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Luçay-le-Mâle

Luçay-le-Mâle est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Luçay-le-Mâle
Luçay-le-Mâle
Le château d'Oublaise en 2011.
Blason de Luçay-le-Mâle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Communauté de communes Ecueillé-Valençay
Maire
Mandat
Bruno Taillandier
2020-2026
Code postal 36360
Code commune 36103
Démographie
Gentilé Lucéens
Population
municipale
1 324 hab. (2020 en diminution de 5,9 % par rapport à 2014)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 51″ nord, 1° 26′ 32″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 182 m
Superficie 68,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valençay
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Luçay-le-Mâle
Géolocalisation sur la carte : France
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Luçay-le-Mâle
Géolocalisation sur la carte : Indre
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Luçay-le-Mâle
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Luçay-le-Mâle
Liens
Site web lucaylemale.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans le nord[1] du département, à la limite avec le département d'Indre-et-Loire. Elle est située dans la région naturelle du Boischaut Nord.

    Les communes limitrophes[1] sont : Veuil (km), Vicq-sur-Nahon (km), Langé (km), Villentrois-Faverolles-en-Berry (km), Écueillé (km), Gehée (10 km), Jeu-Maloches (10 km) et Nouans-les-Fontaines (11 km).

    Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Valençay (10 km), Châteauroux (40 km), Issoudun (46 km), Le Blanc (62 km) et La Châtre (74 km).

    Hameaux et lieux-dits

    Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : la Séverie, le Plessis, la Chauvelière et Fertay[2].

    Géologie et hydrographie

    La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible [3].

    Le territoire communal est arrosé par la rivière Modon[2].

    Climat

    Normales et records pour la période 1981-2010 à la station météorologique de Châteauroux - Déols
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,3 3,5 5,3 9,2 12,4 14,4 14,3 11,2 8,5 4,1 1,8 7,3
    Température moyenne (°C) 4,2 4,9 8 10,4 14,4 17,8 20,2 20 16,6 12,8 7,5 4,7 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 7,1 8,6 12,6 15,5 19,6 23,1 26 25,6 21,9 17,1 11 7,6 16,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −22,8
    16-01-1985
    −22,8
    14-02-1929
    −10,8
    01-03-2005
    −4,2
    07-04-1929
    −1,4
    11-05-1928
    1,2
    01-06-1936
    4
    10-07-1948
    4,5
    06-08-1967
    0
    30-09-1936
    −5,2
    30-10-1997
    −8,7
    24-11-1998
    −17
    10-12-1967
    −22,8
    16-01-1985
    Température maximale la plus basse (°C)
    date du record
    −14,9
    16-01-1985
    −10,8
    02-03-1956
    −1,9
    05-04-1971
    1,5
    06-04-1911
    6,9
    04-05-1977
    11,1
    09-06-1956
    12,8
    19-07-1966
    13,9
    31-08-2007
    9,5
    29-09-1919
    2,8
    27-10-1931
    −2,9
    22-11-1993
    −10,2
    20-12-1938
    −14,9
    16-01-1985
    Température minimale la plus haute (°C)
    date du record
    12
    02-01-1916
    12,1
    27-02-1960
    14,9
    11-03-1981
    14,5
    28-04-1913
    18
    12-05-1912
    22,3
    28-06-2005
    23
    21-07-1995
    23,3
    06-08-2018
    20,5
    05-09-2017
    18,9
    01-10-2001
    15,1
    07-11-1954
    13,4
    04-12-1961
    23,3
    06-08-2018
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,5
    05-01-1999
    24
    27-02-2019
    28
    25-03-1955
    31,5
    22-04-1893
    34,5
    29-05-1944
    37,7
    26-06-1947
    40,2
    28-07-1947
    40,5
    02-08-1906
    38
    01-09-1906
    30,3
    07-10-2009
    24,5
    02-11-1899
    20,5
    16-12-1989
    40,5
    02-08-1906
    Ensoleillement (h) 72,1 91,9 155,6 178,5 208,6 210,4 231,7 235,5 189,5 128,3 79,6 59 1 840,7
    ETp Penman (mm) 13,8 23,2 56,1 82,1 112,9 132,8 147,8 131,5 79,5 41,3 15,9 10,2 847,1
    Record de vent (km/h)
    date du record
    105,4
    NC
    132,1
    23-02-2009
    126
    NC
    104,4
    NC
    94,5
    NC
    109,8
    13-06-2002
    104,4
    NC
    115,2
    NC
    104,4
    NC
    97,2
    NC
    100,8
    NC
    126
    NC
    132,1
    NC
    Record de la pression la plus basse (hPa)
    date du record
    973,1
    NC
    965
    NC
    983,7
    NC
    981,8
    NC
    989,6
    NC
    991,6
    NC
    978,2
    NC
    996,9
    NC
    989,9
    NC
    980,1
    NC
    973
    NC
    967,9
    NC
    965
    NC
    Record de la pression la plus haute (hPa)
    date du record
    1 045,1
    NC
    1 043,4
    NC
    1 046,7
    NC
    1 035,7
    NC
    1 033,5
    NC
    1 047,5
    NC
    1 030,6
    NC
    1 030,6
    NC
    1 034,9
    NC
    1 035,6
    NC
    1 040,2
    NC
    1 045,6
    NC
    1 047,5
    NC
    Précipitations (mm) 59,2 48,8 52,1 65,8 73,3 54,9 56,6 56,1 64,3 73,8 64,9 67,3 737,1
    Record de pluie en 24 h (mm)
    date du record
    48,7
    20-01-1910
    29,7
    05-02-1955
    32,4
    29-03-1978
    42,6
    18-04-1964
    54,1
    12-05-1910
    67,6
    04-06-2002
    60,4
    08-07-1919
    66,1
    29-08-1945
    58,6
    17-09-1975
    43
    29-10-1981
    35,2
    05-11-1962
    51,6
    24-12-1995
    67,6
    04-06-2002
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 4,9 5,3 5 5,8 6,2 7,5 7,4 7,2 8,3 6,4 5,7 5,9 6,3
    Source : Infoclimat.fr
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    7,1
    1,3
    59,2
    8,6
    1,3
    48,8
    12,6
    3,5
    52,1
    15,5
    5,3
    65,8
    19,6
    9,2
    73,3
    23,1
    12,4
    54,9
    26
    14,4
    56,6
    25,6
    14,3
    56,1
    21,9
    11,2
    64,3
    17,1
    8,5
    73,8
    11
    4,1
    64,9
    7,6
    1,8
    67,3
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Voies de communication et transports

    Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 13, 15F, 22, 33, 109, 151 et 960[4].

    La ligne de Salbris au Blanc passe par le territoire communal. La gare de Luçay-le-Mâle fut le terminus de la ligne "Blanc-Argent" du TER Centre jusqu'en 2009, année où cette dernière fut limitée à la gare de Valençay, qui est désormais la gare ferroviaire exploitée la plus proche (12 km). Un peu plus loin se trouvent les gares de Saint-Aignan et de Selles-sur-Cher, sur la ligne de Vierzon à Saint-Pierre-des-Corps.

    Les deux gares situées sur la commune, la gare de La Foulquetière et la gare de Luçay-le-Mâle, ne sont desservies qu'à la saison estivale, par le train touristique du Bas-Berry.

    Luçay-le-Mâle est desservie par la ligne S du Réseau de mobilité interurbaine[5] et par la ligne 7 du réseau d'autocars TER Centre-Val de Loire[6].

    L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[4], à 42 km.

    Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de Valençay[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Luçay-le-Mâle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [7] - [8] - [9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,9 %), forêts (18,2 %), prairies (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), zones urbanisées (1,4 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[14] de la commune :

    Date du relevé 2013
    Nombre total de logements 916
    Résidences principales 80 %
    Résidences secondaires 11,2 %
    Logements vacants 8,8 %
    Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 70,3 %

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Luçay-le-Mâle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

    Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Rrouard et de Gâtine, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[17].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Luçay-le-Mâle.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 918 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 908 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19] - [20].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1993, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

    Toponymie

    Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune, anciennement nommée Luçay-le-Mal, change de nom pour Luçay-le-Mâle, une appellation plus facile à porter que la précédente[21].

    Ses habitants sont appelés les Lucéens[22].

    Histoire

    Pour la seigneurie, Luçay passa au XVIe siècle des Châteauneuf aux Rochefort (une maison comtoise et bourguignonne), par le mariage en 1518 d'Antoinette de Châteauneuf, dame de Luçay et de Gargilesse, avec Jean de Rochefort de Pluvault ; au XIXe siècle, le célèbre polémiste Henri Rochefort (1831-1913) appartenait à cette famille.

    Politique et administration

    La commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, du canton de Valençay, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Écueillé - Valençay[23].

    Elle dispose d'un bureau de poste[24] et d'un centre de première intervention.

    Liste des maires

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    ? Louis Baudry ? ?
    Jean Thibault RPR Député de l'Indre de 1978 à 1981
    1999[25] - [26] mars 2014 Jean-Pierre Rabier DVD Exploitant agricole
    mars 2014[27] En cours Bruno Taillandier DVD Cadre

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2020, la commune comptait 1 324 habitants[Note 2], en diminution de 5,9 % par rapport à 2014 (Indre : −3,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3891 3461 4541 5201 6861 8671 8451 8401 642
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7371 7331 7751 7501 7091 7111 7371 7401 870
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8901 9501 9751 7891 8321 8431 8011 8411 734
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 8732 0082 0772 3342 1601 7061 5871 5381 480
    2015 2020 - - - - - - -
    1 3851 324-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.

    Manifestations culturelles et festivités

    Chaque année plusieurs fêtes sont organisés dans la commune comme : la « foire Saint-Denis » (connue aussi sous le nom de « foire aux Mâles ») a lieu tous les 1er octobre, la « fête de l'École » et la « fête de Noël » (cette fête a lieu souvent au vers la dizaine de décembre et l'assemblée aux forges, qui a lieu vers le mois de mai près de la gare).

    Sports

    Un site de baignade non surveillé[34] (plage de la Foulquetière) est présent dans la commune.

    Médias

    La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

    Économie

    La commune se situe dans la zone d’emploi de Romorantin-Lanthenay et dans le bassin de vie de Valençay[23].

    La viticulture est l'une des activités de la commune, qui se trouve dans la zone couverte par l'AOC valençay.

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Valençay[35] et Sainte-maure-de-touraine[36].

    Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping municipal de La Foulquetière qui dispose de 30 emplacements[37].

    Culture locale et patrimoine

    Le château d'Oublaise vers 1900.
    Le château d'Oublaise vers 1900.
    • Château d'Oublaise[38] (anciennement Oublesse) bâti au 19e siècle par Gaston de Préaulx (1821 - 1886), 9e marquis de Préaulx, qui y vécut jusqu'à sa mort. Il fut construit sur les fondations d'un ancien château édifié en 1675, rasé pour faire place au nouveau. Il devint ensuite la propriété d'un des quatre enfants du 9e marquis de Préaulx, sa fille Marie Charlotte de Preaulx, dernière marquise d'Aligre. Cette dernière en fit don dès sa naissance en 1906 à Amaury de Preaulx, 11e et dernier marquis de Preaulx (né le dans l'Eure (Le Fresne), mort le en Maine-et-Loire). Le château resta dans cette même famille jusqu'à sa vente en 1935.
    • Château de l'Allemandière[38]
    • Église[38]
    • Falaise de pierres[38]
    • Lavoir[38]
    • Manoir de La Foulquetière[38]
    • Monument aux morts
    • Musée de la Pierre à Fusil[39] - [38]

    Héraldique, logotype et devise

    Blason de Luçay-le-Mâle Blason
    D'or aux trois tours soudées d'argent, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys du champ.
    Variante : D’or à trois tours d’Argent (sic) au chef d’Azur chargé de trois fleurs de Lys d’Or.
    Détails
    Les armoiries[40] de métal sur métal, ou de couleur sur couleur sont dites à enquerre, du vieux mot enquerre, s’enquérir, s’informer, parce que comme elles sont contraires aux lois héraldiques, elles donnent occasions de demander pourquoi on les porte ainsi.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
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