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Tricot (Oise)

Tricot est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Tricot
Tricot (Oise)
La mairie et le monument aux morts.
Blason de Tricot
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Francis Soetaert
2020-2026
Code postal 60420
Code commune 60643
Démographie
Gentilé Tricotois, Tricotoises
Population
municipale
1 369 hab. (2020 en diminution de 8,18 % par rapport à 2014)
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 33′ 42″ nord, 2° 35′ 23″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 132 m
Superficie 11,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Tricot
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Tricot
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Tricot
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Tricot

    Ses habitants sont appelés les Tricotois[1].

    Géographie

    Localisation

    Vue aérienne de Tricot.
    Vue aérienne de Tricot.

    Tricot est située sur le plateau picard à km de Maignelay-Montigny, 10 km de Montdidier, 12 km de Ressons-sur-Matz et à 13 km de Saint-Just-en-Chaussée[2].

    Tricot se situe près de l'autoroute du Nord et peut être rejointe par le biais de l'ex-RN 38 (actuelle RD 938). Toujours par le biais de cette route, la ville peut être rejointe par l'ancienne RN 17.

    La commune est desservie par la gare de Tricot, qui est une halte de la ligne d'Ormoy-Villers à Boves, qui assure la liaison entre Compiègne et Amiens.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 677 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 36 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,6 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Tricot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,7 %), zones urbanisées (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    La localité portait le nom de Tricoq au XIIIe siècle. Troés cos signifie trois coqs en Picard[25].

    Histoire

    Antiquité

    La commune se trouve sur une ancienne voie romaine[26], et des traces d'habitat mérovingien ou carolingien ont été retrouvées[27].

    Selon la tradition, le carrefour des sept chemins, au croisement de deux anciennes voies romaines était connu comme un lieu de sabbat pour les sorciers de la région[28].

    XIXe siècle

    La commune est desservie par le chemin de fer en 1882, avec la mise en service de la gare de Tricot, favorisant son développement économique et les déplacements des habitants.

    Première Guerre mondiale

    La gare de Tricot a accueilli des canons de l'artillerie lourde sur voie ferrée (ALVF) française en 1916, sans doute dans le cadre de la bataille de la Somme[29] - [30] - [31].

    Un camp de prisonniers allemands de l'armée française existait entre Coivrel et Tricot, notamment en [32] - [33] - [34] - [35].

    Le village, qui avait été occupé par l'armée allemande, est repris par les Français le [36]. Il a subi d'importantes destructions pendant la guerre[37] - [38] - [39] - [40] - [41] - [42] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [43].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la première circonscription de l'Oise.

    Après avoir été fugacement le chef-lieu d'un canton de Tricot, de 1793 à 1801, elle faisait partie depuis cette date du canton de Maignelay-Montigny[44]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton d'Estrées-Saint-Denis.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, créée fin 1999.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[45]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 mars 2001 François Fontaine
    mars 2001 En cours
    (au 7 août 2018[46])
    Jacques Bocquet EXD Réélu pour le mandat 2014-2020[47]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].

    En 2020, la commune comptait 1 369 habitants[Note 7], en diminution de 8,18 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2421 3071 3591 3091 1861 1041 0451 001991
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    995950891874930965918910881
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9579589779761 0499379361 001976
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 0011 0471 1021 2651 2941 4671 4401 4331 483
    2018 2020 - - - - - - -
    1 3811 369-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 694 hommes pour 687 femmes, soit un taux de 50,25 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[51]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    6,6
    75-89 ans
    8,7
    14,8
    60-74 ans
    16,0
    23,2
    45-59 ans
    24,3
    17,1
    30-44 ans
    15,3
    18,4
    15-29 ans
    16,9
    19,2
    0-14 ans
    17,5
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[52]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Manifestations culturelles et festivités

    Dans cette ville se pratique chaque année, selon la tradition ancestrale, la dernière véritable partie de choule. Il s'agit de la « choule », un jeu très local qui est l'ancêtre du rugby. Le « choulet » est une sorte de « poire » en cuir, ancêtre du ballon de rugby, qu'il faut pouvoir attraper dans des mêlées très rudes et jeter entre deux cheminées du village. Les Anglais, au cours de la guerre de Cent Ans, ont « volé » l'idée de ce jeu en y établissant des règles avec un terrain délimité et des équipes. La choule, encore dénommée « soule » ou « sioule » dans d'autres régions de France, était un sport très pratiqué en France dès le Moyen Âge. Si dans le reste de la France, ce sport n'existe plus en l'état, Tricot l'a cependant conservé[53] - [54] - [55].

    Un tournoi de choule a lieu chaque année le jour de mardi gras et, en cas de match nul, le lundi de Pâques suivant[56].

    On note également la fête patronale, le week-end après le [57]

    Économie

    La commune compte en 2018 plusieurs entreprises : trois sociétés de menuiserie, une usine de transport de céréales, une compagnie de séchoirs à grains et une entreprise de ressorts à matelas.

    Elle compte de nombreux commerçants (restauration, épicerie, boulanger, pharmacien), artisans (coiffeur), un médecin et un cabinet d'infirmières.

    Au total, 550 emplois sont ainsi pourvus dans la commune en 2018, auxquels devraient s'ajouter une vingtaine avec l'installation d'une nouvelle usine dans la zone artisanale du Hardissel. Une zone industrielle, située de l’autre côté de la RD 938 est également à signaler. Elles sont toutes deux gérées et aménagées par l'intercommunalité[58] - [59].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame.
    Le monument aux morts d'Albert Roze.

    Tricot compte un monument historique sur son territoire, l'église Notre-Dame, du XIXe siècle, comprenant des parties de la nef du XVIe siècle[26] (Le chœur et le transept sont classés monument historique en 1922[60]). Elle contient un retable sculpté[61].

    On peut également noter :

    • Commanderie de Tricot.
    Ce beau bâtiment en brique et pierre est utilisé comme exploitation agricole depuis le début du XIXe siècle, mais la tradition orale indique que son nom viendrait d'un établissement des Templiers[62]
    • Fort de Tricot
    Au XXIe siècle, il subsiste peu de traces[62] de cet édifice militaire, qui était ainsi décrit en 1886 :« Cette fortification consiste en une motte de forme ronde, entourée d'un fossé de même configuration
    La motte est élevée de 1 mètre 80 au-dessus des terres ambiantes. Son diamètre est de 46 mètres. La largeur du fossé est de 18 mètres 60. Le talus de la motte descendant vers le fossé a une étendue à sa base de 9 mètres ; le fond du fossé de 1 mètre 60 ; le talus descendant des terres vers ce fond, de 8 mètres. La profondeur du fossé vis-à-vis du terrain naturel environnant est de 4 mètres 80.
    Cette motte communique avec le plateau environnant au moyen d'un terre-plein situé à l'Est.
    Au-dessous de la motte, est un souterrain d'une profondeur de 10 mètres où l'on descend par un escalier. La longueur du souterrain est de 9 mètres ; sa hauteur et sa largeur sont de 2 mètres. A droite et à gauche de son parcours s'ouvrent des cellules : il communique avec le sommet de la motte par un soupirail.
    Dans le fond Ouest du fossé se trouve l'entrée d'un autre souterrain.
    Tout à l'entour de la forteresse, excepté dans la partie Est, bordant la droite du chemin 146, le terrain est déclive, et cette déclivité semble indiquer une seconde circonvallation passant par le Prié, la Grange des Dimes, côtoyant l'église, et se continuant vers les rues du Pressoir, des Obstinés, Mouillard, de la Croix du Parc.(...)
    Là fortification décrite ci-dessus dut être en conséquence le donjon du château dont certaines dépendances subsistent encore : un bâtiment de forme quadrilatère flanqué de contreforts(...) et une chapelle, dite de Saint-Jean (...)
    »
    , et qui pourrait remonter à l'époque gallo-romaine[63].
    • Monument aux morts, édifié en 1922, avec une sculpture d’Albert Roze[64].
    • Paysages urbains de la commune en 2013
    • Église, bureau de poste et monument aux morts.
      Église, bureau de poste et monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • Gaston Deleurence, décédé en 1981, maire de Villeneuve-la-Garenne de 1945 à 1947.
    • Antoine Gavory, écrivain et journaliste, y a passé son enfance entre 1976 et 1981.

    Héraldique

    Armes de Tricot

    Les armes de Tricot se blasonnent ainsi :
    D’or à trois coqs de gueules

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Nom des habitants de Tricot », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. « Distance orthodromique entre Tricot et... », sur lion1906.com (consulté le ).
    3. « Communes limitrophes de Tricot » sur Géoportail..
    4. « Communes limitrophes de Tricot » sur Géoportail..
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    11. « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Tricot et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Tricot et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Jacques Dulphy, « Le blason picard : les trois coqs de Tricot », Courrier picard,‎ , p. 28 IV.
    26. Daniel Delattre, L'Oise : Les 693 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 316 p., p. 285.
    27. Marc Durand, « Premiere partie : Cimetières et habitats du Sud-Est de l'Oise », Revue archéologique de Picardie, no spécial 6 « Archéologie du cimetière médiéval au sud-est de l'Oise du VIIe au XVIe siècle - Relations avec l'habitat, évolution des rites et des pratiques funéraires, paléodémographie »,‎ , p. 15 (ISSN 2104-3914, lire en ligne, consulté le ).
    28. Jacques de Wailly, Maurice Crampon, Le folklore de Picardie (Somme, Oise, Aisne), Musée de Picardie, , 414 pages (lire en ligne), p. 331 (49° 33′ 11″ N, 2° 36′ 13″ E)
    29. Cliché Jean Hubert, Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. ALVF. Canon de 320 », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    30. Cliché Jean Hubert, Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. ALVF. Canon de 320 », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    31. Cliché Jean Hubert, Section photographique de l'armée, « Photo : Gare de Tricot (Oise). 32 sur truck : L'Africaine en déplacement », Fonds des Albums Valois - Albums thématiques, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    32. Section photographique de l'armée, « Photo : Coivrel (entre Tricot et). Camp de prisonniers allemands : une tente », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    33. Section photographique de l'armée, « Photo : Coivrel (entre Tricot et). Camp de prisonniers allemands : corvée d'eau », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    34. Section photographique de l'armée, « Photo : Coivrel (entre Tricot et). Près du camp de prisonniers allemands : chasseurs d'Afrique », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    35. Section photographique de l'armée, « Photo : Coivrel (entre Tricot et). Camp de prisonniers allemands : arrivée d'un convoi de prisonniers », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    36. Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. Après la reprise du village, le 19 juin : général Jacquot, commandant le 33e CA », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    37. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    38. Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. Après la reprise du village, le 19 juin. La Mairie-école », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    39. Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. Après la reprise du village, le 19 juin : la grande rue », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    40. Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. La sucrerie », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
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