AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Morlhon-le-Haut

Morlhon-le-Haut [mɔʁjɔ̃ lə o] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Aveyron en rĂ©gion Occitanie.

Morlhon-le-Haut
Morlhon-le-Haut
L'église Saint-Ferréol.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Ouest Aveyron Communauté
Maire
Mandat
Philippe Guilhen
2020-2026
Code postal 12200
Code commune 12159
DĂ©mographie
Gentilé Morlhonais(e)
Population
municipale
556 hab. (2020 en diminution de 2,28 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 25 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 19â€Č 32″ nord, 2° 03â€Č 47″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 591 m
Superficie 22,09 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Villefranche-de-Rouergue
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Aveyron et Tarn
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Morlhon-le-Haut
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Morlhon-le-Haut
GĂ©olocalisation sur la carte : Aveyron
Voir sur la carte topographique de l'Aveyron
Morlhon-le-Haut
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Morlhon-le-Haut
Liens
Site web www.morlhon.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Morlhon-le-Haut.

    La commune est drainée par l'Aveyron, la SerÚne, la Doulouse, le ruisseau de Marmont, le ruisseau de DauquiÚs, le ruisseau de Pouget et par divers petits cours d'eau[1].

    L'Aveyron, d'une longueur totale de 290,6 km, prend sa source dans la commune de SĂ©vĂ©rac d'Aveyron et se jette dans le Tarn Ă  Lafrançaise aprĂšs avoir arrosĂ© 60 communes[2].

    La SerĂšne, d'une longueur totale de 32,2 km, prend sa source dans la commune de Le Bas SĂ©gala et se jette dans l'Aveyron Ă  Saint-AndrĂ©-de-Najac, aprĂšs avoir arrosĂ© 8 communes[3].

    Gestion des cours d'eau

    La gestion des cours d’eau situĂ©s dans le bassin de l’Aveyron est assurĂ©e par l’établissement public d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, crĂ©Ă© le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[4] - [5] - [6].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 007 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type, qui concerne la moitiĂ© ouest du dĂ©partement de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat ocĂ©anique franc et le climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ©. La tempĂ©rature moyenne annuelle est assez Ă©levĂ©e (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[7].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[9]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve Ă  40 km Ă  vol d'oiseau de la commune[10], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  10,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[14].

    Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[15] : Les « VallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'Ă©tendent sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles prĂ©sentent une trĂšs grande diversitĂ© d'habitats et d'espĂšces dans ce vaste rĂ©seau de cours d'eau et de gorges. La prĂ©sence de la Loutre d'Europe et de la moule perliĂšre d'eau douce est Ă©galement d'un intĂ©rĂȘt majeur[16].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Morlhon-le-Haut comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] - [17], les « Pentes boisĂ©es de Villefranche-De-Rouergue » (364,4 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[18] et la « RiviĂšre Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 3] - [17], la « VallĂ©e de l'Aveyron » (14 644 ha), qui s'Ă©tend sur 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[20].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Morlhon-le-Haut est une commune rurale[Note 4] - [21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Morlhon-le-Haut.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (89,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (56 %), prairies (29,2 %), forĂȘts (10,7 %), zones urbanisĂ©es (2,1 %), terres arables (2,1 %)[23].

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© fortement les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvĂ© en fĂ©vrier 2020. La structure porteuse est le PĂŽle d'Ă©quilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment Ouest Aveyron CommunautĂ©, dont la commune est membre[24].

    La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[25].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Morlhon-le-Haut est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  deux risques particuliers, les risques radon et minier[26] - [27].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Morlhon-le-Haut.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de l'Aveyron. Un plan des surfaces submersibles (PSS), premier document cartographique rĂ©glementant l'occupation du sol en zone inondable pour les cours d'eau domaniaux, a Ă©tĂ© Ă©tabli en 1964. Compte tenu du peu d’enjeux exposĂ©s Ă  ces inondations, aucun plan de prĂ©vention du risque d’inondation n’a Ă©tĂ© prescrit[26]. NĂ©anmoins la loi Barnier du confĂšre aux PSS un statut de plan de prĂ©vention des risques (PPR ), les rendant par consĂ©quent opposables au tiers et faisant entrer le territoire de la commune dans le champ d'application de l'obligation d'information des acquĂ©reurs locataires[28].

    Le Plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies dĂ©coupe le dĂ©partement de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et dĂ©finit une sensibilitĂ© des communes Ă  l’alĂ©a feux de forĂȘt (de faible Ă  trĂšs forte). La commune est classĂ©e en sensibilitĂ© faible[29].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une route Ă  fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[30].

    Risques particuliers

    La commune est concernĂ©e par le risque minier, principalement liĂ© Ă  l’évolution des cavitĂ©s souterraines laissĂ©es Ă  l’abandon et sans entretien aprĂšs l’exploitation des mines[31].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon le dossier dĂ©partemental des risques majeurs du dĂ©partement Ă©tabli en 2013, la commune de Morlhon-le-Haut est classĂ©e Ă  risque moyen Ă  Ă©levĂ©[32]. Un dĂ©cret du a modifiĂ© la terminologie du zonage dĂ©finie dans le code de la santĂ© publique[33] et a Ă©tĂ© complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© du portant dĂ©limitation des zones Ă  potentiel radon du territoire français. La commune est dĂ©sormais en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[34].

    Histoire

    Cette commune de 556 habitants porte le nom d’une des plus vieilles familles du Rouergue, qui a marquĂ© de son influence toute la partie ouest de la province.

    Le lieu ( « Mauri loci »), ne vient pas des Sarrasins, mais du nom d'homme romain: "Morilius"[35]. En 1053, en pĂšlerinage Ă  JĂ©rusalem avec sa femme CĂ©cile, sur le tombeau du Christ, soit avant la PremiĂšre croisade, Ozile II de Morlhon, le seigneur du lieu, fit dans un acte rĂ©digĂ© Ă  JĂ©rusalem, une donation pour Ă©lever sur ses terres « rougeĂątres » de l'Aveyron, dans une paroisse qui s'appelait Mauriac, un monastĂšre en l’honneur du Saint-SĂ©pulcre. Le monastĂšre fut construit, puis une Ă©glise en forme de croix grecque. Le lieu prit de l’importance, s’entoura de fortifications, et devint deux siĂšcles plus tard la bastide de Villeneuve d'Aveyron.

    Le fort de Morlhon, berceau de la famille de Morlhon, est situĂ© prĂšs de l'ancienne route royale, sur une Ă©lĂ©vation au rebord du plateau rocheux du SĂ©gala, dominant la vallĂ©e de l’Aveyron et sa faille nord-sud, face au soleil couchant. Ozil II de Morlhon Ă©tant soupçonnĂ© d'ĂȘtre du parti des Albigeois et d'utiliser son chĂąteau comme refuge d’hĂ©rĂ©tiques cathares, celui-ci fut dĂ©truit et brĂ»lĂ© en 1214 par une petite troupe envoyĂ©e par Simon IV de Montfort. En 1224, son hĂ©ritier Pons de Morlhon, chevalier, transigeait avec Milon, Ă©vĂȘque de Rodez, au sujet de la juridiction du chĂąteau de Morlhon, en prĂ©sence de GĂ©raud de Balaguier, Raymond de Belcastel, Arnaud de Cardaillac, Guillaume Gasc, Aimeric de Cassagnes, chevaliers. En 1249, son fils Milon de Morlhon, reconnaĂźt tenir en fief de l'Ă©vĂȘque de Rodez le chĂąteau de Morlhon. Puis, dans le mĂȘme acte, il vend ledit chĂąteau pour 12 000 sous rodanois Ă  l'Ă©vĂȘque Vivian qui n'en prendra possession que plusieurs annĂ©es aprĂšs. En 1260, l’évĂȘque de Rodez Ă©tait devenu le seul propriĂ©taire du site et du chĂąteau.

    Le chùteau fut occupé par les Anglais de 1360 à 1368, puis par les Routiers. Remis en état en 1466, puis à nouveau en 1562, il subit, semble-t-il, un nouvel incendie au XVIIe siÚcle et fut abandonné en ruine.

    De l'ancienne Ă©glise qui Ă©tait situĂ©e au hameau de Morlhon-le-Bas, il ne reste que des ruines. L’église moderne a Ă©tĂ© construite Ă  Morlhon-le-Haut, siĂšge de la commune actuelle. Au sud de la commune, le hameau de Marmont conserve quelques restes d’un bĂątiment rectangulaire, aux angles arrondis, qui serait la nef d’une Ă©glise prĂ©romane.

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune de Morlhon-le-Haut est membre de la Ouest Aveyron Communauté[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Villefranche-de-Rouergue. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[36].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aveyron et Tarn pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la deuxiÚme circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[37].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Morlhon-le-Haut, commune de moins de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin majoritaire plurinominal Ă  deux tours[38] avec candidatures isolĂ©es ou groupĂ©es et possibilitĂ© de panachage[39]. Compte tenu de la population communale, le nombre de siĂšges Ă  pourvoir lors des Ă©lections municipales de 2020 est de 15. La totalitĂ© des quinze candidats en lice[40] est Ă©lue dĂšs le premier tour, le , avec un taux de participation de 56,19 %[41]. Philippe Guilhen est Ă©lu nouveau maire de la commune le [42].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont dĂ©signĂ©s parmi les conseillers municipaux Ă©lus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de siĂšges attribuĂ©s Ă  la commune au sein du conseil communautaire[43]. Un siĂšge est attribuĂ© Ă  la commune au sein de la Ouest Aveyron CommunautĂ©[44].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2014 mai 2020 Jean-Claude Delpérié[45] Agriculteur exploitant
    mai 2020 en cours Philippe Guilhen[45] - [46] Ancien cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[48].

    En 2020, la commune comptait 556 habitants[Note 6], en diminution de 2,28 % par rapport Ă  2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866
    5765539559861 0991 0651 0271 0721 069
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    1 1121 1651 2061 2251 1381 034994976965
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    825824771728714623641585519
    1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2020 -
    491531527547550569557556-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee Ă  partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 242 mĂ©nages fiscaux[Note 7], regroupant 570 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 20 690 â‚Ź[I 5] (20 640 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 6]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    Division200820132018
    Commune[I 7]2,4 %8,6 %4 %
    DĂ©partement[I 8]5,4 %7,1 %7,1 %
    France entiĂšre[I 9]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  323 personnes, parmi lesquelles on compte 74,5 % d'actifs (70,5 % ayant un emploi et 4 % de chĂŽmeurs) et 25,5 % d'inactifs[Note 8] - [I 7]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 1] - [I 10]. Elle compte 148 emplois en 2018, contre 172 en 2013 et 166 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 235, soit un indicateur de concentration d'emploi de 63,1 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 52 %[I 11].

    Sur ces 235 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 66 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 81,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4 % les transports en commun, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

    Secteurs d'activités

    42 établissements[Note 9] sont implantés à Morlhon-le-Haut au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10] - [I 14].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre%%
    Ensemble42
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    1126,2 %(17,7 %)
    Construction921,4 %(13 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    819 %(27,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    716,7 %(12,4 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    511,9 %(12,7 %)
    Autres activités de services24,8 %(7,8 %)

    Le secteur de l'industrie manufacturiĂšre, des industries extractives et autres est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 26,2 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (11 sur les 42 entreprises implantĂ©es Ă  Morlhon-le-Haut), contre 17,7 % au niveau dĂ©partemental[I 15].

    Entreprises

    Les trois entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[51] :

    • ETS Lagarrigue, commerce de gros (commerce interentreprises) de matĂ©riel agricole (26 700 k€)
    • Irri Centre, commerce de gros (commerce interentreprises) de matĂ©riel agricole (1 533 k€)
    • A2G, travaux d'installation Ă©lectrique dans tous locaux (53 k€)

    Agriculture

    La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].

    1988200020102020
    Exploitations75504432
    SAU[Note 12] (ha)1 4751 2981 2671 472

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 75 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] Ă  50 en 2000 puis Ă  44 en 2010[54] et enfin Ă  32 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 57 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[55] - [Carte 4]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 1 475 ha en 1988 Ă  1 472 ha en 2020[Carte 5]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 20 Ă  46 ha[54].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • ChĂąteau des Anglais, site de l'ancien chĂąteau et de l'ancienne Ă©glise de Morlhon, (472 mĂštres) ; le donjon a subsistĂ© jusqu'en 1825, date Ă  laquelle il a Ă©tĂ© dĂ©moli pour construire une nouvelle Ă©glise Ă  Morlhon-le-Haut. Dans les dĂ©combres du chĂąteau, un fragment de dalles couvert d'inscriptions latines a Ă©tĂ© retrouvĂ©.
    • Église Saint-FerrĂ©ol de Morlhon-le-Haut.
    • Église Saint-Loup de Marmont.
    • ChĂąteau de Galdou,
    • ChĂąteau de Garriguet, qui a un jardin d'agrĂ©ment remarquable comprenant un bassin, un escalier et des terrasses construites au (XVIIe siĂšcle) par la famille de Raynaldi.
    • ChĂąteau de GriliĂšres, appartenait Ă  la famille Campmas de Saint-RĂ©my ;
    • ChĂąteau de Kermaria, construit au XIXe siĂšcle en bordure du domaine de Berals.

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (prĂ©f. Claude Penel), Vilafranca : MarciĂšl, Morlhon, La Roqueta, Savinhac, Tolonjac, Valhorlhas / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Vilafranca, Rodez, Mission dĂ©partementale de la culture, coll. « Al canton », , 475 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-55-6, ISSN 1151-8375, BNF 38977243)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
    • Cartes
    1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Morlhon-le-Haut » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Morlhon-le-Haut » (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Morlhon-le-Haut » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Morlhon-le-Haut » (consulté le ).
    12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Morlhon-le-Haut » (consulté le ).
    15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

    Autres sources

    1. « Fiche communale de Morlhon-le-Haut », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « l'Aveyron »
    3. Sandre, « la SerÚne »
    4. « EPAGE Aveyron amont », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    5. « Aveyron amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    6. site officiel du SMB2
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    8. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le )
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. « Orthodromie entre Morlhon-le-Haut et Rodez », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du MinistÚre de la transition écologique et solidaire (consulté le )
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Morlhon-le-Haut », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000FR7301631 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Morlhon-le-Haut », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « Pentes boisées de Villefranche-De-Rouergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    19. « ZNIEFF la « RiviÚre Aveyron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    20. « ZNIEFF la « Vallée de l'Aveyron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    21. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    24. « Le SCOT du Centre Ouest Aveyron - documents », sur http://scot-centre-ouest-aveyron.proscot-eau.fr/ (consulté le )
    25. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/ (consulté le )
    26. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Liste des risques par commune », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
    27. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Morlhon-le-Haut », sur Géorisques (consulté le )
    28. « Plan des surfaces submersibles », sur http://www.yonne.gouv.fr/ (consulté le )
    29. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forĂȘt », sur le site de la prĂ©fecture dĂ©partementale (consultĂ© le )
    30. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Transport de matiÚres dangereuses », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
    31. [PDF]« Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque minier », sur le site de la prĂ©fecture de l’Aveyron (consultĂ© le )
    32. [PDF]« Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la prĂ©fecture de l’Aveyron (consultĂ© le )
    33. « Article R1333-29 du code de la Santé publique », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    34. « ArrĂȘtĂ© du 27 juin 2018 portant dĂ©limitation des zones Ă  potentiel radon du territoire français », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consultĂ© le )
    35. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux de France, Larousse, 1963 (BNF 33159244) ; réédition Librairie Guénégaud, 1989, (BNF 37370106)
    36. « Ouest Aveyron Communauté - fiche descriptive au 10 octobre 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    37. « Découpage électoral de l'Aveyron (avant et aprÚs la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    38. Article L. 252 du Code Ă©lectoral
    39. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le )
    40. « Candidatures au 1er tour pour Morlhon-le-Haut », sur site du ministÚre de l'Intérieur (consulté le ).
    41. « Résultats du 1er tour pour Morlhon-le-Haut », sur le site du MinistÚre de l'Intérieur (consulté le )
    42. « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur https://www.data.gouv.fr/ (consulté le )
    43. « Conseillers communautaires : les rÚgles de l'élection », sur https://www.vie-publique.fr/ (consulté le )
    44. « Les élus de l'intercommunalité », sur https://www.ouestaveyron.fr/ (consulté le )
    45. « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
    46. « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'État (consultĂ© le )
    47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    51. « Entreprises à Morlhon-le-Haut », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    52. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    53. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    54. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Morlhon-le-Haut - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    55. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.