40,5 21.06.03 |
41,5 19.07.16 |
41 17.08.12 |
37 07.09.16 |
33 02.10.1985 |
28,5 08.11.15 |
23 16.12.1989 |
41,5 2016 |
Précipitations (mm) | 102,7 | 88,5 | 79 | 96,6 | 81,3 | 69,9 | 62,4 | 74,6 | 81,7 | 111,1 | 123,8 | 110,6 | 1 082,2 |
Urbanisme
Typologie
Sabres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [9] - [10] - [11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (82,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (85,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (59,4 %), forĂȘts (23 %), terres arables (11,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,9 %), zones urbanisĂ©es (0,8 %)[14].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sabres est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[15]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[16].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de l'Escamat et la Grande Leyre. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999, 2000, 2009 et 2020[17] - [15].
Sabres est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[18] - [19].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[20].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 16,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 656 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 158 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 24 %, Ă comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].
Politique et administration
Jumelages
El Arenal (Ăvila) (Espagne) depuis 1998[22].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[24]. En 2020, la commune comptait 1 163 habitants[Note 5], en diminution de 3,88 % par rapport Ă 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Lieux et monuments
- L'écomusée de la Grande Lande à MarquÚze. On y accÚde par un train touristique.Locotrateur D-4028 en gare de Sabres, restauré pour la desserte de l'écomusée.
- L'église paroissiale Saint-Michel, érigée par les bénédictins au XIe siÚcle possÚde un clocher-mur triangulaire avec trois niches abritant les cloches, un portail Renaissance à cinq voussures et statues, des voûtes ogivales à clefs pendantes. L'église est classée Monument historique (à l'exception des parties rénovées)[27] - [28].
- La pierre levĂ©e ou pierre de Grimann, est une pierre rectangulaire d'environ 1 m2 situĂ©e dans la forĂȘt au sud de Sabres. Sa forme trĂšs rĂ©guliĂšre Ă©carte la possibilitĂ© qu'il s'agisse d'un mĂ©galithe. La tradition populaire lui attribue des pouvoirs magiques, notamment pour les jeunes enfants qui tardent Ă marcher. Les mĂšres leur font faire le tour de la pierre, puis dĂ©posent une chaussette ou une chaussure en remerciement[29].44° 06âČ 54âł N, 0° 48âČ 18âł O
- Une statue de Minerve a été trouvée à Piaou-Roumiou[30].
Personnalités liées à la commune
- Bernard Manciet (1923 - 2005) poÚte né à Sabres et un des plus importants auteurs occitans du XXe siÚcle.
Enseignement
Sabres possÚde une école maternelle et élémentaire ainsi qu'un lycée professionnel agricole et forestier, le LPAF Roger-Duroure.
FĂȘtes de la Saint-Leu
Le dernier weekend du mois d'aoĂ»t, le village vit au son des bodegas, des bandas, et s'amuse au rythme de ses fĂȘtes taurines.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Communauté de communes de la Haute Lande
- Parc naturel régional des Landes de Gascogne
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 40246001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Sabres », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Annuaire des communes jumelées
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « L'église Saint-Michel », notice no PA00084003, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « L'église Saint-Michel (notice) », notice no IA40001386, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Le paganisme contemporain chez les peuples celto-latins par Paul Sébillot, 1908 ; chapitre III, L'enfance : 23. La marche, les dents et la parole. ».
- « DĂ©couvertes de monnaies antiques dans la Grande Lande, Laurent Callegarin, in J.-Cl. Merlet et J.-P. Bost (dir.), De la lagune Ă lâairial. Le peuplement de la Grande-Lande. Actes du Colloque de Sabres des 8 et 9 novembre 2008, suppl. Aquitania, 24 ».