Le Plessier-sur-Bulles
Le Plessier-sur-Bulles est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Plessierrois et les Plessierroises.
Le Plessier-sur-Bulles | |||||
L'église Saint-Vincent. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Plateau Picard | ||||
Maire Mandat |
Hervé Paucellier 2020-2026 |
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Code postal | 60130 | ||||
Code commune | 60497 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Plessierrois, Plessierroises | ||||
Population municipale |
212 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 54 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 29′ 45″ nord, 2° 18′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 91 m Max. 162 m |
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Superficie | 3,91 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.leplessiersurbulles.fr | ||||
Géographie
Localisation
Le Plessier-sur-Bulles est une commune située à 71 km au nord de Paris, 18 km à l'est de Beauvais, 38 km à l'ouest de Compiègne et à 44 km au sud d'Amiens[1].
Topographie et géologie
La commune du Plessier-sur-Bulles a été établie sur le plateau picard, qui domine la haute vallée de la Brêche. Plusieurs vallées sèches annexes à la Brêche cernent le territoire : la vallée Trinselle et la vallée Marguerite au nord où se situe le point le plus bas, à 91 mètres d'altitude ainsi que la vallée du Plessier prolongée par la vallée du bois de la Truie au sud. La pente s'oriente dans un axe Nord-Est / Sud-Ouest. Son point culminant se situe à 162 mètres sur la D 938 sur la limite communale avec Nourard-le-Franc, la place du village se trouve à 146 mètres et l'ancien cimetière à 138 mètres au-dessus du niveau de la mer[2]. Le Plessier-sur-Bulles se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].
Hydrographie et eau potable
La commune du Plessier-sur-Bulles n'est traversée par aucun cours d'eau. La commune fait partie du bassin versant de la Brêche, rivière située à un kilomètre en aval. Les vallées sèches, forment des talwegs conduisant les eaux de ruissellement vers ce cours d'eau. Un château d'eau a été construit dans la rue de Coiseaux à la sortie du village[2]. Les zones les plus basses du territoire dans le fond des vallons sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4].
Voies de communications et transports
La commune est traversée d'ouest en est la route départementale 938, ancienne route nationale 38 reliant Beauvais à La Fère dans l'Aisne. Elle suit un axe rectiligne en bordant la partie sud du village. Plusieurs routes communales se dirigent vers les villages voisins de Bulles, Le Mesnil-sur-Bulles, Le Quesnel-Aubry et Coiseaux[2].
La gare SNCF la plus proche est située à Saint-Just-en-Chaussée à 8 km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille[1].
La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par la ligne de transports interurbains 32 reliant Beauvais à Saint-Just-en-Chaussée ainsi que par deux lignes de transports scolaires, l'une vers le collège de Saint-Just-en-Chaussée, la seconde vers les établissements de l'agglomération de Clermont[5]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des 8 points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[6]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal relie le village aux communes voisines de Catillon-Fumechon, Le Mesnil-sur-Bulles et de Nourard-le-Franc[7].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 15 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 57 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[14] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[15] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 15 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels
Hormis les espaces bâtis couvrant 14 hectares pour 4 % de la surface communale, le territoire comprend plus de 86 % d'espaces cultivés sur 336 hectares et 5 hectares de vergers et de prairies, auquel on peut ajouter 3 hectares de pelouses sur sol calcaire dans la vallée Marguerite. Les coteaux des vallées sèches constituent des zones boisées sur 30 hectares pour 8 % de la surface communale, tel le larris du Cul de Lampe au nord et le bois des Marnes au nord-est[21] - [2].
Le coteau boisé dit Larris du Cul de Lampe au nord de la commune constitue une zone Natura 2000 inscrite dans l'ensemble du réseau de coteaux crayeux du Beauvaisis[22] ainsi qu'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1 [23]. Le fond de la vallée Marguerite constitue un corridor écologique potentiel[24].
Urbanisme
Typologie
Le Plessier-sur-Bulles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [25] - [26] - [27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28] - [29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,1 %), forêts (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[31].
Hameaux et lieux-dits
L'espace bâti se concentre uniquement au chef-lieu. La commune ne possède ni hameaux ni écarts habités[2].
Morphologie urbaine
Le village est bâti autour d'une place centrale vers laquelle convergent les rues principales[2].
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].
En 2020, la commune comptait 212 habitants[Note 8], en augmentation de 1,44 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 111 hommes pour 102 femmes, soit un taux de 52,11 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Galerie
- Le château d'eau, vu de loin.
- Le château d'eau, vu de près.
- L'église Saint-Vincent.
- La mairie-école.
- Un ancien véhicule de sapeurs-pompiers rénové.
- Un calvaire situé à proximité du cimetière.
- Un calvaire situé dans le cimetière.
- L'ancien cimetière.
- La chapelle de l'ancien cimetière.
- Le monument aux morts, avec au second plan un calvaire et à l'arrière-plan, le château d'eau.
Manifestations
Brocante annuelle le dernier dimanche du mois d'août.
Héraldique
Blason | Divisé en chevron : au 1er tiercé en pal, au I d'argent à une branche de genévrier de sinople fruité de sable, au II d'azur à un puits d'argent maçonné de sable, au III de sinople à une gerbe de blé d'or, au 2d de gueules à une haie circulaire d'or[39]. |
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Détails | La branche de genévrier symbolise le milieu naturel du Larris du Cul de la Lampe. Le puits souligne le nombre important de puits sur le territoire de la commune. Le vert et le blé sont pour l'agriculture. Enfin, la haie circulaire renvoie au toponyme du village : un « plessier » est une clôture formée de branches entrelacées. Adopté en . |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 10 février 2017)..
- « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Le Plessier-sur-Bulles », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Transports en commun au Plessier-sur-Bulles (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
- « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- « Navette de Regroupement Pédagogique Intercommunal », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le Plessier-sur-Bulles et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Plessier-sur-Bulles et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval (Beauvaisis) », sur natura2000-picardie.fr (consulté le ).
- « Larris du Cul de Lampe, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- « Carte des corridors écologiques potentiels au Plessier-sur-Bulles », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction duBeauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284, , p. 29 (ISSN 1144-5092).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Plessier-sur-Bulles (60497) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « 60479 Le Plessier-sur-Bulles (Oise) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).