Le Noyer-en-Ouche
Le Noyer-en-Ouche est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Le Noyer-en-Ouche | |
La mairie | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | CC Intercom Bernay Terres de Normandie |
Maire Mandat |
Josette Musset 2022-2026 |
Code postal | 27410 |
Code commune | 27444 |
Démographie | |
Gentilé | Noyerois |
Population municipale |
231 hab. (2020 ) |
Densité | 21 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 00′ 21″ nord, 0° 46′ 24″ est |
Altitude | Min. 110 m Max. 183 m |
Superficie | 10,9 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Bernay |
Législatives | 3e circonscription de l'Eure |
Localisation | |
Géographie
Localisation
Le Noyer-en-Ouche est une commune du Centre du département de l'Eure, dans le pays d'Ouche[1], situé à 16 km au sud-est de |Bernay, 30 km à l'ouest d'Évreux, 54 km au sud-ouest de Rouen et 117 km à l'ouest de Paris.
Il est desservi par la RD 140 qui le relie à Bernay et à Conches-en-Ouche.
Communes limitrophes
Hydrographie
Le territoire communal est drainé par la Bave[4] et la Risle[5], qui est considérée comme le dernier affluent de la Seine qu'elle rejoint en rive gauche au niveau de son estuaire[Note 1] - [6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Menneval », sur la commune de Menneval, mise en service en 1962[13] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[14] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 780,8 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 32 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[17] à 10,8 °C pour 1981-2010[18], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[19].
Urbanisme
Typologie
Le Noyer-en-Ouche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [20] - [21] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23] - [24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), forêts (23,4 %), prairies (12,4 %), cultures permanentes (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 178, alors qu'il était de 181 en 2013 et de 167 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 58,6 % étaient des résidences principales, 37 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Noyer-en-Ouche en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (37 %) supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89,2 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 pour la France entière[I 3].
Toponymie
Le village est attesté sous les formes latinisées Nucearium (charte de Robert, comte de Meulan)[27], de Nuccario au XIIe siècle[28], Noetium en 1210 (cartulaire de Lyre)[27]: Ce nom est une latinisation médiévale savante du lieu nommé [nuɛje] par la population, issu du vieux français, mentionné pour la première fois vers 1150 sous la forme noiers (au pluriel), puis Noyer en Ouche en 1722 (reg. de la Chambre des comptes), Le Noyer-sur-Rile en 1828 (Louis Du Bois)[27].
Le toponyme est sans doute peu ancien et évoque un arbre remarquable. Les noyers étaient beaucoup plus fréquents autrefois en Normandie qu'ils ne le sont de nos jours[29].
Après s'être appelée « Noyer » tout court, la commune a pris le nom de Noyer-près-Beaumont à la Révolution.
Le pays d'Ouche est un pays normand qui comprend le nord-est du département de l'Orne et le sud-ouest de celui de l'Eure.
Les anciennes paroisses du Châtelier-Saint-Pierre et de Châtel-la-lune ont été rattachées au Noyer-en-Ouche en 1792.
- Le Châtelier-Saint-Pierre (Chasteler 1215) évoque un endroit fortifié, homonyme des nombreux Catelier / Câtelier de type normand au nord de la ligne Joret. Ce nom n'a bien évidemment aucun rapport avec des fortifications romaines, inexistantes dans les campagnes normandes.
- Châtel-la-Lune (Castrum Lune, XIIe) évoque un château, forme du normand méridional équivalent de Catel (cf. Radicatel) ou Câtel au nord de la ligne Joret. Le sens du mot « lune » en toponymie est obscur[30], mais pourrait venir du terme demi-lune : Dans l’architecture militaire, construction retranchée, placée devant la courtine d’un front bastionné ou d'une motte féodale. Elle est généralement formée de deux faces en angle aigu[31].
Il existe aussi treize hameaux : le Village, la Godinière (anciennement la Gaudinière, d'une famille Gaudin, avec suffixe -ière, caractéristique des formations médiévales tardives dans le sud de la Normandie notamment), le Long-Bois, Bois-Chevreuil, le Milan, le Hamel, la Jouannière (chez les Jouanne), la Brunetière (chez les Brunet), le Fouesnard, la Hermeraye, Quatre-Houx, la Noë et Grammont.
Le nom du Milan est obscur. En l'absence de formes anciennes, il est difficile de le déterminer. On peut cependant le rapprocher de Guettelan, lieu-dit au Fidelaire (à 9 km), où l'on note la même terminaison -lan, que Jean Renaud considère comme étant le vieux norrois land « terrain »[32], bien qu'on ne dispose également d'aucune forme ancienne. Le mot land étant commun aux langues germaniques, il est impossible de déterminer de quelle langue il s'agit précisément.
Le Hamel représente le mot normand d'origine anglo-saxonne hām, diminutif en -el d'un ancien terme ham « village » et qui a donné le français hameau.
Le Fouesnard peut être interprété de manière conjecturelle, en l'absence de formes anciennes et d'homonymes, comme un composé fou-esnard, c'est-à-dire fou hêtre, forme ancienne du nom de cet arbre utilisée en Normandie, parallèlement à son dérivé futel (cf. le Futel) et foutel. Le second élément -esnard est peut-être le nom de personne d'origine germanique Esnard (germ. Eginhard. cf. Éginard) que l'on retrouve par exemple dans Champenard dans l'Eure ou Mesnil-Esnard en Seine-Maritime. Ce genre d'association d'un nom d'arbre avec un nom de personne se retrouve ailleurs. Fauguernon (Calvados) présente peut-être un parallèle.
Le nom de Quatre-Houx (Catehou 1174, Cathoux s. d.) semble le plus ancien, on est tenté d'y reconnaître un nom en -hou, fréquent en Cotentin, mais plus rare en Haute-Normandie, où l'on dénombre cependant le Conihout (Conihou fin XIIe) à Jumièges et plusieurs le Hou[33]. Il s'agit probablement de l'appellatif vieil anglais hōh signifiant « talon », puis « promontoire en forme de talon, escarpement rocheux, rivage abrupt », ou encore « légère élévation »[34] - [35] - [29]. Le premier élément semble s'expliquer par le nom de personne norrois Kati que l'on rencontre dans Flancourt-Catelon (Catelunti XIIe siècle) ou Catteville (Manche Catevilla vers 1090) aussi nom de plusieurs hameaux en Seine-Maritime[29].
La Noë s'explique par le vieux français noë, noue qui signifie « terre grasse et humide », terme issu du gallo-roman NAUDA, d'origine gauloise *(s)nauda « terrain marécageux »[36]. On retrouve ce mot dans la Noë-de-la-Barre, ancienne paroisse rattachée à la Barre-en-Ouche en 1792[37].
Histoire
Le Châtel-la-Lune était au XIIe siècle un château fort, placé au bord de la terre qui appartenait à Robert Ier de Meulan. Il existait encore en 1526, mais a été ruiné depuis. Robert de Meulan donna vers 1180 le moulin de Châtel-la-Lune au prieuré de la Sainte-Trinité[38] de Beaumont. En 1320, on comptait 80 feux dans la paroisse.
Son ancienne église paroissiale, placée sous le patronage de la Trinité de Beaumont puis de l'Abbé du Bec, était dédiée à saint Jacques et saint Christophe. Elle a été construite par Roger de Beaumont peu avant 1168. Elle a subi d'importants travaux aux XVIe et XVIIe siècles. Elle fut démolie en 1847.
Les amas considérables de laitier, que l'on voit encore au Châtel-la-Lune, prouvent l'existence et l'importance de ses anciennes forges ; mais d'autres documents démontrent qu'au milieu de cette petite agglomération d'habitants, se trouvait le centre d'une fabrication de poteries dont les échantillons anciens sont aujourd'hui aussi rares que recherchés[39]. Les potiers de Châtel-la-Lune ont fabriqué des épis de faîtage, des pots, des soupières. Le musée des beaux-arts de Bernay possède quelques belles céramiques de Châtel-la-Lune. Une soupière serait conservée au Musée de Conches.
En 1178, Robert II, comte de Meulan y fonda sous l'invocation de Saint Étienne, le prieuré de Grandmont-lès-Beaumont pour des religieux qui s'occupaient du défrichement et de la culture des terres[40]. Vers 1670, il y avait cinq ou six moines au prieuré de Grandmont et le prieuré de La Bellière (Orne) en était une annexe. Il fut détruit à la Révolution.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Bernay du département de l'Eure.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Beaumesnil[41]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bernay
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Eure.
Intercommunalité
Le Noyer-en-Ouche était membre de la petite communauté de communes du canton de Beaumesnil, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité ne regroupait que deux communes.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes dénommée Intercom Bernay Terres de Normandie dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].
En 2020, la commune comptait 231 habitants[Note 8], en augmentation de 1,76 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune du Noyer-en-Ouche compte plusieurs édifices inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :
- l'église Notre-Dame (XVIe (?), XVIIIe et XIXe siècles)[49]. À l'intérieur, se trouvent des toiles du XVIIe siècle de Michel Hubert Descours[50], des statues du XVIe siècle. À l'extérieur, se dresse un vieil if funéraire ;
- l'église Saint-Pierre (XVe, XVIe et XVIIe siècles) au lieu-dit le Châtellier Saint-Pierre[51]. Le chœur de l'église date du XVe siècle, les percements ont été remaniés au XVIe siècle et le mur ouest a été reconstruit au XVIIe siècle ;
- le presbytère (XVIIIe) au lieu-dit le Châtel-la-Lune[52] ;
- le prieuré de grandmontains dit Saint-Étienne (XIIe (détruit), XVIIe et XIXe siècles) au lieu-dit Grammont[53]. Aujourd'hui, il reste une cave voûtée en berceau plein cintre, renforcé par deux arcs doubleaux. Sur le mur en face de l'escalier se trouve le départ d'une fenêtre coupée au départ de l'arc ; cette fenêtre est bouchée. Il reste en outre, le pignon Ouest de l'église sur une hauteur d'environ un mètre. Une fort belle entrée du XVIIe siècle subsiste ainsi qu'un pigeonnier, mais leur état est critique ;
- un édifice fortifié des XIIe, XVIIe et XVIIIe siècles au lieu-dit la Jouannière[54]. Du XIIe siècle, ne subsistent que les douves. Quant au manoir et aux bâtiments agricoles, ils datent des XVIIe et XVIIIe siècles ;
- trois manoirs : un des XVIIe et XVIIIe siècles au lieu-dit la Noé[55], un autre des XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Châtellier Saint-Pierre[56] et un dernier des XVIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Bois Chevreuil[57] ;
- trois maisons : une du XVIIIe siècle au lieu-dit le Milan[58] et deux du XIXe siècle[59] - [60] ;
- une maison de forestier du XIXe siècle au lieu-dit Grammont[61].
Sont également inscrits à cet inventaire trois édifices qui étaient situés au lieu-dit le Châtel-la-Lune et qui sont aujourd'hui détruits : un château fort des XIIe et XVIe siècles[62], le prieuré de bénédictins Saint-Christophe du XIIe siècle[63] et l'église Saint-Christophe-Saint-Jacques des XIIe et XVIe siècles[64].
- L'église Saint-Pierre
- Monument aux morts.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Le Noyer en Ouche », sur https://lagodiniere27.pagesperso-orange.fr/index.html (consulté le ).
- « Dossier complet : Commune du du Noyer-en-Ouche (27444) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Le Noyer-en-Ouche », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Le Noyer-en-Ouche » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- La Risle se jetant dans la Seine au niveau de son estuaire, se pose la question de sa dénomination : fleuve ou rivière. Le SANDRE, tout comme L'agence de l'eau Seine-Normandie et les dictionnaires Larousse ou Petit Robert des noms propres, qualifient la Risle de rivière, cette dénomination a donc été choisie.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 au Notre-Dame-du-Hamel » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Notre-Dame-du-Hamel - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Notre-Dame-du-Hamel - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Eure » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- « Le pays d'Ouche », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Bave (H6061000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Risle (H6--0200) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Risle (H6--0200) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Menneval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Station Météo-France Menneval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 158.
- François de Beaurepaire (préface Marcel Baudot), Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 154.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- François de Beaurepaire, op. cit. p. 91.
- Eugène Viollet-Le-Duc, Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle, 1856.
- Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, OREP éditions 2009. p. 58.
- François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 46.
- Auguste Longnon, Les noms de lieux de la France, Paris, 1920-1929 (rééd. Champion, Paris, 1979), p. 184, § 748.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963, p. 552a.
- Site de l'arbre celtique : (s)nauda
- François de Beaurepaire, op. cit.. p. 151.
- « Ancienne abbaye », notice no PA00099324, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notes sur la poterie de Châtel-le-Lune par M. l'abbé Porée, H. Delesques, 1897.
- Cette fondation fut confirmée par une charte du Roi Richard 1er Cœur de Lion donnée à Tours le 13 novembre 1189.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Le Noyer en Ouche, sur le site Lagodinière27 mentionné en Liens externes.
- Anthony Bonnet, « Autour de Bernay. Deux maires ont démissionné : Tous les deux élus suite au scrutin de 2020, les maires de Plasnes et du Noyer-en-Ouche ont choisi de démissionner et de cesser toute fonction. Des élections sont prévues en 2022 », L'Éveil normand, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire, Didier Lavril, a lui aussi présenté sa démission. (...), le retraité de 72 ans avait accédé à la fonction de premier magistrat en 2020 ».
- Juliette Boffy, « Josette Musset, nouveau maire du Noyer-en-Ouche : Après avoir formé un conseil municipal au complet suite aux élections du 23 janvier dernier, Josette Musset a été élue maire du Noyer-en-Ouche (Eure), vendredi 28 janvier », L'Éveil normand, (lire en ligne, consulté le ) « Nous sommes très contents de cette mobilisation, c’est même exceptionnel, commentait alors Josette Musset, encore première adjointe de l’ancien maire assurant son intérim depuis sa démission ».
- Juliette Boffy, « Au Noyer-en-Ouche, « le cimetière a besoin de travaux conséquents » : Suite à la démission de Didier Lavril en fin d'année 2021, Josette Musset a été élue maire le 23 janvier dernier. À cette occasion, elle fait le point sur les projets à venir », L'Éveil normand, (lire en ligne, consulté le ) « Si Josette Musset se présente comme « apolitique », cette dernière s’était cependant présentée aux élections départementales de 2021 aux côtés d’Ulrich Schlumberger dans le canton de Bernay ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Église paroissiale Notre-Dame », notice no IA00019508, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Peintre né en 1707 à Bernay (Eure), mort en 1775 à Bernay.
- « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00019501, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Presbytère », notice no IA00019712, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieuré de grandmontains dit Saint-Etienne, Manoir », notice no IA00019506, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Édifice fortifié », notice no IA00019504, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir », notice no IA00019503, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir », notice no IA00019502, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir », notice no IA00019498, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison », notice no IA00019507, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison », notice no IA00019499, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison », notice no IA00019500, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison de forestier », notice no IA00019505, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château fort », notice no IA00019511, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieuré de Bénédictins Saint-Christophe », notice no IA00019510, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église paroissiale Saint-Christophe, Saint-Jacques », notice no IA00019509, base Mérimée, ministère français de la Culture.