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Arzenc-de-Randon

Arzenc-de-Randon est une commune française, située dans le nord du département de la LozÚre en région Occitanie.

Arzenc-de-Randon
Arzenc-de-Randon
Vue sur le village.
Blason de Arzenc-de-Randon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement LozĂšre
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes Randon - Margeride
Maire
Mandat
Francis Gibert
2020-2026
Code postal 48170
Code commune 48008
DĂ©mographie
Gentilé Arzencois
Population
municipale
191 hab. (2020 en diminution de 8,61 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2,8 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 39â€Č 45″ nord, 3° 37â€Č 58″ est
Altitude Min. 1 146 m
Max. 1 542 m
Superficie 69,20 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Grandrieu
LĂ©gislatives Circonscription de la LozĂšre
Localisation
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Arzenc-de-Randon
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Arzenc-de-Randon

    ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par la Colagne, le Chapeauroux, la Boutaresse, le Malrieu et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « plateau de Charpal ») et sept zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Arzenc-de-Randon est une commune rurale qui compte 191 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 917 habitants en 1901. Ses habitants sont appelĂ©s les Arzencois ou Arzencoises.

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, la tempĂ©rature dĂ©croĂźt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nĂ©bulositĂ© minimale en hiver et maximale en Ă©tĂ©. Les vents et les prĂ©cipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 6,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 10 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 006 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Issanlas », sur la commune d'Issanlas, mise en service en 1952[7] et qui se trouve Ă  32 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 6,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 077,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le dĂ©partement de l'ArdĂšche, mise en service en 1990 et Ă  62 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[13].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : le « plateau de Charpal »[15], d'une superficie de 3 410 ha, l'un des sites les plus intĂ©ressants d'Occitanie pour la conservation des complexes de tourbiĂšres[16].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[17] :

    • le « lac de Charpal » (414 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[18] ;
    • la « riviĂšre du Chapeauroux » (357 ha), couvrant 9 communes du dĂ©partement[19] ;
    • la « tourbiĂšre du valat de Malaval » (35 ha)[20] ;
    • les « tourbiĂšres des valats de Pouchiou et de Lachaumette » (53 ha)[21] ;
    • les « tourbiĂšres du puech David » (362 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[22] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [17] :

    • la « montagne de la Margeride et massif du plateau du Palais du Roi » (29 590 ha), couvrant 20 communes du dĂ©partement[23] ;
    • la « vallĂ©e du Chapeauroux » (10 037 ha), couvrant 12 communes dont une dans la Haute-Loire et 11 dans la LozĂšre[24].
    • Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Arzenc-de-Randon.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Arzenc-de-Randon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [25] - [I 1] - [26]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (83,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (84,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (45,7 %), forĂȘts (38,2 %), prairies (11,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,4 %), eaux continentales[Note 8] (1,4 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Arzenc-de-Randon est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[28]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[29].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Chapeauroux, la Colagne et la Boutaresse. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1994 et 2003[30] - [28].

    Arzenc-de-Randon est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[31]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du , abrogeant un arrĂȘtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 9] - [31] - [32].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arzenc-de-Randon.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (15,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 186 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 1 %, Ă  comparer aux 14 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[34].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune d'Arzenc-de-Randon est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[35].

    Toponymie

    Le nom de la commune est Arzenc (de Randon) en occitan selon la norme classique et se prononce [ar'zen].

    Histoire

    Village nommĂ© dĂšs le VIe siĂšcle quand Thibert Ier, petit-fils de Clovis, y rencontre saint Hilaire, Ă©vĂȘque de Mende, en 533.

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune d'Arzenc-de-Randon est membre de la communauté de communes Randon - Margeride[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Monts-de-Randon. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[36].

    Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă  l'arrondissement de Mende, Ă  la circonscription administrative de l'État de la LozĂšre et Ă  la rĂ©gion Occitanie[I 4].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Grandrieu pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la LozÚre pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[37].

    Liste des maires

    Liste des maires d'Arzenc-de-Randon[38]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1899 1904 Antoine Roche
    1904 1904 Baptiste Moure
    1904 1911 Jean-Pierre Serodes

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[40].

    En 2020, la commune comptait 191 habitants[Note 10], en diminution de 8,61 % par rapport Ă  2014 (LozĂšre : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    750625826658821811762808761
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    750820829762821903825855901
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    917889883761749668593476425
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    412374300240180195204207209
    2018 2020 - - - - - - -
    194191-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    BĂątiments religieux

    HĂ©raldique

    Blason de Arzenc-de-Randon Blason
    De sinople, Ă  un mouton d’argent, accompagnĂ© en chef de deux coquilles saint Jacques de mĂȘme ; au chef bastillĂ© de trois piĂšces d’or chargĂ© de trois pals d’azur.
    DĂ©tails
    Le fond sinople signale l'omniprĂ©sence d’une vĂ©gĂ©tation partagĂ©e entre espaces naturels avec les forĂȘts et espaces cultivĂ©s essentiellement des pĂątures.

    Le mouton image le fait qu’Arzenc-de-Randon est un haut lieu de la transhumance depuis de nombreux siùcles.

    Les coquilles saint Jacques indiquent qu'il est le saint patron de la paroisse.

    Le chef reprend la lĂ©gende du plateau du Palais-du-Roi qui veut que le roi d’Aragon ai bĂąti un chĂąteau pour sa fille lĂ©preuse, d’oĂč les bastilles ou crĂ©neaux vers le bas.

    L'or avec les trois pals d’azur proviennent des armes de la famille de ChĂąteauneuf-Randon qui avait Arzenc comme fief entre autres villages. Le blason exact est “d’or Ă  trois pals d’azur et un chef de gueules”. La reprise intĂ©grale du blason de famille Ă©tant interdite pour les municipalitĂ©s il suffit d’en emprunter un ou plusieurs Ă©lĂ©ments.

    Les ornements sont deux branches de sapin de sinople, fruitées d'or, mises en sautoir par la pointe et liées d'or, pour rappeler la présence de bois sur le territoire communal.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien Ă  voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • "Arzenc de Randon", publiĂ© en 2002 par Guy et Jacqueline Eglin, (198 pages).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[14].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Arzenc-de-Randon » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Issanlas - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Arzenc-de-Randon et Issanlas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Issanlas - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Arzenc-de-Randon et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arzenc-de-Randon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9101357 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arzenc-de-Randon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF le « lac de Charpal » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF la « riviÚre du Chapeauroux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF la « tourbiÚre du valat de Malaval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « tourbiÚres des valats de Pouchiou et de Lachaumette » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « tourbiÚres du puech David » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF la « montagne de la Margeride et massif du plateau du Palais du Roi » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF la « vallée du Chapeauroux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    28. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Arzenc-de-Randon », sur Géorisques (consulté le )
    29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
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