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Laubert

Laubert est une commune française, située dans le centre du département de la Lozère en région Occitanie.

Laubert
Laubert
Vue générale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes Mont Lozère
Maire
Mandat
Gilbert Debien
2020-2026
Code postal 48170
Code commune 48082
Démographie
Gentilé Laubertois
Population
municipale
100 hab. (2020 en diminution de 5,66 % par rapport à 2014)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 35′ 11″ nord, 3° 38′ 28″ est
Altitude Min. 1 186 m
Max. 1 428 m
Superficie 14,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mende
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandrieu
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Laubert
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Laubert
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Laubert
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Laubert

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Boutaresse, le ruisseau de l'Esclancide, les Rousses, le ruisseau de la Loubière et par divers autres petits cours d'eau.

    Laubert est une commune rurale qui compte 100 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 337 habitants en 1911. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Mende. Ses habitants sont appelés les Laubertois ou Laubertoises.

    Géographie

    Localisation

    Laubert se situe sur le massif de la Margeride , le long de la RN88, à 18 km au nord de Mende et à 69 km au sud du Puy-en-Velay.

    Communes limitrophes

    Hameaux et lieux-dits

    Gourgons est un des deux villages constituant la commune de Laubert. Les deux petits villages, Gourgons et Laubert, se trouvent de part et d'autre du redouté col de la Pierre Plantée (1 264 mètres), sur la RN 88. Ils en sont en quelque sorte les gardiens.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 6,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 10,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 940 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Loubaresse », sur la commune de Loubaresse, mise en service en 1947[7] et qui se trouve à 32 km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 7,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 990,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 60 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14] - [15] - [16].

    Urbanisme

    Typologie

    Laubert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [17] - [I 1] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mende, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,4 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), prairies (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Laubert est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Laubert est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[22]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6] - [22] - [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Laubert.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 110 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003 et 2020.

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Laubert est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

    Histoire

    XXe siècle

    En 1988 la commune de Laubert qui avait vu disparaître les 30 écoles du canton construit une école intercommunale toute neuve dans un style nouveau et avec un mobilier ergonomique « révolutionnaire ». Cela lui vaudra un prix délivré par l'association des maires de France.

    Laubert entre dans le XXIe siècle avec le Livre Guinness des records. En effet, Morganne Toulouse devient la plus jeune dessinatrice de timbres poste à l'âge de neuf ans. C'est elle qui a réalisé le timbre de l'an 2000[28].

    Les élections municipales des 9 et n'ayant pas permis de constituer un conseil municipal, en raison de la démission de nombreux élus, un nouveau scrutin est organisé les 13 et suivants. Le , Gérard Piejoujac, 65 ans, retraité, est élu par le conseil municipal à l'unanimité. Immédiatement après son élection deux conseillères municipales annoncent leur démission.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Laubert est membre de la communauté de communes Mont Lozère[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Mont Lozère et Goulet. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[29].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Grandrieu pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[30].

    Liste des maires

    Liste des maires de Laubert
    Période Identité Étiquette Qualité
    1971 2001 Michel Valette DVG Maire honoraire
    2001 2004 Jérôme Finiels
    2004 2005 Jérôme Bourret SE
    2005 2006 Bernard Toulouse
    2006 2008 Jérôme Finiels Le même que de 2001 à 2004
    2008 2014 Gérard Piejoujac
    2014 En cours Gilbert Debien

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 100 habitants[Note 7], en diminution de 5,66 % par rapport à 2014 (Lozère : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    272308315302283327330337273
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    299272247202186160129120124
    1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 - -
    128134111112102102100--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Connexion à internet

    La commune n'est pas reliée à l'ADSL, les deux NRA les plus proches se trouvant à Châteauneuf-de-Randon et à Badaroux, à une distance trop grande du village.

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 5]3,1 %2,8 %7,1 %
    Département[I 6]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 7]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 55 personnes, parmi lesquelles on compte 80,4 % d'actifs (73,2 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 19,6 % d'inactifs[Note 8] - [I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Mende, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 8]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 33 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 44, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,5 %[I 9].

    Sur ces 44 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 88,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Culture locale et patrimoine

    L'église Notre-Dame-des-Sources de Laubert

    En 1278 est fondée une chapelle qui sera détruite en 1636, puis rebâtie en 1773. En 1825, l'église actuelle est construite à la place de cette chapelle.

    Le clocher est un clocher-peigne. En 1963, le conseil municipal fit refondre la cloche principale qui était fêlée. Durant l'hiver 1974/1975, le maire, Michel VALETTE, le conseil municipal et tous les hommes valides de la commune consacrent leur temps libre à restaurer intégralement et bénévolement l'intérieur de l'église. Cette église, renfermant un mobilier remarquable, a une histoire peu banale décrite dans un petit document édité par le maire de Laubert en 1999. Une petite fontaine, coiffée d'une belle charpente Philibert, au pied de l'église rajoute au charme du village.

    On trouve dans cette église :

    • un christ du XVe siècle en bois polychrome,
    • une Vierge à l'Enfant du XVIIe siècle, en bois doré,
    • un Atlante supportant la chaire (il existe trois autres Atlantes de ce type en Lozère),
    • un retable doré et peint, à colonnes torses, provenant de l'église des Capucins, située à Mende. Il est surmonté de deux urnes funéraires.

    Quelques dates

    Monument érigé à l'emplacement du tripoint de partage des eaux entre les bassins versants de la Loire, de la Garonne et du Rhône sur les communes de Laubert et de Montbel en Lozère, près du col de la Pierre Plantée.

    Extrait d'un document réalisé par le maire honoraire : Michel Valette.

    • 1278 - Par acte du reçu par Me Villaret notaire à Mende, Bertrand de Laubert fonda une chapelle sous l'invocation de saint Barnabe et de saint Barthélémy. Le chapitre de Mende, seigneur de Laubert céda alors aux chapelains, comme revenu, le tiers de la dixme des grains de Laubert mais fit payer la dixme à la onzième gerbe et non à la seizième.
    • 1636 - Le la chapelle était détruite. On n'en connaît pas la cause. Pendant les 137 ans qui suivirent on ignore si Laubert eut une chapelle ou non.
    • 1773 - La chapelle fut rebâtie et l'évêque y autorisa la messe le . Mais tous les ecclésiastiques intervenant à Laubert devront être entretenus par les habitants moyennant 100 écus par an.
    • 1780 - Les gens de Laubert ne peuvent plus payer et ne peuvent pas, non plus, se rendre à la paroisse à Allenc l'hiver, les dangers de la neige étant trop grands. Le Claude Toulouse présente une requête au nom des gens de Laubert auprès de l'évêque pour que la chapelle de Laubert soit érigée en succursale avec un vicaire résident pris en charge par l'évêché.
    • 1802 - Laubert est détaché d'Allenc et érigé en succursale le .
    • 1825 - La famille Valentin fit construire l'église actuelle.
    • L'église en hiver.
      L'église en hiver.
    • Le Christ (XVe siècle).
      Le Christ (XVe siècle).
    • Le retable.
      Le retable.
    • L'Atlante supportant la chaire.
      L'Atlante supportant la chaire.
    • La Vierge à l'Enfant (XVIIe siècle).
      La Vierge à l'Enfant (XVIIe siècle).

    Le château

    De l'ensemble moyenâgeux fortifié de Laubert ne subsiste que le corps principal du château, remanié pour la dernière fois en 1721. Le château ne se visite pas mais son histoire n'est pas inintéressante. Ce fut une propriété du roi d'Aragon, d'où son nom : le Palais du Roy. Ce nom s'est d'ailleurs étendu à l'ensemble du domaine proche de l'actuel lac de Charpal. Plus tard le chapitre épiscopal de Mende en fit sa résidence d'été. En 1999 le maire de Laubert, Michel Valette, édita un petit document de présentation du château ; il en fit de même pour l'église et pour l'école.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Loubaresse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Laubert et Loubaresse », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Loubaresse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Laubert et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Laubert », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Laubert », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Liste des espaces protégés sur la commune de Laubert », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Laubert », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le )
    23. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Laubert », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    27. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    28. référence 19990470
    29. « communauté de communes Mont Lozère - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    30. « Découpage électoral de la Lozère (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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