Accueil🇫🇷Chercher

Paizay-le-Sec

Paizay-le-Sec est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Paizay-le-Sec
Paizay-le-Sec
L'église Saint-Hilaire.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes Vienne et Gartempe
Maire
Mandat
Jacques de Crémiers
2020-2026
Code postal 86300
Code commune 86187
Démographie
Population
municipale
461 hab. (2020 en diminution de 2,33 % par rapport à 2014)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 34′ 47″ nord, 0° 46′ 42″ est
Altitude Min. 113 m
Max. 143 m
Superficie 34,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Chauvigny
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Paizay-le-Sec
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Paizay-le-Sec
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Voir sur la carte topographique de la Vienne
Paizay-le-Sec
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Paizay-le-Sec

    Géographie

    Localisation

    La commune de Paizay-le-sec situé sur un plateau entre les vallées de la Vienne et de la Gartempe est traversée par aucun cours d'eau, d'où son nom. Paizay-le-Sec est une commune rurale.

    Les grandes villes les plus proches sont Châtellerault et Poitiers et se trouvent respectivement à 31,16 km au nord-ouest et 33,38 km à l'ouest.

    La commune est proche du parc naturel régional de la Brenne.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 768 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chauvigny-Mareu », sur la commune de Chauvigny, mise en service en 1949[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 782,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 36 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Voies de communication et transports

    Les gares les plus proches se trouvent à Montmorillon (21,31 km), Lussac-les-Châteaux (22,3 km), Lathus-Saint-Rémy (33,7 km), Naintré (37,5 km) et Châtellerault (37,8 km)

    Urbanisme

    Typologie

    Paizay-le-Sec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), forêts (1,3 %), prairies (1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Paizay-le-Sec est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Paizay-le-Sec.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[22]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010, par la sécheresse en 2005, 2016, 2017 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].

    Risque technologique

    La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de km se mettent à l'abri[Note 8]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 9] - [25] - [26].

    Histoire

    En 1920, pour célébrer la victoire de la République et du droit des peuples lors de la Première Guerre mondiale, un arbre de la liberté est planté, un acacia[27].

    Au cours de son histoire, le nom du bourg a évolué de Pesay le Sec en 1793 à Paizé-le-Sec en 1801.

    Héraldique

    Blason de Paizay-le-Sec Blason
    Parti : au 1er de gueules à saint Hilaire évêque d'argent, au 2e d'or au dragon de sinople armé et couronné de gueules ; le tout sommé d'un chef de sable chargé de trois croisettes d'or.
    Devise
    Sicca vere generosa certe
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté de communes du Pays Chauvinois.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    réélu mars 1989 1995 Colbert Pascaud
    mars 1995 2001 Claude Gourmaud
    mars 2001 réélu en 2008 Robert Coulot
    mars 2014 réélu en 2020 Jacques de Crémiers

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2020, la commune comptait 461 habitants[Note 10], en diminution de 2,33 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    903716626796838812809770813
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    820772796756757753776739747
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    786813809718702746783751748
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    660581482380367371410418460
    2014 2019 2020 - - - - - -
    472458461------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La densité de population de la commune est de 12 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (INSEE- 2008).

    Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Paizay le Sec ont été publiées en 2015. Il ressort que la mairie administre une population totale de 486 personnes desquelles il faut soustraire les 18 habitants des résidences secondaires pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 468 habitants.

    Enseignement

    La commune de Paizay-le-Sec dépend de l'Académie de Poitiers et les écoles primaires de la commune dépendent de l'Inspection académique de la Vienne. Elle possède encore une école primaire publique qui accueille 18 élèves.

    Sports

    Économie

    Agriculture

    Selon la Direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[33], le nombre d'exploitations agricoles a augmenté pour passer de 21 en 2000 à 22 en 2010. Paizay-le-Sec est une des rares communes du département de la Vienne qui a vu le nombre d'exploitations agricoles augmentés contrairement à la tendance générale.

    Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté et sont passées de 2 574 hectares en 2000 à 2 630 hectares en 2010. 53 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 33 % pour les oléagineux (colza et tournesol à parts égales), 6 % pour le fourrage et moins de 1 % reste en herbes. En 2000,2 hectares (0 en 2010) étaient consacrés à la vigne[33].

    3 exploitations en 2010 (contre 4 en 2000) abritent un élevage de bovins (422 têtes en 2010 contre 381 têtes en 2000). Les élevages de volailles et d'ovins ont disparu au cours de cette décennie[33]. La disparition de l'élevage d'ovins est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[34].

    Emplois et activité

    Le taux de chômage en 2004 était de 7,3 % et en 1999 il était de 14,1 %.

    Les retraités et les préretraités représentaient 22,4 % de la population en 2004 et 24 % en 1999.

    Le taux d'activité était de 78,9 % en 2004 et de 70 % en 1999.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Famille de Drac

    Le patrimoine religieux

    • Petite église Saint-Hilaire du XIe siècle, dont la clef de la porte du côté sud porte la date de 1598, surmontée d'un double blason aux armes de la famille du Drac : « D'or à un dragon de sinople, lampassé et couronné de gueules ». Charles puis, Pierre du Drac furent seigneurs de la Clairbaudière[35] - [36]. Plusieurs fois remaniée, agrandie, ou restaurée, on y entre aujourd'hui par une porte sur la façade ouest dont le linteau porte la date de 1820. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[37].
    • l'égliseporte latérale suddétail de la clé
      l'église
      porte latérale sud
      détail de la clé

    Le patrimoine civil

    • Le Logis de Champagne est inscrit depuis 2007 comme monument historique pour ses communs, sa ferme, son pigeonnier et son logis.
    • À quelques hectomètres du bourg, le "château" des Clairbaudières s'orne d'une des dernières éoliennes Bollée de la région (tardive, sur pylône à base carrée) à distributeur.
      Château des Clairbaudières d'origine 13e, remanié 19e

    Corps de bâtiment ancien encadré de 2 tours rondes en poivrière, mentionnées en 1260 relevant de la baronnie de Montmorillon.

    • L'éolienne Bollée...
      L'éolienne Bollée...
    • ...et son rotor
      ...et son rotor

    Le patrimoine naturel

    À quelques kilomètres au nord-est de Chauvigny, la forêt de Mareuil est une zone classée d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[38]. C’est un massif boisé de plus de 600 hectares qui est à cheval sur 4 communes : Chauvigny, Lauthiers, Fleix, Paizay-le-Sec. La forêt recouvre un plateau limoneux à topographie très uniforme. En effet, l’altitude moyenne est de l’ordre de 130 m et la foret est dépourvu de tout accident de relief significatif. Le substrat est constitué par des limons profonds sur argile tertiaire remaniée qui ont donné naissance à des sols limoneux ou limono-sableux, acides et hydromorphes. Le peuplement forestier est composé de chênes mêlés à quelques hêtres. Il est traité en futaie et il est en cours d’artificialisation par l’introduction, par l’homme, à des fins d’exploitation, de résineux et de chênes américains. Un important réseau de mares et de fossés vient diversifier cet ensemble.

    La forêt de Mareuil abrite 9 espèces d’amphibiens, parmi lesquelles 5 sont protégées en France : Le crapaud calamite, la rainette verte, le triton crêté, le triton marbré et le triton alpestre. C’est l’unique station pour toute la région Poitou-Charentes de cette dernière espèce. Le triton alpestre est un amphibien du nord et du centre de l’Europe, qui ne franchit pas, normalement, la vallée de la Loire vers le sud-ouest en France. Le Triton alpestre, dont le mâle est reconnaissable à son ventre orange vif non taché, fréquente toutes sortes de points d’eaux dormantes comme les mares, les étangs, les lacs, les ornières forestières ou les fossés. Son régime alimentaire est très éclectique et s’adapte largement aux proies disponibles (diverses larves et invertébrés aquatiques). En phase terrestre, le Triton alpestre se cache durant la journée sous des pierres, des tas de bois ou dans des souches pourries.

    La forêt de Mareuil abrite, aussi, une avifaune remarquable puisqu’elle comprend une riche collection d’oiseaux sylvicoles, notamment avec la présence simultanée des quatre espèces régionales de pouillots, dont le pouillot siffleur et le pouillot fitis ; des deux roitelets, dont le roitelet huppé, peu fréquent en tant que nicheur dans les forêts régionales. Mais c’est surtout chez les picidés et les rapaces que se trouvent les éléments les plus originaux : parmi les premiers, on note la présence du pic mar et du pic noir, deux espèces inféodées aux vieilles futaies, alors que les seconds comptent l’autour des palombes, un hôte farouche des grands massifs forestiers et le busard Saint-Martin.

    Il est possible de voir d’autres oiseaux tels que : l'alouette lulu, le bouvreuil pivoine, l'engoulevent d’Europe, la mésange huppée, le pigeon colombin ou le rougequeue à front blanc.

    La forêt de Mareuil accueille aussi une colonie de martres, animaux protégés en France.

    Personnalités liées à la commune

    • Clerbaud (Guy) chevalier, seigneur des Clairbaudieres 1260[39].
    • Pierre-Célestin (Godefroy) Chicard, né le , à Paizay-le-Sec (Vienne). CHEVALIER APOTRE, Missionnaire au Yun-Nan.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Le périmètre de km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
    9. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Chauvigny-Mareu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Paizay-le-Sec et Chauvigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Chauvigny-Mareu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Paizay-le-Sec et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Paizay-le-Sec », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    25. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    27. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 224
    28. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    34. Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
    35. Histoire du château des clairbaudieres
    36. La Famille de Pierres sur Wikibooks
    37. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//IA00045394
    38. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011
    39. clerbaud paizay le sec

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.