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Peyriguère

Peyriguère est une commune française située dans le nord du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Peyriguère
Peyriguère
Paysage dans les environs du village de Peyriguère.
Blason de Peyriguère
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros
Maire
Mandat
Françoise Roy
2020-2026
Code postal 65350
Code commune 65359
DĂ©mographie
Population
municipale
27 hab. (2020 en augmentation de 12,5 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 6,5 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 15′ 20″ nord, 0° 15′ 45″ est
Altitude Min. 217 m
Max. 438 m
Superficie 4,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton des Coteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
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Peyriguère
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Peyriguère
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Peyriguère
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Peyriguère

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arros, la Chella, l'Allier et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Peyriguère est une commune rurale qui compte 27 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 131 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes..

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Peyriguère se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  16 km Ă  vol d'oiseau de Tarbes[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  11 km de Trie-sur-BaĂŻse[2], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarbes[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Thuy (1,5 km), Goudon (2,7 km), Aubarède (2,7 km), Sère-Rustaing (2,8 km), Cabanac (3,1 km), Mun (3,3 km), Orieux (3,5 km), MoulĂ©dous (3,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Peyriguère fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].

    Carte de la commune de Peyriguère et des proches communes.
    Communes limitrophes de Peyriguère[5]
    Cabanac,
    Thuy
    Aubarède Mun
    Goudon Peyriguère Sère-Rustaing
    Moulédous Orieux

    Hydrographie

    La Chella, affluent droit de l'Arros, arrose les terres de la commune du sud au nord et forme une partie de la limite est avec la commune de Sère-Rustaing.
    Le ruisseau de Seignac, qui prend sa source sur la commune, la traverse d'est en ouest et forme une partie de la limite nord avec la commune d'Aubarède.
    La rivière de l'Arros, affluent droit de l'Adour, traverse la commune du sud au nord et forme une partie de la limite ouest avec la commune de Cabanac.
    Le ruisseau de l'Allier arrose la commune d'est en ouest et forme une partie de la limite sud avec la commune de Moulédous.
    La commune possède également une petite retenue collinaire au lieu-dit Lancelan.

    Climat

    Le climat est tempĂ©rĂ© de type ocĂ©anique, dĂ» Ă  l'influence proche de l'ocĂ©an Atlantique situĂ© Ă  peu près 150 km plus Ă  l'ouest. La proximitĂ© des PyrĂ©nĂ©es fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, mĂŞme si cela reste inhabituel.

    Données climatiques à Peyriguère.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
    Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
    Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
    PrĂ©cipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[6].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 2] sont recensées sur la commune[7] :

    • les « coteaux de Capvern Ă  Betplan » (10 246 ha), couvrant 46 communes dont huit dans le Gers et 38 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[8] ;
    • le « cours de l'Arros » (1 675 ha), couvrant 41 communes dont 20 dans le Gers et 21 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[9].

    Urbanisme

    Typologie

    Peyriguère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [10] - [I 2] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 3] - [I 4].

    • Rues du village.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,2 %), prairies (21,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 10[I 5].
    Parmi ces logements, 80,0 % sont des résidences principales, 10,0 % des résidences secondaires et 10,0 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes départementales D 21 et D 221.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Peyriguère est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arros et la Chella. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[15]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[16] - [13].

    Peyriguère est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. L’emploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. D’abord le code forestier et l’arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent l’emploi du feu Ă  moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. L’écobuage est quant Ă  lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[17]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Peyriguère.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 10 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 10 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[13].

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Peyriguère à l'est de Pouyastruc.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[21] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    DĂ©nominations historiques :

    Étymologie : du gascon peiriguèra : lieu pierreux, caillouteux.
    Nom occitan : Peiriguèra.

    Histoire

    Cadastre napoléonien de Peyriguère

    Le plan cadastral napoléonien de Peyriguère est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[22].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie en 2016.
    Le foyer rural en 2016.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1995 mars 2001 André Tharan
    mars 2001 en cours Françoise Roy

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Tarbes, canton de Tournay, puis d'Aubarède (1790), chef-lieu transféré à Pouyastruc (1803)[23].

    Intercommunalité

    Peyriguère appartient à la communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros créée en et qui réunit 54 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26]. En 2020, la commune comptait 27 habitants[Note 5], en augmentation de 12,5 % par rapport à 2014 (Hautes-Pyrénées : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8410884102116110102104108
    1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    131111111107110112969796
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    938464615544343129
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    313030262524232627
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[29].

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    200820132018
    Commune[I 6]0 %0 %26,7 %
    DĂ©partement[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  17 personnes, parmi lesquelles on compte 93,3 % d'actifs (66,7 % ayant un emploi et 26,7 % de chĂ´meurs) et 6,7 % d'inactifs[Note 6] - [I 6]. En 2018, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement et de la France, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte emplois en 2018, contre 3 en 2013 et 5 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 11, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 73,7 %[I 10].

    Sur ces 11 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 20 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption en 2016.
    La cloche de l'Ă©glise.
    L'Ă©glise.

    Lieux et monuments

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur à la grappe de raisin pamprée au naturel, accompagnée de trois fleur de lys d'or.
    Commentaires : Blason vérifié auprès de la mairie.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Peyriguère » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes » (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Peyriguère
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Peyriguère » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Peyriguère » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Peyriguère et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Peyriguère et Trie-sur-Baïse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Peyriguère », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
    5. Carte IGN sous GĂ©oportail
    6. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
    7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Peyriguère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « ZNIEFF les « coteaux de Capvern à Betplan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « ZNIEFF le « cours de l'Arros » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. « Les risques près de chez moi - commune de Peyriguère », sur Géorisques (consulté le )
    14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    15. DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    16. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    17. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur www.hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le )
    18. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Peyriguère », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    21. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
    22. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Peyriguère en 1809
    23. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    24. « Liste des juridictions compétentes pour Peyriguère », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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