Le Mesnil-sur-Bulles
Le Mesnil-sur-Bulles est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Mesnilois et les Mesniloises.
Le Mesnil-sur-Bulles | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | CC du Plateau Picard | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Baltz 2020-2026 |
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Code postal | 60130 | ||||
Code commune | 60400 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mesnilois, Mesniloises | ||||
Population municipale |
269 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 43 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 29′ 12″ nord, 2° 20′ 45″ est | ||||
Altitude | Min. 97 m Max. 163 m |
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Superficie | 6,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Localisation
Le Mesnil-sur-Bulles est une commune située à 69 km au nord de Paris, 20 km à l'est de Beauvais, 36 km à l'ouest de Compiègne et à 47 km au sud d'Amiens[1].
Elle est traversée par le méridien de Paris, communément appelé méridienne verte.
Communes limitrophes
Topographie et géologie
La commune du Mesnil-sur-Bulles a été établie sur le plateau picard. Il est entaillé de quelques vallées sèches tel la vallée de Bulles au sud-est où se trouve le point le plus bas à 97 mètres d'altitude et ainsi que par la vallée du Plessier au nord-ouest. Elles convergeant au sud vers la vallée de la Brêche sur la commune voisine de Bulles. Le point culminant du territoire se situe dans le bois de Mont à 163 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le village est à une altitude d'environ 140 mètres[2].
Le Mesnil-sur-Bulles se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à -dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].
Hydrographie
La commune ne possède pas de cours d'eau permanent sur son territoire, mais de petits ruisseaux peuvent se former dans le fond des vallons après de fortes pluies. Ses eaux convergent par la Brêche puis l'Oise au bassin versant de la Seine. Une station de pompage a été installée dans le village[2].
Les zones les plus basses du territoire au sud sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4].
Voies de communications et transports
La commune est desservie par une unique route départementale, la RD 94 reliant Bresles à Mory-Montcrux. Elle constitue l'axe principal du village depuis Bulles au sud vers Nourard-le-Franc au nord, constitué par les rues d'Île-de-France et de Picardie. Plusieurs voies communales relient le chef-lieu aux communes avoisinantes : la rue du Cimetière rejoint Le Plessier-sur-Bulles tandis que la rue de la Gare se dirige vers Fournival. Plusieurs chemins goudronnés rayonnent autour du village vers les limites communales
La gare SNCF la plus proche est située à Saint-Remy-en-l'Eau à 6 km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille. Peu desservie, les usagers se dirigent souvent vers la gare de Saint-Just-en-Chaussée, à 7 km à l'est[1].
La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par la ligne de transports interurbains 32 reliant Beauvais à Saint-Just-en-Chaussée ainsi que par deux lignes de transports scolaires : l'une vers les établissements de l'agglomération de Clermont, la seconde vers le collège Louise-Michel de Saint-Just-en-Chaussée[5]. L'abri de bus est celui de l'ancienne halte ferroviaire[6]
La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des huit points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[7]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal mise en place avec les écoles de Catillon-Fumechon, Nourard-le-Franc et Le Plessier-sur-Bulles s'arrête dans le village[8].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 17 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 55 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.
Le Mesnil-sur-Bulles est traversée par le sentier de grande randonnée 124 (GR 124) par le chemin de la Haute-Borne, la rue de la Chaussée Brunehaut et par la rue de la Vallée-Saint-Just[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[15] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[16] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 17 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[19] à 10,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels
Hormis les espaces bâtis couvrant 16 hectares pour 3 % de la surface communale, le territoire près de 70 % d'espaces cultivés sur 436 hectares ainsi que 16 hectares de vergers et de prairies.
Le bois de Mont, à la lisière orientale de la commune est le principal espace boisé, auquel on peut ajouter le bois de la Truie et quelques bosquets dans les vallées sèches à l'ouest. Cet écosystème couvre près de 25 % de la surface sur 156 hectares[22] - [2].
Une partie des pentes du bois de Mont a été intégrée au « Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval du Beauvaisis » classé en zone Natura 2000[23].
Cet espace boisé contigu à la vallée de Bulles constitue également une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[24], ainsi qu'un corridor écologique potentiel[25].
Une plante protégée et menacée d'extinction, le sisymbre couché, se plait dans la commune, qui est la seule de l'Oise à l'accueillir[26].
Urbanisme
Typologie
Le Mesnil-sur-Bulles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [27] - [28] - [29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[30] - [31].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,4 %), forêts (24,4 %), zones urbanisées (4,1 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[33].
Hameaux et lieux-dits
L'habitat est essentiellement concentré au chef-lieu. Deux constructions subsistent toutefois dans le bois de Mont, la cabane Plessier et la cabane Noire[2].
Morphologie urbaine
Le village du Mesnil-sur-Bulles, situé au centre du finage a été bâti selon le modèle de village-rue, fréquent en Picardie. Il a été bâti au sommet d'un coteau, dominant la commune[2].
Histoire
- Époque celtique : Le bois de la Truie, à l'ouest de la commune a été le site d'un tertre considéré comme un tombeau gaulois[34].
- Époque romaine : Dans ce même bois et sur l'ancienne chaussée antique allant de Beauvais à Saint-Just-en-Chaussée ou de Beauvais à Bavay ont été découverts des débris de céramique d'un vase en verre garni de deux anses et un grand nombre de médailles. Dans le village ont été découvertes des poteries et des médailles[34].
- Moyen Âge : Les templiers auraient eu un établissement dans le village L'église paroissiale, qui remontait à 1340, a été reconstruite[34] au XIXe siècle.
- De 1876[35] à 1939, la commune était desservie par une halte sur la ligne La Rue-Saint-Pierre-Saint-Just-en-Chaussée. Cette voie reliait la ligne Paris-Nord - Lille à la ligne Rochy-Condé - Soissons. Peu de temps avant la Seconde Guerre mondiale, le trafic voyageurs cessa le [36]. Le , le tronçon entre Bulles et Saint-Just-en-Chaussée fut déclassée au trafic circulant sur la ligne, condamnant la halte communale[37].
- Il subsiste toujours quelques vestiges de l'ancien passage à niveau, et l'ancien tracé a été repris par un chemin.
Politique et administration
Liste des maires
Distinctions et labels
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Ville fleurie : une fleur attribuée en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[40].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].
En 2020, la commune comptait 269 habitants[Note 8], en augmentation de 5,91 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 134 hommes pour 134 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Sébastien : l'église paroissiale, qui remontait à 1340[34] a été reconstruite au XIXe siècle après avoir brûlé à plusieurs reprises[6]. L'église actuelle est moderne comprend un clocher carré.
- Puits, derrière l'église, rue de Picardie
- Calvaire, rue de la Gare, entre le site l'ancienne gare et le village.
- Ancien panneau de signalisation routière dans le village[6].
- Monument aux morts.
- L'église Saint-Sébastien.
- Clocher de l'église
- Calvaire situé dans le cimetière.
- Sépulture remarquable du cimetière.
Voir aussi
Article connexe
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 4 janvier 2017)..
- « Géorisques : Mieux connaître les risques sur le territoire - Le Mesnil-sur-Bulles », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur macommune.prim.net (consulté le ).
- « Transports en commun au Mesnil-sur-Bulles (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
- Jean-Luc Rechsteiner, « Le Mesnil-sur-Bulles le caché », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
- « Regroupement pédagogique intercommunal », sur Oise mobilité (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Mesnil-sur-Bulles et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Répertoire Archéologique du Département de l'Oise, Emmanuel Woillez, 1862; page 106
- Marc Gayda, André Jacquot, Patricia Laederich et Pierre Laederich, Histoire du réseau ferroviaire français, op. cit., p. 138 et 145.
- Marc Gayda, André Jacquot, Patricia Laederich et Pierre Laederich, Histoire du réseau ferroviaire français, op. cit., p. 154-156 et 188.
- Journal Officiel de la République française du 13 novembre 1954, page 10 676.
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Plateau picard : voici le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283,‎ , p. 21.
- Céline Sol, « Plateau picard : ces élus qui ont gardé leurs fauteuils de maire », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎ .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Mesnil-sur-Bulles (60400) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).