Montreuil-sur-BrĂȘche
Montreuil-sur-BrĂȘche est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Oise, en rĂ©gion Hauts-de-France.
Montreuil-sur-BrĂȘche | |||||
La ferme fortifiée de Ponceaux. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Patrick Guibon 2020-2026 |
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Code postal | 60480 | ||||
Code commune | 60425 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Montreuillois, Montreuilloises | ||||
Population municipale |
483 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 30âČ 31âł nord, 2° 16âČ 33âł est | ||||
Altitude | Min. 90 m Max. 164 m |
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Superficie | 10,53 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Ses habitants sont appelés les Montreuillois et les Montreuilloises.
GĂ©ographie
Localisation
Montreuil-sur-BrĂȘche est une commune situĂ©e Ă 72 km au nord de Paris, 16 km Ă l'est de Beauvais, 41 km Ă l'ouest de CompiĂšgne et Ă 43 km au sud d'Amiens[1].
Topographie et géologie
La commune se situe dans la vallĂ©e de la BrĂȘche, qui entaille le plateau picard d'ouest en est. Le territoire culmine Ă 164 mĂštres d'altitude Ă proximitĂ© du calvaire du Sion Ă©tabli sur la commune limitrophe du Quesnel-Aubry, sur le versant nord plus Ă©levĂ© que le versant mĂ©ridional. Le point le plus bas, Ă 91 mĂštres se trouve au lieu oĂč la BrĂȘche entre sur la commune d'Essuiles. Le relief communal est marquĂ© par la prĂ©sence de vallĂ©es sĂšches de part et d'autre de ce cours d'eau, surtout sur le versant nord de la vallĂ©e : vallĂ©es Guillot et fond de l'ArgiliĂšre Ă l'ouest; vallĂ©es de CrĂšme, de Noirtreux et du Champ des Pierres au nord, vallĂ©es Chopinette, de Bucamps et de Ponceau Ă l'est. Enfin, l'Ă©tude altitudinale des principaux lieux nous permet de situer le village entre 95 et 110 mĂštres, le hameau de Couvrement autour de 100 mĂštres au-dessus du niveau de la mer[2].
Montreuil-sur-BrĂȘche se trouve en zone de sismicitĂ© 1, c'est-Ă -dire trĂšs faiblement exposĂ©e aux risques de tremblement de terre[3].
Hydrographie et eau potable
La commune est traversĂ©e la BrĂȘche, sous-affluent de la Seine prenant sa source Ă Reuil-sur-BrĂȘche et confluant dans l'Oise Ă Creil.
L'ensemble des talwegs conduisent les eaux de ruissellement vers ce cours d'eau. Un étang a été creusé au sud du chef-lieu dans le fond de la vallée. La présence d'une activité agricole est à l'origine de plusieurs réservoirs et mares sur le territoire, notamment dans le village et à Couvremont. Une station d'épuration a été établie prÚs du stade[2]. Les zones les plus basses du territoire dans le fond des vallons sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4].
Voies de communications et transports
La commune forme le point de rencontre entre quatre routes départementales : la RD 125, la RD 151, la RD 539 et la RD 596.
La route dĂ©partementale 151, reliant Clermont Ă Grandvilliers en constitue la rue principale (rues de Clermont et de Grandvilliers). La route dĂ©partementale 125 dĂ©bute au nord sur la D 151 pour rejoindre Bresles puis Ponchon via les rues de la Maladrerie et du Pont MarĂ©chal. La route dĂ©partementale 539 se dĂ©tache de la D151 pour bifurquer vers Fresnaux et Thieux. Enfin, la route dĂ©partementale 596 se dĂ©tache de la D 151 au sud-est de l'agglomĂ©ration par les rues de Cayen, de l'Ă©glise, de l'abreuvoir puis de Couvremont avant de prendre la direction de Reuil-sur-BrĂȘche. De surcroĂźt, une route communale se dirige vers le village voisin du Quesnel-Aubry[2].
La gare ferroviaire la plus proche est celle de Saint-Just-en-Chaussée à 11 km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille. Depuis la gare de Beauvais, à 16 km on peut accéder à la Paris-Le Tréport[1]
En 2018, la commune est desservie par le rĂ©seau ATRIOM du Beauvaisis du conseil dĂ©partemental de l'Oise par la ligne de transports interurbains 31 reliant Ansauvillers Ă Beauvais ainsi que par plusieurs lignes de transports scolaires vers les collĂšges de CrĂšvecĆur-le-Grand, Froissy et Grandvilliers[5]. Une navette de regroupement pĂ©dagogique intercommunal relie le village aux communes voisines du Quesnel-Aubry et de Bucamps[6].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 13 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 59 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.
Le sentier de grande randonnée GR 124, balisé de Cires-lÚs-Mello dans l'Oise à Rebreuviette dans le Pas-de-Calais traverse la commune d'est en ouest depuis la vallée de Bucamps, par la ferme de Poneaux dans le village jusqu'au fond de l'ArgiliÚre.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944[13] et qui se trouve Ă 13 km Ă vol d'oiseau[14] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[16], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels
Hormis les espaces bĂątis couvrant 40 hectares pour 3,7 % de la surface communale, la surface territoriale est trĂšs majoritairement consacrĂ© Ă l'activitĂ© agricole (80 % d'espaces cultivĂ©s sur 391 hectares) auquel on peut ajouter 20 hectares de vergers et de prairies ainsi que 8 hectares de pelouses sur sol calcaire. Les espaces boisĂ©s s'Ă©tendent sur 143 hectares pour plus de 13 % de la surface communale. Ils sont reprĂ©sentĂ©s par les bois de l'Abbaye et Lebaut au nord, du Parc et de Jardinet au sud ainsi que par quelques espaces marĂ©cageux dans la vallĂ©e de la BrĂȘche[18] - [2].
La vallĂ©e de la BrĂȘche constitue une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de type 1 inscrite dans l'ensemble du rĂ©seau de cours d'eau salmonicoles du plateau picard entre Beauvais et CompiĂšgne[19].
Urbanisme
Typologie
Montreuil-sur-BrĂȘche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [20] - [21] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23] - [24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (83,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (76,6 %), forĂȘts (10,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,8 %), zones urbanisĂ©es (6 %)[25].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[26].
Hameaux et lieux-dits
L'espace bĂąti se concentre principalement au chef-lieu. La commune ne compte qu'un seul hameau, Couvremont Ă l'ouest[2].
Morphologie urbaine
Le village est de type village rue, habituel dans la région. Sa formation résulte de la réunion du pÎle ancien (prieuré, ferme de Poneaux) et du secteur de l'église qui ne font aujourd'hui plus qu'un. Le hameau de Couvremont, construit dans le prolongement de la rue de l'église ne forme plus qu'une seule agglomération avec le village[2].
Toponymie
La commune a pour étymologie « Monasteriolum » en 1040[27].
Histoire
La seigneurie de Montreuil a appartenu aux Paris, seigneurs de La Brosse.
Lors de la guerre de Cent Ans, le village est mis Ă sac en 1472[28].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Froissy[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la BrÚche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[30], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s[31], et notamment celle de CrĂšvecĆur-le-Grand (CCC) et celle des VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalitĂ© de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[32].
AprÚs avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[33], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [34].
Liste des maires
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[40].
En 2020, la commune comptait 483 habitants[Note 7], en diminution de 7,65 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 34,3 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 21,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 242 hommes pour 241 femmes, soit un taux de 50,1 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăquipements
Le village a dĂ©cidĂ© en 2018 de se doter d'une nouvelle salle des fĂȘtes, dont la mise en srvice est escomptĂ©e en 2020/2021[44].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La ferme de Ponceaux (XVIIe siĂšcle) : ferme ayant appartenu aux moines d'une abbaye, elle prĂ©sente deux tourelles d'entrĂ©e, reste de l'ancien chĂąteau fortifiĂ© de Montreuil. La BrĂȘche alimenta pendant plusieurs siĂšcles les douves du chĂąteau fort[45]. La conciergerie, la grange, l'Ă©difice agricole et les deux tours font l'objet d'une inscription aux titre des monuments historiques depuis le 1969[46].
- L'église Saint-Pierre, datant de 1477, avec voûtes et clocher en bois[47]. Une peinture sur bois de l'édifice y est classée monument historique[48].
- Chapelle Saint-Jean de Couvremont
- Chapelle Saint-Prix, rue de Grandvilliers
- Chapelle JĂ©sus-Maria, rue de l'Abreuvoir
- La Grange, lieu d'exposition consacré à la photographie géré par l'association Diaphane[49].
Personnalités liées à la commune
- Philippe HonorĂ© dit HonorĂ© (1941-2015), dessinateur humoristique et politique assassinĂ© dans les locaux de Charlie Hebdo avait une rĂ©sidence Ă Montreuil-sur-BrĂȘche. L'Ă©cole municipale porte dĂ©sormais son nom[50].
- Nolan Roux, footballeur français professionnel, a grandi Ă Montreuil-sur-BrĂȘche
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Montreuil-sur-BrĂȘche sur le site de l'Institut gĂ©ographique national
- « Dossier complet : Commune de Montreuil-sur-BrĂȘche (60425) », Recensement gĂ©nĂ©ral de la population de 2016, INSEE, (consultĂ© le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[10].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 26 juin 2018)..
- « GĂ©orisques : Mieux connaĂźtre les risques sur le territoire - Montreuil-sur-BrĂȘche », sur www.georisques.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Transports en commun au Quesnel-Aubry (carte, lignes et arrĂȘts) », sur Oise mobilitĂ© (consultĂ© le ).
- « Navette de Regroupement Pédagogique Intercommunal », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montreuil-sur-BrĂȘche et TillĂ© », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « SynthÚse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « RĂ©seau de cours d'eau salmonicoles du plateau picard entre Beauvais et CompiĂšgne : Laversines, Aronde et BrĂȘche, fiche znieff dĂ©taillĂ©e », sur inpn.mnhn.fr (consultĂ© le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Charles Rostaing, Albert Dauzat, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 1 vol. (XII-738-XXIII p.), p. 448.
- « Le siÚge de Beauvais (1472) », sur Gallica, (consulté le ).
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- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalitĂ© Ă fiscalitĂ© propre au », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers,â , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautĂ©s de communes est dĂ©finitive », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3417,â , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautĂ©s de communes ou dâagglomĂ©ration ont tous recueilli une majoritĂ© favorable ; ils pourront ainsi tous ĂȘtre conduits Ă leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3430,â , p. 17.
- « La secrĂ©taire aura travaillĂ© avec trois maires », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3587,â , p. 20.
- Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Bonhomme picard du 26 mars 2008
- « Patrick Guibon Ă©lu maire de la commune », Le Bonhomme Picard, Ă©dition de Grandvilliers,â , p. 16.
- « Patrick Guibon reconduit Ă la tĂȘte de la mairie », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3283,â , p. 24.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montreuil-sur-BrĂȘche (60425) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
- « Il y aura une nouvelle salle des fĂȘtes Ă Montreuil-sur-BrĂȘche », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Cahiers de l'EcomusĂ©e, numĂ©ro spĂ©cial (1987) : la BrĂȘche et ses moulins par la vallĂ©e dorĂ©e, page 6-7
- « Ferme de Ponceaux ou Poneaux », notice no PA00114759, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Dominique Vermand, « Montreuil-sur-BrĂȘche, Ă©glise Saint-Pierre », DiocĂšse : Beauvais, Ăglises de l'Oise - Art roman et gothique (consultĂ© le ).
- « Peinture sur bois », notice no PM60003474, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
- Voir http://fr.actuphoto.com/p/la-grange.
- Gontran Giraudeau, « Montreuil-sur-BrĂȘche (60) : un hommage Ă HonorĂ© prĂ©vu lundi : Les habitants de Montreuil-sur-BrĂȘche (60) rendront hommage lundi Ă Philippe HonorĂ©, victime de l'attaque meurtriĂšre Ă Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, devant l'Ă©cole qui porte dĂ©sormais son nom. Le dessinateur avait une rĂ©sidence secondaire dans la commune. », France 3 Hauts-de-France,â (lire en ligne).