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Noyers-Saint-Martin

Noyers-Saint-Martin est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Noyers-Saint-Martin
Noyers-Saint-Martin
La mairie, avant son extension de 2019
Blason de Noyers-Saint-Martin
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Jacques Teinielle
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60470
Démographie
Gentilé Nucériens, Nucériennes
Population
municipale
903 hab. (2020 en augmentation de 16,52 % par rapport à 2014)
Densité 68 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 33′ 13″ nord, 2° 15′ 46″ est
Altitude Min. 118 m
Max. 179 m
Superficie 13,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
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Noyers-Saint-Martin
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Noyers-Saint-Martin
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Noyers-Saint-Martin
Liens
Site web http://www.noyers-saint-martin.fr

    Ses habitants sont appelés les Nucériens et les Nucériennes.

    Géographie

    Localisation

    Noyers-Saint-Martin est un bourg rural picard du beauvaisis situé sur la route Froissy - Clermont (RD 151), aisément accessible depuis l'ex-RN 1 (actuelle RD 1001), situé à 21 km au nord-est de Beauvais et à 38 km au sud d'Amiens.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 723 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 15 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Noyers-Saint-Martin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,6 %), zones urbanisées (6,5 %), forêts (4,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

    La gare du chemin de fer secondaire

    Des monnaies gauloises ont été retrouvées en 1838 à la ferme de Gouy[21] - [22].

    Non loin de la voie romaine reliant Beauvais à Paillart par Vendeuil-Caply qui traversait l'emplacement de ce qui allai devenir le village[23], ont été retrouvées des médailles de César Auguste et de Néron, en or[21].

    Au Moyen Âge existait un château fort, qui a été démoli en 1662[24].

    Le bourg a été desservi par la ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand, chemin de fer secondaire qui circula de 1891 à 1961, à la suite d'expropriations intervenues en 1890[25]. On ne voit plus de traces de cette ligne dans la commune.

    Une base des transmissions de l'armée de l'air existait dans la commune. Après sa désaffectation, son site abrite le cimetière militaire soviétique de Noyers-Saint-Martin[26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Froissy[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[28], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[29], et notamment celle de CrèvecÅ“ur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[30].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[31], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [32].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    février 1837 Antoine Stanislas Peaucellier
    janvier 1839 Florentin Budin
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001[34] 2014 Jean-Paul Matrot Chef d'entreprise[35]
    mars 2014[36] En cours
    (au 16 octobre 2019)
    Jacques Teinielle

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2020, la commune comptait 903 habitants[Note 8], en augmentation de 16,52 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    759740795808850834818730761
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    728703656649635627583574579
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    578591566577553576561513595
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    566593604589657709734738769
    2017 2020 - - - - - - -
    863903-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 443 hommes pour 426 femmes, soit un taux de 50,98 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    0,7
    6,1
    75-89 ans
    7,3
    16,3
    60-74 ans
    12,7
    19,8
    45-59 ans
    19,6
    18,4
    30-44 ans
    20,1
    15,9
    15-29 ans
    17,7
    23,0
    0-14 ans
    21,8
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Équipements

    L'école.
    Le bureau de poste.

    La mairie a été agrandie, réaménagée et rendue accessible aux personnes handicapées à l'automne 2019, pour un coût de 190 742 â‚¬, dont une partie proviennent du Département et de l'État[42].

    En 2019, la commune dispose d'un bureau de poste[43].

    Économie

    L'usine Matrot en 2016.

    Matrot Équipements, qui produit des pulvérisateurs pour l'agriculture, employait en 2013 environ 170 salariés, ce qui en faisait la principale entreprise du canton de Froissy[44]. Sa fermeture est prévue en 2020/2021 dans le cadre d'un plan social plus vaste au sein du groupe Exel industries, maison mère de l'entreprise[45] - [46].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Cimetière militaire soviétique
    À la fin des années 1970, l’État décida de créer une Nécropole nationale de l'Armée rouge à Noyers-Saint-Martin, qui regroupe les corps des soldats tués en France pendant la Seconde Guerre mondiale, jusqu'alors éparpillés en différents endroits de France, .
    Chaque année, un hommage est rendu à ces soldats par les ambassades de Russie, de Biélorussie, du Kazakhstan et des autres républiques de l'ex-URSS [47] - [48].
    • Entrée du cimetière.
      Entrée du cimetière.
    • Tombes du cimetière soviétique.
      Tombes du cimetière soviétique.
    • Église Saint-Martin[49]
    L'église Saint-Martin est un édifice datant du XVIe siècle et remanié au XVIIIe siècle.
    Elle contient un maître-autel du XVIIIe siècle et un Saint-Antoine avec son cochon.
    À l’extérieur est conservée l’ancienne cuve baptismale en pierre – très dégradée – du XIIe siècle.
    • L'église et le monument aux morts
      L'église et le monument aux morts
    • Muches
    Souterrains-refuges ou muches, redécouverts en 1750 : taillés dans la craie et comportant 240 cellules. La seule ouverture retrouvée aboutit sur la petite place de l'église, descendant par une galerie raide, sous une voûte dont l'entrée est murée, le reste étant creusé dans le roc et réalisés sur un plan en forme de croix. Les chambres ont une hauteur comprise entre un et 1,70 m, une largeur moyenne de 1,8 m et une profondeur comprise entre 3 et 5 mètres[21]. Ils ont été condamnés par mesure de sécurité.
    • Autres lieux
    • Plusieurs calvaires et croix de chemin de la commune.
      Plusieurs calvaires et croix de chemin de la commune.
    • Le cimetière.
      Le cimetière.
    • Le château d'eau.
      Le château d'eau.

    Personnalités liées à la commune

    Plaque dédiée à Jean Fayol.

    Le lieutenant du 28e régiment d'infanterie Jean Fayol, né le à Paris dans le 16e arrondissement, ingénieur des arts et manufactures, est « tombé glorieusement pour la France » le lors de la Bataille de France à Noyers-Saint-Martin à l'âge de 28 ans.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    Parti : au 1) burelé ondé d'argent et d'azur de 16 pièces, mantelé d'argent au noyer arraché au naturel posé sur la pointe du mantel, au 2) coupé au I d'argent aux trois lionceaux de gueules et au II d'azur aux trois fleurs de lys d'or.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Albert Delavenne, Une commune du Beauvaisis : Noyers-saint-Martin racontée à ses habitants, Saint-Quentin, Impr. générale, , 172 p..

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Noyers-Saint-Martin et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Noyers-Saint-Martin et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Emmanuel Woillez, Répertoire Archéologique du Département de l'Oise, Paris, Imprimerie Impériale, , 216 p. (lire en ligne), p. 89, lire en ligne sur Gallica.
    22. Emile Cartailhac, Dictionnaire archéologique de la Gaule : époque celtique, t. II, Paris, Imprimerie nationale, , 785 p. (lire en ligne), p. 306, lire en ligne sur Gallica.
    23. Louis Graves, Notice archéologique sur le département de l'Oise : comprenant la liste des monumens de l'époque celtique, de l'époque gallo-romaine et du moyen âge qui subsistent dans l'étendue du pays, Beauvais, Librairie Achille Desjardins, , 236 p. (lire en ligne), p. 100-101, lire en ligne sur Gallica.
    24. Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, Guide pittoresque du voyageur en France : contenant la statistique et la description complète des quatre-vingt-six départements, orné de 740 vignettes et portraits gravés sur acier, de quatre-vingt-six cartes de départements et d'une grande carte routière de la France, t. II, Paris, Firmin Didot, (lire en ligne), p. 31, lire en ligne sur Gallica.
    25. « Etude de Me E. Caillard, avoué à Clermont-(Oise) : Expropriation pour cause d'utilité publique. Chemin de fer d'intérêt local d'Estrées-St-Denis à Froissy, arrondissement de Clermont. Convocation devant le jury pour la fixation des indemnités », (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    26. « Noyers-Saint-Martin : hommage aux victimes soviétiques », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    29. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    30. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
    31. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    32. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
    33. « Les maires de Noyers-Saint-Martin », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    34. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le bonhomme picard du 26 mars 2008
    35. Adeline Daboval, « L'industriel Jean-Paul Matrot relaxé », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
    36. « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283,‎ , p. 24.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Noyers-Saint-Martin (60470) », (consulté le ).
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    42. Sylvue Godin, « Saluée par les administrés - Une mairie devenue une vraie maison commune : Les travaux d'agrandissement de la mairie ont été inaugurés samedi. Ils offrent plus de confort aux élus et un accieuil accru aux administrés », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3572,‎ , p. 20.
    43. « La factrice de Noyers-Saint-Martin est aussi guichetière : Cela fait un an que Delphine Baillou est à la fois factrice et guichetière à la poste de Noyers-Saint-Martin. Ce double poste existe depuis 2015 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    44. Aurélien Tournier, « 35 à 40 emplois menacés à Matrot Équipements », Le Courrier picard, édition Beauvais et sa région,‎ (lire en ligne).
    45. Juliette Duclos, « Noyers-Saint-Martin : « On va se retrouver sans emploi » : Spécialisée dans la fabrication de pulvérisateurs agricoles, l’usine d’Hardi France va fermer d’ici juillet 2021. Une cinquantaine de postes vont être supprimés », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    46. uliette Duclos, « Oise : 18 000 euros d’indemnités pour les 52 salariés licenciés de l’usine Matrot : Ce mercredi, un accord a été conclu entre la direction et les 52 salariés de l’usine basée à Noyers-Saint-Martin, dont la fermeture est prévue en juillet 2020 », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    47. « Hommage aux victimes soviétiques au cimetière de Noyers-Saint-Martin », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
    48. « En souvenir des soldats soviétiques : Hommage a été rendu, en présence des ambassadeurs de Russie, de Biélorussie, du Kazakhstan et des autres républiques de l'ex-URSS, aux soldats soviétiques morts durant la Seconde Guerre mondiale. Pour la première fois, Israël était représenté », Le Courrier picard, édition Clermont, Plateau picard,‎ (lire en ligne).
    49. Dominique Vermand, « Noyers-Saint-Martin, église Saint-Martin », Diocèse de Beauvais, sur Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
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