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Troussencourt

Troussencourt est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Troussencourt
Troussencourt
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Jean-Pierre Postel
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60648
DĂ©mographie
Gentilé Troussencourtois, Troussencourtoises
Population
municipale
321 hab. (2020 en diminution de 9,32 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 60 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 36â€Č 28″ nord, 2° 15â€Č 18″ est
Altitude Min. 94 m
Max. 173 m
Superficie 5,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Troussencourt
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Troussencourt
Liens
Site web www.troussencourt.fr

    Ses habitants sont appelés les Troussencourtois et les Troussencourtoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Troussencourt est un village rural picard aisément accessible par l'autoroute A16 et les anciennes routes nationales RN 1 (actuelle RD 1001) et RN 30 (actuelle RD 930).

    Il est situĂ© Ă  25 km au nord-est de Beauvais, 24 km Ă  l'ouest de Montdidier et 32 km au sud d'Amiens.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 682 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 656,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă  19 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Troussencourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (90,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (88,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (85,8 %), zones urbanisĂ©es (6,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,5 %), forĂȘts (3,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Breteuil[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la BrÚche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s[23], et notamment celle de CrĂšvecƓur-le-Grand (CCC) et celle des VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalitĂ© de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[24].

    AprÚs avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[25], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [26].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[27]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1821 1830 Vicomte César Gabriel de Guillebon Légitimiste Propriétaire
    1830 1839 Jean-François Félix Gueudet Libéral (Orléaniste)
    1840 1847 Vicomte César Gabriel de Guillebon Légitimiste Propriétaire
    1848 1854 Jean-François Félix Gueudet Libéral (Orléaniste)
    1854 1895 Vicomte Charles César Hector de Guillebon Légitimiste Propriétaire, Juriste
    1895 1896 Henri Desesquelles LĂ©gitimiste
    1897 1908 EugĂšne Dobigny Radical-Socialiste
    1908 1918 OdÚle Gueudet Libéral
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 22 janvier 2020[28])
    Jean-Pierre Postel retraité- agent de maitrise
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020[29] - [30]

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32].

    En 2020, la commune comptait 321 habitants[Note 8], en diminution de 9,32 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    620513724646701699703691685
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    623605605564526502520449423
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    422381402308328283269240241
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    230253217224237282326332351
    2017 2020 - - - - - - -
    332321-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  36,2 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 19,2 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 163 hommes pour 165 femmes, soit un taux de 50,3 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,6
    3,7
    75-89 ans
    5,0
    15,5
    60-74 ans
    13,4
    28,0
    45-59 ans
    23,6
    16,9
    30-44 ans
    20,8
    16,8
    15-29 ans
    17,2
    19,1
    0-14 ans
    19,4
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Enseignement

    Les enfants du village sont scolarisĂ©s dans le cadre du regroupement pĂ©dagogique organisĂ© depuis plusieurs dizaines d'annĂ©es par les communes d’Hardivillers, Troussencourt et Maisoncelle-Tuilerie, et qui accueille une centaine d'Ă©lĂšves en 2016-2017[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Par la photographie aĂ©rienne, l'archĂ©ologue Roger Agache a rĂ©vĂ©lĂ© au lieu cadastrĂ© « le Blanc Mont » l'emplacement d'ateliers nĂ©olithiques d'extraction et de taille du silex[37].
    • Église Saint-Lucien : le chƓur (XVIe siĂšcle) est polygonal et possĂšde des voĂ»tes Ă  nervures. La nef et le clocher datent de 1765[38].
    • ChĂąteau
    • Calvaire, Ă  l'angle de la Petite-Rue et de la voie Blanche.
    • Croix, prĂšs de l'Ă©glise Saint-Lucien.
    • Monument aux morts, rue Roger-Mention.
    • Le chĂąteau.
      Le chĂąteau.
    • L'Ă©glise Saint -Lucien.
      L'Ă©glise Saint -Lucien.

    Personnalités liées à la commune

    • Alain Boiret, Ă©crivain[39].

    HĂ©raldique

    Blason de Troussencourt Blason
    Trois jumelles; un franc-quartier senestre chargé de trois étoiles de six rais[40]
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Troussencourt et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Troussencourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    23. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    24. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalitĂ© Ă  fiscalitĂ© propre au », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
    25. R. Th., « La fusion des communautĂ©s de communes est dĂ©finitive », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautĂ©s de communes ou d’agglomĂ©ration ont tous recueilli une majoritĂ© favorable ; ils pourront ainsi tous ĂȘtre conduits Ă  leur terme ».
    26. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
    27. Source : registes d'Ă©tat civil disponibles en ligne
    28. « J-Pierre Postel briguera un 4e mandat », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3585,‎ , p. 18 « À la tĂȘte de la commune depuis 2001, il briguera Ă  69 ans un nouveau mandat en mars prochain ».
    29. « Le maire garde la majoritĂ© au conseil », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « Ce sont trois conseillers favorables au maire Jean-Pierre Postel qui ont Ă©tĂ© Ă©lus hier par les 267 Ă©lecteurs de Troussencourt lors du deuxiĂšme tour des Ă©lections municipales partielles (...) Ces Ă©lections municipales avaient Ă©tĂ© provoquĂ©es par la dĂ©mission de huit conseillers sur onze, en dĂ©saccord avec le maire ».
    30. « Troussencourt », Cartes de France (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Troussencourt (60648) », (consultĂ© le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
    36. « Bonne retraite, JoĂ«lle ! » : AprĂšs huit ans de service, la secrĂ©taire du regroupement scolaire a mis fin Ă  sa carriĂšre d’agent de la fonction territoriale. Sa remplaçante est dĂ©jĂ  en poste », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3423,‎ , p. 17 « Les maires et enseignants du regroupement scolaire d’Hardivillers, Troussencourt et MaisoncelleTuilerie Ă©taient rassemblĂ©s le jeudi 1er dĂ©cembre Ă  l’occasion du dĂ©part Ă  la retraite de JoĂ«lle OpĂ©ron, secrĂ©taire du dit regroupement. « Cela faisait huit ans qu’elle exerçait dans cette fonction » , a soulignĂ© JeanPierre Randolet, maire-adjoint d’Hardivillers, prĂ©sident du Syndicat Ă  vocation scolaire ».
    37. Roger Agache, La Somme pré-romaine et romaine d'aprÚs les prospections aériennes à basse altitude, Société des antiquaires de Picardie, Musée de Picardie, Amiens, 1978, p. 81.
    38. Dominique Vermand, « Troussencourt, Ă©glise Saint-Lucien », DiocĂšse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consultĂ© le ).
    39. AEPHR, « Troussencourt: Alain Boiret a Ă©crit un livre sur sa maladie : Cet habitant a publiĂ© Ă  ce jour quatre ouvrages, dont un Ă©voque l'anorexie, dont il souffre depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000. », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    40. « Blason
 », sur armorialdefrance.fr.
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