Le Quesnel-Aubry
Le Quesnel-Aubry est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Le Quesnel-Aubry | |||||
Vue du Quesnel-Aubry. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | CC de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Ămilie Dubourget 2020-2026 |
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Code postal | 60480 | ||||
Code commune | 60520 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
225 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 47 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 30âČ 34âł nord, 2° 18âČ 37âł est | ||||
Altitude | Min. 89 m Max. 164 m |
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Superficie | 4,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
LĂ©gislatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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GĂ©ographie
Localisation
Le Quesney-Aubry est une commune située à 72 km au nord de Paris, 18 km à l'est de Beauvais, 39 km à l'ouest de CompiÚgne et à 43 km au sud d'Amiens[1].
Communes limitrophes
Topographie et géologie
La commune du Quesnel-Aubry a Ă©tĂ© Ă©tablie sur le plateau picard, au sommet d'un coteau dominant la haute vallĂ©e de la BrĂȘche. Le territoire culminant Ă 164 mĂštres d'altitude au calvaire du Sion, au nord, est orientĂ© en pente douce vers le sud. Il est dĂ©limitĂ© par deux vallĂ©es sĂšches : la vallĂ©e de Bucamps au nord et les vallĂ©es de Wavignies, Saurette et Marguerite au sud. Dans cette derniĂšre se trouve le point le plus bas, Ă 91 mĂštres. L'Ă©glise du village se situe Ă 150 mĂštres au-dessus du niveau de la mer[2]. Le Quesnel-Aubry se trouve en zone de sismicitĂ© 1, c'est-Ă -dire trĂšs faiblement exposĂ©e aux risques de tremblement de terre[3].
Hydrographie et eau potable
La commune n'est traversĂ©e par aucun cours d'eau de surface, mais fait partie du bassin versant de la BrĂȘche, riviĂšre situĂ©e Ă un kilomĂštre en aval. Les talwegs ou vallĂ©es sĂšches conduisant les eaux de ruissellement vers ce cours d'eau. Deux mares ont Ă©tĂ© creusĂ©es dans le village, l'une dans la Grande Rue, la seconde Ă l'angle de la rue des Jardins-et-des-Poissonniers[2]. Les zones les plus basses du territoire dans le fond des vallons sont situĂ©es au-dessus de nappes phrĂ©atiques sous-affleurantes[4].
Voies de communications et transports
La commune est traversĂ©e d'ouest en est la route dĂ©partementale 61, reliant Essuiles Ă Hardivillers. Elle constitue la rue principale du village, dite Grande Rue. Plusieurs routes communales se dirigent vers les communes voisines de Montreuil-sur-BrĂȘche, Bucamps et du Plessier-sur-Bulles[2].
La gare SNCF la plus proche est située à Saint-Just-en-Chaussée à 9 km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille[1].
La commune est desservie par le rĂ©seau ATRIOM du Beauvaisis du conseil gĂ©nĂ©ral de l'Oise par la ligne de transports interurbains 30RENF2 de Breteuil Ă Beauvais, 31 reliant Ansauvillers Ă Beauvais ainsi que par une lignes de transports scolaires vers le collĂšge de Froissy[5]. Une navette de regroupement pĂ©dagogique intercommunal relie le village aux communes voisines de Montreuil-sur-BrĂȘche et de Bucamps[6].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 15 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 58 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.
Le sentier de grande randonnée GR 124, balisé de Cires-lÚs-Mello dans l'Oise à Rebreuviette dans le Pas-de-Calais traverse une partie de la commune par l'ouest par la vallée de Bucamps.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[13] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[14] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 663,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă 15 km[16], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[17] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[18], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels
Hormis les espaces bùtis couvrant 17 hectares pour 3,6 % de la surface communale, le territoire comprend plus de 81 % d'espaces cultivés sur 391 hectares et 9 hectares de vergers et de prairies, auquel on peut ajouter 5 hectares de pelouses sur sol calcaire. Les espaces boisés situés sur les coteaux s'étendent sur 58 hectares pour 12 % de la surface communale. Ils sont représentés par les bois de la Muraille, des Marnes et du Larris du Cul de Lampe au sud, au nord par le bois des Longs-Boyaux[20] - [2].
Le coteau boisĂ© dit Larris du Cul de Lampe au nord de la commune constitue une zone Natura 2000 inscrite dans l'ensemble du rĂ©seau de coteaux crayeux du Beauvaisis[21] ainsi qu'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de type 1 [22]. Le fond de la vallĂ©e Marguerite constitue un corridor Ă©cologique potentiel[23].
Urbanisme
Typologie
Le Quesnel-Aubry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [24] - [25] - [26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[27] - [28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (85,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (84,8 %), forĂȘts (9,2 %), zones urbanisĂ©es (6 %)[29].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[30].
Hameaux et lieux-dits
L'espace bùti se concentre uniquement au chef-lieu. La commune ne possÚde ni hameaux ni écarts habités[2].
Morphologie urbaine
Le village est organisĂ© en « village-tas » convergeant vers le centre ancien. Ce secteur constituĂ© de corps de fermes et maisons anciennes se situe au sud du chef-lieu actuel et s'est prolongĂ© au nord par un habitat plus Ă©talĂ© mĂȘlant pavillons et habitations plus anciennes[2].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Froissy[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la BrÚche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[32], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s[33], et notamment celle de CrĂšvecĆur-le-Grand (CCC) et celle des VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalitĂ© de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[34].
AprÚs avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[35], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [36].
Liste des maires
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[42].
En 2020, la commune comptait 225 habitants[Note 8], en augmentation de 4,17 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 39,9 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 21,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 109 hommes pour 110 femmes, soit un taux de 50,23 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Notre-Dame-de-la-NativitĂ© : l'Ă©difice est assez remaniĂ©, cependant les murs du chĆur sont trĂšs anciens.
- StĂšle en hommage aux aviateurs du
- Panneau Michelin de la commune.
- Ăglise Notre-Dame-de-la-NativitĂ©.
- Calvaire situé devant l'église.
- Le calvaire de Sion.
- Croix de chemin.
- Croix de chemin.
- Croix de chemin.
- Croix de chemin située sur une propriété privée.
- Calvaire situé dans le cimetiÚre.
- CimetiĂšre.
- CimetiĂšre.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Le Quesnel-Aubry sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune du Quesnel-Aubry (60520) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Le Quesnel-Aubry », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[10].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2018)..
- « Géorisques : Mieux connùitre les risques sur le territoire - Le Quesnel-Aubry », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Transports en commun au Quesnel-Aubry (carte, lignes et arrĂȘts) », sur Oise mobilitĂ© (consultĂ© le ).
- « Navette de Regroupement Pédagogique Intercommunal », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le Quesnel-Aubry et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Quesnel-Aubry et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « SynthÚse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval (Beauvaisis) », sur natura2000-picardie.fr (consulté le ).
- « Larris du Cul de Lampe, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- « Carte des corridors écologiques potentiels au Quesnel-Aubry », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction duBeauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalitĂ© Ă fiscalitĂ© propre au », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers,â , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautĂ©s de communes est dĂ©finitive », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3417,â , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautĂ©s de communes ou dâagglomĂ©ration ont tous recueilli une majoritĂ© favorable ; ils pourront ainsi tous ĂȘtre conduits Ă leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3430,â , p. 17.
- « RenĂ© MoittiĂ© ne peut sâempĂȘcher de sâinterroger sur la rĂ©novation de lâĂ©glise, Ă mesure quâil constate la dĂ©gradation des joints du bĂątiment. Il Ă©voque mĂȘme une affaire de gros sous. », Le Courrier picard,â (lire en ligne) « RenĂ© MoittiĂ©, ancien conseiller municipal et ancien maire du village, a dĂ©cidĂ© de remettre sur le tapis une affaire... vieille de 20 ans. « LâĂ©glise avait de lâĂ©clat aprĂšs sa rĂ©novation, au dĂ©but des annĂ©es 2000. ».
- Le bonhomme picard du 26 mars 2008
- Sylvie Godin, « Ămilie Dubourget veut succĂ©der Ă Jean-Louis Castier », Le Bonhomme picard, Ă©dition Breteuil CrĂšvecĆur, no 3589,â , p. 9 « Jean-Louis Castier ayant fait savoir qu'il ne se reprĂ©sentait pas, Ămilie Dubourget a choisi de briguer la mairie du Quesnel-Aubry, 230 habitants ».
- « Le Quesnel-Aubry 60480 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune du Quesnel-Aubry (60520) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).