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Montbartier

Montbartier est une commune française située dans le sud du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.

Montbartier
Montbartier
L'église Saint-Étienne.
Blason de Montbartier
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes Grand Sud Tarn et Garonne
Maire
Mandat
Jean-Claude Raynal
2020-2026
Code postal 82700
Code commune 82123
Démographie
Gentilé Montbartierens
Population
municipale
1 558 hab. (2020 en augmentation de 27,5 % par rapport à 2014)
Densité 104 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 54′ 49″ nord, 1° 16′ 24″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 141 m
Superficie 15,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montech
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Montbartier
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Montbartier
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Montbartier
Liens
Site web montbartier.fr/

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal latéral à la Garonne, le ruisseau de Verdié, le ruisseau du Vergnet et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Montbartier est une commune rurale qui compte 1 558 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Montbartierens ou Montbartierennes.

    Géographie

    Localisation

    Commune de l'aire d'attraction de Toulouse située en Bas-Montauban sur le canal latéral à la Garonne, à 10 km au sud de Montauban.

    Communes limitrophes

    Montbartier est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Bessens, Bressols, Campsas, Finhan, Labastide-Saint-Pierre, Monbéqui et Montech.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 581 hectares ; son altitude varie de 99 à 141 mètres[2].

    Voies de communication et transports

    Accès par la SNCF en gare de Montbartier, par l'autoroute A62 et Autoroute A20 qui y confluent.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Montbartier.

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le ruisseau de Verdié, le ruisseau du Vergnet, le ruisseau de Gajac, le ruisseau de Sandrune le ruisseau des Combes et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    Le ruisseau de Verdié, d'une longueur totale de 11,6 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Pantagnac à Escatalens, après avoir traversé 4 communes[5].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 725 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Corbarieu », sur la commune de Corbarieu, mise en service en 1993[12] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 711,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 13 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[16] à 14 °C pour 1991-2020[17].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[18] :

    • l'« ensemble d'habitats acides de la Viguerie » (21 ha), couvrant 2 communes du département[19] ;
    • la « forêt d'Agre-Montech » (1 561 ha), couvrant 4 communes du département[20] ;
    • les « friches et landes de Lapeyrière » (197 ha), couvrant 3 communes du département[21] ;

    Urbanisme

    Typologie

    Montbartier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [22] - [I 1] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,4 %), terres arables (28,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,7 %), forêts (8,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,9 %), zones urbanisées (5,6 %), prairies (0,8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Montbartier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal latéral à la Garonne, le ruisseau de Verdié et le ruisseau du Vergnet. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[27]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2015[28] - [25].

    Montbartier est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8] - [29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montbartier.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[30].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 523 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 523 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1998, 2003, 2006, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[33].

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].

    Histoire

    Prieuré dépendant de l’abbaye de Mas-Grenier, ancien fief du baron d'Astorg capitoul de Toulouse en 1415[35].

    Jocelyne Bourdin et Marc Fasquel, « le couple pervers Â», y sont arrêtés le par un barrage de gendarmerie, achevant ainsi leur folle virée meurtrière. Marc Fesquel est abattu par les forces de l'ordre à proximité de la place de l'église tandis que son épouse est amenée à la gendarmerie de Castelsarrasin pour y être entendue.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[36] - [37].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Grand Sud Tarn-et-Garonne et du canton de Montech. Avant le elle faisait partie de la communauté de communes Garonne et Canal.

    Liste des maires

    • La mairie.
      La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2008 Jacques Doumerc
    mars 2008 En cours Jean-Claude Raynal DVD
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2020, la commune comptait 1 558 habitants[Note 9], en augmentation de 27,5 % par rapport à 2014 (Tarn-et-Garonne : +3,86 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    566523544610648646677668633
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    677675683670636617611548559
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    570574561524935895518548552
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5185115066287878111 0001 2451 284
    2020 - - - - - - - -
    1 558--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[42] 1975[42] 1982[42] 1990[42] 1999[42] 2006[43] 2009[44] 2013[45]
    Rang de la commune dans le département 78 83 66 52 57 50 38 44
    Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

    Enseignement

    Montbartier fait partie de l'académie de Toulouse.

    La commune possède un groupe scolaire : maternelle et primaire.

    Culture et festivités

    Salle des fêtes, comité des fêtes, discothèque,

    Activités sportives

    Chasse, randonnée pédestre, pétanque, centre équestre, football (complexe associatif[46]), tennis, pêche, gymnastique[47],

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Grandsud82[48].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 574 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 405 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 960 â‚¬[I 4] (20 140 â‚¬ dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]7,1 %9,1 %11,6 %
    Département[I 7]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 892 personnes, parmi lesquelles on compte 79,5 % d'actifs (67,9 % ayant un emploi et 11,6 % de chômeurs) et 20,5 % d'inactifs[Note 11] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 889 emplois en 2018, contre 312 en 2013 et 228 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 612, soit un indicateur de concentration d'emploi de 145,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 66,8 %[I 10].

    Sur ces 612 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 124 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,2 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    112 établissements[Note 12] sont implantés à Montbartier au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble112
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    108,9 %(9,6 %)
    Construction1311,6 %(14,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    5044,6 %(29,7 %)
    Activités immobilières32,7 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1311,6 %(14,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    98 %(13,6 %)
    Autres activités de services1412,5 %(9,3 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 44,6 % du nombre total d'établissements de la commune (50 sur les 112 entreprises implantées à Montbartier), contre 29,7 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[49] :

    • Gamm Vert Sud Ouest, centrales d'achat non alimentaires (58 478 k€)
    • Stef Logistique Montbartier, entreposage et stockage non frigorifique (16 042 k€)
    • Base Organic Food, commerce de gros (commerce interentreprises) alimentaire spécialisé divers (10 803 k€)
    • Euromat 82, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (938 k€)
    • Auto Eco Concept, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (55 k€)

    Viticulture : Fronton (AOC).

    En 2010, le Conseil général de Tarn-et-Garonne décide de créer une Zone d'Activité Économique dédiée principalement à la logistique située en partie sur la commune de Montbartier. Cette ZAC nommée « Grand Sud Logistique » occupera, à terme, une surface de 450 hectares pouvant accueillir un nombre important d'entreprises et générer plusieurs milliers d'emplois (entre 2 500 et 3 000). Par exemple, Intermarché a choisi de réaliser un bâtiment logistique de 89 000 m2 générant quatre cents emplois.

    Il existe aussi un projet de parc éolien sur la commune.

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations3725156
    SAU[Note 14] (ha)878756647278

    La commune est dans les « Vallées et Terrasses », une petite région agricole occupant le centre et une bande d'est en ouest du département de Tarn-et-Garonne[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (37 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 278 ha[52] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le pont sur le canal latéral à la Garonne.
      Le pont sur le canal latéral à la Garonne.

    Héraldique

    Blason de Montbartier Blason
    D'or chargé d'un écu d'argent surchargé d'une aigle de sable et surmonté d'une burèle d'argent, chargée de l'inscription en capitales de sable MONTBARTIER et côtoyée de deux filets, d'argent[53].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Montbartier
    Alias du blason de Montbartier
    D'argent au chêne de sinople sur lequel est posé un hibou de sable.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[51].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Montbartier » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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