Maisoncelle-Tuilerie
Maisoncelle-Tuilerie est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Maisoncelle-Tuilerie | |||||
Paysage de la rue principale | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Gérard Levoir 2020-2026 |
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Code postal | 60480 | ||||
Code commune | 60377 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Maisoncellois, Maisoncelloises | ||||
Population municipale |
284 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 35′ 23″ nord, 2° 13′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 110 m Max. 188 m |
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Superficie | 7,72 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.maisoncelletuilerie.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Maisoncellois et les Maisoncelloises.
Géographie
Localisation
Maisoncelle-Tuilerie est un village-rue rural du Plateau Picard situé à 21 km au nord-est de Beauvais, 34 km au sud d'Amiens, situé dans une vallée sèche orientée nord/sud et qui se dirige vers la source de la Noye.
L'autoroute A16 limite le territoire communal à l'ouest, mais l'entrée la plus proche est celle d'Hardivillers. Le village est aisément accessible depuis l'ex-RN 30 (actuelle RD 930) et l'ex-RN 1 (actuelle RD 1001).
Hameaux et écarts
Le hameau de la Neuve-Rue, autrefois divisé entre Maisoncelle-Tuillerie, Hardivillers et Sainte-Eusoye est intégré à la seule commune de Maisoncelle-Tuilerie par la loi du [1], et est désormais en continuité du village.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 16 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Maisoncelle-Tuilerie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,4 %), zones urbanisées (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), forêts (2,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
La localité a été dénommée Maisoncellas en 1177, Mézuncelles en 1219, Mesoncelles en 1223, Maisoncelles sous Froissy en 1575 et Maison-celle Thuileries en 1666[22].
D'abord au pluriel, de l'oïl maisoncele « petite maison , cellule d'ermite »[23].
Histoire
L'abbaye Notre-Dame de Breteuil possédait des biens étendus à Maisoncelle. Une charte de.1177 du comte Raoul Ier de Clermont, lui donna la dîme sur toutes les terres qu'il avait fait défricher autour de Maisoncelle ; ayant.cette époque le pays était entièrement boisé[24].
En 1352, Louis de Blois, comte dé Clermont cède à l'instigation de l'abbé Alvrede, homme habile à enrichir son couvent, la terre et seigneurie de Maisoncelle à l'abbaye, moyennant une redevance de soixante-dix muids de grains[24].
En 1469, le village relevait de la prévôté de Montdidier[25].
Hercule de Rouveroy, vicomte de Rouy, fit bâtir en 1613 une petite chapelle dans ce village dont il était le seigneur, et la plaça sous la protection de saint Charles-Borromée. La chapelle est érigée en vicariat vers l'année 1642, à cause de l'éloignement de l'église de Froissy et de la difficulté des communications ; on y établit un cimetière en 1666[24]. Louis Graves indique en 1832 que « l'église de Maisoncelle, rebâtie en briques vers 1688, après avoir été incendiée, est fort étroite, mal éclairée par de petites fenêtres, voûtée en bois ; la nef a été agrandie vers 1740. Le chœur est entouré de boiseries[24] ». Cette église a été remplacée par l'actuelle, consacrée en 1864.
Au XVIIe siècle existait au village une importante tuilerie, qui donna son nom à la commune et qui disparu au XVIIIe siècle[24].
En 1786, un important incendie dégrade le village, et les habitants, soutenus par M. de Barentin, demandent une suppression de la taille[26].
Au milieu du XIXe siècle, la commune comptait trois moulins à vent et deux pressoirs à cidre. Une partie de la population vivait du tissage de draps de laine et de bas ainsi que des chaines[24].
La commune obtient de l'état en 1855 une subvention pour l'acquisition d'une école[27]. En application de la loi du , la commune, alors peuplée de 529 habitants, est censée se doter d'une école primaire pour les filles[28], mais, en 1881 le conseil général de l'Oise note que la commune dispose d'une école mixte[29].
Le village n'a jamais été desservi par le chemin de fer, mais ses habitants pouvaient le prendre à la gare de Froissy, sur la ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand, une ligne de chemin de fer secondaire à voie étroite qui a fonctionné de 1891 à 1953. En 1914, avant le début de la Première Guerre mondiale, les habitants de plusieurs villages dont Maisoncelle, relayés par le conseiller général, demandaient sans succès la création d'un train régulier le samedi afin d'avoir une correspondance sur la ligne Beauvais-Amiens afin de pouvoir revenir du marché de Beauvais[30].
- Circonscriptions d'Ancien Régime
Sur le plan religieux, le village était jusqu'au XVIIe siècle un hameau de Froissy, puis devint une paroisse dépendant du diocèse de Beauvais, archidiaconé et doyenné de Breteuil[24].
Pour les administrations civiles et militaitaires, Puits-la-Forêt dépendait de l'élection de Montdidier, généralité d'Amiens[24].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Froissy[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[32], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[33], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[34].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[35], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [36].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2020, la commune comptait 284 habitants[Note 8], en diminution de 6,89 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 144 hommes pour 151 femmes, soit un taux de 51,19 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Les enfants du village sont scolarisés dans le cadre du regroupement pédagogique intercommunal organisé depuis plusieurs dizaines d'années par les communes d’Hardivillers, Troussencourt et Maisoncelle-Tuilerie, et qui accueille une centaine d'élèves en 2016-2017[45] et 105 en 2017-2018. Maisoncelle-Tuilerie accueille une classe de petite et moyenne section[46].
Il est administré par le syndicat scolaire qui regroupe en 2016 les communes de Froissy, Noirémont, Sainte-Eusoye, Maisoncelle-Tuilerie et Puits-la-Vallée[47].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Claude-et-Saint-Charles : édifice de style néo-gothique construit en brique consacré en 1864. Un petit autel du XVIIe siècle , provenant de l’ancienne église, a été remonté dans le croisillon sud[48].
- Château, semblant dater du XIXe siècle
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie.
- Maisoncelle-Tuilerie sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Maisoncelle-Tuilerie (60377) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Napoléon Bacqua de la Barthe et Paul Dupont, Bulletin annoté des lois, décrets, arrêtés, avis du Conseil d’État, etc : Recueil complet de législation française, t. XV, Paris, Imprimerie et librairie administrative Paul Dupont, , 351 p. (lire en ligne), p. 166.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Maisoncelle-Tuilerie et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Maisoncelle-Tuilerie et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Maisoncelle-Tuilerie », Les communes de notre territoire, sur http://www.cc-oisepicarde.fr (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 1414.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Froissy, arrondissement de Clermont (Oise) : Extrait de l'Annuaire de 1832, 82 p. (lire en ligne), p. 24, 35, 76, 78; sur Google Books.
- Gaëtan de Witasse, Géographie historique du département de la Somme : état religieux, administratif et féodal des communes et de leurs dépendances, t. II, Abbeville, impr. de Lafosse, coll. « Mémoires de la Société d'émulation d'Abbeville », , 717 p. (lire en ligne), p. 328-332.
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- Théodore-Henri Barrau, Petit manuel de l'instruction primaire : Journal mensuel des instituteurs, Paris, Librairie Hachette, , 332 p. (lire en ligne), p. 2.
- Procès-verbal de la séance du conseil général de 1867, Beauvais, Imprimerie de D. Père, , 411 p. (lire en ligne), p. 364.
- « Rapport au conseil général sur la situation de l'enseignement primaire en 1881 », dans Rapport du Préfet de l'Oise pour la session d'août 1882, Beauvais, Imprimerie administrative Eugène Laffineur, (lire en ligne), p. 322-351, et notamment page 323.
- Procès-verbal des délibérations du conseil général : Première session de 1914, Beauvais, Imprimerie centrale administrative, , 197 p. (lire en ligne), p. 137-140, 151.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
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- R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
- « Les maires de Maisoncelle-Tuilerie », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Le bonhomme picard du 26 mars 2008
- « Maisoncelle-Tuilerie », Cartes de France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Maisoncelle-Tuilerie (60377) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Bonne retraite, Joëlle ! » : Après huit ans de service, la secrétaire du regroupement scolaire a mis fin à sa carrière d’agent de la fonction territoriale. Sa remplaçante est déjà en poste », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3423, , p. 17 « Les maires et enseignants du regroupement scolaire d’Hardivillers, Troussencourt et MaisoncelleTuilerie étaient rassemblés le jeudi 1er décembre à l’occasion du départ à la retraite de Joëlle Opéron, secrétaire du dit regroupement. « Cela faisait huit ans qu’elle exerçait dans cette fonction », a souligné Jean-Pierre Randolet, maire-adjoint d’Hardivillers, président du Syndicat à vocation scolaire ».
- « Rentrée: du renouveau en milieu rural : Une nouvelle classe et une nouvelle professeure des écoles. Cette école rurale a reçu hier la visite du préfet », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Sainte-Eusoye Une nouvelle mairie pour 2016 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Dominique Vermand, « Maisoncelle-Tuilerie, église Saint-Claude », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).