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Le Montat

Le Montat est une commune française située dans le sud du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans le Quercy Blanc, une région naturelle correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.

Le Montat
Le Montat
La mairie.
Blason de Le Montat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cahors
Maire
Mandat
Jean-Paul Mougeot
2020-2026
Code postal 46090
Code commune 46197
Démographie
Gentilé Montatois
Population
municipale
1 069 hab. (2020 en augmentation de 2,39 % par rapport à 2014)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 22′ 51″ nord, 1° 26′ 59″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 303 m
Superficie 22,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cahors
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cahors-3
Législatives Première circonscription
Localisation
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Le Montat

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tréboulou, le ruisseau de Lacoste et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « serres de Saint-Paul-de-Loubressac et de Saint-Barthélémy, et causse de Pech Tondut ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Le Montat est une commune rurale qui compte 1 069 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Cahors. Ses habitants sont appelés les Montatois ou Montatoises.

    Géographie

    La commune qui fait partie de l'aire urbaine de Cahors est située dans le Quercy au sud de Cahors. Elle est étendue du nord au sud, de chaque côté de l'ancienne route Paris-Toulouse.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Cahors, Cieurac, Flaujac-Poujols, Fontanes, Labastide-Marnhac et Lhospitalet.

    Les hameaux

    Les Bories, Boussuges, le Battan, la Bénèche, Lacoste, Lamousie, les Cajalous, le Carriol[2], le Lard, le Mentier ou Mentier, les Oustalous, le Payrat, le Pesquié, les Pouxous[3], Pouzergues, Rigal, Rigou, le Roussel, Lagard, Lasolle, les Quatre Fonts, Quercy, les Tuileries.

    Les combes

    Les combes sont de petites vallées sèches creusées par l'érosion, dans la roche tendre. Dans la commune, on rencontre : la combe Escure ; la combe des Faxilliéres ou Fassiliéres[4] ; la combe negre.

    Les pech

    « Pech Â» de l'occitan puég dérive du latin podium et indique un endroit plat et surélevé. On trouve : le Pech de Baillourguel, le Pech Grand, le Pech de Beyne, le Pech de Cazals, le Pech de Payrat, le Pech de Gamele, le Pech Arras, le Pech Noutier.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 856 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1986 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[10]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records LE MONTAT (46) - alt : 260 m 44° 22′ 24″ N, 1° 26′ 06″ E
    Statistiques établies sur la période 1985-2010 - Records établis sur la période du 01-02-1986 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,6 3,9 6 9,6 12,7 14,7 14,6 11,3 8,9 4,3 1,8 7,6
    Température moyenne (°C) 5,2 6,3 9,3 11,6 15,8 19,1 21,5 21,4 17,6 14 8,4 5,5 13
    Température maximale moyenne (°C) 9,1 11 14,7 17,2 22 25,4 28,4 28,2 24 19 12,4 9,2 18,4
    Record de froid (°C)
    date du record
    −20
    17.01.1987
    −12,5
    09.02.12
    −11,6
    01.03.05
    −3,2
    22.04.1991
    0,4
    02.05.18
    4
    28.06.1997
    7,2
    13.07.1993
    5,1
    31.08.1986
    2
    19.09.1994
    −5,8
    25.10.03
    −8,7
    18.11.07
    −11,4
    17.12.01
    −20
    1987
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    19,6
    01.01.22
    25,9
    27.02.19
    26,4
    21.03.1990
    31
    07.04.11
    33,8
    30.05.03
    40,2
    29.06.19
    40
    13.07.03
    42,1
    12.08.03
    35,1
    05.09.06
    32
    02.10.11
    23,8
    06.11.15
    18,3
    08.12.10
    42,1
    2003
    Précipitations (mm) 69,3 64,5 55,6 81,6 77,2 77,1 55,5 62,2 75 70,9 70 73,1 832
    Source : « Fiche 46197002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « serres de Saint-Paul-de-Loubressac et de Saint-Barthélémy, et causse de Pech Tondut »[12], d'une superficie de 832 ha, abritant diverses espèces en limite d'aire ou en aire disjointe sur le Lot : Aphyllanthes monspeliensis, Leucanthemum graminifolium, Genista hispanica[13].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[14] :

    • les « coteaux de Hauteserre et du pech Arras » (129 ha), couvrant 3 communes du département[15] ;
    • le « Mont Saint-Cyr et environs, pechs et combes calcaires au sud de Cahors entre Saint-Georges et le Montat » (1 853 ha), couvrant 5 communes du département[16] ;
    • les « pelouses sèches des Bouyguettes, cultures du Pesquié et ruisseau du Tréboulou » (146 ha), couvrant 2 communes du département[17].
    • les « serres de pech Tondut et de Doumary » (251 ha), couvrant 3 communes du département[18].
    • la « zone des volcans, des Ségalas et de l'aérodrome de Cahors-Lalbenque » (142 ha), couvrant 3 communes du département[19] ;

    Voies de communication et transports

    La desserte de la commune est assurée par les lignes d'autocar 880 et 881 du réseau régional liO, permettant de rejoindre la gare de Cahors[20] - [21].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Montat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [22] - [I 1] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cahors, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,5 %), zones agricoles hétérogènes (35,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,2 %), zones urbanisées (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), prairies (0,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune duMontat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Cahors, regroupant 14 communes concernées par un risque de débordement du Lot et du ruisseau du Bartassec, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[27]. L'événement passé le plus significatif est la crue des 9 et où le Lot a atteint 8,90 m à Cahors après une montée très rapide des eaux. Seules les crues de 1783 et 1833 ont dépassé ces valeurs. Les dégâts ont été très importants. Deux crues survenues sur le Bartassec en 1996 et 2010 ont eu un très fort impact sur les activités économiques de l'agglomération de Cahors. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1996, 1999 et 2010[29] - [25].

    Le Montat est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de la Moyenne vallée du Lot. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux duMontat.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[31]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 495 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 495 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic, une ligne de chemin de fer et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].

    La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval et de Sarrans, des ouvrages de classe A[Note 7] disposant d'une retenue de respectivement 270,6 millions[36] et 296 millions de mètres cubes[37] - . À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[38].

    Géologie

    Le Montat fait partie de l'aire géologique du Quercy blanc[39] au sous-sol argilo-calcaire. Le relief est composé de plateaux de calcaire blanc et de coteaux en bandes étroites et ramifiées : les serres.

    Par ailleurs, certains chemins de la commune sont empierrés pour partie de galets de quartz roulés. L'origine fluviale de ces pierres roulées peut être retrouvée.

    En effet, au Bartonien, la formation alluviale de Saint-Denis-Catus couvre l'Est du département en ravinant les paléoaltérites[40]. Elle témoigne du passage d'un grand fleuve ou d'un oued divaguant, traversant le plateau quercynois et s'écoulant du N.NE en direction du Sud de Cahors vers le « golfe Â» lacustre de Cieurac[41].

    Hydrographie

    Ruisseaux

    • Le ruisseau de Lacoste, qui se jette dans le Lot.
    • Le ruisseau de Quercy, affluent du premier
    • Le ruisseau des Valses.

    Toponymie

    Le toponyme Le Montat induit l'idée de colline, montée, ascension[42].

    D'où le premier nom connu de l'église : Sanctus Petrus de Montato :Saint Pierre de la montée ou de l'ascension.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1797 Jean Baptiste Marabelle
    1797 1798 Antoine Vincens
    1798 1800 Jean Marabelle
    1800 1811 Antoine Vincens
    1811 1813 Jean Pierre Vincens
    1813 1815 Etienne Delmas
    1815 1816 Jean Lezeret de Lamaurinie
    1816 1830 François Cunaynes Propriétaire,cultivateur
    1830 1833 Guillaume Plantade
    1833 1848 François Emmanuel Salvat
    1848 1867 Jean Baptiste Celarte Agriculteur
    1867 1902 Pierre Dufour
    1902 1919 Paul Fournie
    1919 1935 Henri Fournie
    1940 1941 Albert Cubaynes
    1941 1943 Fernand Boeda
    1943 1945 Achille Fournie
    1945 1971 Jean Pagès
    1971 1977 Germain Girma
    1977 2001 Roger Peyralade
    2001 2014 Michel Delon Retraité
    2014 En cours Jean Paul Mougeot Retraité-Fonctionnaire de catégorie A

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2020, la commune comptait 1 069 habitants[Note 8], en augmentation de 2,39 % par rapport à 2014 (Lot : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    900656636600650826616690707
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6677027297257151 235614579555
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    529449382308270267252221194
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    240236348459685774943963965
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 0441 0621 069------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Bâti local

    Le bâti local emprunte beaucoup au style quercynois : maisons de vignerons à bolet et monuments en moellons de calcaire blanc.

    On remarque aussi nombre de petites maisons d'une pièce, construites par de modestes travailleurs.

    Dans les champs subsistent encore des gariottes et des caselles, guérites et cabanes de pierres sèches édifiées notamment par les vignerons d'autrefois. Elles servaient de remises à outils, d'abris contre les intempéries ou l'ardeur du soleil.

    Ancienne maison du bourrelier au bourg.
    Porte à clous en chêne, XVIIe siècle, à l'étage de la maison du bourrelier.
    Maison de vigneron, à un étage sur cave, avec escalier extérieur sous auvent (dit bolet).

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 425 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 036 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 630 â‚¬[I 4] (20 740 â‚¬ dans le département[I 5]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]4,1 %6,6 %6,1 %
    Département[I 7]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 648 personnes, parmi lesquelles on compte 78,8 % d'actifs (72,7 % ayant un emploi et 6,1 % de chômeurs) et 21,2 % d'inactifs[Note 10] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Cahors, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 383 emplois en 2018, contre 346 en 2013 et 297 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 478, soit un indicateur de concentration d'emploi de 80 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,6 %[I 10].

    Sur ces 478 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 79 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 94,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 3,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 0,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    101 établissements[Note 11] sont implantés au Montat au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble101100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1110,9 %(14 %)
    Construction2120,8 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    2928,7 %(29,9 %)
    Information et communication44 %(1,8 %)
    Activités financières et d'assurance44 %(2,8 %)
    Activités immobilières65,9 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1615,8 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    44 %(12 %)
    Autres activités de services65,9 %(8,7 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,7 % du nombre total d'établissements de la commune (29 sur les 101 entreprises implantées au Le Montat), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    La station trufficole du Montat est un lieu d'expérimentation des techniques de productions truffières. Elle est située sur le site du lycée professionnel agricole et viticole de Cahors-le Montat[47].

    Se trouvant à une dizaine de kilomètres de Cahors, Le Montat était réputé pour son vignoble, avant que la crise du phylloxéra ne vienne le réduire à néant. En 1884,les trois quarts des vignes étaient déjà détruits[48].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations221577
    SAU[Note 13] (ha)332388285405

    La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[49]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (22 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 405 ha[51] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Barthélemy

    Église Saint-Barthélemy.

    La commune abrite l'église Saint-Barthélemy, édifice du XIe siècle classé monument historique en 1846[52]. Jusqu'au XVIIe siècle, elle a porté le nom d'église Saint-Pierre du Montat. Plusieurs objets sont référencer dans la base Palissy[52].

    Les Fontaines

    Fontaine de Borne-fontaine des Ouxels-fontaine du Gendarme et de Lamousie.

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête votive ou patronale

    Elle se déroule à la fin de la dernière semaine du mois d'août et est très appréciée. Deux tiers des habitants de la commune y participent.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    Écartelé : au 1er de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d’or (croix occitane), au 2e d'or à la gariotte [ou caselle : construction en pierres sèches] d'argent, ouverte de gueules et accompagnée en chef dextre d'un arbre d'argent, au 3e d'or à l'église du lieu d'argent essorée de gueules, au 4e de gueules au lion d'or ; à la fasce d'or chargée de l'inscription « Le Montat » en lettre gothiques de sable, brochant sur le coupé.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. http://www.geneanet.org/nom-de-famille/CARRIOL
    3. https://www.filae.com/nom-de-famille/POUSSOU.html
    4. http://www.synesia.net/l_mysteres-18/forum/f-8/p1/superstition__croyance_%E2%80%93_fassilieres_ou_fossilieres-488.html
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Fiche du Poste 46197002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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    12. « Liste des zones Natura 2000 de la commune duMontat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « site Natura 2000 FR7300917 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune duMontat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    16. « ZNIEFF le « Mont Saint-Cyr et environs, pechs et combes calcaires au sud de Cahors entre Saint-Georges et le Montat » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    18. « ZNIEFF les « serres de pech Tondut et de Doumary » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF la « zone des volcans, des Ségalas et de l'aérodrome de Cahors-Lalbenque » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. Fiche horaires de la ligne 880 du réseau liO.
    21. Fiche horaires de la ligne 881 du réseau liO.
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    25. « Les risques près de chez moi - commune du Montat », sur Géorisques (consulté le )
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    30. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le )
    31. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    32. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune duMontat », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    34. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    35. Article R214-112 du code de l’environnement
    36. « barrage de Grandval », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
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    38. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur www.lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    39. http://www.quercy.net/patrimoine/nature/geologie/
    40. http://archives.quercy.net/geologie/histoire.html
    41. http://ficheinfoterre.brgm.fr/Notices/0881N.pdf
    42. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 117.
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. Site du lycée agricole du Montat.
    48. « Bulletin pédagogique du département du Lot » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
    49. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    50. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    51. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune du Le Montat - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    52. « Église », notice no PA00095169, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[11].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[35].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 au Montat » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Montat » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Montat » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 au Montat » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

    Autres sources

      Voir aussi

      Liens externes

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