AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Labrit

Labrit (prononcer [labʁit] ; Labrit, en occitan[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement des Landes (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).

Labrit
Labrit
La mairie.
Blason de Labrit
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes CƓur Haute Lande
Maire
Mandat
Dominique CoutiĂšre
2020-2026
Code postal 40420
Code commune 40135
DĂ©mographie
Gentilé Labritois, Labritoises
Population
municipale
863 hab. (2020 en diminution de 1,26 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 12 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 06â€Č 20″ nord, 0° 32â€Č 36″ ouest
Altitude Min. 70 m
Max. 113 m
Superficie 72,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Haute Lande Armagnac
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Labrit
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Labrit
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
Voir sur la carte topographique des Landes
Labrit
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Labrit

    GĂ©ographie

    C'est dans cette commune de la Haute Lande que le dernier loup des Landes a été tué en juin 1968.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont BĂ©lis, Brocas, Cachen, Luxey, Sabres, Le Sen et Vert.

    Communes limitrophes de Labrit[2]
    Luxey Le Sen
    Sabres Labrit Cachen
    Vert Brocas BĂ©lis

    Hydrographie

    L'Estrigon, affluent droit de la Midouze, traverse la commune, ainsi que son tributaire, le Bernin, qui conflue sur la commune.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 038 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sabres Lepa », sur la commune de Sabres, mise en service en 1971[9] et qui se trouve Ă  16 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 082,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  24 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Labrit est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (78,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (81 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (62,5 %), forĂȘts (16,1 %), terres arables (15 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,2 %), zones urbanisĂ©es (1,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Labrit est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Labrit est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Labrit.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 24,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 447 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 14 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 3 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999, 2009 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999

    Toponymie

    Labrit est l'une des formes primitives, citĂ©e en 1316 pour la rĂ©forme de Mixe et dans la chanson basque du couronnement de Jean d'Albret Ă  Pampelune en 1494 : Labrit eta errege / Aita seme dirade..., « Labrit et le roi sont pĂšre et fils ». Cette derniĂšre attestation plaide en faveur d'une origine patronymique, par exemple le nom germanique Liudbret, des familles choisissaient des noms de baptĂȘme inspirĂ©s des Francs. Il est trĂšs probable que la seule difficultĂ© de prononcer le nom a fait trĂšs tĂŽt de Liudbert, « Labrit » comme celle a fait de « Chlodoweg », Clovis.

    Lebret, Le Bret, A Le Bret, Albret (mĂ©tathĂšses) sont d'autant de formes orales non Ă©tymologiques qui doivent seulement signaler que le vieux nom de baptĂȘme Liudbert Ă©tait dĂ©jĂ  tombĂ© en dĂ©suĂ©tude depuis longtemps et n'Ă©tait plus compris de la population qui l'a altĂ©rĂ© sous l'influence du gascon bret, « bĂšgue » ou Bret, « breton ». Il peut s'agir d'un nom de personne d'origine germanique dĂ©rivĂ© d'Adalberht, devenu Albrecht en allemand (alĂ©manique ou alsacien) et puis Albert, Aubert et Adalbert en français ainsi que la forme occitane Albertet.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    ÉcartelĂ© : aux 1er et 4e d’azur Ă  trois fleurs de lis d’or, au 2e et 3e de gueules plain[28].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 1992 Pierre Laulom UDR puis RPR Médecin, conseiller général du canton de Labrit (1967-1992)
    1992 En cours Dominique CoutiĂšre PS Chef d'entreprise
    Conseiller général du canton de Labrit (1998-2015)
    conseiller départemental[29],
    vice-président du conseil départemental,
    président de la communauté de communes

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 863 habitants[Note 7], en diminution de 1,26 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6865845897079381 0189619851 005
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0281 0361 1431 0791 2061 1061 1361 1121 159
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1671 2681 2431 1031 0661 031916902898
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    815757682699666715825841861
    2017 2020 - - - - - - -
    864863-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Vie locale et associations

    Lieux et monuments

    • ChĂąteau de Labrit, vestiges d'un chĂąteau de terre et de bois construit entre 1225 et 1230, constituant le berceau des seigneurs d'Albret, noble famille gasconne qui, Ă  partir de lĂ , Ă©tendra son influence au cours des siĂšcles, jusqu'Ă  l'accession d'Henri IV au trĂŽne de France. Ce rare vestige du Moyen Âge est classĂ© monument historique depuis 1990[35].
    • Monument aux morts. L'un des dĂ©tails les plus marquants du monument aux morts commandĂ© par la ville de Labrit entre 1918 et 1920 est la « Landaise au capulet », dont le visage est celui de l'Ă©pouse du sculpteur, Robert WlĂ©rick. Il est inscrit monument historique depuis 2014[36].
    • Église paroissiale Saint-MĂ©dard, de style nĂ©o-gothique[37].
    • Vestiges du chĂąteau de Labrit.
      Vestiges du chĂąteau de Labrit.
    • La Landaise au capulet.
      La Landaise au capulet.
    • L'Ă©glise paroissiale.
      L'Ă©glise paroissiale.
    • Le Cercle, cafĂ© associatif membre du Cercle de Gascogne.
      Le Cercle, café associatif membre du Cercle de Gascogne.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Diccionari toponimic occitan de las Lanas e deu Baish Ador », sur locongres.org (consulté le ).
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Sabres Lepa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Labrit et Sabres », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Sabres Lepa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Labrit et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Labrit », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. Armorial de France
    29. Ă©lu dans le canton de Haute Lande Armagnac
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « En images, l'inauguration du 38e collÚge des Landes à Labrit », sur sudouest.fr (consulté le ).
    35. « Chùteau de Labrit », notice no PA00083961, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    36. « Monument aux morts », notice no PA40000085, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    37. « Église Saint-MĂ©dard », notice no IA40001482, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.