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Choucas des tours

Le Choucas des tours (Coloeus monedula), aussi appelé corbeau choucas, choucas ou corneille des clochers[1], est une espÚce d'oiseaux de la famille des corvidés.

Coloeus monedula
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Choucas des tours

EspĂšce

Coloeus monedula
(Linnaeus, 1758)

Statut de conservation UICN

( LC )
LC : Préoccupation mineure

Synonymes

  • Corvus monedula

Répartition géographique

Description de l'image Corvus monedula map.jpg.
Fichier audio
[[:Fichier:Corvus monedula calls.ogg|]]

Taxonomie et systématique

Nom et Ă©tymologie

Le nom du choucas des tours a probablement une origine onomatopĂ©ique. Il serait reliĂ© au provençal caucala (qui dĂ©signe la corneille) et chouca (qui dĂ©signe le cri de la corneille). De la mĂȘme racine sont issus le nĂ©erlandais kauw qui dĂ©signe le choucas des tours, et l'anglais chough qui a Ă©galement une origine onomatopĂ©ique et dĂ©signe le crave Ă  bec rouge. En français, les trois espĂšces, choucas des tours, crave Ă  bec rouge, chocard Ă  bec jaune, sont frĂ©quemment confondues et couramment appelĂ©es indistinctement choucas ; elles partagent une mĂȘme Ă©tymologie[2].

Il Ă©tait appelĂ© vulgairement « chochotte ». À l'origine affectueux — comme en tĂ©moigne le titre Allons-y chochotte, mĂ©lodie d'Erik Satie —, le qualificatif est devenu plus hostile de nos jours.

En slovÚne et en tchÚque, le choucas est appelé kavka[3], dont le dérivé a donné le patronyme Kafka.

Systématique et taxonomie

Le choucas des tours est un corvidé du genre Coloeus. Seules deux espÚces appartiennent à ce genre, la deuxiÚme étant le choucas de Daourie.

Son nom binomial est également composé du terme monedula, dérivé de la racine latine moneta[4] signifiant "monnaie"[5], car on attribuait au choucas un comportement cleptomane et une attirance pour les piÚces et autres objets brillants[6].

Sous-espĂšces

Cet oiseau est représenté par quatre sous-espÚces :

  • Coloeus monedula monedula (Linnaeus, 1758) de Scandinavie, le sud de la Finlande, l’est de l’Allemagne, la RĂ©publique tchĂšque, l’Autriche, la Hongrie ;
  • Coloeus monedula spermologus (Vieillot, 1817) de l'ouest et du sud de l'Europe et du nord-ouest de l'Afrique ;
  • Coloeus monedula soemmerringii (Fischer von Waldheim, 1811) de l'est et du sud-est de l'Europe jusqu'au sud de la SibĂ©rie et l'ouest de la Chine ;
  • Coloeus monedula cirtensis (Rothschild & Hartert, 1912) du nord de l'AlgĂ©rie.

Description et identification

Description

De taille moyenne parmi les corvidĂ©s (33–39 cm), cet oiseau prĂ©sente un plumage noir avec la nuque et les cĂŽtĂ©s de la tĂȘte gris aux reflets bleus. Ses yeux ont la particularitĂ© d'avoir un iris allant du bleu trĂšs clair au gris presque blanc, particuliĂšrement visible.

Si le mĂąle et la femelle sont semblables d’aspect, les femelles sont en moyenne plus petites que les mĂąles (mĂȘme si les amplitudes des dimensions se chevauchent). Ainsi elles font entre 193 g et 250 g, tandis que les mĂąles peuvent faire entre 224 g et 257 g[7].

Chez les juvĂ©niles, le plumage est terne, teintĂ© de brun et l’iris est bleu.

  • Individu adulte
    Individu adulte
  • Oiseau en vol
    Oiseau en vol
  • DĂ©tails de la tĂȘte
    DĂ©tails de la tĂȘte
  • JuvĂ©nile
    Juvénile
  • JuvĂ©nile.
    Juvénile.

Confusions possibles

Les choucas des tours peuvent ĂȘtre confondus avec d'autres corvidĂ©s, notamment la Corneille noire ou le corbeau freux, mais ils restent reconnaissables par la couleur de leurs iris et leur plus petite taille. Leur cri facilite leur identification lorsque ceux-ci se trouvent en bandes mixtes ou en vol[7].

Choucas est utilisĂ© Ă  tort pour nommer le chocard Ă  bec jaune (Pyrrhocorax graculus), un autre corvidĂ© de taille et de poids approximativement Ă©quivalents, vivant essentiellement en zone montagnarde. Les deux espĂšces se distinguent en particulier par la couleur du bec, noire chez le choucas et jaune chez le chocard[8], et celle des pattes, noire chez le choucas et rouge chez le chocard. Le choucas ne dĂ©passe pas en gĂ©nĂ©ral l'altitude de 1 000 mĂštres, mais on en a observĂ© jusqu'Ă  2 000 mĂštres, alors que le chocard est un planeur des cimes hors pair.

Une vingtaine de choucas au chĂąteau de Bourbon-l'Archambault.

RĂ©partition et habitat

RĂ©partition

Le choucas des tours est d'origine des steppes. Il vit dans une grande partie de l'Europe (Ă  l'exception de l'extrĂȘme nord) et de l'Asie occidentale ainsi que dans le nord du Maghreb.

En France, les choucas sont sĂ©dentaires, mais ils peuvent ĂȘtre rejoints en hiver par des individus migrateurs du nord et de l’est de l’Europe[7].

Habitat

Le choucas a une bonne capacitĂ© d’adaptation, ce qui lui permet d’occuper divers milieux (Ă  l’exception de zones de haute montagne), qu’ils soient urbains, ruraux ou liĂ©s Ă  l’activitĂ© humaine.

Cavernicole, il cherche toutefois un habitat offrant de nombreuses cavités pour les colonies.

Relativement peu farouche, on le retrouve en zone urbaine, mĂȘme au voisinage de l'homme[9] : des ruines Ă©levĂ©es, des chĂąteaux-forts, des tours en pierres, une anfractuositĂ© de falaise rocheuse, un front de carriĂšre abandonnĂ©e, un arbre creux dans un parc... En zone rurale, il peut nicher dans des espaces liĂ©s Ă  l’activitĂ© humaine, comme de vieux bĂątiments, des carriĂšres, etc. Enfin, on le retrouve toujours dans ses habitats traditionnels comme les falaises, les grands arbres, etc.

En hiver et le matin en automne, quand la température de l'air est assez basse et humide, le choucas et le corbeau recherchent la chaleur dans les villes en venant se poser sur les toits des maisons et immeubles, et se perchent sur les conduits de ventilation débouchant sur les toits, pour profiter de l'air chaud qui en sort.

Comportement

Choucas avec une corneille mantelée. Le choucas cÎtoie volontiers d'autres espÚces de corvidés.

Organisation sociale

C'est une espĂšce grĂ©gaire que l'on peut rencontrer en bande avec les corbeaux freux, les corneilles noires ou les Ă©tourneaux. Les choucas forment des couples monogames et sont fidĂšles tout au long de leur vie. Les colonies peuvent ainsi ĂȘtre composĂ©es de quelques couples, jusqu'Ă  une cinquantaine[7].

Le soir, les choucas peuvent se rassembler par centaines pour passer la nuit dans des arbres-dortoirs. Le matin, au lever du soleil, les individus émettent des vocalisations pendant de longues périodes, dont l'intensité augmente au fur et à mesure de l'approche du décollage collectif des oiseaux. Cet envol est ainsi coordonné entre l'ensemble des individus, ces derniers s'envolant tous en quelques secondes[10].

Capacités cognitives

Certains auteurs comme Aristote[4] leur attribuent un comportement cleptomane avec une attirance pour les objets brillants ; mais cela n'a jamais été démontré. Par ailleurs, cette attitude également attribuée à la pie bavarde, a récemment été invalidée par une étude polonaise[11].

Les mƓurs du choucas ont Ă©tĂ© remarquablement Ă©tudiĂ©es et dĂ©crites par Konrad Lorenz, un des pĂšres de l'Ă©thologie. RĂ©cemment, il a Ă©tĂ© montrĂ© que ces oiseaux sont sensibles Ă  la direction du regard d'un humain et aussi que certains individus ont mis au point des outils, comportements qui semblaient jusqu'alors limitĂ©s aux grands singes[12]. Lorenz a Ă©galement montrĂ© — dans le cadre de ses travaux sur l'empreinte — qu’un choucas Ă©levĂ© par un humain rejoindra s’il le peut une troupe de choucas dĂšs qu’il sera en Ă©tat de voler ; nĂ©anmoins, Ă  sa maturitĂ© sexuelle, il adoptera un comportement de parade Ă  l’égard d’ĂȘtres humains, et non de ses congĂ©nĂšres.

D'autres travaux récents suggÚrent qu'il existe une forte affinité entre les membres d'un couple, mais aussi au sein des familles et des colonies. Les choucas seraient ainsi prosociaux et capables de coopération[13].

Reproduction

La maturitĂ© sexuelle est atteinte par les individus autour de 2 ans[14].

Les couples se forment au dĂ©but du printemps et resteront ensemble toute leur vie. Les partenaires chercheront ensuite une cavitĂ© pour y construire un nid assez sommaire fait de branchettes, d'herbes, de bouts de laine, de crins, de plumes, etc. À partir de fin avril Ă  mi-mars, la femelle pond quatre Ă  six Ɠufs[15]. Ceux-ci sont trĂšs pĂąles, bleu ou bleu-vert, mouchetĂ© de taches sombres. Ils sont plus petits que ceux des corneilles ou les corbeaux. La femelle couve les Ɠufs seule, pendant 14 Ă  20 jours, tandis que le mĂąle la nourrit. Les petits sont ensuite Ă©levĂ©s par les deux parents et quittent le nid au bout de 30 Ă  45 jours.

Le choucas a une longĂ©vitĂ© pouvant atteindre 19 ans.

  • Couple de choucas dans un nid
    Couple de choucas dans un nid
  • Comparaison de diffĂ©rents Ɠufs de corvidĂ©s (choucas: 3 rangĂ©e en partant du haut, milieu)
    Comparaison de diffĂ©rents Ɠufs de corvidĂ©s (choucas: 3 rangĂ©e en partant du haut, milieu)
  • Coloeus monedula
    Coloeus monedula
  • ƒufs de choucas des tours
    ƒufs de choucas des tours
  • Nid de choucas dans un nichoir
    Nid de choucas dans un nichoir

Alimentation

Comme la majoritĂ© des corvidĂ©s, le choucas est omnivore : graines, fruits, lĂ©gumes, insectes, vers, escargots, grenouilles et mĂȘme miettes des promeneurs sont recueillis au sol ; mais il est aussi opportuniste et pille volontiers les nids[16].

Cependant, les insectes reprĂ©sentent une part plus importante du rĂ©gime du choucas que chez d’autres corvidĂ©s[17]. Il est donc parfois considĂ©rĂ© comme un bon auxiliaire de l'agriculture[18] quand le nombre d’individus n’est pas trop important[17].

Le choucas et l'homme

Dans la culture

ReprĂ©sentation de Le Choucas et les oiseaux, d'Ésope

Mythes et folklore

Le choucas est prĂ©sent dans le mythe de la princesse Arne Sithonis, qui apparaĂźt dans les MĂ©tamorphoses d'Ovide[19]. Cette princesse, cupide et avide d'or, trahit son peuple en Ă©change de pot-de-vin. Elle fut punie par les dieux qui la transformĂšrent en oiseau noir (qui fut assimilĂ© au choucas), et condamnĂ©e Ă  ĂȘtre attirĂ©e par les objets brillants.

Cet oiseau est aussi mentionnĂ© dans diverses fables d'Ésope :

On le retrouve également dans une fable des FrÚres Grimm « Der schweidnitzer Rathsmann », dans laquelle un vieil homme dresse un choucas à dérober de la monnaie.

Le choucas est associé dans la Chrétienté à l'image du philosophe, mais de maniÚre négative, qui aurait un discours trompeur, ou de l'hérétique[2].

Culture

Le choucas est évoqué dans Watten, récit de Thomas Bernhard[20].

Dans le jeu-vidéo Assassin's Creed Black Flag le navire du héros est baptisé Jackdaw, il s'agit du nom anglais du choucas des tours[21].

Domestication et captivité

Le choucas a parfois été capturé et élevé comme animal de compagnie[22]. En effet, comme pour d'autres espÚces d'oiseaux, les individus imprégnés restent ensuite proches de l'Homme.

En France, cette pratique est aujourd'hui interdite.

DĂ©gĂąts agricoles

Comme d'autres espÚces de corvidés, les choucas peuvent causer des dégùts aux cultures, notamment en Bretagne et Pays de la Loire[23]. Ceci s'explique par le fort accroissement du nombre d'individus depuis plusieurs années[24] - [25].

Bien que protĂ©gĂ©s, les choucas font donc l'objet d'arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux dans certains dĂ©partements qui autorisent leur destruction, soit plusieurs milliers d'individus[26].

Des associations de protection de l'environnement se mobilisent pour faire suspendre ces arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et mettre en place des alternatives Ă  la destruction des choucas[27]. Le 14 juin 2022, le tribunal administratif de Rennes suspend trois arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux autorisant l'abattage de 25 800 choucas des tours[28].

Statut juridique et de conservation

  • En France, au niveau national, l'espĂšce est classĂ©e comme protĂ©gĂ©e par l’arrĂȘtĂ© ministĂ©riel du 29 octobre 2009 fixant la liste des oiseaux protĂ©gĂ©s sur l’ensemble du territoire et les modalitĂ©s de leur protection : Article 3[29].
  • Au niveau europĂ©en, elle est inscrite dans la liste de la directive 2009/147/CE du 30 novembre 2009, dite « directive oiseaux », dans l' Annexe II/PARTIE B dĂ©terminant les espĂšces qui peuvent ĂȘtre chassĂ©es seulement dans les États membres pour lesquels elles sont mentionnĂ©es (La France n'en faisant pas partie)[30].
  • Au niveau international, elle est inscrite Ă  l'annexe III de la Convention de Berne de 1979, qui fait la liste des espĂšces animales protĂ©gĂ©es[31].

À la diffĂ©rence d'autres corvidĂ©s (pie bavarde, corbeau freux et geai des chĂȘnes), les choucas ne sont pas considĂ©rĂ©s comme nuisibles[32] et ne figurent pas sur la liste des espĂšces susceptibles d'occasionner des dĂ©gĂąts en France.

Ils font cependant rĂ©guliĂšrement l'objet d'arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux autorisant leur abattage dans plusieurs dĂ©partements : FinistĂšre, CĂŽtes d'Armor, et Morbihan[33].

Notes et références

  1. Corvidae - no 5866
  2. Pierre Cabard et Bernard Chauvet, L'Ă©tymologie des noms d'oiseaux, Belin, coll. « Éveil Nature », , 589 p. (ISBN 2-7011-3783-7), p. 341-342.
  3. « kavka — Wiktionnaire », sur fr.wiktionary.org (consultĂ© le )
  4. Armand-Gaston Camus, Histoire des animaux: Notes. 2, Desaint, (lire en ligne)
  5. « monnaie — Wiktionnaire », sur fr.wiktionary.org (consultĂ© le )
  6. Pierre (1518-1564) Auteur du texte Belon, Portraits d'oyseaux, animaux, serpens, herbes, arbres, hommes et femmes d'Arabie et d'Égypte : le tout enrichy de quatrains, pour plus facile cognoissance des oyseaux et autres portraits... / observez par P. Belon,..., (lire en ligne), vue 170
  7. Inventaire National du Patrimoine Naturel, « Cahiers d’Habitat « Oiseaux » - MEEDDAT- MNHN – Fiche projet », sur https://inpn.mnhn.fr
  8. Le Petit Robert entretient l'amalgame, en citant dans sa dĂ©finition du choucas (p. 428 dans l'Ă©dition 2010) cette phrase de Charles-Ferdinand Ramuz : « Les choucas qu'on voit tourner et voleter, noirs avec un bec jaune, autour d'une fissure oĂč ils ont leurs nids au flanc des parois ».
  9. Émile (1838-1917) Auteur du texte Deyrolle, Oiseaux / Par Émile Deyrolle, (lire en ligne)
  10. Élisa DorĂ©, « Les vocalises des choucas synchronisent leur dĂ©collage », Pour la Science,‎ (lire en ligne AccĂšs libre)
  11. T. V. Shephard, S. E. G. Lea et N. Hempel de Ibarra, « ‘The thieving magpie’? No evidence for attraction to shiny objects », Animal Cognition, vol. 18, no 1,‎ , p. 393–397 (ISSN 1435-9448 et 1435-9456, DOI 10.1007/s10071-014-0794-4, lire en ligne, consultĂ© le )
  12. Auguste M.P. von Bayern and Nathan J. Emery, 'Jackdaws Respond to Human Attentional States and Communicative Cues in Different Contexts', Current Biology, 2 avril 2009, DOI 10.1016/j.cub.2009.02.062
  13. Agatha Liévin-Bazin, Prosocialité, cognition sociale et empathie chez les psittacidés et les corvidés (lire en ligne)
  14. « [Un jour, une espĂšce] Le Choucas des tours – LPO Pas-de-Calais » (consultĂ© le )
  15. « Choucas des tours », sur Oisillon, boutique en ligne pour oiseaux (consulté le )
  16. Alsop, Fred., Les oiseaux du Québec et de l'est du Canada, ERPI, (ISBN 2-7613-1489-1 et 9782761314893, OCLC 60510613, lire en ligne), p. 313
  17. Farsky, Octavianus, De l'utilité de quelques oiseaux de proie et corvidés déterminée par l'examen de leurs aliments., (lire en ligne), p. 190-205
  18. Gloger, Constantin Wilhelm Lambert (1803-1863), De la nécessité de protéger les animaux utiles : pour prévenir naturellement les dégùts causés par les souris et par les insectes (2e édition, Paris, V. Masson et fils, , 56 p. (lire en ligne), p. 22 - 24
  19. « OVID, METAMORPHOSES 1 - Theoi Classical Texts Library », sur www.theoi.com (consultĂ© le ) : « [453] »
  20. Thomas Bernhard (trad. de l'allemand), Amras et autres récits, Paris, Gallimard, , 436 p. (ISBN 2-07-070869-1)
  21. (en) « Jackdaw (Ship) - Assassin's Creed IV: Black Flag Wiki Guide - IGN », sur IGN (consulté le )
  22. Johann MatthÀus Auteur du texte Bechstein, Manuel de l'amateur des oiseaux de voliÚre ou Instruction pour connaßtre, élever et soigner les oiseaux que l'on aime à garder en voliÚre (Nouvelle édition...) / Bechstein, (lire en ligne), p. 111
  23. France 3 Bretagne, « Le Choucas des tours, destructeur de récoltes : l'oiseau est pourtant protégé », sur https://france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le )
  24. Reporterre, « Il boulotte les champs de maĂŻs, Ă©nerve les agriculteurs... En Bretagne, l’indĂ©sirable choucas », sur https://reporterre.net,
  25. Morgane Huteau, « La Population de Choucas des tours Corvus monedula dans le FinistÚre: recensement en 2010 et tendances »,
  26. PrĂ©fet du FinistĂšre, « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral portant dĂ©rogation au Code de l'environnement, Choucas des tours (Corvus Monedula) », sur http://www.finistere.gouv.fr,
  27. LPO Morbihan, « Trop de choucas en Bretagne ? », sur https://morbihan.lpo.fr, (consulté le )
  28. Sudouest fr avec AFP, « Environnement : la justice suspend l’abattage de plus de 25 000 choucas en Bretagne », sudouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consultĂ© le )
  29. « ArrĂȘtĂ© du 29 octobre 2009 fixant la liste des oiseaux protĂ©gĂ©s sur l'ensemble du territoire et les modalitĂ©s de leur protection », sur https://www.legifrance.gouv.fr, version consolidĂ©e au 27 juin 2020
  30. Parlement européen et Conseil européen, « DIRECTIVE 2009/147/CE », sur https://eur-lex.europa.eu, (consulté le )
  31. (en) « Convention on the Conservation of European Wildlife and Natural HabitatsConvention relative à la conservation dela vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe »
  32. La liste des espĂšces susceptibles d'occasionner des dĂ©gĂąts vient remplacer la prĂ©cĂ©dente liste d'espĂšces d'animaux susceptibles d'ĂȘtre classĂ©s nuisibles. Le terme nuisible n'est donc plus officiellement usitĂ© pour ces espĂšces
  33. « Dégradations causées par le choucas des tours - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )

Liens externes

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