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Resident Evil

Resident Evil, connue au Japon sous le nom Biohazard (ăƒă‚€ă‚Șăƒă‚¶ăƒŒăƒ‰, Baiohazādo), est une sĂ©rie de jeux vidĂ©o d'aventure, action et rĂ©flexion de type survival horror. La franchise appartient Ă  la sociĂ©tĂ© japonaise Capcom.

Elle fait ses débuts sur PlayStation en 1996[1]. Grùce à son succÚs, de nombreuses suites sont réalisées, sur la plupart des consoles. Resident Evil est une série importante dans l'industrie du jeu vidéo, et Nintendo convoite des contrats d'exclusivité. La série connaßt un succÚs mondial et s'est écoulée à plus de 100 millions d'exemplaires en 2020[2].

Préambule

Raccoon City, paisible petite ville, de plus de 100 000 habitants, du Midwest des États-Unis, dont la stabilitĂ© Ă©conomique ne repose que sur la multinationale pharmaceutique Umbrella Corporation, est le thĂ©Ăątre d'Ă©tranges disparitions. Des dizaines de personnes sont enlevĂ©es et ne sont jamais retrouvĂ©es. Les efforts de la police restent vains. Cependant, des tĂ©moins affirment avoir vu des groupes d'une dizaine de personnes, certains affirment que les victimes auraient Ă©tĂ© dĂ©vorĂ©es.

Les Zombies

Logo de l'Umbrella Corporation.

À quelques kilomĂštres de Raccoon City existe un manoir oĂč des scientifiques de Umbrella Corporation travaillent. Ils y font des tests pour crĂ©er un procĂ©dĂ© permettant de crĂ©er des crĂ©atures plus rĂ©sistantes aux balles, plus intelligentes et plus endurantes. En clair, Umbrella veut transformer un organisme vivant en arme de combat. Les recherches durent plusieurs mois, jusqu'au jour oĂč survient un accident. Le docteur James Marcus, fondateur de Umbrella Corporation, trahi par ses collaborateurs, voulut se venger de la firme. Tous les habitants du manoir sont infectĂ©s et subissent peu Ă  peu les consĂ©quences de cette exposition au produit inachevĂ© en devenant des ĂȘtres dĂ©pourvus de pensĂ©es ou de logique et agissant selon leur seul et unique instinct primaire : le besoin de manger. L'Ă©quipe Bravo des S.T.A.R.S. de Raccoon City arrive en reconnaissance par hĂ©licoptĂšre, mais le contact est soudainement perdu. C'est alors qu'intervient l'Ă©quipe Alpha, dont les membres font face Ă  des chiens enragĂ©s, et le pilote les abandonne au fin fond de la forĂȘt attenante au manoir


Les personnages se retrouvent alors coincés dans ce manoir obscur, et déjà, un membre de l'équipe disparaßt. Un coup de feu retentit dans le hall et le personnage (choisi en début de partie, accompagné ou non selon le choix précédent) doit rechercher l'origine du coup de feu. Le jeu démarre alors vraiment avec l'apparition du premier Zombie.

Virus T

CrĂ©Ă© par Umbrella Corporation, le Virus T est un bactĂ©riophage T (virus n'infectant que certaines bactĂ©ries) qui, aprĂšs des modifications gĂ©nĂ©tiques, acquiert la capacitĂ© de parasiter les organismes eucaryotes et procaryotes, quel que soit le rĂšgne auquel ils appartiennent : animaux (notamment l'Homme), champignons, vĂ©gĂ©taux et protistes (ĂȘtres vivants mobiles et unicellulaires). Chez les vertĂ©brĂ©s, le virus voyage par la circulation sanguine avant de prolifĂ©rer dans les tissus richement vascularisĂ©s, tels que le cerveau et les muscles.

AprÚs une période d'incubation de plusieurs jours, les symptÎmes physiques deviennent évidents. Des parties plus profondes du cerveau sont attaquées, voire littéralement détruites, pendant que le virus dissout progressivement les lobes frontaux, laissant le cerveau dans un état trÚs primaire pour régir le comportement de l'individu infecté. Le virus endommage également l'hypothalamus et la pléthore résultante de neurotransmetteurs, d'enzymes, et d'hormones telles que la noradrénaline et la dopamine, combinée avec les symptÎmes douloureux de l'infection, induisent une fureur et une faim psychotiques chez les victimes de ce virus.

Le Virus T dĂ©truit Ă©galement d'autres secteurs du systĂšme nerveux. Ces dommages combinĂ©s avec le dĂ©gagement d'endorphine dĂ©truisent les sens de la victime, en particulier le sens de la douleur. Une dĂ©shumanisation de l'individu est amorcĂ©e avec la propagation du virus, dĂ©truisant la mĂ©moire, l'esprit, laissant pour seul but la survie. Une survie nĂ©cessitant un apport en protĂ©ines, la combinaison de plusieurs ADN entraĂźnant des mutations gĂ©nĂ©tiques sur les dĂ©tenteurs du Virus T. Ainsi, un contaminĂ© absorbant l'ADN d'une proie peut acquĂ©rir plus de puissance et surtout continuer Ă  "vivre", nĂ©anmoins ces effets se dissipent dans le temps et l'apport est nĂ©cessaire pour la survie des organismes vivants contaminĂ©s. Le virus infecte d'autres tissus oxygĂ©nĂ©s tels que les muscles et la peau de la victime qui commencent Ă  se nĂ©croser, tandis que les muscles pourrissent jusqu'Ă  ce que le patient ne puisse plus se dĂ©placer. Ces symptĂŽmes, combinĂ©s avec les dommages du cerveau, zombifient l'individu infectĂ©. Aussi, le virus est transmis par les fluides corporels, tels que la salive et le sang. Pourtant, une exposition continue Ă  un environnement contaminĂ© entraĂźne les mĂȘmes effets Ă  long terme : une dĂ©sinfection complĂšte est nĂ©cessaire pour parer Ă  la propagation du virus dans l'organisme.

Le processus complet de destruction des cellules vivantes peut prendre plusieurs semaines, cependant la victime sera morte cérébralement seulement quelques jours aprÚs la contamination. Sans traitement prompt, l'euthanasie ou la destruction du cerveau sont les seuls recours contre le Virus T. La contamination entraßne aussi une cataracte donnant au porteur du virus des yeux blancs et vitreux.

L'apocalypse

Mais des événements plus problématiques ne tardent pas à se déclarer : des habitants de la ville de Racoon se transforment en ce qu'on pourrait qualifier de « Zombies » affamés de chair humaine.

Alors que de plus en plus de gens sont touchés par ce mal étrange, le gouvernement américain place la ville sous loi martiale et ferme ses portes, l'isolant complÚtement du reste du monde, cherchant une solution contre la pandémie. Cette solution sera la destruction de la ville par un missile atomique. Les survivants jurent par la suite de révéler au monde les activités génétiquement inhumaines d'Umbrella, qui fermera finalement ses portes aprÚs que certains d'entre eux y soient parvenus. Mais plusieurs organisations parviennent à récupérer les travaux d'Umbrella et à les réutiliser, semant la terreur et le chaos dans le monde entier. Le BSAA est alors créé pour faire face à ces nouvelles menaces biologiques durant le reste de la série.

Special Tactics And Rescue Service

Dans la série, les STARS (Special Tactics And Rescue Service) est une unité spéciale de police. Fondée à New York en 1967 puis transposée à Raccoon City en 1972, elle sera impliquée dans les événements du . Elle était formée de seulement deux équipes : Alpha et Bravo.

Équipe Alpha

Équipe Bravo

Liste des jeux composant la série

Chronologie

Ci-dessous est indiqué l'ordre chronologique dans lequel se déroulent les événements de la série Resident Evil au gré des différents jeux, chapitres de jeux, films d'animation ou bandes dessinées. Les supports retenus sont ceux dont la canonicité est formellement établie par Capcom (bien que certains titres restent débattus quant à leur degré de canonicité). Il est à noter qu'il n'est pas nécessairement recommandé de suivre l'ordre chronologique indiqué: En effet certains opus de la série peuvent révéler des secrets et des intrigues scénaristiques d'épisodes qui leur succÚdent chronologiquement car ayant été développés et réalisés aprÚs la parution de ces derniers.

Année 1998

Année 2002

Année 2003

Année 2004

Année 2005

Année 2006

Année 2009

Année 2011

Année 2012

Année 2013

Année 2014

Année 2017

Année 2020

Année 2036

Les compilations

  • 2001 : Biohazard 5th Anniversary Special Package: Nightmare Returns Edition limitĂ© Ă  10 000 exemplaires.
  • 2003 : Biohazard Collector's Box sur GameCube comprenant les 5 premiers jeux de la sĂ©rie et un DVD bonus Wesker Report File I et II[3].
  • 2004 : Biohazard Double Features Box Edition comprenant Resident Evil et Resident Evil Zero sur GameCube.
  • 2007 : Resident Evil: The Essentials Box sur PS2.
  • 2011 : Biohazard Revival Selection est une compilation regroupant Resident Evil 4 et Resident Evil: Code Veronica en haute dĂ©finition disponible uniquement au Japon[4].
  • 2011 : Biohazard 15th Anniversary Box sur PS3 comprenant les 3 premiers jeux vidĂ©o PS1, la compilation Biohazard Revival Selection ainsi que les bandes originales de RE: Code Veronica et RE 4[5].
  • 2016 : Resident Evil Origins Collection sur PS4, Xbox One et PC comprenant les versions HD de Resident Evil et Resident Evil Zero.

Origine du titre

Biohazard, signifiant « Danger biologique », est nĂ© de la volontĂ© de Shinji Mikami, un game designer de chez Capcom, Ă  rechercher un titre court et marquant les esprits. Ce fut un membre de l'Ă©quipe dĂ©cor qui le proposa. Pour une question de droit, ce titre ne put ĂȘtre acceptĂ© aux États-Unis. En effet, le groupe de musique Biohazard s'Ă©tait dĂ©jĂ  appropriĂ© le nom Ă  l'Ă©poque. La sociĂ©tĂ© japonaise Capcom chercha donc un nouveau nom avec la volontĂ© de crĂ©er un titre qui serait encore plus explicite pour le consommateur occidental. Le premier opus se passant dans un manoir, le jeu fut nommĂ© Resident (littĂ©ralement rĂ©sident) et ils eurent l'idĂ©e de le lier au mot Evil (mal). Le droit sur Biohazard n'Ă©tait pas dĂ©posĂ© en Europe mais Capcom, tenant son titre fĂ©tiche, dĂ©cida de ne plus le changer[6].

Inspirations

La sĂ©rie Resident Evil est inspirĂ©e de Sweet Home, un jeu basĂ© sur le film d'horreur japonais Suito homu (ă‚čă‚€ăƒˆăƒ›ăƒ , Sweet Home). Sweet Home a Ă©tĂ© Ă©ditĂ© par Capcom dans les annĂ©es 1980 seulement au Japon pour la console Famicom. Beaucoup d'Ă©lĂ©ments ont Ă©tĂ© rĂ©utilisĂ©s comme l'arrangement du manoir, les phases de rĂ©solution de casse-tĂȘte, et mĂȘme l'Ă©cran de chargement. Shinji Mikami, responsable de plusieurs titres de Resident Evil, confirme d'ailleurs ces faits.

La plupart des jeux de la série est présentée avec une perspective objective (l'avatar contrÎlé apparaßt à l'écran), montrant le personnage généralement en utilisant une vue en légÚre plongée. Cela n'est pas sans rappeler le jeu vidéo Alone in the Dark sorti en 1992[1], souvent cité comme le premier jeu vidéo du genre survival horror. Le moteur graphique utilisé dÚs le premier épisode de Resident Evil (mélange 2D/3D avec décors pré-calculés et protagonistes/ennemis en 3D) est totalement identique dans le principe à celui inventé par les concepteurs d'Alone in the Dark. En outre, de nombreuses autres analogies existent entre les deux jeux (l'enfermement dans un manoir, les zombies, le monstre de la porte d'entrée, le systÚme de clés, les mini-puzzles
).

L'ambiance gĂ©nĂ©rale rappelle le film La Nuit des morts-vivants de George Romero sorti en 1969, qui partage quelques points communs d'intrigue, comme une ville oĂč une grande partie des habitants se rĂ©veillent transformĂ©s en zombies. La plupart des angles de camĂ©ra du premier Resident Evil sont les mĂȘmes que ceux du remake de la Nuit des morts-vivants rĂ©alisĂ© par Tom Savini en 1990.

Les critiques ont souligné le fait que l'opus Resident Evil 4 est « un hommage vibrant aux plus grands moments des jeux d'action/aventure et aux meilleurs passages du cinéma d'action » tel Le Seigneur des Anneaux, Massacre à la tronçonneuse, Le monstre du Lac, Alien, L'Invasion des profanateurs (film), House of the Dead, Shenmue, Metal Gear Solid etc[7] - [8].

Shinji Mikami a également confié qu'il s'était inspiré de Alfred Hitchcock, et surtout de Psychose, principalement pour Code Veronica.

Ventes totales

Ventes cumulĂ©es des diffĂ©rentes Ă©ditions classĂ©es par ordre dĂ©croissant (chiffres arrĂȘtĂ©s au )[9]

Année TitreUnités vendues
(en millions)
2023 Resident Evil 4 (2023)
2020 Resident Evil 3 (2020) 5
2009
2016
Resident Evil 5 9,8
1,5
11,3
2012
2016
Resident Evil 6 7,4
1,8
9,2
2005
2016
Resident Evil 4
Resident Evil 4 HD
5,9
1,6
7,5
2017 Resident Evil 7 6,8
1996 Resident Evil 5,08
2019 Resident Evil 2 (2019) 5
1998 Resident Evil 2 4,96
2021 Resident Evil Village 4,5
2002
2014
Resident Evil (2002)
Resident Evil HD
1,35
2,4
3,75
1999 Resident Evil 3: Nemesis 3,5
2002
2016
Resident Evil 0
Resident Evil 0 HD
1,25
2,2
3,45
2000 Resident Evil: Code Veronica 2,54
2012 Resident Evil: Operation Raccoon City 2,5
2015 Resident Evil: Revelations 2 2,4
2012 Resident Evil: Revelations 1,9
2003 Resident Evil Outbreak 1,45
2007 Resident Evil: Umbrella Chronicles 1,3
2004 Resident Evil Outbreak 2 0,2
2009 Resident Evil: Darkside Chronicles 0,15

Adaptations

Films d'animation

Films utilisant la licence Resident Evil

Une série de six films utilisant des éléments de l'univers des jeux a été réalisée avec comme actrice principale Milla Jovovich.

Les films s’inspirent partiellement des jeux et n'utilisent pas la mĂȘme trame scĂ©naristique que la sĂ©rie vidĂ©oludique. La sĂ©rie de films met en scĂšne Alice, une ancienne employĂ©e du service de sĂ©curitĂ© de Umbrella Corporation qui se rĂ©veille amnĂ©sique dans un manoir, aprĂšs avoir eu la mĂ©moire effacĂ©e pour avoir tentĂ© de se rebeller. Par la suite, elle dĂ©couvrira la vĂ©ritĂ© et se lancera dans une quĂȘte pour se venger et dĂ©truire Umbrella.

Certains personnages, comme Claire Redfield ou Jill Valentine, jouent des rĂŽles plus ou moins importants dans certains films. En gĂ©nĂ©ral, leurs personnalitĂ©s sont assez Ă©loignĂ©es de celles des jeux mais parfois, leurs costumes correspondent. MalgrĂ© ces diffĂ©rences, les films reprennent le bestiaire de crĂ©atures, et il arrive que certaines trames s’inspirent des jeux comme le contrĂŽle de Jill Valentine par l'ennemi, tirĂ© de Resident Evil 5.

Un reboot, intitulé Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City, est sorti en 2021.

SĂ©rie d'animation

Une série intitulée Resident Evil: Infinite Darkness est sortie sur Netflix en juillet 2021 pour coïncider avec les 25 ans de la série.

Série télévisée

Une série télévisée en prise de vues réelles est prévue pour 2022 sur Netflix. Bien qu'elle se déroule dans sa propre chronologie, la série prend en compte les événements des jeux, du premier à Resident Evil Village, et s'en sert comme base. Elle se déroule sur deux temporalités et suit principalement Billie et Jade Wesker, les deux filles adoptives d'Albert Wesker, nées dans d'étranges circonstances.

Adaptations littéraires

Thomas Day a écrit des nouvelles tirées de l'univers du jeu vidéo. S. D. Perry a écrit les romans du jeu vidéo. Elle y fait notamment apparaßtre un personnage inédit, M. Trent.

Romans

Les romans ont été publiés par les éditions Fleuve noir, dans la collection Resident Evil de 2002 à 2004. Les éditions Milady les ont réédités de 2014 à 2016.

  1. La Conspiration d'Umbrella, 2002 (Umbrella Conspiracy, 1998) par S. D. Perry
  2. La Crique de Caliban, 2002 (Caliban Cove, 1998) par S. D. Perry
  3. La Cité des morts, 2002 (City of the Dead, 1999) par S. D. Perry
  4. Aux portes de l'enfer, 2003 (Underworld, 1999) par S. D. Perry
  5. Nemesis, 2003 (Nemesis, 2000) par S. D. Perry
  6. Code Veronica, 2003 (Code : Veronica, 2001) par S. D. Perry
  7. Zero Hour, 2004 (Zero Hour, 2004) par S. D. Perry

Art Book

  • 2005 : Resident Evil Archives: Umbrella's Virus Uncovered (par Bradygames)
  • 2011 : Resident Evil Archives: II (par Bradygames)

Novelisations

  1. Resident Evil (2002), par Thomas Day, publié par les éditions Denoël dans la collection Lunes d'encre #31
  2. Genesis (2005), par Keith R. A Decandido (Genesis, 2004)
  3. Resident Evil : Apocalypse (2004), par Keith R. A. Decandido, publié par Fleuve noir dans la collection Cinéma
  4. Resident Evil : Extinction (), par Keith R. A. Decandido, publié par Fleuve noir dans la collection Cinéma

Mangas

Notes et références

  1. Marcus (ill. Guillaume Lapeyre, photogr. Raoul Dobremel, mise en couleurs Julien Nido), Nos Jeux vidĂ©o 90-2000 : De la raquette de Pong au racket dans GTA, l'irrĂ©sistible ascension des jeux vidĂ©o, Paris, Hors Collection, coll. « Nostalgie / Nostalgie illustrĂ© », , 1re Ă©d. (1re Ă©d. 2014), 142 p., 260 Ă— 260 mm, brochĂ© (ISBN 978-2-258-11049-6, BNF 44203686, prĂ©sentation en ligne), partie 1, « La PlayStation, le retour du jeu cool ! », p. 11
  2. Jarod, « La franchise Resident Evil dépasse les 100 millions », sur gamekult.com, (consulté le ).
  3. « Un collector pour la série Biohazard », sur Jeuxvideo.com, .
  4. « Resident Evil: Revival Selection illustré », sur Gamekult, .
  5. « Resident Evil : un coffret anniversaire », sur Gamekult, .
  6. Jay, « Secrets de développement »,
  7. Logan, « Test de RE 4 GameCube », Jeuxvideo.com,
  8. Puyo, « Test de RE 4 GameCube », Gamekult,
  9. (en) « Platinum Titles », CAPCOM (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Nicolas Courcier, Mehdi El Kanafi et Bruno Provezza, Resident Evil : des zombies et des hommes, Toulouse, Third Éditions, , 224 p. (ISBN 979-10-94723-00-5).
  • (en) Nadine Farghaly (dir.), Unraveling Resident Evil : Essays on the Complex Universe of the Games and Films, Jefferson (Caroline du Nord), McFarland & Company, coll. « Contributions to Zombie Studies », , 248 p. (ISBN 978-0-7864-7291-8, lire en ligne).

Articles connexes

Autres séries

Liens externes

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