Liste des groupes d'intervention policiers
Cette liste concerne les groupes d'intervention des forces de police. Dans la province du Québec et en français québécois, le terme « équipe tactique » est également utilisé.
Pour les unités de forces spéciales des forces armées, se conférer à la Liste des unités de forces spéciales.
Cette liste recense les groupes d'intervention des forces de police ou des agences spécialisées contre un type de crime ou délit. Ces unités, bien que certaines puissent avoir un statut militaire (GIGN français ou UEI espagnol par exemple), ont pour seule vocation le rétablissement de l'ordre et non n'effectuer des missions strictement militaires relevant des forces spéciales. Ces groupes ont pour mission de :
- libérer des otages ;
- intervenir sur des missions à haut-risque, notamment face à des individus fortement armés ou barricadés ;
- mener des opérations de contre-terrorisme ;
- escorter des dignitaires de l'Ătat ou Ă©trangers, des prisonniers dangereux.
Afghanistan
- MinistÚre de l'intérieur
- Force spéciale de lutte contre les stupéfiants ;
- Bataillon d'appui spécial de la Police nationale afghane.
Allemagne
- Ătat fĂ©dĂ©ral
- Administration fédérale des douanes (de)
- Zentrale UnterstĂŒtzungsgruppe Zoll (de): Ils ont pour rĂŽle d'aider les douaniers allemands dans des enquĂȘtes pour des arrestations Ă hauts risques
- Bundespolizei (Police fédérale)
- Grenzschutzgruppe 9 (GSG 9), unité d'intervention fédérale
Land
- Spezialeinsatzkommando (SEK)
Argentine
- Police fédérale argentine
- Groupes des forces de police provinciales
- Brigada Especial Operativa HalcĂłn (en) pour la police de la province de Buenos Aires ;
- CompañĂa de Tropas de Operaciones Especiales (en) pour la police de la province de Santa Fe ;
- Equipo Tactico Especial Recomendado (ETER) pour la police de la province de Cordoba ;
- Grupo Albatros (en) pour la préfecture navale argentine.
Australie
L'Australie dispose de plusieurs groupes tactiques de police (en), dont vocation antiterrorisme : un pour la police fĂ©dĂ©rale australienne, le groupe de rĂ©action spĂ©cialisĂ©e (en) et un par police d'Ătat :
- l'unité des opérations tactiques (en) pour la Nouvelle-Galles du Sud ;
- le Groupe de réaction territorial (en) pour le Territoire du Nord ;
- l'équipe spéciale de réaction d'urgence (en) pour le Queensland ;
- le groupe de sauvetage et de tùches spéciales (en) pour l'Australie-Méridionale ;
- le groupe des opérations spéciales (en) de Tasmanie ;
- le groupe des opĂ©rations spĂ©ciales (en) de l'Ătat de Victoria ;
- le groupe de réaction tactique (en) pour l'Australie-Occidentale.
Les Ătats et territoires peuvent Ă©galement disposer d'autres unitĂ©s de mĂȘme type comme l'Hostage Response Group (en) en Nouvelle-Galles du Sud, l'Ă©quipe de rĂ©action aux incidents critiques (en) pour Victoria intervenant sur des opĂ©rations de moindre importance[1].
Belgique
- Direction des unités spéciales ou Commissariat général Special units[2].
- La Direction de la Protection (DAP) qui s'occupe de la protection des personnes menacées sur le sol belge et/ou à l'étranger.
- Les polices locales disposent également d'Unités d'Assistances Spécialisées (par exemple, le Peloton anti-banditisme pour la police de LiÚge). Ces unités d'assistances spécialisées sont régies par circulaire ministérielle [3].
Canada
- Ăquipe institutionnelle de rĂ©action d'urgence (en)
- Unités des polices provinciales.
Les trois polices provinciales disposent chacune d'une unité d'intervention :
- groupe tactique d'intervention de la Sûreté du Québec[5] ;
- Ă©quipe d'intervention en cas d'urgence de la police provinciale de l'Ontario[6] ;
- unité tactique et de secours de la gendarmerie royale de Terre-Neuve[7].
- Unités des polices municipales.
La majorité des services de police des métropoles canadiennes disposent d'unités d'intervention comme l'équipe tactique du service de police d'Ottawa[8], l'équipe de réaction d'urgence (Emergency Response Team) du département de la police de Vancouver[9] ou la force opérationnelle d'urgence (Emergency task Force) de Toronto[10].
Espagne
- Unité spéciale d'intervention (es)
- Groupe d'action rapide (GAR)
- Groupe spécial d'opérations (GEO)
- Groupe des opérations spéciales de sécurité (es)
- Groupe spécial d'intervention (es)
- Berrozi Berezi Taldea (BBT)
Ătats-Unis d'AmĂ©rique
- Ăquipe de libĂ©ration d'otage (Hostage Rescue Team) unitĂ© fĂ©dĂ©rale d'intervention antiterroriste ;
- FBI Special Weapons and Tactics Teams, unités régionales d'intervention du FBI.
- Agences fédérales et départements de police
De trÚs nombreux départements de police ou agences fédérales (DEA ou ATF par exemple) disposent d'unités d'interventions de type SWAT ou ESU (en).
France
- Groupe d'Appui Opérationnel (GAO) : Groupe d'intervention de la DGSI. Elle a pour objectif d'interpeller les individus menaçant le territoire français principalement les terroristes. Elle est spécialisée dans l'effraction et l'interpellation domiciliaire.
- Gendarmerie Nationale
- Peloton de surveillance et d'intervention de la Gendarmerie SABRE (PSIG-SABRE) : UnitĂ©s spĂ©cialisĂ©es sous commandement de la gendarmerie dĂ©partementale. La qualification de PSIG Sabre est destinĂ© Ă avoir des PSIG dits "renforcĂ©s" pour faire face Ă des attaques terroristes et tuerie de masse. Ils ont pour objectif dans le cadre dâune tuerie de masse, de neutraliser lâadversaire ou a minima de le fixer en attendant lâengagement dâune unitĂ© dâintervention spĂ©cialisĂ©e comme le GIGN ou l'AGIGN[11] - [12].(ici vidĂ©o d'entraĂźnement[13]) ;
- Peloton spécialisé de protection de la Gendarmerie (PSPG) : Protection des installations nucléaires civiles, mais aussi l'intervention spécialisée lors d'interpellations d'individus potentiellement dangereux. Les PSPG peuvent intervenir en cas d'urgence absolue (prise d'otage, forcené...)[14], et ponctuellement avoir à leur charge la protection de personnalité, comme lors d'un discours de François Hollande en 2017[15] ;
- Antenne du Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale (AGIGN), anciennement nommé Peloton d'intervention de 2e génération (PI2G) : composante régionale du Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN);
- Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) : spécialisé dans la gestion de crises et les missions dangereuses demandant un savoir-faire particulier, séparé en plusieurs composantes spécialisées :
- la Force Intervention (FI) : consacré uniquement aux missions de contre-terrorisme[16] ;
- la Force Observation Recherche (FOR) : spécialisée dans la recherche de renseignement judiciaire ou administratif en vue de la lutte contre le terrorisme et le grand banditisme[17] ;
- la Force Sécurité Protection (FSP) : sécurisation des ambassades et ambassadeurs Français au profit du MinistÚre des Affaires étrangÚres[18], et des hautes autorités militaires sur le sol français ;
- la Force Appui Opérationnel (FAO) : comprenant des moyens techniques et diverses compétences nécessaires aux autres forces : moyens spéciaux, technique d'adaptation opérationnelle, appui cynophile, dépiégeage d'assaut, NRBC, l'effraction, etc.[19] ;
- la Force Formation (FF) : qui s'occupe des formations nationales et internationales, pour promouvoir son savoir-faire en matiĂšre de contre-terrorisme[20] ;
- le détachement GSPR : composante Gendarmerie du Groupe de sécurité de la présidence de la République, qui est composé de gendarmes de la FSP et de policiers du Service de la protection (SDLP) ;
- Gendarmerie Maritime :
- Peloton de sûreté maritime et portuaire (PSMP) : En tant dispositifs de lutte antiterroriste maritime les PSMP sont chargés intervenir dans l'environnement maritime (à quai comme sur mer) ils sont spécialement entraßnés à intervenir en cas de piraterie maritime et d'acte de terrorisme à bord d'un navire (tentative de détournement ou de prise d'otage). Leur objectif est de neutraliser ou de fixer les individus armés, en attendant l'arrivée des commandos Marine ou du GIGN. Ils patrouillent aléatoirement à bord de ferrys[21];
- Gendarmerie des Transports AĂ©riens :
- Peloton de surveillance et d'intervention de la Gendarmerie des Transports AĂ©riens (PSIGTA) : Ils assurent des missions de sĂ»retĂ© aĂ©roportuaire dans une circonscription limitĂ©e Ă la zone aĂ©roportuaire, permettant une rĂ©activitĂ© optimale en cas dâattaque terroriste, ponctuellement sur la zone aĂ©roportuaire ils effectuent des missions de protections d'autoritĂ©s, ainsi que des escortes au profit de la Banque de France[22];
- Gendarmerie Mobile (GM) : complémentaire aux CRS, c'est une unité de maintien de l'ordre ;
- Garde républicaine : missions d'honneur et de sécurité au profit des autorités et du grand public
- Pelotons d'intervention de la Garde RĂ©publicaine (PIGR) : protection des institutions comme l'AssemblĂ©e Nationale, le SĂ©nat, le Quai d'Orsay ou Matignon, mais aussi l'interpellations de suspects ou l'escorte. Ils peuvent ĂȘtre aussi dĂ©ployĂ© comme primo-intervenant dans le cadre d'une attaque terroriste[23].
- Forces aériennes de la Gendarmerie nationale : En complément du GIH elles effectuent des missions au profit du GIGN et du RAID ;
- Brigade de recherche et d'intervention : UnitĂ©s d'enquĂȘte et d'intervention de la police judiciaire française. La plus connue, la BRI-PP est intervenu pour l'attentat du Bataclan renforcĂ© par des Ă©lĂ©ments du RAID. Les BRI sont prĂ©sentes sur tout le territoire[24] ;
- Groupe d'intervention (GIP) : L'unité d'intervention du groupe d'intervention et de protection (GIP) dépend de la préfecture de Police de Paris et plus précisément de la DOPC. C'est une unité de niveau 2, spécialisé dans la prise de point haut.
- Force d'intervention de la police nationale composée de[25] :
- Recherche, assistance, intervention, dissuasion (RAID): voir organisation (ici[26]) ;
- Brigade anticommando de la Préfecture de police de Paris (BRI/BAC) : formation temporaire ordonnée par la préfecture de police de Paris. Cette formation est composé de la BRI-PP et de spécialistes de divers directions parisiennes, comme des démineurs, des maßtres-chiens, etc. ;
- Service de la protection (SDLP) : Il est chargé de missions de protection rapprochée et d'accompagnement de sécurité au profit des dirigeants ou ex-dirigeants de la République française, de ses hÎtes étrangers ou bien encore de personnes spécialement menacées. Avec la Force Sécurité Protection du GIGN, elle est le vivier de membres de GSPR, chargé de la protection du président de la République française ;
- Compagnie républicaine de sécurité (CRS) : complémentaire à la Gendarmerie mobile, c'est une unité de maintien de l'ordre ;
- Section de Protection et d'Intervention 4e génération (SPI4G) : unités présentes au sein des compagnies de CRS et pouvant intervenir comme primo intervenants sur des attaques terroristes[27].
- Compagnie de sécurisation et d'intervention : Dépendante de la sous direction des services spécialisés (SDSS) de Paris ils font principalement de l'anti délinquance et anti criminalité sur tout leur département d'affectation et ils peuvent intervenir en renfort aux CRS ou à la Gendarmerie Mobile sur Paris et la petite couronne, pour y effectuer du maintien de l'ordre ;
- Groupe de Soutien OpĂ©rationnel : Ils existent au sein des CSI du 75, du 93 et du 92, ils ont pour mission l'assistance d'enquĂȘteurs lors de perquisition d'individu dangereux et/ou armĂ©s et leur interpellation Ă domicile, l'intervention sur des individus retranchĂ© Ă domicile avec arme ou non. Ils peuvent aussi intervenir en soutien de la BRI-PP dans des groupes d'extraction spĂ©cialisĂ©s avec la BSPP (avec des pompiers Ă©quipĂ©s de gilets pare-balles et de casques) pour extraire des blessĂ©s lors d'attentats, dans une zone qui n'est pas sĂ©curisĂ©[28];
- Brigade anti-criminalité ;
- Brigade anti-criminalité de Nuit de Paris (BAC 75N) : formée par la BRI-PP à intervenir depuis l'attentat du Bataclan[29]. Comme les Groupes de Soutien Opérationnel, ils peuvent aussi intervenir auprÚs de la BRI-PP dans des groupes d'extraction spécialisés avec la BSPP (avec des pompiers équipés de gilets pare-balles et de casques) pour extraire des blessés lors d'attentats, dans une zone qui n'est pas sécurisé[28].
- Groupe interarmĂ©es d'hĂ©licoptĂšres (GIH) : DĂ©pendant du 4e rĂ©giment d'hĂ©licoptĂšres des forces spĂ©ciales (4e RHFS) fournit un appui aĂ©rien aux forces d'intervention du ministĂšre de lâIntĂ©rieur, gĂ©nĂ©ralement au profit de la FIPN et du GIGN[30].
- Ăquipes rĂ©gionales d'intervention et de sĂ©curitĂ© (ĂRIS) : Elles ont pour missions le rĂ©tablissement du maintien de lâordre (face Ă des mutineries ou le refus des dĂ©tenus de retourner dans leurs cellules), l'organisation de fouilles, le transfert administratif de dĂ©tenus sensibles ou dangereux et le partage d'expertise technique sur lâintervention en milieu carcĂ©ral[31]. Les opĂ©rateurs sont des gardiens sĂ©lectionnĂ©s puis formĂ©s pendant dix semaines par le GIGN[32].
Islande
- Police islandaise (en)
- SĂ©rsveit rĂkislögreglustjĂłrans (en) (UnitĂ© des opĂ©rations spĂ©ciales du commissaire national), surnommĂ©e VĂkingasveitin (escouade viking).
Italie
- Nucleo operativo centrale di sicurezza
- Gruppo di intervento speciale (français: Groupe d'intervention spéciale)
Japon
- Special Assault Team (çčæźæ„è„Čéšé, Tokushu KyĆ«shĆ« Butai): unitĂ©s d'intervention de premier niveau
- Anti-Firearms Squads (éćšćŻŸçéšé, JĆ«ki-taisaku-butai): unitĂ©s d'intervention rĂ©gionales
Mexique
- Brigada Blanca, ancienne structure ayant existé entre 1976 et 1983.
Nouvelle-ZĂ©lande
- Police néo-zélandaise (en)
Portugal
- Grupo de Intervenção de OperaçÔes Especiais (GIOE)
- Direção-Geral de Reinserção e Serviços Prisionais (Services pénitentiaires)
- Grupo de Intervenção e Segurança Prisional (GISP)
Suisse
L'office fédéral de la police ne dispose pas d'unité d'intervention, censée suppléer ou appuyer les groupes d'interventions cantonaux car le groupe d'engagement Tigris
« ne saurait ĂȘtre comparĂ© aux unitĂ©s spĂ©ciales dâintervention que connaissent les cantons, comme «Gentiane» pour Berne, «Diamant» pour Zurich ou «Lynx» pour la Suisse centrale. En ce qui le concerne, en effet, le groupe Tigris nâintervient pas lors de prises dâotages ou dâaccĂšs de folie meurtriĂšre. Par ailleurs, il dispose dâun Ă©quipement diffĂ©rent, qui ne comprend ni fusils de prĂ©cision, ni explosifs. Il ne concurrence donc pas les unitĂ©s dâintervention des cantons, se bornant Ă jouer un rĂŽle de coordinateur en cas dâengagement Ă caractĂšre intercantonal, ce dont se fĂ©licitent dâailleurs les cantons eux-mĂȘmes »
â Commission de gestion du Conseil des Etats, ContrĂŽle relatif au groupe dâengagement «Tigris»[38]
- Brigade d'intervention subdivisé en[39] :
- groupe d'intervention ;
- tireurs d'Ă©lite ;
- brigade des chiens.
- Gendarmerie vaudoise / Police de Lausanne - Canton de Vaud
- Groupe d'intervention de la police de Lausanne (GIPL)
- Groupe diamant[38]
- Groupe barracuda (de)
- Groupe d'intervention du canton du Valais (EDELWEISS)
- Groupe d'intervention et Tireurs dâĂlite (GITE)
- Groupe d'intervention de la police cantonale fribourgeoise (GRIF)
- Groupe Lynx[38]
Union européenne
L'Union europĂ©enne ne dispose pas d'unitĂ© d'intervention mais a mis en place Europol afin d'amĂ©liorer la coordination des unitĂ©s de police de ses Ătats membres. Le rĂ©seau Atlas est un regroupement de forces spĂ©ciales de diffĂ©rents pays[40], c'est une des sous divisions dâEuropol. Il y en a d'autre comme la Force de gendarmerie europĂ©enne (EuroGendFor ou FGE) regroupement des gendarmeries europĂ©ennes.
Notes & références
- (en) « Critical Incident Response Team.The new look FRU », sur tpav.org.au
- « CGSU : unités spéciales de la police fédérale », sur policelocale.be (consulté le )
- Circulaire Ministérielle GPI 81, Royaume de Belgique, publiée le 14/08/2014. Lien internet : site du MinistÚre de la Justice Belge.
- « Groupe tactique d'intervention », sur rcmp-grc.gc.ca (consulté le )
- « Les groupes tactiques dâintervention », sur sq.gouv.qc.ca (consultĂ© le )
- « Ăquipe d'intervention en cas d'urgence », sur www.opp.ca (consultĂ© le )
- (en) « Tactics and Rescue Unit », sur rnc.gov.nl.ca
- « Ăquipe tactique », sur ottawapolice.ca/fr (consultĂ© le )
- (en) « Emergency Response Team (ERT) », sur vancouver.ca (consulté le )
- (en) « Emergency Task Force », sur www.torontopolice.on.ca (consulté le )
- « Création des 50 premiers Psig Sabre », sur www.gendcom.gendarmerie.interieur.gouv.fr (consulté le )
- « Gendarmerie : les nouvelles unitĂ©s PSIG-Sabre reçoivent leur Ă©quipement », France 3,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « France 3 Paris Ile-de-France », sur www.facebook.com, (consulté le )
- « Les 19 centrales nuclĂ©aires protĂ©gĂ©es par une unitĂ© spĂ©cialisĂ©e », LExpress.fr,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le tir accidentel dâun gendarme perturbe un discours du prĂ©sident Hollande », Zone Militaire,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- Gendarmerie nationale, « Intervention », Gendarmerie,â inconnue (lire en ligne, consultĂ© le )
- Gendarmerie nationale, « Observation Recherche », Gendarmerie,â inconnue (lire en ligne, consultĂ© le )
- Gendarmerie nationale, « SĂ©curitĂ© Protection », Gendarmerie,â inconnue (lire en ligne, consultĂ© le )
- Gendarmerie nationale, « Appui OpĂ©rationnel », Gendarmerie,â inconnue (lire en ligne, consultĂ© le )
- Gendarmerie nationale, « Formation », Gendarmerie,â inconnu (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Pelotons de sûreté maritime et portuaire : intervention renforcée », sur www.gendcom.gendarmerie.interieur.gouv.fr (consulté le )
- « Les Psig et Psig Sabre de la gendarmerie des transports aériens », sur www.gendcom.gendarmerie.interieur.gouv.fr (consulté le )
- « Avec les unitĂ©s dâĂ©lite de la Garde rĂ©publicaine », leparisien.fr,â 2017-01-23cet17:00:12+01:00 (lire en ligne, consultĂ© le )
- « SERIE. Dans la vie quotidienne de la BRI : se prĂ©parer Ă un attentat », France 3,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « ArrĂȘtĂ© du 5 janvier 2011 relatif aux missions et Ă l'organisation des services composant la force d'intervention de la police nationale et portant dispositions sur l'affectation et l'aptitude professionnelle de leurs agents », sur legifrance.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Organisation du RAID », sur le.raid.free.fr (consulté le )
- « Les CRS en premiĂšre ligne face aux attentats », leparisien.fr,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Attentats du 13-Novembre : la nouvelle task force pompiers-police au secours des victimes », France 3,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « SERIE - Dans la vie quotidienne de la BRI - Former les autres brigades aux interventions », France 3,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Instruction N° 11/DEF/EMAT/PS/B.ORG/ORG1/312 relative Ă lâorganisation du groupe interarmĂ©es dâhĂ©licoptĂšres », sur circulaires.legifrance.gouv.fr
- « Les Ă©quipes rĂ©gionales dâintervention et de sĂ©curitĂ© », justice.gouv.fr,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- Le Point, magazine, « Les ERIS, des gardiens d'Ă©lite pour la paix dans les prisons », Le Point,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Les Services centraux de la Police et leurs missions générales », sur police.public.lu (consulté le )
- « Projet ATLAS », sur police.public.lu (consulté le )
- (pt) « Unidades de polĂcia », sur psp.pt (consultĂ© le )
- (se) « Nationella insatsstyrkan », sur polisen.se (consulté le )
- (se) « Piketen », sur polisen.se (consulté le )
- « ContrĂŽle relatif au groupe dâengagement «Tigris» » [PDF], sur admin.ch (consultĂ© le )
- « Brigade d'intervention », sur www.ge.ch (consulté le )
- R. Roskoski, C. T. Lim et L. M. Roskoski, « Human brain and placental choline acetyltransferase: purification and properties », Biochemistry, vol. 14, no 23,â , p. 5105â5110 (ISSN 0006-2960, PMID 40, DOI 10.1021/bi00694a013, lire en ligne, consultĂ© le )