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Maurice Brianchon

Maurice Brianchon est un peintre français, né le à Fresnay-sur-Sarthe et mort le à Paris[3].

Maurice Brianchon
Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Maurice Jules Charles Brianchon
Nationalité
Formation
Activités
Conjoint
Marguerite Louppe (en)
Autres informations
Mouvement
Distinctions
Archives conservées par
Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 1360, 3069-3070, 3 pièces, -)[1] - [2]

Biographie

En 1917, Maurice Brianchon entre à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris dans l'atelier de Fernand Cormon et, en 1918, quitte cette école pour suivre à l'École nationale supérieure des arts décoratifs les cours de Paul Renouard et d'Eugène Édouard Morand (1853-1930)[4] qui y enseigne depuis 1908. Il y fait la connaissance de Roland Oudot, Raymond Legueult, Joseph Inguimberty, François Desnoyer, et Jacques Adnet. Il expose pour la première fois au Salon d'automne en 1919. Un voyage en Belgique et aux Pays-Bas lui fait découvrir les peintres flamands et hollandais au travers des musées qu'il visite à Bruxelles, Anvers, Bruges et Amsterdam. C'est le temps où il relit les Maîtres d'autrefois d'Eugène Fromentin. Il a quitté les Arts décoratifs.

En 1922, il devient membre du comité du Salon d'automne et prend avec son ami Raymond Legueult un atelier 54 avenue du Maine à Paris. Jacques Rouché, directeur de l'Opéra de Paris, lui demande de créer les costumes pour le ballet de Griselidis dont la première aura lieu le . Une bourse de l'École des arts décoratifs obtenue par Raymond Legueult, leur permet de faire, tous les deux, un voyage en Espagne où ils découvrent au musée du Prado les maîtres de la peinture espagnole qu'ils admirent tant et dont ils font des copies : Diego Vélasquez, Goya, Gréco. En 1924, il reçoit le prix Blumenthal.

Toujours en compagnie de Legueult, il va réaliser les décors de La Naissance de la Lyre à l'Opéra de Paris en 1925, dont la première aura lieu le . Il est nommé professeur de dessin à l'École Estienne à Paris en octobre de la même année. Le , il épouse l'artiste peintre Marguerite Louppe (1902-1988) dont il a fait la connaissance à l'Académie Julian ainsi qu'à l'Académie de la Grande Chaumière, et participe à la Biennale de Venise avec six toiles. C'est alors qu'il quitte l'atelier commun pris avec Legueult, avenue du Maine.

En 1936, il devient professeur à l'École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris.

Il reçoit en 1939 le Garden Club Prize du Carnegie Institute. Puis éclate la Seconde Guerre mondiale ; mobilisé il est affecté à la section du camouflage où il retrouve d'autres confrères. Il crée les décors et les costumes des Valses nobles et sentimentales pour l'Opéra de Paris. Il devient membre du comité du Salon des Tuileries en 1940. Il reste très souvent à Paris et part quelquefois l'été en vacances à Carnac ou à Trouville.

Démobilisé, il travaille à l'Opéra et dans son lumineux atelier sous les toits au 8e étage de la rue du Conseiller-Collignon dans le quartier de la Muette à Paris, et réalise les décors et costumes pour Sylvia ou la Nymphe de Diane sur une musique de Léo Delibes en 1941. À la demande de son ami Jacques Adnet, décorateur de la Compagnie des arts français, il réalise en 1942 plusieurs cartons de tapisserie pour Aubusson et les Gobelins sur le thème des fêtes du château de Vaux-le-Vicomte et, la même année, crée pour l'Opéra de Paris les costumes des Animaux modèles dont la musique est de son ami Francis Poulenc. En 1943, en compagnie de son épouse, il décore de trois panneaux muraux le Conservatoire de musique et d'art dramatique de Paris. Robert Rey lui commande, en 1945, la décoration de 74 assiettes d'un service en blanc de Sèvres.

En 1945, Fred Ulher, fondateur et président des Éditions Ides et Calendes à Neuchâtel, lui demande, avec son directeur Richard Heyd, de bien vouloir illustrer de frontispices et de bandeaux deux ouvrages de Valery Larbaud : Une Nonnain et Le Vaisseau de Thésée, achevés d'imprimé en 1946, ainsi que le théâtre complet d'André Gide. Puis à la demande de Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud, il compose les décors et les costumes pour Les Fausses Confidences de Marivaux.

Léon Deshairs lui remet les insignes de chevalier de la Légion d'honneur et Luc-Albert Moreau lui enverra un billet pour le complimenter en ces termes : « Bravo mon cher Brianchon, ce ruban consacre non seulement votre beau talent, mais aussi votre courageuse attitude pendant l'Occupation, vos amis se réjouissent de cette distinction ». Il travaille à nouveau avec Barrault et Renaud à l'automne 1948 pour les décors et costumes de La Seconde Surprise de l'amour de Marivaux.

En 1949, il est nommé professeur à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Il compte parmi ses élèves : Guy Bardone, André Brasilier, Bernard Cathelin, René Genis, Claude Guillemot, Paul Guiramand et Armand Sinko. Le président de la République Vincent Auriol, qui est un admirateur de l'artiste, l'invite avec son épouse très régulièrement aux réceptions officielles ou privées qu'il donne au palais de l'Élysée, et Maurice Brianchon profite de l'occasion pour faire des croquis dont il exécutera plus tard des tableaux de ces cérémonies.

Gisèle d'Assailly donne à son ouvrage le titre de Peintres de la réalité poétique en 1949 pour décrire les œuvres de huit peintres ayant exposés ensemble dans l'entre-deux-guerres et qui ont un certain nombre de points communs. Il s'agit de Maurice Brianchon, Christian Caillard, Jules Cavaillès, Raymond Legueult, Roger Limouse, Roland Oudot, André Planson et Kostia Terechkovitch. En 1951, le musée des arts décoratifs de Paris organise une rétrospective de son œuvre en exposants 135 peintures, autant d'aquarelles, des dessins, des lithographies et des tapisseries.

Pour l'Opéra de Paris et son ami Francis Poulenc, il réalise les décors et costumes du ballet Aubade en 1952. Le , le président de la République Vincent Auriol lui remet les insignes d'officier de la Légion d'honneur et, au mois de juin, il est désigné par la direction des Arts et des Lettres à la demande du gouvernement britannique pour participer aux cérémonies du couronnement d'Élisabeth II, dont il rapportera deux carnets de croquis qui lui serviront à réaliser huit peintures de petit format consacrées à l'événement. Alfred Daber réalise en 1954 une exposition de ces œuvres dans sa galerie parisienne du 103, boulevard Haussmann dont, parmi les 22 peintures retenues, celles du couronnement de la reine d'Angleterre.

Il réalise en 1955, les décors et costumes d'Intermezzo de Jean Giraudoux, musique de Francis Poulenc, dont la première est donnée par la Compagnie Renaud-Barrault le avec Pierre Bertin. Il est membre du jury de la 7e Quadriennale de Rome avec Jean Arp en 1956, dont le prix est décerné à Enrico Prampolini. En juin, la galerie Arthur Tooth fait une exposition de 32 de ses peintures. Michel Bouquet, metteur en scène et acteur de La Maison des cœurs brisés qu'il monte au théâtre de l'Œuvre en 1958, demande à Maurice Brianchon de réaliser les décors et les costumes dont Maurice Jarre réalisa la musique de l'œuvre de George Bernard Shaw. Il participe à l'exposition des peintres de la réalité poétique à La Tour-de-Peilz en Suisse dont le catalogue est réalisé par François Daulte et la préface de Paul Morand. Il y expose 41 dessins, peintures, aquarelles, lithographies et tapisseries de l'artiste avec Roland Oudot et Legueult, que Morand a connus aux Arts-déco quarante ans plus tôt, et fait l'éloge de leur travail. Il met en route une série d'études pour réaliser des lithographies destinées à illustrer Les Fausses Confidences de Marivaux qui paraîtront en 1959 sur les presses à bras de Maurice Mourlot et de son frère Fernand Mourlot, éditées par Alfred Daber.

Cette année 1959, il part en compagnie de son épouse aux États-Unis pour la première fois. La galerie David B. Findlay à New York lui consacre une exposition de trente peintures réalisées entre 1942 et 1959. Il en profitera pour rapporter une série de croquis des gratte-ciel de Manhattan ainsi que des berges de l'Hudson à partir desquels il réalisera plus tard des tableaux. Jean-Louis Barrault réalisa la préface du catalogue de l'exposition. Puis l'année suivante, une seconde exposition lui sera consacrée par cette même galerie. À l'automne, Georges Wildenstein obtient qu'une exposition de 103 œuvres présentées à Neuchâtel soit exposées à la galerie des Beaux-Arts de Paris. Il passe ses vacances à Truffières dans le Périgord où il peint des natures mortes et des paysages. Il restaure une vieille maison près de Grand-Brassac.

Maurice Brianchon est membre de la Société des peintres-graveurs français[5].

En 1969, il connaît la consécration au Japon, grâce à l'exposition que lui consacre le galeriste nippon Chozo Yoshii en présentant vingt de ses œuvres à Tokyo. L'année suivante, il va illustrer de lithographies en couleurs Le Blé en herbe de Colette, dans une édition de grand luxe. Matasaka Ogawa lui consacre en 1972 une monographie en japonais, préfacée par le galeriste Chozo Yoshii, qui paraît aux éditions Zauho Press à Tokyo. Une nouvelle exposition en Suisse, à Genève organisée par la galerie des Granges consacre cinquante années de peinture avec 56 peintures. Puis, en 1975, une cinquième exposition à New York se tient dans les nouveaux locaux de la galerie de David Findlay. Patronnée par le Yomiuri Shimbun, la galerie Daimaru de Tokyo organise au mois de juin une exposition sur les peintres de la réalité poétique, présentant des œuvres des huit maîtres dont dix de Maurice Brianchon, reproduites en couleurs dans le catalogue de l'exposition.

Deux ans plus tard, Maurice Brianchon meurt Ă  son domicile parisien le .

En 2013 a lieu la dispersion d'une partie de l'atelier du peintre à la suite de la succession de son fils Pierre-Antoine Brianchon à l'hôtel des ventes de Toulon[6] du 7 au , comprenant notamment 200 toiles inédites et originales de l'artiste et de Marguerite Louppe, son épouse.

RĂ©ception critique

  • « Aux confins d'un excessif raffinement, mais quel beau peintre ! Bien que portant une forte empreinte de ceux qu'il a choisis pour maĂ®tres (Bonnard, mais plus encore Vuillard), Brianchon est nĂ©anmoins très personnel dans son Ă©criture et sa palette. Une sorte d'infaillibilitĂ© qui effraie, tant toute chance est refusĂ©e au hasard en cet art si concertĂ©. Il manĹ“uvre le vert (cette chausse-trappe du peintre) comme personne. Ă€ une distinction extrĂŞme, souvent assourdie, il mĂŞle le cravachage audacieux de balafres inouĂŻes venant strier un ciel, une Ă©toffe, la chair d'une femme ou d'un fruit. Jamais en ces tĂ©mĂ©ritĂ©s, toujours heureuses, le moindre manquement au goĂ»t le meilleur. » - Michel Ciry[7]

RĂ©compenses et distinctions

Ĺ’uvres dans les collections publiques

Centre Pompidou, Paris

  • Femmes Ă  leur toilette, huile sur toile, 130 x 90 cm, 1930.
  • Femme au divan, aquarelle et gouache sur papier, 39 x 25, 1930.
  • Fleurs, huile sur toile, 60 x 46 cm, avant 1932.

Musée d'Art moderne, Paris

  • Les Courtisanes, huile sur toile, 1932.
  • Les Danseuses, huile sur toile, 1943-1944.
  • Trouville, Pelouse Ă  Longchamp et Plage, lithographies, respectivement de 1958, 1960 et 1961.

Conservatoire national supérieur d'art dramatique, Paris

  • Ensemble de trois panneaux dĂ©coratifs, en collaboration avec Marguerite Louppe, 1941.

Musée d'Art et d'Histoire, Genève

  • La JetĂ©e, huile sur toile, huile sur carton, 22,9 x 31,2 cm.
  • La Mare aux corneilles, La Digue Ă  Saint-Jean-de-Luz, Fruits d'automne, Femme Ă  sa toilette, Avant le dĂ©part, Bal masquĂ©, lithographies, 1956.

Galerie Nationale de Finlande, Helsinki

  • Nature morte, huile sur toile, 81 x 65 cm, 1937.
  • Le Divan, huile sur toile, 81 x 116 cm, 1939.
  • Nature morte avec citrons, huile sur carton, 42 x 27 cm, 1946.

Musée Bojimans Van Beuningen, Rotterdam

  • Portrait de la femme de l'artiste (Marguerite Louppe), huile sur toile, 81 x 65 cm, 1934.

Moderna Museet, Stockholm

  • Du cirque, huile sur toile, 100 x 81 cm, 1929.

Fine Arts Museums, San Francisco

  • Saint-Jean-de-Luz, la plage, lithographie, 1964.
  • Sans titre et L'Arlequin, lithographies.
  • Parc, huile sur toile, 54 x 36 cm.

Museum of New Zealand, Wellington

  • Champ de blĂ©, huile sur toile, 1963.

Musée d'Arts, Nantes

  • Nature morte aux poires, 81,5 x 65,8 cm, vers 1925.
  • La femme au paravent bleu, 100 x 73,2 cm, 1931.

Musée des Ursulines, Mâcon

  • Coin de ville sous la neige, huile sur toile, 65 x 81 cm, 1935.

Musée des Beaux-Arts, Dijon

  • Nature morte au compotier, huile sur toile, 65 x 54 cm.

Musée de l'Abbaye, Saint Claude

  • Donations de Guy Bardone et RenĂ© Genis.

Ĺ’uvre d'Ă©dition

Estampe

  • Sur la plage, lithographie en couleurs.
  • La neige Ă  Auteuil, 1950, estampe.
  • La Plage, 1952, estampe.
  • Sans titre, 1954, estampe.
  • Canotage, 1955; lithographie en couleur.
  • Les Fausses Confidences, 1958, illustrations pour l'Ĺ’uvre de Marivaux, Ă©ditĂ© par Alfred Daber en 1959.
  • Le Vieillard et les trois jeunes gens, 1961, gravure sur bois.
  • La Plage, 1964, lithographie.
  • Thèmes, 1956, estampe.

CĂ©ramique

  • 74 assiettes de blanc de Sèvres peintes par Brianchon Ă  la demande de Robert Rey, 1945.

Tapisserie

  • Pierrot et Colombine, 1940.
  • Diane, vers 1940.
  • Six musiciens, 1940.
  • Ĺ’uvres pour les Gobelins et Aubusson sur le thème des fĂŞtes du château de Vaux-le-Vicomte, 1942.
  • Le Sommeil de Diane, 1942.
  • Faune et Sylvain, 1942.
  • Sylvain, 1942.
  • La SĂ©rĂ©nade, 1943.
  • Le Concert champĂŞtre.
  • Aubade.
  • Musiciens dans un parc.

Illustration

  • Valery Larbaud, Une Nonnain, illustrĂ© d'un frontispice en couleurs et de 18 bandeaux en noir, Ă©d. Ides et Calendes, in-8, 99 p., 1946.
  • Valery Larbaud, Le Vaisseau de ThĂ©sĂ©e, Ă©d. Ides et Calendes, 1946.
  • AndrĂ© Gide, Théâtre complet, Ă©d. Ides et Calendes, 1946.
  • Marivaux, Les Fausses Confidences, Ă©dition Alfred Daber, 1959.
  • Les Fables de La Fontaine (Le Vieillard et les trois jeunes gens) gravĂ© sur bois dans la planche pour 20 fables de La Fontaine en souscription au profit de la Croix-Rouge, 1961.
  • Colette, Le BlĂ© en herbe, illustration de lithographies pour l'Ă©dition de grand luxe de la SociĂ©tĂ© des francs bibliophiles, 1970.

Affiche

  • Brianchon Ă  la galerie Alfred Daber, 1954, reprĂ©sentation de cavaliers.

Décors et costumes de théâtre

Salons

  • 1919 : Salon d'automne au Grand Palais, du 1er novembre au 10 dĂ©cembre.
  • 1923 : Salon des Tuileries, Palais de bois.
  • 1924 : Salon d'automne au Grand Palais du 1er novembre au 14 dĂ©cembre.
  • 1924 : Salon des Tuileries, Palais de bois.
  • 1925 : Salon des Tuileries, Palais de bois.
  • 1925 : Salon d'automne au Grand Palais du 26 septembre au 2 novembre 18e exposition.
  • 1926 : Salon d'automne au Grand Palais.
  • 1926 : Salon des Tuileries.
  • 1927 : Salon des Tuileries, Palais de bois.
  • 1927 : Salon d'automne au Grand Palais.
  • 1928 : Salon des Tuileries, Palais de bois.
  • 1928 : Salon d'automne au Grand Palais.
  • 1929 : Salon d'automne au Grand Palais.
  • 1930 : Salon des Tuileries, Cours la Reine, Paris.
  • 1930 : Salon d'automne au Grand Palais.
  • 1931 : Salon des Tuileries.
  • 1931 : Salon d'automne au Grand Palais.
  • 1932 : Salon des Tuileries, NĂ©o Parnasse.
  • 1932 : Salon d'automne au Grand Palais.
  • 1933 : Salon de Printemps, SociĂ©tĂ© royale des beaux-arts de Bruxelles.
  • 1933 : Salon des Tuileries.
  • 1933 : Salon d'automne au Grand Palais.
  • 1935 : Salon des Tuileries, NĂ©o Parnasse.
  • 1935 : Salon d'automne, Grand Palais, Paris.
  • 1937 : Salon d'automne, Pavillon des Salons, Paris.
  • 1938 : Salon d'automne au Palais de Chaillot.
  • 1939 : Salon des Tuileries au Palais de Chaillot.
  • 1940 : Salon d'automne au Grand Palais.
  • 1941 : Salon des Tuileries au Palais de Tokyo Ă  Paris.
  • 1943 : Salon des Tuileries.
  • 1943 : Salon d'automne.
  • 1944 : Salon d'automne Palais des beaux-arts Ă  Paris.
  • 1949 : Salon des Tuileries.
  • 1949 : Salon d'automne.
  • 1951 : Salon des Tuileries.
  • 1953 : Salon des Tuileries.
  • 1957 : Salon d'automne.
  • 1958 : Salon d'automne au Grand Palais.

Expositions

  • 1925 : galerie Devambez, Paris.
  • 1927 : galerie de l'Aubier Ă  Paris avec Legueult, Charlemagne, Terechkovitch, Maurice Brianchon, Ă  la galerie Le Portique au 99, boulevard Raspail Ă  Paris.
  • 1928 : exposition avec Legueult, Thomas, Oudot, Vigneau Ă  la galerie Le Portique ; 2e groupe galerie Marcel Bernheim.
  • 1929 : galerie Le Portique, exposition avec Labat, Oudot, Legeult, Vigneau.
  • 1929 : Maurice Brianchon, galerie Le Portique.
  • 1930 : exposition de 32 toiles galerie Bernheim-Jeune au 27, avenue Matignon Ă  Paris.
  • 1930 : galerie Marcel Bernheim, Paris.
  • 1930 : Art suĂ©dois et français, Konsthallen, Göteborg.
  • 1931 : La Seconde GĂ©nĂ©ration, galerie de France, Paris.
  • 1932 : galerie Marcel Bernheim, exposition d'Ĺ“uvres rĂ©centes.
  • 1932 : Quelques peintres d'aujourd'hui, galerie Braun et Cie, Paris.
  • 1933 : L'Art contemporain, salle des fĂŞtes municipales, Anvers, Belgique.
  • 1934 : exposition du 2e Groupe des artistes de ce temps lĂ  au Petit Palais, avec des toiles rĂ©centes de Oudot, Legueult, sculptures de GĂ©mond.
  • 1934 : galerie Jean Charpentier.
  • 1934 : Biennale de Venise, six de ses toiles au pavillon français.
  • 1936 : exposition avec Oudot, galerie Berri-Raspail Paris.
  • 1938 : exposition d'art français chez Backsbacka S.B.A. Helsengfor.
  • 1938 : Peintres parisiens, galerie Wolfsberg Ă  ZĂĽrich.
  • 1941 : galerie Louis CarrĂ© au 10, avenue de Messine Ă  Paris, exposition collective, Branchon, Oudot, Legeult.
  • 1942 : galerie Louis CarrĂ©, Ĺ“uvres rĂ©centes de Maurice Brianchon.
  • 1942 : Jeunes peintres français et leurs maĂ®tres, AthĂ©nĂ©e de Genève ; Kunsthaus de Zurich ; Kunsthalle de Berne ; Kunsthaus de Lucerne ; Kunsthalle de Bâle.
  • 1943 : galerie Louis CarrĂ©, toiles et aquarelles.
  • 1944 : galerie Charpentier, Paris.
  • 1946 : École de Paris, Kunsthalle de Berne.
  • 1946 : La Tapisserie française du Moyen Ă‚ge Ă  nos jours, musĂ©e d'art moderne, Paris, de juin Ă  juillet.
  • 1946 : Tapisseries rĂ©centes, Paris.
  • 1946 : Exposition d'art français, chez Bäcksbacka ; Salon des beaux-arts de Helsengfors en dĂ©cembre.
  • 1947 : IntimitĂ©s, galerie Framond au 3, rue des Saints-Pères Paris.
  • 1948 : galerie Framond, Paris, La Bretagne, du au .
  • 1948 : Danse et divertissements, galerie Charpentier, Paris.
  • 1949 : L'Enfance, galerie Charpentier.
  • 1951 : L'École de Paris de 1900 Ă  1950, Royal Academy of Arts, Londres.
  • 1951 : exposition rĂ©trospective de son Ĺ“uvre au musĂ©e des arts dĂ©coratifs de Paris avec 135 peintures, autant d'aquarelles, des tapisseries, lithographies ainsi que des dessins.
  • 1951 : Plaisir de France, galerie Charpentier, Paris.
  • 1951 : galerie Wildenstein Ă  Londres.
  • 1951 : exposition d'art français chez Bäcksbacka ; Salon des beaux-arts de Helsingfors.
  • 1952 : PoupĂ©es et automates depuis la Renaissance, galerie Charpentier, Paris.
  • 1952 : 26e Biennale de Venise, Padiglioni delle Nazioni, Venise.
  • 1953 : Centenaire du Bois de Boulogne, galerie Weil Ă  Paris.
  • 1953 : Peintres contemporains, musĂ©e Toulouse-Lautrec Ă  Albi.
  • 1954 : galerie Alfred Daber au 103, boulevard Haussmann, 22 peintures dont celles du couronnement de la reine d'Angleterre.
  • 1954 : L'Homme dans la ville, les peintres tĂ©moins de leur temps, musĂ©e GalliĂ©ra, Paris.
  • 1954 : 27e Biennale de Venise, Padiglioni delle Nazioni, Venise.
  • 1954 : Plans de la campagne, galerie Charpentier.
  • 1954 : École de Paris, galerie Charpentier.
  • 1955 : Le Bonheur, les peintres tĂ©moins de leur temps au musĂ©e Galliera, Paris.
  • 1955 : Jubilumsutställning Juhlnäyttely, Salon des beaux-arts de Helsingfors.
  • 1956 : galerie Arthur Tooth, Londres, exposition de 32 peintures ; RĂ©habilitation du portrait, les peintres tĂ©moins de leur temps, musĂ©e Galliera Ă  Paris ; galerie Alfred Daber, gouaches et aquarelles, dessins et lithographies ; Grands peintres français d'aujourd'hui, galerie Romanet Ă  Paris ; musĂ©e de l'AthĂ©nĂ©e Ă  Genève ; Collections Neuchatelloises, musĂ©e des beaux-arts Ă  Neuchâtel.
  • 1957 : Depuis Bonnard, musĂ©e national d'art moderne, Paris.
  • 1957 : PĂ©rennitĂ© de l'art français, Ire Quatriennale de la peinture française en Suisse, musĂ©e de l'AthĂ©nĂ©e Ă  Genève ; Bonjour Peinture, Syndicat d'initiative de La FertĂ©-sous-Jouarre ; musĂ©e de Bagnols-sur-Cèze ; Choix de peintures, musĂ©e Calvet, Avignon.
  • 1958 : exposition des peintres de la rĂ©alitĂ© poĂ©tique Ă  La Tour-de-Peilz en Suisse : 41 Ĺ“uvres exposĂ©es.
  • 1958 : De Monet Ă  Chagall, musĂ©e Jenisch Ă  Vevey, Suisse ; De l'impressionnisme Ă  nos jours, musĂ©e national d'art moderne, Paris.
  • 1959 : galerie David Findlay Ă  New York, une trentaine de peintures rĂ©alisĂ©es entre 1942 et 1959. PrĂ©face du catalogue par Jean-Louis Barrault.
  • 1959 : galerie Wildenstein Ă  Londres ; École de Paris Ă  la galerie Charpentier Ă  Paris ; French art forum Australian art collections Quanland Art Gallery, Brisbane.
  • 1960 : 2e exposition Ă  la galerie David Findlay, New York, une vingtaine de peintures.
  • 1962 : rĂ©trospective au musĂ©e des beaux-arts de Neuchâtel, 220 Ĺ“uvres, toiles, aquarelles, dessins, lithographies, livres illustrĂ©s.
  • 1962 : exposition de 103 Ĺ“uvres prĂ©sentĂ©es Ă  Neuchâtel dans la galerie des beaux-arts de Paris Ă  la demande de Georges Wildenstein.
  • Vers 1965 : galerie David Findlay, New York.
  • 1969 : galerie Ginza Ă  Tokyo au Japon, organisĂ©e par Chozo Yoshii.
  • 1970 : galerie David Findlay, New York, une trentaine de peintures.
  • 1974 : Cinquante ans de peinture, galerie des Granges, du 2 au , 56 peintures dont Joueurs de pelote Ă  Ciboure de 1922, Nature morte au bilboquet de 1969.
  • 1974 : galerie Yoshii Ă  Paris.
  • 1974 : galerie Schmit Ă  Paris, Portraits français des XIXe siècle et XXe siècle.
  • 1975 : galerie David Findlay, New York, 25 peintures rĂ©centes.
  • 1975 : Peintre figuratif, musĂ©e d'art et d'histoire, Neuchâtel.
  • 1975 : Quelques peintres japonais et français, galerie VendĂ´me Ă  Beyrouth, Liban.
  • 1976, 1977 : Les peintres de la rĂ©alitĂ© poĂ©tique, galerie Daimaru, Tokyo.
  • 2004 : galerie David Findlay, hommage Ă  Maurice Brianchon pour les 25 ans de sa disparition.
  • 2011 : hommage posthume aux huit peintres de la rĂ©alitĂ© poĂ©tique, musĂ©e des beaux-arts de Gaillac, du au .

Élèves

Notes et références

  1. « https://archives.yvelines.fr/rechercher/archives-en-ligne/correspondances-du-musee-departemental-maurice-denis/correspondances-du-musee-maurice-denis », sous le nom BRIANCHON Maurice (consulté le )
  2. « ark:/36937/s005b07bd7483317 », sous le nom BRIANCTTON (consulté le )
  3. Biographie, sur brianchon.com.
  4. Père de l'écrivain Paul Morand.
  5. Les Peintres graveurs français. 80e anniversaire, Paris (6e), 1969.
  6. Voir sur hoteldesventesdetoulon.com.
  7. Michel Ciry, La vie est une ombre. Journal 1945-1952, Éditions Buchet/Chastel, 1992, p. 150.

Annexes

Bibliographie

  • Olivier Daulte et Pierre-Antoine Brianchon, Maurice Brianchon, catalogue raisonnĂ©, Paris, Ă©d. Bibliothèque des arts, 2008, 432 p. (ISBN 978-2-88453-140-5).
  • François Daulte, Claude Roger-Marx et Paul Morand, Les Peintres de la rĂ©alitĂ© poĂ©tique, Bibliothèque des arts, 2001, 148 p. (ISBN 285047245X).
  • Masataka Ogawa, monographie en japonais, prĂ©face de Cozo Yoshii, Tokyo, Ă©ditions Zauho Press.
  • Gisèle d'Assailly, Les Peintres de la rĂ©alitĂ© poĂ©tique, Paris, Éditions Julliard, 1949.
  • Maurice Brianchon, Cinquante ans de peinture, Genève, Ă©d. de la Galerie des Granges, 1974, 49 p., illustrations.
  • Marcel Zahar, " Maurice Brianchon ", Pierre Cailler Éditeur, Genève, 1949.
  • Collectif, Les Peintres de la rĂ©alitĂ© poĂ©tique, palais des expositions, Genève, Ă©d. de la Bibliothèque des arts, 1994.
  • Robert Rey, Maurice Brianchon, peintre, Collection « Les MaĂ®tres de demain », no 6, Paris, 1942, petit volume brochĂ©, 31 p., suivies de 31 reproductions d'Ĺ“uvres.

Article connexe

Liens externes

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