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Grosley-sur-Risle

Grosley-sur-Risle est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Grosley-sur-Risle
Grosley-sur-Risle
La mairie.
Blason de Grosley-sur-Risle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie
Maire
Mandat
Dominique Civel
2020-2026
Code postal 27170
Code commune 27300
Démographie
Gentilé Grosleyen
Population
municipale
530 hab. (2020 en augmentation de 0,57 % par rapport à 2014)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 48″ nord, 0° 48′ 14″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 162 m
Superficie 13,18 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Évreux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brionne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Grosley-sur-Risle
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Grosley-sur-Risle

    Géographie

    Localisation

    Grosley-sur-Risle est une commune du pays d'Ouche[1].

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Risle[4]. Celle-ci disparait momentanément depuis plusieurs siècles, au moins depuis le cadastre napoléonien, dans une bétoire, à Châtel-la-Lune, non loin du Moulin Chapelle, et qui, après un cours souterrain de 5,5 kilomètres passe sous la forêt de Beaumont-le-Roger (Eure), réapparaît près de l'ancien château de Grosley-sur-Risle, à la Fontaine-Roger, que la tradition a surnommée la Fontaine Enragée. Celle-ci ne fait que partir et revenir, notamment en 2012, une nouvelle bétoire s'est formée, faisant un trou de 4 puis 8 mètres de diamètre. La rivière a repris son cours durant l'hiver, une fois la bétoire pleine. Cet événement ne s'était pas produit depuis plus de trente ans[5].

    Voies de communication et transports

    La ligne de Mantes-la-Jolie à Cherbourg traverse la Risle sur un viaduc de 61 mètres de long et 13 mètres de hauteur construit en 1855 sur le territoire communal, au point kilométrique (P) 137,900. La gare de Beaumont-le-Roger en est distante de moins de 5 kilomètres.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 717 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Menneval », sur la commune de Menneval, mise en service en 1962[12] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[13] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 780,8 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 29 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[16] à 10,8 °C pour 1981-2010[17], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Grosley-sur-Risle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [19] - [20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Évreux, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 108 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,8 %), prairies (20,1 %), terres arables (15,3 %), zones urbanisées (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Grolei en 1155[26] - [27] (cartulaire du prieuré de la Sainte-Trinité de Beaumont-le-Roger), Grolaium vers 1199 (charte du comte Robert de Meulan), Groolaium en 1204 (charte de Lambert Cadoc), Groulayum en 1303 (cartulaire de la Sainte-Trinité de Beaumont), Grollay en 1413, Grolay en 1644 (Coulon, les Riv. de France)[28].

    Peut-être du latin graulus « corbeau »[29] ou gracula « corneille » et du suffixe collectif –etum, d'où le sens global de « lieu fréquenté par les corbeaux »[29] ou « ensemble de corneilles Â»[27], explications douteuses[26]. L’origine est obscure[26].

    La Risle est une rivière de Normandie qui s'écoule dans les départements de l'Orne et de l'Eure.

    Remarque : Le latin gracula est en fait un néolatin datant de la fin de la période médiévale, le latin ne connaissant que graculus « choucas » (gracula s'appliquant à la rigueur à sa femelle), or le toponyme est attesté dès le XIIe siècle et la forme la plus ancienne de son homonyme Groslay (Val-d'Oise) est Graulido au IXe siècle. De graculus procède le bas latin graulus « corbeau freux, choucas » à l'origine de l'ancien français grolle « corbeau »

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs de Grosley-sur-Risle
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Jean Duval
    1791 1792 Jean-Baptiste Tienterre
    1792 1798 Pierre Lesage
    1798 1800 Jacques Rouzée
    1800 1820 Jean-Baptiste Tienterre
    1820 1826 Jean Léonard Baudry
    1826 1832 Eustache Duval
    1832 1837 Charles François Lothon
    1837 1854 Pierre Noël Gatine
    1854 1868 Jean Hippolyte Barbey
    1868 1870 Gerasime Lenfant
    1870 1870 Bruno Houdière
    1870 1892 Alexis Taillefer
    1892 1901 Ambroise Leguet
    1901 1905 Hippolyte Lamare
    1905 1924 Éloi Marvin
    1924 1935 Fernand Crouy
    1935 1940 René Alexandre Acteur
    1940 1944 Alphonse Combes
    1944 1945 Émile Hamelet
    1945 1946 René Alexandre Acteur
    1946 1948 Émile Cornu
    1948 1951 Edmond Delin
    1951 1977 Gaston Descamps
    1977 1983 Yves Ethes
    1983 1990 Édouard Albertine
    1990 2010 Jacques Delaporte
    2010 janvier 2016 Pascale Perraudin DVG Fonctionnaire
    30 janvier 2016 mai 2016 Evelyne Duval
    15 juillet 2016 En cours Dominique Civel

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 530 habitants[Note 8], en augmentation de 0,57 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    469494511578614623600588561
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    600550560513552467469454400
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    540385393379352398330403301
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    366417524502507493550557537
    2017 2020 - - - - - - -
    523530-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune de Grosley-sur-Risle compte un édifice inscrit au titre des monuments historiques :

    • l'église Saint-Léger (XIe, XVe, XVIe et XVIIe siècles) Logo monument historique Inscrit MH (1954)[34]. L'église a été construite au XIIe siècle (mur sud) ; le mur nord a été reconstruit au XVe siècle ; la façade, le chevet et la charpente datent du XVIe siècle et la sacristie du XVIIIe siècle.

    Par ailleurs, plusieurs autres édifices sont inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel :

    • motte castrale dite de la Chapelle du Pin, au lieu-dit le Pin[35], possession probable des seigneurs du Pin[36] - [Note 9].
    • un château fort des XIVe et XVe siècles (?) au lieu-dit le Vieux-Château[37] ;
    • une ferme des XVIIIe et XXe siècles au lieu-dit le Val-Gallerand[38]. Il s'agit d'une ancienne ferme du XVIIIe siècle (four à pain). Le logis, la grange et le silo ont été construits en style néo-normand entre 1930 et 1940. Il est dit que le corps principal serait constitué d'éléments de la première gare de Deauville (renouvelée en 1930 par l'architecte Jean Philippot) transportés et remodelés sur place.

    Autre point d'attrait :

    • église
      L'église.
    • monument aux morts
      Le monument aux morts.
    • pont sur le Risle
      Le pont sur la Risle.
    • croix de chemin
      Le calvaire de chemin.
    • croix de cimetière
      La croix de cimetière.

    Natura 2000

    • "Risle, Guiel, Charentonne"[39].

    ZNIEFF de type 1

    • Le bois de Grammont et les prairies du val Gallerand[40] ;
    • Le bois et les prairies du Hom[41].

    ZNIEFF de type 2

    • La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne[42].

    Personnalités liées à la commune

    • René Alexandre (1885-1946). Sociétaire de la Comédie Française, il épousa Gabrielle Robinne, elle aussi sociétaire de la Comédie Française, en 1912. Il fonda, à Grosley, la maison de repos des acteurs anciens combattants. Lui-même fut ancien combattant de la Première Guerre mondiale.
    • Gabrielle Robinne (1886-1980). Actrice de cinéma, dès l'époque du « muet » au début du XXe siècle, jusqu'à la seconde moitié du siècle. Elle fut aussi une actrice de théâtre de renom. La ville de Montluçon, où elle est née, l'a honorée en baptisant son théâtre de son nom. Tous deux vécurent à La Coletterie, chaumière au bord de la Risle à Grosley. Celle-ci existe encore.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    De sinople au chevron ondé brisé d'argent, accompagné en chef d'une feuille accostée de deux biches passantes affrontées et en pointe d'une roue de moulin le tout d'or

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Les seigneurs du Pin apparaissent fréquemment dans les sources écrites médiévales et notamment dans l'Historia ecclesiastica d'Orderic Vital, qui sont certainement des seigneurs du Pin, commune actuelle du département du Calvados (Le Pin), plutôt que du Pin-au-Haras, département de l'Orne.

    Références

    1. « Le pays d'Ouche », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Risle (H6--0200) ».
    5. De nombreux auteurs signalent cette particularité, notamment : Auguste Le Prevost, dans ses Notes pour servir à la topographie et à l'histoire des communes du département de l'Eure, 1849, Jean François Gabriel Vaugeois, dans son Histoire des antiquités de la ville de Laigle et de ses environs, 1841, CH. Piquet, géographe du Roi et S.A.R. Mgr le Duc d'Orléans, dans leurs Notes pour servir à la topographie et à l'histoire des communes du département de l'Eure par Dictionnaire géographique universel contenant la description de tous les lieux du globe intéressants sous le rapport de la géographie physique et politique, de l'histoire, de la statistique, du commerce et de l'industrie, par une société de géographes, tome huitième, à Paris chez les éditeurs A.J. Killian, libraire, rue de Choiseul no 3, quai de Conti no 17".
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Menneval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Grosley-sur-Risle et Menneval », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Menneval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Grosley-sur-Risle et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 120
    27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France - Page 343.
    28. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 104.
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 333b
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Château fort », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 31.
    37. « Château fort », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Ferme », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Risle, Guiel, Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    40. « Le bois de Grammont et les prairies du val Gallerand », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    41. « Le bois et les prairies du Hom », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    42. « La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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