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Labeuvrière

Labeuvrière est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Labeuvrière
Labeuvrière
La mairie, dans la Prévôté.
Blason de
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Jacky Bertier
2020-2026
Code postal 62122
Code commune 62479
Démographie
Population
municipale
1 662 hab. (2020 en diminution de 3,09 % par rapport à 2014)
Densité 272 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 31′ 15″ nord, 2° 33′ 50″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 75 m
Superficie 6,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Béthune
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Béthune
Législatives 8e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Labeuvrière
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Labeuvrière
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Labeuvrière
Liens
Site web http://www.commune-labeuvriere.fr

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Labeuvrière est un bourg périurbain et industriel du Béthunois situé à km au sud-ouest de Béthune, à 21 km au nord-ouest de Lens et à 29 km au nord-ouest de Lens, aisément accessible par l'ex-route nationale 43 (actuelle RD 943).

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

    Communes limitrophes de Labeuvrière
    Chocques Annezin
    Lapugnoy Labeuvrière Fouquereuil
    Bruay-la-Buissière Gosnay

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    Le territoire communal est limité à l'ouest par le lit de la Clarence, qui prend sa source dans les collines de l'Artois, au lieu-dit le Buich à Sains-lès-Pernes. Elle se jette dans la Vieille Lys aval, en rive droite, à Calonne-sur-la-Lys. À Gonnehem, elle passe en siphon sous le canal à grand gabarit du canal d'Aire[1] - [2].

    Il est également drainé par la Calonette, cours d'eau naturel de 3,92 km, qui prend sa source dans la commune de Lapugnoy, et se jette dans la Clarence au niveau de la commune de Chocques[3]. La Calonette a pour affluent le Becq, cours d'eau naturel de 3,07 km, qui prend sa source dans la commune[4].

    Milieux naturels et biodiversité

    La commune, ainsi que celle de Gosnay (ainsi que celles de Lapugnoy, Labuissière, Bruay-en-Artois) abritent une partie du bois des Dames, qui s'étend sur près de 401 hectares[5]. C'est l'une des deux seules forêts de protection de la région Nord-Pas-de-Calais, instituée en 1984 en application du code forestier[6] - [7].

    C'est un élément important de la trame verte régionale, qui doit aussi être connecté à la Trame bleue dans le cadre du Sage de la Lys, via le corridor de la vallée de la Lawe à connecter à la ceinture verte de Béthune[8] dans le cadre d'un SAGE.

    Urbanisme

    Paysage urbain.

    Typologie

    Labeuvrière est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [9] - [10] - [11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[12] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13] - [14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15] - [16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,7 %), zones urbanisées (15,4 %), forêts (13,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %), prairies (0,6 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Voies de communication et transports

    Le bourg est traversé par les lignes de chemin de fer de Fives à Abbeville et d'Arras à Dunkerque-Locale, ainsi que par l'Autoroute A26.

    La station la plus proche est la gare de Béthune, desservie par des TGV inOui (liaison Paris-Nord – Dunkerque) et des trains TER Hauts-de-France (liaisons d'Arras à Béthune, Hazebrouck, Dunkerque ou Calais-Ville, et de Lille-Flandres à Béthune).

    • La biffurcation de Fouquereuil
      La biffurcation de Fouquereuil
    • L'ancienne gare
      L'ancienne gare

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Lebevrieren en 1076, Beverira en 1152, La Bevrire vers 1160, le Beverere en 1163 , Bevreria en 1201[19].

    Peut-être de l'oil bièvre « castor » , d'origine gauloise et du le suffixe collectif -ière[19] « lieu où abondent les castors »[20].

    Histoire

    Lors de la bataille d'Azincourt en 1415, Jean de Nédonchel, dit "Baugeois", seigneur de la Beuvrière, et Gamant de Nédonchel (probablement son frère ou son fils) combattent et trouvent la mort[21].

    Jean Georges de Beaulaincourt, seigneur de Bellenville, Barlet, la Beuvrière, achète Marles en 1692 et en est le seigneur. Il demande au roi Louis XIV que la terre de Marles soit réunie à celle de la Beuvrière, avec les fiefs et seigneuries qui en dépendent et qui relèvent du roi du fait du château de Béthune, afin qu'elles forment un comté. Des lettres données à Versailles en février 1696 lui accordent ce qu'il a souhaité. Marles et Labeuvrière sont réunies en un comté attribuant de ce fait au bénéficiaire le titre de comte. Jean Georges de Beaulaincourt descend d'une lignée alliée depuis 400 ans aux plus illustres familles. Il a eu pour bisaïeul (arrière-grand-père) Antoine de Beaulaincourt, premier lieutenant au gouvernement de Lille, Douai, Orchies, (Flandre wallonne), créé en 1530 par Charles Quint, premier roi d'armes de l'ordre de la Toison d'or, et comme tel chargé par Charles Quint de porter en France à Henri II, le collier de l'ordre de Saint-Michel, et d'aller à Nancy, y prendre et faire porter au Luxembourg le corps de Charles, duc de Bourgogne (Charles le Téméraire)[22].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    Labeuvrière était membre de la communauté d'agglomération de l'Artois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[23], la communauté d'agglomération de l'Artois fusionne avec la communauté de communes Artois-Lys et la communauté de communes Artois-Flandres, formant, le , la Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane, conformément à l'arrêté préfectoral du [24], dont est désormais membre la commune.

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Béthune, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée au canton de Béthune-Sud[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Béthune

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 Louis Blondel PCF
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Michel Maillet
    mars 2008 mai 2020 Michel Leroy[26] - [27] - [28]
    mai 2020 En cours
    (au 29 janvier 2021)
    Jacky Bertier Ouvrier qualifié[29] - [30]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2020, la commune comptait 1 662 habitants[Note 3], en diminution de 3,09 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    587549633691769763753723700
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6797207467779019149541 0081 078
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1871 3301 4471 6681 6481 6701 5711 6222 006
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 1692 0671 7021 7141 7021 7101 6511 6431 695
    2017 2020 - - - - - - -
    1 6451 662-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 796 hommes pour 849 femmes, soit un taux de 51,61 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    0,7
    4,1
    75-89 ans
    6,4
    17,6
    60-74 ans
    18,2
    22,7
    45-59 ans
    19,8
    20,7
    30-44 ans
    22,2
    13,8
    15-29 ans
    14,0
    21,0
    0-14 ans
    18,7
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'ancienne prévoté de Labeuvrière - une vue du mur d'enceinte et de l'église
      L'ancienne prévoté de Labeuvrière - une vue du mur d'enceinte et de l'église
    • L'ancienne prévôté.
      L'ancienne prévôté.
    • L'entrée du cimetière militaire britannique.
      L'entrée du cimetière militaire britannique.
    • Le cimetière militaire britannique.
      Le cimetière militaire britannique.
    • La chapelle votive de Sainte-Christine.
      La chapelle votive de Sainte-Christine.

    Personnalités liées à la commune

    Le portrait de Sainte Christine, vitrail de la chapelle votive de la ville
    • Christine de Bolsène : Vierge et martyre chrétienne de la fin du IIIe siècle et du début du IVe siècle[41]. Ses reliques sont présentes dans l'église du village depuis le XIe siècle[40]. Une chapelle votive a été construite près de la source miraculeuse qui lui est dédiée[40].
    • Jean Vincent (1930-2013), footballeur international puis entraîneur, né dans la commune.

    Héraldique

    Blason de Labeuvrière Blason
    D'hermine à deux flèches d'azur passée en sautoir, les fers à dextre[42].
    Détails
    Les flèches sont les attributs de Sainte Christine dont les reliques sont vénérées dans le village depuis le XIème siècle[43].
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Généralités

    • Maurice Brunel (préf. Jean Vincent), Histoire de Labeuvrière. Etude historique de Maurice Brunel, Chez l'auteur, , 204 p.

    Sur Sainte Christine et son lien avec Labeuvrière

    • F. Durut de La Beuvrière, Histoire de Sainte-Christine, Arras, Rousseau-Leroy,
    • Chanoine E.Occre, Sainte-Christine de Bolsène, Lethielleux,
      D'après Maurice Brunel, "E.Occre, né à Labeuvrière, archiprêtre de Calais, mort en invoquant Sainte Christine"
    • Chanoine François Gaquère, Sainte Christine, Patronne de Labeuvrière, Béthune, Imprimerie de l'Artois, , 36 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Clarence (E3640620 ) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Vieille Lys aval (E3640600 ) » (consulté le )
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Calonette (E3640750) » (consulté le )
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Becq (E3640670) » (consulté le )
    5. Journal officiel, page relative aux forêts de protection du Nord/Pas-de-Calais
    6. Classement par décret du 9 juillet 1984 portant création de la forêt de protection du Bois-d'Epinoy (Pas-de-Calais) JO 21-07-1984, p. 2379-2380.
    7. Les forêts de protection sur Légifrance
    8. « Projet de reconquête environnementale du Fossé d'Avesnes »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (Résumé non technique) ; Rapport final, SYMSAGEL, 21 octobre 2003, consulté 2010 08 01.
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 275.
    20. Stéphane Gendron, Animaux et noms de lieux, , p. 66.
    21. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
    22. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 60, lire en ligne.
    23. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    24. « Arrêté portant création de la communauté d’agglomération issue de la fusion de la communauté d’agglomération de Béthune BruayNoeux et Environs et des communautés de communes Artois-Flandres et Artois-Lys » [PDF], (consulté le )
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. « Labeuvrière: cinq listes et une campagne qui ne sort pas du village : En 2008, alors que le raturage était encore possible, Michel Leroy s’était retrouvé en ballotage, au premier tour, avec seulement trois élus contre six sièges décrochés par la liste conduite par Guy Ringard », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Mais le dépouillement ne sera pas forcément plus aisé puisque ce village qui compte un petit 1 200 électeurs compte cinq listes de 19 candidats, qui sont autant d’émations des deux listes d’il y a six ans ».
    27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Labeuvrière : Michel Leroy renfile l’écharpe de maire « avec émotion et fierté » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    28. « Projet des maires : Michel Leroy entend sécuriser les rues de Labeuvrière : En mars, Michel Leroy, qui siège au conseil municipal depuis 1973, a attaqué son second mandat de maire. Durant lequel il entend « appliquer le programme défendu pendant la campagne ». Mais avant ça, il revient sur les réalisations en cours. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    29. Alain Brasier, « Ancien adjoint, Jacky Bertier est devenu le maire de Labeuvrière : L’installation du nouveau conseil municipal a eu lieu samedi matin à la salle des fêtes de Labeuvrière. Jacky Bertier tête de liste « Ensemble » a été élu maire de la ville », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Lichel Leroy, le maire sortant battu le 15 mars va céder son fauteuil à Jacky Bertier, son ex-adjoint aux travaux (62,30 % des suffrages exprimés) ».
    30. Frédéric Guillout, « Labeuvrière : le maire «bon vivant» dévoile ses priorités : Figure locale et nouvellement élu, le maire Jacky Bertier confie ses ambitions », Nord Littoral,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Labeuvrière (62479) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    36. Notice no PA00108325, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Notice no PA00108324, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. La fiche de la base Mérimée est erronée. L'église est dédiée à Saint Pierre comme l'atteste l'historien Maurice Brunel et le site du diocèse d'Arras. La confusion provient de la présence des reliques de Sainte Christine dans l'église et de l'existence d'une ancienne église Sainte Christine à proximité. Cette dernière a été détruite pour construire l'actuelle église Saint Pierre vers 1783.
    39. Maurice Brunel, Histoire de Labeuvrière. Etude historique de Maurice Brunel., Chez l'auteur, , 204 p., p. 104
    40. Maurice Brunel, Histoire de Labeuvrière. Etude historique de Maurice Brunel., Chez l'auteur, , 204 p., p. 112
    41. Maurice Brunel, Histoire de Labeuvrière. Etude historique de Maurice Brunel., Chez l'auteur, , 204 p., p. 112-116
    42. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    43. Maurice Brunel, Histoire de Labeuvrière. Etude historique de Maurice Brunel., Chez l'auteur, , 204 p., p. 99-116
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