Marçay (Vienne)
Marçay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Marçay | |||||
Ăglise de Marçay. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Vienne | ||||
Arrondissement | Poitiers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Vallées du Clain | ||||
Maire Mandat |
Sandra Girard 2020-2026 |
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Code postal | 86370 | ||||
Code commune | 86145 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
1 192 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 39 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 46° 27âČ 49âł nord, 0° 13âČ 51âł est | ||||
Altitude | Min. 98 m Max. 151 m |
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Superficie | 30,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Vivonne | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lusignan-Inra », sur la commune de Lusignan, mise en service en 1965[7] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 817,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă 14 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 12,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Marçay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (70,9 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (71,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (52,8 %), forĂȘts (26,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (12,3 %), prairies (5,8 %), zones urbanisĂ©es (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,6 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Marçay est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[22]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[23]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010, par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].
Histoire
Marçay accueille favorablement les avancĂ©es de la RĂ©volution française. Elle plante ainsi son arbre de la libertĂ©, symbole de la RĂ©volution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fĂȘtes et des principaux Ă©vĂ©nements rĂ©volutionnaires, comme lâenrĂŽlement des futurs soldats lors de la levĂ©e en masse[25].
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour dâassises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[28].
En 2020, la commune comptait 1 192 habitants[Note 9], en augmentation de 8,07 % par rapport Ă 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2008, selon lâInsee, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 26 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Ăconomie
Agriculture
Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes[31], il n'y a plus que 23 exploitations agricoles en 2010 contre 28 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 2 036 hectares en 2000 à 1 910 hectares en 2010. 5 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 22 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 3 % pour les protéagineux, 7 % pour le fourrage et 5 % reste en herbes. En 2000, 2 hectares (2 en 2010) étaient consacrés à la vigne[31].
Cinq exploitations en 2010 comme en 2000 abritent un Ă©levage de bovins (328 tĂȘtes en 2010 contre 370 en 2000). Ont disparu au cours de cette dĂ©cennie, les Ă©levages d'ovins (733 tĂȘtes sur onze fermes) et de volailles (1 112 tĂȘtes sur quatorze fermes en 2000)[31]. Cette Ă©volution est conforme Ă la tendance globale du dĂ©partement de la Vienne. En effet, le troupeau dâovins, exclusivement destinĂ© Ă la production de viande, a diminuĂ© de 43,7 % de 1990 Ă 2007[32].
DĂ©veloppement durable
La commune accueille l'un des onze centres de compostage des déchets organiques du département. Le tonnage annuel est de 10 000 tonnes alors que pour l'ensemble des équipements du département, il est de 175 050 tonnes[33].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Basilique Saint-BenoĂźt-Labre de Marçay. Marçay possĂšde une basilique, fruit du rĂȘve de son curĂ©, François Joseph Joanneau. Celui-ci, en poste Ă partir de 1856, rĂȘvait de faire de cette petite commune de la campagne proche de Poitiers un haut-lieu de pĂšlerinage. Il fit le projet de la construction d'un centre cultuel concurrençant ceux de Lourdes ou de Notre-Dame de Lorette. En 1884, la construction de la basilique dĂ©diĂ©e Ă saint BenoĂźt Joseph Labre, nouveau patron de la commune, commença. Sa dĂ©coration fut achevĂ©e quinze ans plus tard et les travaux s'arrĂȘtĂšrent avec la mort du curĂ© Joanneau. Les reliques du saint reposaient Ă l'intĂ©rieur de la basilique avant sa dĂ©sacralisation et sa vente ; elles sont conservĂ©es maintenant dans l'Ă©glise paroissiale. Ce lieu a fait l'objet d'un pĂšlerinage relativement important jusqu'en 1952. La basilique tombait doucement en ruines, mais son nouveau propriĂ©taire a procĂ©dĂ© Ă une rĂ©fection totale qui s'est achevĂ©e en 2017. Son architecture est de style nĂ©o-gothique. Elle prĂ©sente une façade avec des pierres d'arrachement, car le clocher n'a jamais Ă©tĂ© construit par suite du dĂ©cĂšs de son curĂ© bĂątisseur. Sur cette façade inachevĂ©e, deux cloches ont Ă©tĂ© logĂ©es en 2016 dans un passage qui devait permettre l'accĂšs Ă la toiture depuis le clocher, et la grande ouverture qui Ă©tait autrefois obturĂ©e par des briques et cela depuis l'origine, a laissĂ© place Ă un vitrail qui a Ă©tĂ© posĂ© durant l'hiver 2016-2017, donnant ainsi une clartĂ© exceptionnelle Ă l'intĂ©rieur de la nef unique. Celle-ci est accostĂ©e de galeries-cloĂźtre extĂ©rieures qui ont Ă©tĂ© habillĂ©es de verriĂšres afin de crĂ©er des espaces confortables de circulation ou d'exposition. Trois beaux vitraux historiĂ©s relatant la vie du Saint-Patron, BenoĂźt-Joseph Labre, ont Ă©tĂ© commandĂ©s au XIXe siĂšcle par l'abbĂ© Joanneau auprĂšs de l'atelier parisien des Lavergne, cĂ©lĂšbres peintres verriers, pour enrichir le chevet du maĂźtre-autel ; ce dernier, en marbre de carrare, abrite un gisant de cire figurant Saint-Labre en priĂšre pour l'Ă©ternitĂ©. Deux autres vitraux de mĂȘme Ă©poque ont Ă©tĂ© mis en place en 2016 dans le double transept, l'un Ă l'effigie de Saint-Augustin, l'autre Ă celle de Saint-Athanase ; ils ont Ă©tĂ© offerts par les sĆurs de l'abbaye de Jouarre. L'Ă©glise a cette particularitĂ© d'avoir un double transept ; elle a Ă©tĂ© construite par les architectes Perlat et Boutaud. Il est Ă noter qu'Alcide Boutaud, architecte diocĂ©sain, a rĂ©alisĂ© de nombreuses Ă©glises dans les dĂ©partements de l'Ouest. Il a Ă©galement bĂąti la maison du grand Ă©crivain Joris-Karl Huysmans qui existe toujours Ă LigugĂ©, commune voisine. En 2019, la restauration s'est achevĂ©e par la pose en façade de deux escaliers extĂ©rieurs Ă vis en fer de fonte, reliĂ©s par une passerelle permettant l'accĂšs Ă la tribune intĂ©rieure de la grande nef. Au cours du printemps 2023, un orgue rĂ©alisĂ© vers 1850 par Jan Arnold ClĂ©rinx, facteur d'orgue Ă©tabli Ă Saint-Trond en Belgique, a Ă©tĂ© installĂ© sur cette tribune. La basilique a Ă©tĂ© inscrite en totalitĂ© au titre des Monuments Historiques le [34] et elle abrite dĂ©sormais un centre culturel consacrĂ© au Livre.
- L'église paroissiale Saint-Médard de Marçay possÚde deux cloches. La plus ancienne date de 1584. C'est l'une des douze cloches recensées datant du XVIe siÚcle existantes encore dans le département de la Vienne. L'autre cloche date de 1882. Comme celle de l'église Saint-Pierre de Chaunay, elle a été fondue par Georges Bollée à Orléans.
- Abbaye de Bonnevaux est inscrite comme monument historique en 1967 pour son cloĂźtre et sa galerie.
- Le chùteau de Bierson est inscrit comme monument historique pour son vitrail depuis 1989 et pour ses façades, ses toitures sa terrasse et son perron à partir de 1997.
Voir aussi
Articles de Wikipédia
Liens externes
Sources
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Marçay et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Agreste â Bulletin n°12 de mai 2013
- Rapport de lâAREC â La gestion des dĂ©chets mĂ©nagers en Vienne â Recueil des donnĂ©es â AnnĂ©e 2011
- « Basilique Saint-Benoßt-Labre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )