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BĂ©lis

Bélis (Belís, en occitan[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

BĂ©lis
BĂ©lis
Le village pendant les fĂȘtes.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes CƓur Haute Lande
Maire
Mandat
Michel Poulain
2020-2026
Code postal 40120
Code commune 40033
DĂ©mographie
Gentilé Bélisiens
Population
municipale
159 hab. (2020 en diminution de 2,45 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 7,8 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 03â€Č 52″ nord, 0° 27â€Č 36″ ouest
Altitude Min. 62 m
Max. 111 m
Superficie 20,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Haute Lande Armagnac
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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BĂ©lis
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BĂ©lis
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BĂ©lis
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BĂ©lis

    Les habitants de Bélis sont appelés Bélisiens/Bélisiennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    À 1 h de la cĂŽte atlantique et 2 h de la chaĂźne pyrĂ©nĂ©enne, la commune de BĂ©lis est situĂ©e au cƓur de la forĂȘt de pins maritimes des Landes, au sein du parc naturel rĂ©gional des Landes de Gascogne.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Arue, Brocas, Cachen, Labrit et MaillĂšres.

    Communes limitrophes de BĂ©lis[2]
    Labrit Cachen
    Brocas BĂ©lis
    MaillĂšres Arue

    Hameaux et lieux-dits

    D'une superficie de 20 km2, la commune est composĂ©e de plusieurs quartiers, chacun comportant de nombreuses maisons landaises traditionnelles sur leur airial.

    Hydrographie

    Le bourg de Bélis est traversé par le ruisseau le Lamole ; la commune est bordée à l'est par la Gouaneyre (aqua negre, « eau noire »), affluent droit de la Douze.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 006 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Roquefort », sur la commune de Roquefort, mise en service en 1988[9] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 921,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  20 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Bélis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (76,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (87,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (46,5 %), forĂȘts (30,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,9 %), terres arables (3,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de BĂ©lis est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    BĂ©lis est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bélis.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 67,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 92 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 78 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 85 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999

    Toponymie

    Le nom est sans doute formé sur le nom d'homme latin Belicius (« domaine de Belicius »).

    Selon l'abbĂ© RaphaĂ«l LamaignĂšre[28], la localitĂ© aurait honorĂ© le dieu Bel, d'oĂč le nom BĂ©lis.

    Histoire

    Des vestiges gallo-romains ont été retrouvés sur la commune : sarcophages, poteries et colliers en bronze, et témoignent d'une activité humaine à cette époque.

    La paroisse de BĂ©lis est mentionnĂ©e au XIIe siĂšcle par l'Ă©vĂȘchĂ© d'Aire, Ă  laquelle elle appartient aprĂšs les guerres de Religion.

    Sur le territoire de la Gascogne (IXe au XIIe siÚcle), puis de la Guyenne sous domination anglaise (XIIe au XVe siÚcle), la commune faisait partie du Pays d'Albret, duché au XVIe siÚcle sous Henri II.

    1923

    L'affaire Petit-Louis ou le double assassinat de BĂ©lis[29].

    Meurtre d'un couple de métayers de Bélis, les époux Vital, un matin de janvier 1923. Bernard-Louis Bordes, dit Petit-Louis, un habitant du village, sera rapidement soupçonné de par sa mauvaise réputation déjà établie.

    Il sera confondu par le témoignage de la jeune domestique et une bougie consumée, malgré l'alibi qu'il avait essayé de se forger en dormant cette nuit là dans plusieurs villages alentour.

    Il avouera finalement les faits et sera condamné en avril 1923 à la guillotine par le tribunal de Mont-de-Marsan.

    TempĂȘte Klaus

    Le 24 janvier 2009, la commune a Ă©tĂ© durement touchĂ©e par la tempĂȘte Klaus, qui a dĂ©truit 100 % des forĂȘts communales[30], principale source de revenus de la municipalitĂ© (sylviculture).

    • ForĂȘt aprĂšs la tempĂȘte.
      ForĂȘt aprĂšs la tempĂȘte.
    • Panneau BĂ©lis aprĂšs la tempĂȘte.
      Panneau BĂ©lis aprĂšs la tempĂȘte.
    • Impact de la tempĂȘte - CCPA.
      Impact de la tempĂȘte - CCPA[30].
    • Poteau Ă©lectrique brisĂ©.
      Poteau électrique brisé.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    M. Meyrous
    1977 mars 2008 Jacques Descacq Huissier de justice retraité
    mars 2008 En cours Michel Poulain PS Retraité éducation spécialisée
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32]. En 2020, la commune comptait 159 habitants[Note 7], en diminution de 2,45 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    585418523545504472491498530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    547557550540555535536519491
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    478484483416385381316285287
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    272227170150128137139139162
    2017 2020 - - - - - - -
    165159-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • La forĂȘt d'art contemporain, 22e Ɠuvre : sculptures monumentales de Stefan Rinck. RĂ©sidence d'artiste du au .
    • Église Notre-Dame de BĂ©lis datant du XIVe siĂšcle, au centre du bourg. Église Ă  double nef, portail roman du XIVe siĂšcle, retable en bois dorĂ©. Tableau « Sainte-Marie-Madeleine » (XVIIIe). Vantaux en chĂȘne sculptĂ© classĂ©s au titre des Monuments Historiques (depuis 1977).
    • Le Jardin PartagĂ© de BĂ©lis et le Jardin de l'AbbĂ©-TauziĂšde : Ă  l'ombre des vieux murs de l'Ă©glise, au cƓur de l'espace du jardin communal de l'AbbĂ©-TauziĂšde, un jardin partagĂ© a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en fĂ©vrier 2013 par une association locale. Il est inscrit au rĂ©seau des Jardins de Noe.
    • École communale du dĂ©but du XXe siĂšcle, Elle accueille la classe de CM2 du R.P.I. Labrit.
    • Coin repos dans le jardin.
      Coin repos dans le jardin.
    • Les plantations en juillet 2013.
      Les plantations en juillet 2013.
    • Fleurs le long du mur de l'Ă©glise.
      Fleurs le long du mur de l'Ă©glise.
    • Fleurs traditionnelles et Ă©pouvantails.
      Fleurs traditionnelles et Ă©pouvantails.
    • Vue de l'Ă©glise.
      Vue de l'Ă©glise.
    • Vantaux de l'Ă©glise, classĂ©s aux Monuments historiques.
      Vantaux de l'église, classés aux Monuments historiques.
    • Programme des fĂȘtes patronales 2009.
      Programme des fĂȘtes patronales 2009.

    Personnalités liées à la commune

    • AbbĂ© Maurice TauziĂšde, rĂ©sistant dĂ©portĂ© Ă  Dachau en 1944, libĂ©rĂ© puis rapatriĂ© en 1945. Il fut le curĂ© de la paroisse de BĂ©lis et MaillĂšres de 1946 Ă  son dĂ©cĂšs en 1990. NommĂ© chevalier de la LĂ©gion d'honneur en 1966 par le ministre Edmond Michelet, il Ă©tait l'un des membres fondateurs de l'Association des dĂ©portĂ©s internĂ©s et des familles de disparus[35]. Un espace communal a Ă©tĂ© crĂ©Ă© prĂšs de l'Ă©glise et porte son nom depuis aoĂ»t 2012.
    • Bernard-Louis Bordes, dit Petit-Louis[29].

    Culture

    • FĂȘtes patronales : le week-end du 15 aoĂ»t, organisĂ©es par le comitĂ© des fĂȘtes de la commune, avec vide-grenier, jeu de quilles, concours de pĂ©tanque, animation musicale, etc.

    Écologie et recyclage

    Le Jardin PartagĂ© de BĂ©lis et le Jardin de l'AbbĂ©-TauziĂšde : À l'ombre des vieux murs de l'Ă©glise, au cƓur de l'espace du Jardin communal de l'AbbĂ© TauziĂšde, un jardin partagĂ© a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en fĂ©vrier 2013 par une Association Locale, BĂ©listou'art (lire « Bellehistoire ») . Sur le thĂšme symbolique du jardin de curĂ©, il est un lieu de partage, d'Ă©changes et de convivialitĂ©. Il est surtout un lieu oĂč se cultive la biodiversitĂ©. Inscrit au rĂ©seau des Jardins de Noe, ce jardin ambassadeur respecte la charte des Jardins respectueux du vivant.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • x

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. https://locongres.org/fr/ressources/telechargements/func-startdown/12/lang,fr-fr/
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Roquefort - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Bélis et Roquefort », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Roquefort - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Bélis et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Bélis », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. Origine des noms de lieux dans les Landes, Abbé Raphaël LamaignÚre, curé de Saint Aubin, avril 1942.
    29. Sylvain Larue, Petit Louis ou le double assassinat de BĂ©lis, dans Les Grandes Affaires Criminelles de Gascogne, Éditions De BorĂ©e. Romagnat, France, septembre 2006. (ISBN 2-84494-443-4). p. 126-138.
    30. @.com.@albret, bulletin d'information de la Communauté de Communes du Pays d'Albret, no 8, juillet 2009. Labrit, France. D. CoutiÚre. DépÎt légal en cours.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Blog de Jean-Marie Tinarrage - Un jardin de mémoire pour l'Abbé Tauziede. août 2012.
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