Accueil🇫🇷Chercher

Montfaucon (Gard)

Montfaucon est une commune française située dans l'est du département du Gard en région Occitanie.

Montfaucon
Montfaucon (Gard)
Le château fort féodal
Blason de Montfaucon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Gard rhodanien
Maire
Mandat
Olivier Robelet
2020-2026
Code postal 30150
Code commune 30178
Démographie
Gentilé Montfauconnais
Population
municipale
1 521 hab. (2020 en augmentation de 6,22 % par rapport à 2014)
Densité 359 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 04′ 31″ nord, 4° 45′ 19″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 68 m
Superficie 4,24 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Avignon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Roquemaure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Montfaucon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Montfaucon
Géolocalisation sur la carte : Gard
Voir sur la carte topographique du Gard
Montfaucon
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Montfaucon
Liens
Site web http://www.montfaucon.fr/

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Rhône, le Nizon, Dérivation de Caderousse. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Rhône aval ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Montfaucon est une commune urbaine qui compte 1 521 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon. Ses habitants sont appelés les Montfauconnais ou Montfauconnaises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 1926.

    Géographie

    Localisation

    Situé au bord du Rhône, au sud de Bagnole-sur-Cèze au Nord d'Avignon. Faisant partie du Gard rhodanien.

    Communes limitrophes

    Hydrographie et relief

    La commune est bordée par le Rhône, au nord. Le fleuve sert de limite de commune et de département entre Montfaucon, dans le Gard, et Caderousse dans le Vaucluse.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 18,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 18 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 728 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pujaut », sur la commune de Pujaut, mise en service en 1991[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 668,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 41 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Axes ferroviaires

    Le village se trouve à proximité de la LGV Méditerranée dont la gare la plus proche se trouve à Avignon.

    Axes routiers

    Le village est desservi par l'autoroute A7 (sortie 21 Orange-Centre située à 14 km) et par l'autoroute A9 (sortie 22 Roquemaure située à 9 km)

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Rhône aval »[14], d'une superficie de 12 579 ha0[15].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[16] : « le Vieux Rhône de la Piboulette et des Broteaux » (223 ha), couvrant 2 communes dont 1 dans le Gard et 1 dans le Vaucluse[17] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [16] :

    • « le Rhône » (3 202 ha), couvrant 27 communes dont 2 dans l'Ardèche, 1 dans les Bouches-du-Rhône, 12 dans le Gard et 12 dans le Vaucluse[18] ;
    • « le Rhône et ses canaux » (3 879 ha), couvrant 15 communes du département[19].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Montfaucon.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Montfaucon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [20] - [I 1] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (44,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (27,8 %), eaux continentales[Note 9] (21,2 %), cultures permanentes (18 %), zones urbanisées (17,9 %), forêts (8,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %), prairies (0,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Montfaucon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage et le risque nucléaire[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Avignon – plaine du Tricastin – Basse vallée de la Durance, regroupant 90 communes du bassin de vie d'Avignon, Orange et de la basse vallée de la Durance, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[25]. Il a été retenu au regard des risques de débordements du Rhône, de la Durance, de la Cèze, du Lez (84), de l'Ardèche, de l'Eygues, du Rieu (Foyro), de la Meyne, de l'Ouvèze, des Sorgues, des rivières du Sud-Ouest du mont Ventoux, de la Nesque, du Calavon et de l'Èze. Les crues récentes significatives sont celles d'octobre 1993 (Rhône-Lez), de janvier et novembre 1994 (Rhône, Durance, Calavon, Ouvèze), de décembre 1997, de novembre 2000, de mai 2008 (Durance), de décembre 2003 (Rhône, Calavon), de septembre 1992 (Ouvèze), de septembre 2002 et de 2003 (Aygue, Rieu Foyro), de septembre 1958, de septembre 1992 (Ardèche), de septembre 1993 (Èze). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[26] - [27]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2002 et 2008[28] - [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montfaucon.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 595 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 595 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].

    La commune est en outre située en aval de l'aménagement hydroélectrique de la Compagnie nationale du Rhône de Caderousse. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].

    En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre de sûreté autour de la centrale nucléaire du Tricastin, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés d'iode[33].

    Toponymie

    Provençal Mount-Faucoun, italien Monte Falcone, du latin Mons Falco[34].

    Histoire

    Préhistoire

    Montfaucon est un village occupé depuis le néolithique.

    Antiquité

    La colline de Saint-Maur est en grande partie occupée par un oppidum gaulois, avec céramiques à vernis noir, cinq foyers sans décor en argile, fibules en bronze, céramique non tournée, céramique pseudo-ionienne subgéométrique rhodanienne, amphores étrusques et massaliètes des IVe siècle av. J.-C. Oppidum actuellement boisé en grande partie, superficie de 7 ha. Les fragments de céramique attestent qu'il est occupé de l'âge du fer jusqu'à l'époque républicaine voire peut-être augustéenne. Au pied est de la colline, a pu exister un port fluvial, à son emplacement ont été recueillis tessons d'amphores étrusques, amphores massaliètes, céramiques grises monochromes dit vases phocéens, vases pseudo-ioniens. Non loin du cimetière, ont été découvertes lors de prospections de nombreux céramiques gauloises et grecques. Le nord de la colline de Saint-Maur, a livré deux tombes d'enfants aménagées en Tegula. Le mobilier funéraire se composait de petites clochettes. Le lieu-dit Pas d'Hannibal rappelle que le célèbre général carthaginois traversa le Rhône non loin de là.

    Moyen Âge

    L'actuel village est connu depuis le XIe siècle. Il fut possédé au XVe siècle par le sénéchal de Beaucaire, Claude de Laudun de Vèzenobre. Le château fort fut bâti au XIe siècle sur le rocher de Saint-Maur. Il permettait le contrôle du trafic fluvial sur le Rhône ainsi que la perception des droits de péage.

    Époque moderne

    Au XVIe siècle, pour une raison encore inconnue, le château est détruit.

    Époque contemporaine

    Le château est restauré et agrandi en 1891 par le baron Louis de Montfaucon. En la mémoire de sa mère Agatha Clavering, Louis donna au château une forme triangulaire inspiré des châteaux écossais. Il est unique en France. Il fait face à Châteauneuf-du-Pape, Montfaucon étant situé sur la rive droite du Rhône.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 ? Jean Balazut
    1995 2014 Joël Manzanère UMP Médecin, président de la communauté de communes de la Côte du Rhône gardoise
    2014 2017 Éric Moutafis SDIS
    2017 En cours Olivier Robelet SE Pharmacien
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 1 521 habitants[Note 10], en augmentation de 6,22 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    275303329395482543524487531
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    578571582576564566578587575
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    543530529502506461526504550
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    5906581 0581 1531 2661 3291 3031 2951 399
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 4321 5211 521------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    {{1 bâtiment maternelle 2 ou 3 classes selon les effectifs 1 bâtiment primaire 4 classes …}}

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 616 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 536 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 970 â‚¬[I 4] (20 020 â‚¬ dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]8,9 %7,2 %8,5 %
    Département[I 7]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 911 personnes, parmi lesquelles on compte 77,5 % d'actifs (69 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 22,5 % d'inactifs[Note 12] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Avignon, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 119 emplois en 2018, contre 135 en 2013 et 148 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 637, soit un indicateur de concentration d'emploi de 18,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59 %[I 10].

    Sur ces 637 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 82 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 92,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 2,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    77 établissements[Note 13] sont implantés à Montfaucon au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble77
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    67,8 %(7,9 %)
    Construction2127,3 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1924,7 %(30 %)
    Information et communication22,6 %(2,2 %)
    Activités financières et d'assurance11,3 %(3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1316,9 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    79,1 %(13,5 %)
    Autres activités de services810,4 %(8,8 %)

    Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,3 % du nombre total d'établissements de la commune (21 sur les 77 entreprises implantées à Montfaucon), contre 15,5 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[39] :

    • MF Conseils, commerce de gros (commerce interentreprises) de combustibles et de produits annexes (1 050 k€)
    • Bmg30, services administratifs combinés de bureau (k€)

    Agriculture

    La commune est dans la vallée du Rhône, une petite région agricole occupant la frange est du département du Gard[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations42241811
    SAU[Note 16] (ha)370269262287

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 42 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 24 en 2000 puis à 18 en 2010[42] et enfin à 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 74 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[43] - [Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 370 ha en 1988 à 287 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 26 ha[42].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • La mairie.
    • Le château de Montfaucon Logo monument historique Inscrit MH (1926)[44].
    • Les oppidums :
      • Saint-Maur, tumulus des Ve et IVe siècles av. J.-C.
      • Les Eysselets, tombe à incinération d'époque augustéenne.
      • Jouanas, tombe gallo-romaine à incinération.
    • Le ralentisseur le plus haut de France. Celui-ci est également appelé, "dos d'âne a caractère montagneux potentiellement dangereux pour tout type de véhicule".
    • Boulangerie faisant partie des pires de France: 32 402ème sur 33 780 (Classement 2019 des boulangeries de France, ed.Truits).

    Édifices religieux

    Montfaucon dispose d'un lieu de culte catholique régulier, l'église Saint-Maur et Saint-Martin, et abrite une petite chapelle du XIXe siècle et une ancienne chapelle médiévale devenue prieuré, partiellement en ruine[45].

    L'église Saint-Maur et Saint-Martin de Montfaucon

    L'église est dédiée à Saint-Maur et Saint-Martin, elle est située au centre du village, face à la mairie. Elle a été mise en service en 1841, en remplacement de la petite église du XVIe siècle aujourd'hui détruite qui était située sous le château.

    Son fronton porte l'inscription latine Domus Dei porta cÅ“li - 1841 signifiant « la maison de Dieu (est) la porte du ciel. Â»

    Elle abrite un maître-autel en marqueterie de marbre et des fonts baptismaux sans doute d'origine romaine, tous deux offerts par le baron de Montfaucon.

    • Porche de l'église
      Porche de l'église
    • Arrière de l'église
      Arrière de l'église

    Le prieuré Saint-Martin de Ribéris

    Le prieuré Saint-Martin de Ribéris (ou Saint-Martin du Jonquier) est situé dans la plaine agricole à l'extrémité ouest de la commune et près du Rhône. De style roman, la construction initiale date du Xe siècle, mais son abside a été surélevée au XIIIe puis au XIVe siècle.

    Le prieuré aurait été lié au passage du Rhône vers le port de Saint-Martin des Ribiers de Caderousse, à travers les méandres du fleuve séparant à l'époque une multitude de petites îles, et de ce fait utilisé comme abri et refuge par les bateliers et les voyageurs.

    Encore utilisé jusqu'au milieu du XXe siècle, le prieuré de Saint-Martin de Ribéris est aujourd'hui abandonné et partiellement en ruine. Toutefois, depuis 2013, l’association des Amis du prieuré de Saint-Martin-de-Ribéris tente de le restaurer et de le mettre en valeur[46].

    • Entrée du prieuré
      Entrée du prieuré
    • Arrière et abside du prieuré
      Arrière et abside du prieuré
    • Abside du prieuré
      Abside du prieuré
    • Visites et travaux en cours
      Visites et travaux en cours

    La chapelle Saint-Maur de Montfaucon

    La petite chapelle Saint-Maur est située sur la barre rocheuse séparant le Rhône du village, à peu près sur le point culminant local. Elle domine ainsi le cours du fleuve, d'où elle était visible pour les bateliers qui se plaçaient sous la protection de saint Maur. Elle a été reconstruite au XIXe siècle sur les fondations d'un édifice antérieur.

    Héraldique

    Blason de Montfaucon Blason
    D'hermine, à un chef losangé d'or et de sable[47].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • [Collectif], Montfaucon, un village au bord du Rhône, Montfaucon, A l'asard Bautezar !, , 228 p. (ISBN 979-1-0941-9915-2).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montfaucon » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montfaucon » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montfaucon » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montfaucon » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Pujaut - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Montfaucon et Pujaut », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Pujaut - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Montfaucon et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montfaucon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9301590 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montfaucon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF « le Vieux Rhône de la Piboulette et des Broteaux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF « le Rhône » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF « le Rhône et ses canaux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques près de chez moi - commune de Montfaucon », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    25. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le )
    26. « cartographie des risques d'inondations du TRI d'Avignon – plaine du Tricastin – Basse vallée de la Durance », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr/ (consulté le )
    27. « 0 », sur https://www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr/ (consulté le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montfaucon », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    31. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    32. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    33. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    34. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français, Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 365, t. 2
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. « Entreprises à Montfaucon », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    40. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    41. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    42. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Montfaucon - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    43. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
    44. Notice no PA00103082, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. MagicSite, « Site officiel de la commune de MONTFAUCON - Histoire et patrimoine », sur www.montfaucon.fr (consulté le ).
    46. Thierry Allard, « DIMANCHE VILLAGES À Montfaucon, le combat d’une association pour sauver un prieuré du Xe siècle », sur Objectif Gard, (consulté le ).
    47. Eugène Germer-Durand, ministère de l'Instruction publique (éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 141
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.