Resident Evil (film)
Resident Evil ou Resident Evil : Les Créatures maléfiques[1] au Québec est un film d'horreur britanno-franco-germano-américain réalisé par Paul W. S. Anderson et sorti en 2002. Le film est une adaptation libre de la série de jeux vidéo Resident Evil de Capcom.
Titre québécois | Resident Evil : Les Créatures maléfiques |
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RĂ©alisation | Paul W. S. Anderson |
Scénario | Paul W. S. Anderson |
Musique |
Marco Beltrami Marilyn Manson |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Screen Gems Constantin Film Davis Films Impact Pictures New Legacy Films |
Pays de production |
Royaume-Uni France Allemagne Ătats-Unis |
Genre | Action, horreur, science-fiction |
Durée | 100 minutes |
Sortie | 2002 |
SĂ©rie Resident Evil
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
Dans un grand laboratoire expérimental souterrain d'Umbrella Corporation, un virus est volontairement libéré. Le bùtiment est alors mis en quarantaine puis les scientifiques y travaillant sont assassinés.
Dans un somptueux manoir, une jeune femme nommĂ©e Alice (Milla Jovovich) se rĂ©veille dans une salle de bains sans aucun souvenir. Le temps de chercher des informations et des explications relatives Ă son amnĂ©sie, Alice rencontre un homme du nom de Matt, un policier de la ville, (Eric Mabius) et tous deux se font capturer par un commando d'Ă©lite d'Umbrella qui investit le manoir. Les soldats (James One Shade (Colin Salmon), Rain Ocampo (Michelle RodrĂguez), Chad Kaplan (Martin Crewes), J. D. Salidas (Pasquale Aleardi), Olga (le mĂ©decin) (Liz May Brice) et deux autres soldats) ont pour objectif de trouver la vĂ©ritable raison de cette mise en quarantaine, qui a tournĂ©, peut-on dire, au massacre. C'est alors qu'ils contraignent Alice, qui est une agente d'Umbrella, et Matt, Ă monter Ă bord d'un train situĂ© sous le manoir les conduisant au Hive, le laboratoire souterrain. Dans le train, le groupe dĂ©couvre un homme qui comme Alice, n'a aucun souvenir. Il s'agit d'un autre agent d'Umbrella et compagnon d'Alice dĂ©nommĂ© Spence Parks (James Purefoy).
One explique aux 3 personnes retrouvées que pour une raison inconnue, l'ordinateur contrÎlant le Hive (la Reine rouge) est devenu meurtrier. L'équipe a pour mission d'éteindre l'ordinateur et de comprendre ce qui s'est passé. Alice et Spence, les deux agents, ont perdu la mémoire aprÚs que la Reine rouge a diffusé un gaz neurotoxique dans le manoir.
Les soldats se séparent : Rain, J.D. et Matt (dont on ignore la raison de la présence) restent dans une piÚce contenant des containers tandis qu'Alice, One, Kaplan, Spence, Olga et les deux autres soldats vont dans la piÚce précédant le sas menant au boßtier de contrÎle de la Reine rouge. One, Olga et les deux autres soldats y entrent mais le systÚme de sécurité (des rayons lasers) s'active et la porte du sas est verrouillée. Olga est décapitée, les deux soldats transpercés et One est découpé en morceaux.
Kaplan Ă©teint la Reine rouge qui, sous forme d'hologramme, le met en garde. Celui-ci ayant survĂ©cu, dĂ©truit l'ordinateur et part avec le groupe. Ils dĂ©couvriront vite que l'ennemi le plus redoutable n'est pas le systĂšme de sĂ©curitĂ© du Hive, mais toutes les personnes qui sont censĂ©es ĂȘtre mortes... Alice croise alors Spence contaminĂ© plus tĂŽt par le virus, devenu un mort-vivant puis l'achĂšve avec une hache, tandis que Rain et Kaplan se font injecter l'antivirus. Et le train partâŠ
L'action s'ensuit avec la traque d'un « lickers » sur le train : celui-ci tue Kaplan et Alice l'immobilise. Pendant ce temps, Rain se transforme en zombie et Matt la tue. L'action se termine lorsque le « lickers » est écrasé par le train.
Dans le manoir, Matt, qui a Ă©tĂ© griffĂ© par le « lickers », convulse, Alice s'apprĂȘte Ă le soigner, mais au mĂȘme moment, des scientifiques d'Umbrella arrivent et les capturent.
Fiche technique
- Titre original et français : Resident Evil
- Titre québécois : Resident Evil : Les Créatures maléfiques
- Réalisation et scénario : Paul W. S. Anderson
- Musique : Marco Beltrami et Marilyn Manson
- Direction artistique : Jörg Baumgarten et Tony Reading
- DĂ©cors et costumes : Richard Bridgland
- Photographie : David Johnson
- Son : Michael Kranz, Martin Steyer
- Montage : Alexander Berner
- Production : Paul W. S. Anderson, Bernd Eichinger, Samuel Hadida et Jeremy Bolt
- Production exécutive : Albert Botha
- Production déléguée : Victor Hadida, Daniel S. Kletzky, Robert Kulzer et Yoshiki Okamoto
- Production associée : Mike Gabrawy
- Coproduction : Chris Symes
- Sociétés de production[2] :
- Ătats-Unis : New Legacy, Hollywood Pictures et Intermedia Films (non crĂ©ditĂ©), avec la participation de Screen Gems
- Allemagne : Constantin Film, supporté par Filmförderungsanstalt, Filmboard Berlin-Brandenburg et FFF Bayern
- France : Davis Films[3]
- Japon : Capcom Company
- Canada : en association avec Impact Pictures
- Royaume-Uni : FilmFour (non crédité)
- Sociétés de distribution :
- Royaume-Uni : Pathé Distribution
- Allemagne : Constantin Film Verleih
- France : Metropolitan Filmexport
- Japon : Amuse Pictures
- Belgique : Belga Films
- Suisse : Filmcoopi ZĂŒrich
- Canada : Les Films Columbia TriStar du Canada
- Budget : 33 millions de $[4]
- Pays d'origine[5] : Royaume-Uni, France, Allemagne et Ătats-Unis
- Langue originale : anglais
- Format[6] : couleur - 35 mm - 1,85:1 (Panavision) - son DTS | Dolby Digital | SDDS | Dolby Atmos
- Genre : action, horreur et science-fiction
- Durée : 100 minutes
- Dates de sortie[7] :
- Ătats-Unis, Canada :
- Allemagne :
- France :
- Royaume-Uni :
- Belgique :
- Japon :
- Classification[8] :
- Ătats-Unis : Interdit aux moins de 17 ans (certificat #38804) (R â Restricted) [Note 1].
- Allemagne : Interdit aux moins de 16 ans (FSK 16).
- Royaume-Uni : Interdit aux moins de 15 ans (15 - Suitable only for 15 years and over).
- Canada (Alberta / Colombie-Britannique) : Les personnes de moins de 18 ans doivent ĂȘtre accompagnĂ©es d'un adulte (18A - 18 Accompaniment).
- Canada (Manitoba / Ontario) : Interdit aux moins de 18 ans (R - Restricted).
- Canada (Nouvelle-Ăcosse) : Les enfants de moins de 14 ans doivent ĂȘtre accompagnĂ©es d'un adulte (14A - 14 Accompaniment).
- Québec : 13 ans et plus (13+ / 13 years and over).
- Japon : Sous la responsabilité des parents. (PG-12)[Note 2].
- France : Interdit aux moins de 12 ans (visa d'exploitation no 105148 délivré le )[9] - [10].
Distribution
- Milla Jovovich (VF : Barbara Kelsch ; VQ : Ălise Bertrand) : Alice
- Michelle RodrĂguez (VF : Julie Dumas ; VQ : HĂ©lĂšne Mondoux) : Rain Ocampo
- Eric Mabius (VF : Thierry Wermuth ; VQ : BenoĂźt Ăthier) : Matthew « Matt » Addison
- James Purefoy (VF : Jean-Pierre Michaël ; VQ : Daniel Picard) : Spence Parks
- Martin Crewes (en) (VF : Jean-Philippe Puymartin ; VQ : Martin Watier) : Chad Kaplan
- Colin Salmon (VF : Thierry Desroses ; VQ : Benoit Rousseau) : James « One » Shade
- Ryan McCluskey : M. Grey
- Oscar Pearce : M. Green
- Indra Ové : Mlle Black
- Anna Bolt (VF : Caroline Santini) : Dr Green
- Joseph May : Dr Blue
- Robert Tannion : Dr Brown
- Heike Makatsch : Dr Lisa Addison
- Stephen Billington : M. White
- Fiona Glascott : Mlle Gold
- Pasquale Aleardi (VF : Mathieu Buscatto ; VQ : Gilbert Lachance) : J. D. Salinas
- Liz May Bryce (en) (VF : DĂ©borah Perret) : Olga Danilova
- Torsten Jerabek : Vance Drew
- Marc Logan-Black : Alfonso Warner
- Michaela Dicker (VF : Dorothée Pousséo ; VQ : Stéfanie Dolan) : la Reine rouge
- Jason Isaacs (VF : Daniel Beretta ; VQ : Guy Nadon) : Dr William Birkin / le narrateur
Production
GenÚse et développement
La société de production allemande Constantin Film achÚte les droits des jeux vidéo Resident Evil en . Le scénariste américain Alan B. McElroy est alors engagé pour écrire un script[13]. Dans un article intitulé Resident Evil: The Movie de PlayStation Magazine en 1998, ce script est décrit comme un mélange d'action et d'horreur, trÚs violent et proche des jeux vidéo. Quelques libertés sont cependant prises et il n'y a ainsi aucune mention d'Umbrella Corporation et STARS. Le script raconte l'histoire d'une équipe des forces spéciales envoyée par le gouvernement pour sauver des scientifiques dans un manoir-laboratoire, aprÚs une premiÚre tentative de sauvetage par le SWAT. Les soldats vont cependant découvrir qu'ils sont tombés dans un piÚge d'une expérience médiale. L'équipe des forces spéciales rassemblent la plupart des personnages du jeu. Le script inclut également la plupart des monstres du jeu. Cependant, le travail d'Alan McElroy[14] - [15] - [16] - [17] - [18].
En 1998, George A. Romero rĂ©alise une publicitĂ© pour le jeu vidĂ©o Resident Evil 2. Le crĂ©ateur des jeux, Shinji Mikami, est un grand fan du rĂ©alisateur amĂ©ricain et a Ă©tĂ© beaucoup influencĂ© par ses films, notamment La Nuit des morts-vivants. La publicitĂ© n'est diffusĂ©e qu'au Japon mais impressionne assez Sony, qui demande Ă George A. Romero d'Ă©crire et rĂ©aliser Resident Evil. Pour cela, George A. Romero demande Ă un assistant de jouer entiĂšrement au jeu qu'il enregistre ensuite comme base de travail. Il se base ainsi sur le premier jeu Resident Evil (1996) et inclut les personnages du jeu : il y a notamment une histoire d'amour entre Chris Redfield et Jill Valentine, qui sont les personnages principaux. On retrouve Ă©galement Barry Burton, Rebecca Chambers, Ada Wong et Albert Wesker. En 2002, dans une interview pour Fangoria, George A. Romero explique qu'il a Ă©crit au moins 5 ou six Ă©bauches de script, toutes rejetĂ©es. Dans ce mĂȘme article, Robert Kulzer, chef de production, explique que le script Ă©tait bon mais que le film aurait ainsi Ă©tĂ© classĂ© NC-17 (« No Children 17 And Under Admitted ») par la Motion Picture Association of America. Robert Kulzer explique par ailleurs que le premier script signĂ© Alan B. McElroy Ă©tait aussi bon mais qu'il avait Ă©tĂ© rejetĂ© Ă cette Ă©poque le jeu Resident Evil 2 Ă©tait dĂ©veloppĂ© et qu'un film basĂ© sur le premier jeu Ă©tait jugĂ© datĂ© et ennuyeux. AprĂšs le dĂ©part de George A. Romero, d'autres rĂ©alisateurs et scĂ©naristes se succĂšdent sur le projet pendant plusieurs annĂ©es, notamment Kevin Williamson[19] - [20] - [21]. George Romero dĂ©clarera ensuite que son script Ă©tait trĂšs apprĂ©ciĂ© chez Capcom et Constantin Film mais que la dĂ©cision finale revenait Ă Bernd Eichinger, le fondateur de Constantin Film[22].
Courant 2000, Jamie Blanks, qui vient de réaliser Urban Legend (1998), est choisi pour mettre en scÚne le film. Le script met alors en scÚne des soldats de STARS affrontant des monstres créés par un virus à Raccoon City. Cette idée est ensuite abandonnée[23].
En 1995, Mortal Kombat, réalisé par Paul W. S. Anderson, est le premier film adapté d'un jeu vidéo qui connait un réel succÚs[24]. AprÚs avoir joué à Resident Evil, Paul W. S. Anderson y voit un fort potentiel cinématographique et écrit un premier script intitulé Undead, trÚs proche du jeu. Bernd Eichinger, président de Constantin Film, est enthousiaste[25]. En 2000, Paul W. S. Anderson est donc officiellement annoncé comme réalisateur et scénariste et le film Resident Evil entre à nouveau en préproduction[26]. Le script final de Paul W. S. Anderson s'éloigne cependant des éléments et des personnages du jeu vidéo. Il justifie ce choix en voulant surprendre également les fans du jeu. Il n'utilise donc pas Jill Valentine, personnage récurrent et emblématique des jeux vidéo, en expliquant « Tous savent déjà qu'elle ne va pas mourir, puisqu'elle revient dans les autres épisodes du jeu »[27]. Le personnage principal se nomme donc Alice. Paul W. S. Anderson est un grand fan de Lewis Carroll, ses deux romans préférés étant Les Aventures d'Alice au pays des merveilles et sa suite De l'autre cÎté du miroir. Il nomme par ailleurs un personnage Reine rouge[27].
Le film devait s'intituler Resident Evil: Ground Zero[28] mais est renommé à la suite des attaques terroristes du 11 septembre 2001 (ground zero désigne le site du World Trade Center)[29] - [19].
Distribution des rĂŽles
Sarah Michelle Gellar devait initialement incarner Alice. Le rÎle a été proposé à Gwyneth Paltrow, avant de finalement revenir à Milla Jovovich. Avant cela, quand les différents scripts incluaient Jill Valentine comme personnage principal, les actrices Jennifer Love Hewitt, Kirsten Dunst ou Natasha Henstridge avaient été envisagées[19].
David Boreanaz était le premier choix pour le rÎle de Matt Addison. Il est cependant pris par le tournage de la série télévisée Angel et remplacé par Eric Mabius[19].
Tournage
Le tournage a lieu entre mars et . Il a lieu principalement en Allemagne, notamment à Berlin (notamment les studios Berlin Adlershof, certaines gares du métro de Berlin, etc.), Krampnitz (en) et Potsdam. Des scÚnes de Racoon City sont en partie tournées à Toronto[30]. Quelques scÚnes sont par ailleurs tournées à Londres[27].
Bande originale
Music From And Inspired By The Original Motion Picture
Sortie | 2002 |
---|---|
Genre | musique de film, rock alternatif, metal industriel, nu metal, electro |
Label | Roadrunner Records |
Bandes originales de Resident Evil
La musique du film est composée par Marco Beltrami et Marilyn Manson. Un album, contenant également des chansons inspirées par le film, est commercialisé par Roadrunner Records.
Accueil
Critique
Le film reçoit des critiques globalement nĂ©gatives. Sur l'agrĂ©gateur amĂ©ricain Rotten Tomatoes, il rĂ©colte 36% d'opinions favorables pour 129 critiques et une note moyenne de 4,52â10[32].
En France, le film obtient une note moyenne de 2,8â5 sur le site AlloCinĂ©, qui recense 17 titres de presse[33].
En 2005, le célÚbre critique américain Roger Ebert inclut Resident Evil dans sa liste des films qu'il déteste le plus[19].
Distinctions
Entre 2002 et 2004, Resident Evil a été sélectionné 7 fois dans diverses catégories et n'a remporté aucune récompense[36].
Nominations
- Prix Schmoes d'or (Golden Schmoes Awards) 2002 :
- Film le plus sous-estimé de l'année,
- Meilleur film d'horreur de l'année,
- Meilleur S&C de l'année pour Milla Jovovich.
- Académie des films de science-fiction, fantastique et d'horreur - Prix Saturn 2003 :
- Prix allemand de la caméra (German Camera Award) 2003 : Meilleur montage pour Alexander Berner.
- Prix de la bande-annonce d'or 2004 : Bande-annonce la plus originale pour Ignition Creative.
Notes et références
Notes
- Classification Ătats-Unis : ClassĂ© R pour la forte violence de science-fiction / d'horreur, le langage et la sexualitĂ© / la nuditĂ©.
- Classification Japon : « Certaines scĂšnes ne conviennent pas aux enfants de moins de 12 ans. Ils doivent ĂȘtre accompagnĂ© d'un parent ou d'un responsable. »
Références
- « Fiche du film » sur Cinoche, consulté le 3 décembre 2014
- (en) « Resident Evil - SociĂ©tĂ© de Production / SociĂ©tĂ©s de distribution » sur lâInternet Movie Database (consultĂ© le ).
- « Sociétés de production de Resident Evil », sur Unifrance.org (consulté le ).
- (en) « Budget du film Resident Evil », sur Box Office Mojo.com (consulté le ).
- (en) « Pays d'origine de Resident Evil », sur catalog.afi.com (consulté le ).
- (en) « Resident Evil - SpĂ©cifications techniques » sur lâInternet Movie Database (consultĂ© le ).
- (en) « Resident Evil - Dates de sortie » sur lâInternet Movie Database (consultĂ© le ).
- (en) « Resident Evil - Guide Parental » sur lâInternet Movie Database (consultĂ© le ).
- « Visa et Classification - Fiche Ćuvre Resident Evil », sur CNC (consultĂ© le ).
- « Resident Evil - Guide Parental » sur Allociné (consulté le ).
- « Fiche du doublage français du film », sur RS Doublage.
- « Fiche du doublage québécois du film » sur Doublage.qc.ca, consulté le 3 décembre 2014.
- (en) « The Magazine Biz », GamePro, IDG, no 104,â , p. 16
- Variety Staff, « Constantin buys 'Evil' rights », sur Variety,
- staff, « Resident Evil: The Movie!!! », sur Ain't it Cool News
- « Alan McElroy Resident Evil Script », sur Crimson Head Elder
- Fangoria #171, April 1998
- https://archive.org/details/starlog_magazine-242, page 31
- (en) Trivia sur lâInternet Movie Database
- (en) « Why George Romero's 'Resident Evil' Film Failed to Launch », sur Variety, (consulté le )
- George A. Romero et Peter Grunwald, « Resident Evil Original Screenplay », Dailyscript.com, (consulté le )
- (en) Paul Weedon, « George A. Romero (interview) », sur Paul Weedon, (consulté le )
- « Dr. Octagon's Rumor Mill of Horror », sur knightofthecreeps.com
- (en) « Games on film », sur The Guardian, (consulté le )
- « Fangoria 211 », sur Internet Archive
- (en) « Info & Tidbits On Resident Evil » [archive du ], sur Rotten Tomatoes, Flixster (consulté le )
- Secrets de tournage - Allociné
- Chris et Angel, Les infos chaudes du Net, janvier 2001, Joypad n°104.
- Paul W. S. Anderson (2002). Resident Evil Commentary (DVD). Sony Entertainment.
- (en) Locations sur lâInternet Movie Database
- (en) Various â Resident Evil Music From And Inspired By The Original Motion Picture - Discogs
- (en) « Resident Evil (2002) », sur Rotten Tomatoes, Fandango Media (consulté le )
- « Resident Evil - critiques presse », sur AlloCiné (consulté le )
- (en) « Resident Evil », sur Box Office Mojo (consulté le )
- « Resident Evil », sur JP's Box-Office (consulté le )
- (en) « Resident Evil - Distinctions » sur lâInternet Movie Database (consultĂ© le ).
Liens externes
- Ressources relatives Ă l'audiovisuel :
- Allociné
- Centre national du cinéma et de l'image animée
- Ciné-Ressources
- CinémathÚque québécoise
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- (en) BFI National Archive
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- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database