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Montreuil-sur-BrĂȘche

Montreuil-sur-BrĂȘche est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Oise, en rĂ©gion Hauts-de-France.

Montreuil-sur-BrĂȘche
Montreuil-sur-BrĂȘche
La ferme fortifiée de Ponceaux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Patrick Guibon
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60425
DĂ©mographie
Gentilé Montreuillois, Montreuilloises
Population
municipale
483 hab. (2020 en diminution de 7,65 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 46 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 30â€Č 31″ nord, 2° 16â€Č 33″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 164 m
Superficie 10,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Montreuil-sur-BrĂȘche
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Montreuil-sur-BrĂȘche
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Montreuil-sur-BrĂȘche
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Montreuil-sur-BrĂȘche

    Ses habitants sont appelés les Montreuillois et les Montreuilloises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Communes limitrophes de la commune de Montreuil-sur-BrĂȘche.

    Montreuil-sur-BrĂȘche est une commune situĂ©e Ă  72 km au nord de Paris, 16 km Ă  l'est de Beauvais, 41 km Ă  l'ouest de CompiĂšgne et Ă  43 km au sud d'Amiens[1].

    Communes limitrophes de Montreuil-sur-BrĂȘche
    Noyers-Saint-Martin Bucamps
    Reuil-sur-BrĂȘche Montreuil-sur-BrĂȘche Le Quesnel-Aubry
    Haudivillers Essuiles

    Topographie et géologie

    La commune se situe dans la vallĂ©e de la BrĂȘche, qui entaille le plateau picard d'ouest en est. Le territoire culmine Ă  164 mĂštres d'altitude Ă  proximitĂ© du calvaire du Sion Ă©tabli sur la commune limitrophe du Quesnel-Aubry, sur le versant nord plus Ă©levĂ© que le versant mĂ©ridional. Le point le plus bas, Ă  91 mĂštres se trouve au lieu oĂč la BrĂȘche entre sur la commune d'Essuiles. Le relief communal est marquĂ© par la prĂ©sence de vallĂ©es sĂšches de part et d'autre de ce cours d'eau, surtout sur le versant nord de la vallĂ©e : vallĂ©es Guillot et fond de l'ArgiliĂšre Ă  l'ouest; vallĂ©es de CrĂšme, de Noirtreux et du Champ des Pierres au nord, vallĂ©es Chopinette, de Bucamps et de Ponceau Ă  l'est. Enfin, l'Ă©tude altitudinale des principaux lieux nous permet de situer le village entre 95 et 110 mĂštres, le hameau de Couvrement autour de 100 mĂštres au-dessus du niveau de la mer[2].

    Montreuil-sur-BrĂȘche se trouve en zone de sismicitĂ© 1, c'est-Ă -dire trĂšs faiblement exposĂ©e aux risques de tremblement de terre[3].

    Hydrographie et eau potable

    La commune est traversĂ©e la BrĂȘche, sous-affluent de la Seine prenant sa source Ă  Reuil-sur-BrĂȘche et confluant dans l'Oise Ă  Creil.

    L'ensemble des talwegs conduisent les eaux de ruissellement vers ce cours d'eau. Un étang a été creusé au sud du chef-lieu dans le fond de la vallée. La présence d'une activité agricole est à l'origine de plusieurs réservoirs et mares sur le territoire, notamment dans le village et à Couvremont. Une station d'épuration a été établie prÚs du stade[2]. Les zones les plus basses du territoire dans le fond des vallons sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4].

    Voies de communications et transports

    La commune forme le point de rencontre entre quatre routes départementales : la RD 125, la RD 151, la RD 539 et la RD 596.

    La route dĂ©partementale 151, reliant Clermont Ă  Grandvilliers en constitue la rue principale (rues de Clermont et de Grandvilliers). La route dĂ©partementale 125 dĂ©bute au nord sur la D 151 pour rejoindre Bresles puis Ponchon via les rues de la Maladrerie et du Pont MarĂ©chal. La route dĂ©partementale 539 se dĂ©tache de la D151 pour bifurquer vers Fresnaux et Thieux. Enfin, la route dĂ©partementale 596 se dĂ©tache de la D 151 au sud-est de l'agglomĂ©ration par les rues de Cayen, de l'Ă©glise, de l'abreuvoir puis de Couvremont avant de prendre la direction de Reuil-sur-BrĂȘche. De surcroĂźt, une route communale se dirige vers le village voisin du Quesnel-Aubry[2].

    La gare ferroviaire la plus proche est celle de Saint-Just-en-ChaussĂ©e Ă  11 km Ă  l'est, sur la ligne de Paris-Nord Ă  Lille. Depuis la gare de Beauvais, Ă  16 km on peut accĂ©der Ă  la Paris-Le TrĂ©port[1]

    En 2018, la commune est desservie par le rĂ©seau ATRIOM du Beauvaisis du conseil dĂ©partemental de l'Oise par la ligne de transports interurbains 31 reliant Ansauvillers Ă  Beauvais ainsi que par plusieurs lignes de transports scolaires vers les collĂšges de CrĂšvecƓur-le-Grand, Froissy et Grandvilliers[5]. Une navette de regroupement pĂ©dagogique intercommunal relie le village aux communes voisines du Quesnel-Aubry et de Bucamps[6].

    L'aĂ©roport de Beauvais-TillĂ© se trouve Ă  13 km Ă  l'ouest[1] et l'aĂ©roport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe Ă  59 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aĂ©roports.

    Le sentier de grande randonnée GR 124, balisé de Cires-lÚs-Mello dans l'Oise à Rebreuviette dans le Pas-de-Calais traverse la commune d'est en ouest depuis la vallée de Bucamps, par la ferme de Poneaux dans le village jusqu'au fond de l'ArgiliÚre.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 682 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944[13] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[16], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels

    Hormis les espaces bĂątis couvrant 40 hectares pour 3,7 % de la surface communale, la surface territoriale est trĂšs majoritairement consacrĂ© Ă  l'activitĂ© agricole (80 % d'espaces cultivĂ©s sur 391 hectares) auquel on peut ajouter 20 hectares de vergers et de prairies ainsi que 8 hectares de pelouses sur sol calcaire. Les espaces boisĂ©s s'Ă©tendent sur 143 hectares pour plus de 13 % de la surface communale. Ils sont reprĂ©sentĂ©s par les bois de l'Abbaye et Lebaut au nord, du Parc et de Jardinet au sud ainsi que par quelques espaces marĂ©cageux dans la vallĂ©e de la BrĂȘche[18] - [2].

    La vallĂ©e de la BrĂȘche constitue une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de type 1 inscrite dans l'ensemble du rĂ©seau de cours d'eau salmonicoles du plateau picard entre Beauvais et CompiĂšgne[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Montreuil-sur-BrĂȘche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [20] - [21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (83,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (76,6 %), forĂȘts (10,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,8 %), zones urbanisĂ©es (6 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[26].

    Hameaux et lieux-dits

    L'espace bĂąti se concentre principalement au chef-lieu. La commune ne compte qu'un seul hameau, Couvremont Ă  l'ouest[2].

    Morphologie urbaine

    Le village est de type village rue, habituel dans la région. Sa formation résulte de la réunion du pÎle ancien (prieuré, ferme de Poneaux) et du secteur de l'église qui ne font aujourd'hui plus qu'un. Le hameau de Couvremont, construit dans le prolongement de la rue de l'église ne forme plus qu'une seule agglomération avec le village[2].

    Toponymie

    La commune a pour étymologie « Monasteriolum » en 1040[27].

    Histoire

    La seigneurie de Montreuil a appartenu aux Paris, seigneurs de La Brosse.

    Lors de la guerre de Cent Ans, le village est mis Ă  sac en 1472[28].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Froissy[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la BrÚche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[30], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s[31], et notamment celle de CrĂšvecƓur-le-Grand (CCC) et celle des VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalitĂ© de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[32].

    AprÚs avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[33], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [34].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 M. Parmentier[35]
    juin 1995[35] 2011[36] Robert Cadas Décédé en fonction
    24 février 2012[37] En cours
    (au 29 janvier 2020)
    Patrick Guibon RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020[38]

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[40].

    En 2020, la commune comptait 483 habitants[Note 7], en diminution de 7,65 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    781752860840820821813779787
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    772707693684621599613586585
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    550508486448437415414431468
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    398418444408380440521531494
    2020 - - - - - - - -
    483--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  34,3 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 21,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 242 hommes pour 241 femmes, soit un taux de 50,1 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,9
    5,5
    75-89 ans
    8,2
    13,9
    60-74 ans
    14,0
    24,6
    45-59 ans
    21,9
    18,5
    30-44 ans
    23,9
    18,4
    15-29 ans
    14,5
    19,0
    0-14 ans
    16,7
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Équipements

    Le village a dĂ©cidĂ© en 2018 de se doter d'une nouvelle salle des fĂȘtes, dont la mise en srvice est escomptĂ©e en 2020/2021[44].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La ferme de Ponceaux.
    • La ferme de Ponceaux (XVIIe siĂšcle) : ferme ayant appartenu aux moines d'une abbaye, elle prĂ©sente deux tourelles d'entrĂ©e, reste de l'ancien chĂąteau fortifiĂ© de Montreuil. La BrĂȘche alimenta pendant plusieurs siĂšcles les douves du chĂąteau fort[45]. La conciergerie, la grange, l'Ă©difice agricole et les deux tours font l'objet d'une inscription aux titre des monuments historiques depuis le 1969[46].
    • L'Ă©glise Saint-Pierre, datant de 1477, avec voĂ»tes et clocher en bois[47]. Une peinture sur bois de l'Ă©difice y est classĂ©e monument historique[48].
    • Chapelle Saint-Jean de Couvremont
    • Chapelle Saint-Prix, rue de Grandvilliers
    • Chapelle JĂ©sus-Maria, rue de l'Abreuvoir
    • La Grange, lieu d'exposition consacrĂ© Ă  la photographie gĂ©rĂ© par l'association Diaphane[49].

    Personnalités liées à la commune

    • Philippe HonorĂ© dit HonorĂ© (1941-2015), dessinateur humoristique et politique assassinĂ© dans les locaux de Charlie Hebdo avait une rĂ©sidence Ă  Montreuil-sur-BrĂȘche. L'Ă©cole municipale porte dĂ©sormais son nom[50].
    • Nolan Roux, footballeur français professionnel, a grandi Ă  Montreuil-sur-BrĂȘche

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[10].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 26 juin 2018)..
    3. « GĂ©orisques : Mieux connaĂźtre les risques sur le territoire - Montreuil-sur-BrĂȘche », sur www.georisques.gouv.fr (consultĂ© le ).
    4. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    5. « Transports en commun au Quesnel-Aubry (carte, lignes et arrĂȘts) », sur Oise mobilitĂ© (consultĂ© le ).
    6. « Navette de Regroupement Pédagogique Intercommunal », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    13. « Station météofrance Beauvais-Tillé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Montreuil-sur-BrĂȘche et TillĂ© », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « SynthÚse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    19. « RĂ©seau de cours d'eau salmonicoles du plateau picard entre Beauvais et CompiĂšgne : Laversines, Aronde et BrĂȘche, fiche znieff dĂ©taillĂ©e », sur inpn.mnhn.fr (consultĂ© le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
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