Pouillon (Landes)
Pouillon (Polhon, en occitan[1]) est une commune française du département des Landes, dans la région Nouvelle-Aquitaine.
Pouillon | |||||
L'église Saint-Martin de Pouillon. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Landes | ||||
Arrondissement | Dax | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays d'Orthe et Arrigans | ||||
Maire Mandat |
Patrick Vilhem 2020-2026 |
||||
Code postal | 40350 | ||||
Code commune | 40233 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pouillonnais | ||||
Population municipale |
3 105 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 62 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 36′ 20″ nord, 0° 59′ 43″ ouest | ||||
Altitude | Min. 183 m Max. 121 m |
||||
Superficie | 49,74 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Pouillon (ville-centre) |
||||
Aire d'attraction | Dax (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Orthe et Arrigans | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Landes
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Localisation
Elle se situe à une quinzaine de kilomètres au sud de Dax et à une dizaine de kilomètres au nord de l'autoroute française A64 Bayonne-Toulouse.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Bénesse-lès-Dax, Cagnotte, Cauneille, Estibeaux, Gaas, Labatut, Mimbaste, Misson et Saugnac-et-Cambran.
Hydrographie
Le Bassecq, affluent gauche du Luy, traverse les terres de la commune, ainsi que le petit Arrigan.
Voies de communication et transports
La commune n'est plus desservie par le réseau de bus départemental XL'R, après l'avoir été entre 2009 et 2013 grâce à la ligne de bassin 27, reliant Peyrehorade à Dax. Elle est située à 20 minutes en voiture ou taxi de Dax.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Peyrehorade Ler », sur la commune de Peyrehorade, mise en service en 1971[10] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 316,1 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et à 12 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[14], à 14,3 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Pouillon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pouillon, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[20] et 5 593 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[21] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dax, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 60 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23] - [24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), forêts (26,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), zones urbanisées (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), mines, décharges et chantiers (0,9 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Pouillon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Risques naturels
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 74,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 440 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 042 sont en en aléa moyen ou fort, soit 72 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1993, 1999, 2009, 2013 et 2018, par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[26].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
Histoire
Pouillon est un ancien vicus gallo-romain dressé en camp retranché. Le village fut bâti de chaque côté de la voie romaine reliant Bordeaux à Pampelune. La présence romaine dura cinq siècles.
La découverte d'outillages (pierres taillées) du Paléolithique sur le tuc de Benaruc prouve l'ancienneté de la présence humaine sur le village.
L'étymologie de Pouillon est diverse, deux thèses sont émises. L'une affirme que c'est un gallo-romain Pulio ou Pollion qui fonda le peuplement de Pouillon. L'autre provient du gascon pouy long, c’est-à -dire longue côte.
Pouillon vécut sous domination anglaise jusqu'en 1450-1451. Durant cette occupation, l'église fut fortifiée comme l'attestent les meurtrières et créneaux dans l'abside. Au XVIe siècle, lors des guerres de religion, l'église est incendiée.
Au XVIIe siècle, la source dite de Bidas aux vertus médicinales est appréciée jusqu'à la cour de Versailles.
Durant la Seconde Guerre mondiale en 1944, un maquis de cinquante hommes s'y organisa.
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[32].
Jumelages
La commune est jumelée avec Daroca (Espagne)[33]. Les conventions de jumelage ont été signées par les deux cités, le à Daroca et le à Pouillon.
Daroca, ville espagnole de l'Aragon, est située entre Saragosse et Teruel, non loin du terroir viticole de Cariñena. Elle présente un grand intérêt historique avec son passé romain, arabe, médiéval, ses nombreuses églises, ses tours et murailles caractéristiques.
Les échanges ont concerné les scolaires, les associations folkloriques (échassiers Lous Gaynuts de Pouillon et groupe de jota), les chorales à l'occasion des fêtes du Corpus Christi (Fête-Dieu), au mois de juin, à Daroca et de celles du 14-Juillet à Pouillon.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2020, la commune comptait 3 105 habitants[Note 7], en augmentation de 2,95 % par rapport à 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,0 % la même année, alors qu'il est de 32,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 502 hommes pour 1 579 femmes, soit un taux de 51,25 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,52 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
L'éducation est assurée sur la commune de Pouillon par l'école élémentaire publique et l'école primaire privée jusqu'au collège.
Économie
En 2011, un projet de stockage de gaz naturel en cavités salines était envisagé par EDF sur le territoire de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château Garanx.
- Château de Lamothe.
- Château de Saint-Martin.
- Château Sordet.
- Château Garanx.
- Château de Lamothe.
- Château de Saint-Martin.
- Château Sordet.
- Source de Bidas : cette source aux vertus médicinales se trouve sur la route de Mimbaste. À l'origine, c'est une source à 19° d'un débit journalier de 90 000 litres. Au XVIIe siècle, le comte de Luppé puisa une bouteille à la source et l'offrit au Roi Soleil qui fut conquis par les vertus de cette eau. En 1906, une tentative d'exploitation de la source, autorisée par l'Académie de médecine, vit le jour. On procéda même à l'embouteillage de l'eau afin de la commercialiser. Cependant cette entreprise se solda par un échec.
- Église Saint-Martin de Pouillon [40]: bâtie au XIe siècle, l'église est à l'origine de style roman : une inscription gravée sur un mur intérieur de l'abside centrale indique la date de consécration (1045). Lors de l'occupation anglaise, elle fut fortifiée comme l'atteste les meurtrières arbalétrières et créneaux visibles dans l'abside. Les nefs ont sans doute été reconstruites dans le style gothique aux XVe et XVIe siècles à la suite de l'incendie qui la ravagea lors des guerres de Religion (1569). L'autel en marbre est l'œuvre des frères Mazzetti et date du XVIIIe siècle. Les vitraux modernes ont été réalisés par un maître verrier de Tarbes, M. Letienne, sur des cartons de Mme Blanc-Subes. Ils sont l'illustration des béatitudes évangéliques et donnent à tout l'édifice un chatoiement de couleurs magnifique et lumineux. L'église est inscrite Monument historique le [41].
- Chapelle de Benarrucq : la chapelle a été bâtie par l'abbé Forsans il y quelque 130 ans. Située au sommet d'un promontoire et édifiée sur un site préhistorique, elle offrit une halte aux pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
- Les moulins : le réseau hydrographique local explique qu'en 1830, 21 moulins étaient en activité, en 1900 il en restait 11. Il n'y avait à Pouillon que des moulins à farine dont un seul moulin à vent. Certains d'entre eux sont aujourd'hui rénovés et habités.
Personnalités liées à la commune
- Anthony Bouthier, joueur international de rugby à XV, natif de Pouillon.
- Antoine-Marie Cazaux (Pouillon - Luçon -Vendée- ). Évêque de Luçon de 1941 à 1967. A joué un rôle décisif dans l'élaboration de la loi Barangé en 1951.
- Jean-Pierre Bastiat, joueur de rugby international, natif de Pouillon.
- Mathieu Dourthe, joueur de rugby.
Héraldique
Blason | D'argent à un chêne terrassé de sinople[42]. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Benoit, « Dictionnaire toponymique occitan des Landes et du Bas-Adour », sur locongres.org, Lo Congrès, (consulté le ).
- « Le nom des habitants du 40 », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Peyrehorade Ler - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pouillon et Peyrehorade », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Peyrehorade Ler - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pouillon et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Pouillon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Pouillon », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « Toponymes occitans », sur www.locongres.org (consulté le ).
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur Ministère des affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pouillon (40233) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Landes (40) », (consulté le ).
- René Cuzacq, L'Église de Pouillon,
- « Église Saint-Martin de Pouillon », notice no IA40001376, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « 40233 Pouillon (Landes) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).