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Ranton

Ranton est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Ranton
Ranton
Le château de Ranton.
Blason de Ranton
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Pascal Brault
2020-2026
Code postal 86200
Code commune 86205
Démographie
Population
municipale
204 hab. (2020 en augmentation de 13,33 % par rapport à 2014)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 00′ 03″ nord, 0° 01′ 39″ ouest
Altitude Min. 45 m
Max. 123 m
Superficie 6,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Loudun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ranton

    Géographie

    Localisation

    À l'extrême nord-ouest du département de la Vienne, la commune de Ranton est limitrophe des Deux-Sèvres (commune de Pas-de-Jeu).

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La région de Ranton présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de champs ouverts. Le terroir se compose[1] :

    • pour 11 % de vallées tourbeuses,
    • pour moins de 1 % de terrasses alluviales calcaires de la Charente,
    • pour 45 % de calcaire sableux et pour 2 % de tuffeau jaune sur les collines et les dépressions sableuses des bordures du Bassin parisien,
    • pour 19 % de champagnes ou aubues (sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires)
    • et pour 23 % de tuffeau blanc sur les autres collines.

    En 2006, 90,4 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 3,3 % par des forêts et des milieux semi-naturels, et 5,4 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2].

    Hydrographie

    Elle est arrosée au sud-ouest par un sous-affluent de la Loire, la Dive, longée à moins de 300 mètres par l'ancien canal de la Dive.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 654 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Loudun », sur la commune de Loudun, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 627,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 53 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Voies de communication et transports

    Le bourg de Ranton est traversé par la route départementale 19 et se situe en distances orthodromiques, neuf kilomètres à l'ouest de Loudun et quinze à l'est de Thouars. La commune est également desservie par les routes départementales 57 au nord-est et 59 au sud-est.

    Urbanisme

    Typologie

    Ranton est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,3 %), prairies (8,8 %), zones urbanisées (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), forêts (3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Ranton est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dive et le canal de la Dive. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[24] - [22].

    Ranton est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[25]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 8] - [26], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [27] - [28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Ranton.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[29]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[30]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[31]. 54 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[32]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [33].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[22].

    Toponymie

    Le nom du village proviendrait de l'anthroponyme latin Anto[34].

    Histoire

    Comme le reste de la France, Ranton accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires. Mais le curé de la paroisse l’abat, et est condamné à mort pour cela (1794)[35].

    La tradition des arbres de la liberté perdure :

    • en 1919, un ormeau est planté aux Grands Cailloux, pour célébrer la victoire de la République et du droit des peuples lors de la Première Guerre mondiale. Il meurt en 1967 ;
    • en 1944, pour fêter la Libération de Paris, un autre ormeau est planté au même endroit, mais est arraché par la tempête[36].

    En 1989 un érable est planté par la municipalité de Ranton au lieu-dit la Fontaine de Ranton pour célébrer le bicentenaire de la Révolution française, une bouteille cachetée contenant la liste des conseillers municipaux est enterrée au pied de cet arbre.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1976 mars 2001 Serge Dutour -
    mars 2001 mars 2008 Pierre Méningand
    mars 2008 mars 2014 Bernard Petit
    mars 2014 En cours Pascal Brault

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2020, la commune comptait 204 habitants[Note 10], en augmentation de 13,33 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    408525552427413434447443442
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    459447460421384390397381400
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    379381360329349313299292296
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    253227219174195202193192183
    2017 2020 - - - - - - -
    193204-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[41], il n'y a plus que huit exploitations agricoles en 2010 contre douze en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 702 hectares en 2000 à 498 hectares en 2010. 55 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement et un peu d'orge), 30 % pour les oléagineux (colza et tournesol), et 1 % pour les protéagineux[41].

    Les élevages de volailles ont disparu au cours de cette décennie[41].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Château de Ranton, érigé au XIVe siècle, entouré de douves sèches[42]. Sa porte d'entrée est flanquée de deux hautes tours à mâchicoulis. Le château est protégé par une vaste enceinte octogonale avec des tours. Sa restauration débute après la Seconde Guerre mondiale, avec la vente du château à l'artiste sculpteur Dominique Piéchaud et à sa femme[43]. Le château est revendu en 1969.
    • Musée paysan : son joyau est la « cave », une ancienne habitation troglodytique. En fait, chaque maison possède son propre labyrinthe de caves taillées dans le roc et consolidées par d'impressionnantes voûtes de pierre.
    • Lavoir des Lourdines et lavoir de Saint-Martin.
    • Le portail du château.
      Le portail du château.
    • Les douves sèches du château.
      Les douves sèches du château.
    • Les armoiries sculptées de la famille Piéchaud, devenues celles de la commune.
      Les armoiries sculptées de la famille Piéchaud, devenues celles de la commune.

    Patrimoine religieux

    • Église Saint-Léonard dans le bourg. C'est l'ancienne chapelle du château. C'est un édifice en tuffeau, qui a été entièrement transformé au début du XXe siècle. Le clocher-mur est alors remplacé par le clocher actuel. De l'édifice roman, il ne reste, de nos jours, que le porche. La base de l'édifice date de l'époque carolingienne.
    • Ancienne église paroissiale Saint-Martin, isolée à 500 mètres au sud-ouest du bourg. L'édifice est construit en tuffeau. La chapelle était longue à l'origine d'une trentaine de mètres. Mais elle a été raccourcie en 1925, l'édifice étant en trop mauvais état. Son clocher-mur abritait deux cloches à l'origine. Aujourd'hui, il n'en reste plus qu'une datée de 1541, baptisée en 1614.
    • Église Notre-Dame-de-Pitié de Ranton qui était un lieu de pèlerinage important dans les années 1870. Elle est entièrement bâtie en tuffeau.
    • L'église Saint-Léonard.
      L'église Saint-Léonard.

    Patrimoine naturel

    • Un site est inscrit en tant que monument naturel : Le Village.
    • Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[44], il y a deux arbres remarquables sur la commune qui sont un vieux cormier situé au lieu-dit les Vignes Briant[45] - [46] et un noyer commun situé au lieu-dit la Fontaine des Lourdines.
    • Le vélo est notamment une pratique largement répandue grâce à la magnifique topographie offerte dans le secteur et la douceur des paysages divers et variés.

    Personnalités liées à la commune

    • Dominique Piéchaud, artiste-sculpteur, médailleur, restaurateur du château de Ranton dans les années 1960[47]. Les armes de la famille Piéchaud sont devenues les armes de la commune.

    Héraldique

    Blason de Ranton Blason
    Coupé : au 1er d'azur à deux têtes de lévrier coupées d'argent surmontées d'une étoile d'or, au 2e de gueules au soleil d'or[48].
    Détails
    Ces armes sont celles de la famille Piéchaud de Combelle, ancienne propriétaire du château de Ranton.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    Notes de type "Carte"
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Loudun - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Ranton et Loudun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Loudun - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Ranton et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Loudun », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Ranton », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
    26. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
    27. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Ranton », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    32. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    33. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    34. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes, Éditions Flohic, 2002, (ISBN 2-84234-128-7).
    35. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 122-123.
    36. Robert Petit, op. cit., p. 225.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    42. Site du château de Ranton
    43. www.rantoncastle.com/history Site internet du château de Ranton
    44. Poitou-Charentes Nature, 2000
    45. « Le cormier des Vignes Briant, Ranton (Vienne). » sur le site Les têtards arboricoles.
    46. Le panneau explicatif près du cormier de Ranton.
    47. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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