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Bucamps

Bucamps est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Bucamps
Bucamps
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Francis Menu
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60113
Démographie
Gentilé Bucampois, Bucampoises
Population
municipale
203 hab. (2020 en augmentation de 11,54 % par rapport à 2014)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 23″ nord, 2° 19′ 21″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 169 m
Superficie 5,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Bucamps
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Bucamps
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Bucamps

    Ses habitants sont appelés les Bucampois et les Bucampoises.

    Géographie

    Description

    Bucamps est un village rural lové dans un vallon du Plateau picard dans l'Oise[1] situé à km à l'ouest de Saint-Just-en-Chaussée, à 39 km au nord-ouest de Compiègne, à 20 km au nord-est de Beauvais et à 41 km au sud d'Amiens.

    Il est aiséme,t accessible depuis l'autoroute A16 et les anciennes routes nationales RN 1 et RN 16 (actuelles RD 1001 et 916).

    La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Saint-Just-en-Chaussée desservie par des trains TER de la ligne 27 des TER Hauts-de-France, de Paris-Nord à Amiens.

    La commune est traversée par le méridien de Paris, matérialisé par la méridienne verte.

    Au début du XIXe siècle, le territoire de Bucamps était décrit comme « resserré entre ceux de Thieux et de Montreuil depuis qu'on lui a réuni la très -petite commune de Fresneau, qui, même avant la Révolution, n'avait jamais.été qu'un simple hameau de Bucamp. Sa superficie est coupée de longs ravins courant du Nord au Sud[2]. ».

    • La campagne vallonnée environnante du village.
      La campagne vallonnée environnante du village.
    • Une borne de la méridienne verte sur la commune.
      Une borne de la méridienne verte sur la commune.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 695 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 17 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Bucamps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,5 %), forêts (10,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    A l'ouest du territoire communal se trouve le hameau de Fresneaux, une ancienne commune réunie à celle de Bucamps< en 1828[23].

    • Fresneaux
    • Le hameau et la chapelle
      Le hameau et la chapelle
    • Calvaire à Fresneaux
      Calvaire à Fresneaux

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 78, alors qu'il était de 78 en 2013 et de 64 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 88,4 % étaient des résidences principales, 5 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bucamps en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Bucamps en 2018.
    Typologie Bucamps[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 88,4 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 6,6 7,1 8,2

    Toponymie

    Un panneau Michelin avec une orthographe particulière, sans le S final.

    La localité a été désignée comme Bucamps, Bacans, Bucam[2].

    Histoire

    Louis Graves indique qu'on « assure qu'il y avait, dans le moyen âge, un château fortifié à Fresneau. La tradition locale y signale aussi l'existence de vastes souterrains dont on ne connait plus l'entrée[2]. ».

    En 1828, la commune de Fresneaux est réunie à celle de Bucamps[23].

    En 1834, il indiquait que la commune de Bucamp avait une maison d'école construite, en 1784 sur un terrain donné à cet effet par les religieuses du couvent de Wariville, et que l'activité de tissage de toiles fines était en forte régression. Un moulin à vent était implanté dans la commune[2].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Froissy[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[24], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[25], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[26].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[27], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1844 Alexandre Mahieux[29] Propriétaire, agriculteur
    Maire pendant 32 ans.
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 2001[1] Alain Faignaert Agriculteur
    mars 2001 2014 Patricia Tallon[30]
    2014[31] En cours
    (au 3 mai 2021[32])
    Francis Menu Réélu pour le mandat 2020-2026[33]

    Politique de développement durable

    Afin de réduire le volume des déchets et le coût de la collecte des ordures ménagères, la commune a créé en 2015 un poulailler municipal, où une vingtaine de familles nourrissent régulièrement les animaux et, en récompense, obtiennent des œufs[34] - [35].

    Équipements et services publics

    À Bucamps, pour donner envie aux adolescents de rester, le maire travaille pour faire un "City stade" et un préau qui sera fini et inauguré le 01 septembre 2021[32]

    Eau et déchets

    L’eau potable distribuée sur la commune de Bucamps provient de deux puits situés à Maisoncelle-Tuilerie. En 2016, cette eau est de bonne qualité bactériologique et est également conforme aux valeurs réglementaires fixées pour les substances indésirables (nitrates et pesticides), ainsi que pour les substances toxiques[36]

    Enseignement

    En 1972, il n'y avait plus d'enfants à l'école. Depuis lors, la commune a intégré un regroupement pédagogique intercommunal qui accueille les enfants de la commune[1]..

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

    En 2020, la commune comptait 203 habitants[Note 8], en augmentation de 11,54 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    343332359339542517524512491
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    475447380366343318303264263
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    250230208175164153162128158
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1211127678117128146148162
    2015 2020 - - - - - - -
    187203-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La variation de population constatée entre 1821 et 1831 correspond à l'intégration de la population de Fresneaux.

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 97 hommes pour 96 femmes, soit un taux de 50,26 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0
    90 ou +
    1,0
    2,9
    75-89 ans
    5,0
    13,7
    60-74 ans
    9,9
    15,7
    45-59 ans
    15,8
    28,4
    30-44 ans
    29,7
    9,8
    15-29 ans
    11,9
    28,4
    0-14 ans
    26,7
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre, située en position dominante au milieu de l’ancien cimetière.
      L'édifice a été remanié à de multiples reprises, et les deux seuls éléments datables avec certitude sont la façade, dont le petit portail en anse de panier porte la marque du XVIe siècle, et le chœur, qui possède une charpente de la même époque
      Les belles boiseries et l’autel-retable, qui intègrent un tableau représentant la Résurrection, datent du XVIIIe siècle[42]
    • Chapelle de Fresneaux, fondée au XVIIe siècle par Paris de la Brosse, seigneur de Fresneaux. C'est une simple salle rectangulaire dénuée de style et construite dans une maçonnerie mélangeant moellons et silex.
      La chapelle abrite une statue de sainte Philomène, personnage imaginaire dont le culte a été propagé au XIXe siècle par le curé d’Ars[43]
    • Monument aux morts

    .

    • L'église Saint-Pierre.
      L'église Saint-Pierre.
    • La statue.
      La statue.
    • Un calvaire de la commune.
      Un calvaire de la commune.
    • La chapelle de Fresneaux.
      La chapelle de Fresneaux.
    • Le monument aux morts situé dans le cimetière.
      Le monument aux morts situé dans le cimetière.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bucamps », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Jean-Luc Rechsteiner, « Bucamps, la secrète », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Froissy, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 84 p. (lire en ligne), p. 26-27, sur Google Books.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Bucamps et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Bucamps et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    25. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    26. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    27. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    28. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    29. Discours prononcés sur la tombe de M. Mahieux, propriétaire, ancien maire de Bucamps, décédé à Clermont (Oise), le 23 janvier 1887, Clermont, Impr. de Daix frères, , 6 p. (lire en ligne), sur Gallica.
    30. « Madame Patricia Tallon », sur https://www.libramemoria.com/ (consulté le ) « Madame Patricia TALLON est décédée le 24 juin 2020 ».
    31. « Les maires en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284, , p. 18 (ISSN 1144-5092).
    32. Sylvie Godin, « Bucamps : “De tels actes me mettent hors de moi” affirme le maire », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ).
    33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    34. D. L., « Bucamps : l’incroyable succès du poulailler communal et solidaire », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    35. « Bucamps (60) Le poulailler communal fait cocorico! », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    36. ATER Environnement, « RESUME NON TECHNIQUE (COMPLEMENTS) [sous-titre=Projet éolien du Bel-Hérault » [PDF], Les installations classées / Par enquête publique, sur https://www.oise.gouv.fr/, (consulté le ), p. 62.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bucamps (60113) », (consulté le ).
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    42. Dominique Vermand, « Bucamps, église Saint-Pierre : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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