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Le Quesnel-Aubry

Le Quesnel-Aubry est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Le Quesnel-Aubry
Le Quesnel-Aubry
Vue du Quesnel-Aubry.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Émilie Dubourget
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60520
DĂ©mographie
Population
municipale
225 hab. (2020 en augmentation de 4,17 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 47 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 30â€Č 34″ nord, 2° 18â€Č 37″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 164 m
Superficie 4,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
LĂ©gislatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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    GĂ©ographie

    Localisation

    Communes limitrophes de la commune du Quesnel-Aubry.

    Le Quesney-Aubry est une commune située à 72 km au nord de Paris, 18 km à l'est de Beauvais, 39 km à l'ouest de CompiÚgne et à 43 km au sud d'Amiens[1].

    Communes limitrophes

    Topographie et géologie

    La commune du Quesnel-Aubry a Ă©tĂ© Ă©tablie sur le plateau picard, au sommet d'un coteau dominant la haute vallĂ©e de la BrĂȘche. Le territoire culminant Ă  164 mĂštres d'altitude au calvaire du Sion, au nord, est orientĂ© en pente douce vers le sud. Il est dĂ©limitĂ© par deux vallĂ©es sĂšches : la vallĂ©e de Bucamps au nord et les vallĂ©es de Wavignies, Saurette et Marguerite au sud. Dans cette derniĂšre se trouve le point le plus bas, Ă  91 mĂštres. L'Ă©glise du village se situe Ă  150 mĂštres au-dessus du niveau de la mer[2]. Le Quesnel-Aubry se trouve en zone de sismicitĂ© 1, c'est-Ă -dire trĂšs faiblement exposĂ©e aux risques de tremblement de terre[3].

    Hydrographie et eau potable

    La commune n'est traversĂ©e par aucun cours d'eau de surface, mais fait partie du bassin versant de la BrĂȘche, riviĂšre situĂ©e Ă  un kilomĂštre en aval. Les talwegs ou vallĂ©es sĂšches conduisant les eaux de ruissellement vers ce cours d'eau. Deux mares ont Ă©tĂ© creusĂ©es dans le village, l'une dans la Grande Rue, la seconde Ă  l'angle de la rue des Jardins-et-des-Poissonniers[2]. Les zones les plus basses du territoire dans le fond des vallons sont situĂ©es au-dessus de nappes phrĂ©atiques sous-affleurantes[4].

    Voies de communications et transports

    La commune est traversĂ©e d'ouest en est la route dĂ©partementale 61, reliant Essuiles Ă  Hardivillers. Elle constitue la rue principale du village, dite Grande Rue. Plusieurs routes communales se dirigent vers les communes voisines de Montreuil-sur-BrĂȘche, Bucamps et du Plessier-sur-Bulles[2].

    La gare SNCF la plus proche est située à Saint-Just-en-Chaussée à km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille[1].

    La commune est desservie par le rĂ©seau ATRIOM du Beauvaisis du conseil gĂ©nĂ©ral de l'Oise par la ligne de transports interurbains 30RENF2 de Breteuil Ă  Beauvais, 31 reliant Ansauvillers Ă  Beauvais ainsi que par une lignes de transports scolaires vers le collĂšge de Froissy[5]. Une navette de regroupement pĂ©dagogique intercommunal relie le village aux communes voisines de Montreuil-sur-BrĂȘche et de Bucamps[6].

    L'aĂ©roport de Beauvais-TillĂ© se trouve Ă  15 km Ă  l'ouest[1] et l'aĂ©roport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe Ă  58 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aĂ©roports.

    Le sentier de grande randonnée GR 124, balisé de Cires-lÚs-Mello dans l'Oise à Rebreuviette dans le Pas-de-Calais traverse une partie de la commune par l'ouest par la vallée de Bucamps.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 696 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[11] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[12] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[13] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[14] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 663,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[15]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă  15 km[16], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[17] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[18], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels

    Hormis les espaces bùtis couvrant 17 hectares pour 3,6 % de la surface communale, le territoire comprend plus de 81 % d'espaces cultivés sur 391 hectares et 9 hectares de vergers et de prairies, auquel on peut ajouter 5 hectares de pelouses sur sol calcaire. Les espaces boisés situés sur les coteaux s'étendent sur 58 hectares pour 12 % de la surface communale. Ils sont représentés par les bois de la Muraille, des Marnes et du Larris du Cul de Lampe au sud, au nord par le bois des Longs-Boyaux[20] - [2].

    Le coteau boisĂ© dit Larris du Cul de Lampe au nord de la commune constitue une zone Natura 2000 inscrite dans l'ensemble du rĂ©seau de coteaux crayeux du Beauvaisis[21] ainsi qu'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de type 1 [22]. Le fond de la vallĂ©e Marguerite constitue un corridor Ă©cologique potentiel[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Quesnel-Aubry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [24] - [25] - [26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[27] - [28].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (85,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (84,8 %), forĂȘts (9,2 %), zones urbanisĂ©es (6 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[30].

    Hameaux et lieux-dits

    L'espace bùti se concentre uniquement au chef-lieu. La commune ne possÚde ni hameaux ni écarts habités[2].

    Morphologie urbaine

    Le village est organisĂ© en « village-tas » convergeant vers le centre ancien. Ce secteur constituĂ© de corps de fermes et maisons anciennes se situe au sud du chef-lieu actuel et s'est prolongĂ© au nord par un habitat plus Ă©talĂ© mĂȘlant pavillons et habitations plus anciennes[2].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Froissy[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la BrÚche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[32], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s[33], et notamment celle de CrĂšvecƓur-le-Grand (CCC) et celle des VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalitĂ© de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[34].

    AprÚs avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[35], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [36].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989[37] René Moittié Maçon
    mars 1995 2008 GĂ©rard Ghesquiere
    mars 2008[38] mai 2020[39] Jean Louis Castier Agriculteur retraité
    mai 2020[40] En cours
    (au 22 juillet 2020)
    Émilie Dubourget Collaboratrice du groupe LR-divers droite au conseil dĂ©partemental de l'Oise
    Vice-prĂ©sidente de la CC de l'Oise Picarde (2020 → )

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[42].

    En 2020, la commune comptait 225 habitants[Note 8], en augmentation de 4,17 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    415518450464448430416382346
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    326274248207214204190172171
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    15113714810511395116121115
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    134118120130122127155159200
    2017 2020 - - - - - - -
    213225-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  39,9 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 21,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 109 hommes pour 110 femmes, soit un taux de 50,23 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    3,8
    75-89 ans
    5,6
    16,0
    60-74 ans
    17,8
    17,9
    45-59 ans
    16,8
    21,7
    30-44 ans
    20,6
    19,8
    15-29 ans
    15,0
    20,8
    0-14 ans
    24,3
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© : l'Ă©difice est assez remaniĂ©, cependant les murs du chƓur sont trĂšs anciens.
    • StĂšle en hommage aux aviateurs du
    • Panneau Michelin de la commune.
      Panneau Michelin de la commune.
    • Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ©.
      Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ©.
    • Calvaire situĂ© devant l'Ă©glise.
      Calvaire situé devant l'église.
    • Le calvaire de Sion.
      Le calvaire de Sion.
    • Croix de chemin.
      Croix de chemin.
    • Croix de chemin.
      Croix de chemin.
    • Croix de chemin.
      Croix de chemin.
    • Croix de chemin situĂ©e sur une propriĂ©tĂ© privĂ©e.
      Croix de chemin située sur une propriété privée.
    • Calvaire situĂ© dans le cimetiĂšre.
      Calvaire situé dans le cimetiÚre.
    • CimetiĂšre.
      CimetiĂšre.
    • CimetiĂšre.
      CimetiĂšre.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[10].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2018)..
    3. « Géorisques : Mieux connùitre les risques sur le territoire - Le Quesnel-Aubry », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    5. « Transports en commun au Quesnel-Aubry (carte, lignes et arrĂȘts) », sur Oise mobilitĂ© (consultĂ© le ).
    6. « Navette de Regroupement Pédagogique Intercommunal », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    13. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Le Quesnel-Aubry et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Le Quesnel-Aubry et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « SynthÚse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval (Beauvaisis) », sur natura2000-picardie.fr (consulté le ).
    22. « Larris du Cul de Lampe, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    23. « Carte des corridors écologiques potentiels au Quesnel-Aubry », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duBeauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    30. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    33. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    34. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalitĂ© Ă  fiscalitĂ© propre au », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
    35. R. Th., « La fusion des communautĂ©s de communes est dĂ©finitive », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautĂ©s de communes ou d’agglomĂ©ration ont tous recueilli une majoritĂ© favorable ; ils pourront ainsi tous ĂȘtre conduits Ă  leur terme ».
    36. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
    37. « RenĂ© MoittiĂ© ne peut s’empĂȘcher de s’interroger sur la rĂ©novation de l’église, Ă  mesure qu’il constate la dĂ©gradation des joints du bĂątiment. Il Ă©voque mĂȘme une affaire de gros sous. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « RenĂ© MoittiĂ©, ancien conseiller municipal et ancien maire du village, a dĂ©cidĂ© de remettre sur le tapis une affaire... vieille de 20 ans. « L’église avait de l’éclat aprĂšs sa rĂ©novation, au dĂ©but des annĂ©es 2000. ».
    38. Le bonhomme picard du 26 mars 2008
    39. Sylvie Godin, « Émilie Dubourget veut succĂ©der Ă  Jean-Louis Castier », Le Bonhomme picard, Ă©dition Breteuil CrĂšvecƓur, no 3589,‎ , p. 9 « Jean-Louis Castier ayant fait savoir qu'il ne se reprĂ©sentait pas, Émilie Dubourget a choisi de briguer la mairie du Quesnel-Aubry, 230 habitants ».
    40. « Le Quesnel-Aubry 60480 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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