Chocques
Chocques est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Chocques | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | BĂ©thune | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Yvon Massart 2020-2026 |
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Code postal | 62920 | ||||
Code commune | 62224 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Chocquois | ||||
Population municipale |
2 821 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 355 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 32âČ 33âł nord, 2° 34âČ 26âł est | ||||
Altitude | Min. 18 m Max. 70 m |
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Superficie | 7,95 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | BĂ©thune (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de BĂ©thune | ||||
LĂ©gislatives | 9e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | chocques.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Chocquois.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.
GĂ©ographie
Localisation
La commune se situe Ă 6 km Ă l'ouest de BĂ©thune (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par plusieurs cours d'eau :
- la Clarence, un cours d'eau naturel de 33 km, qui prend sa source dans la commune de Sains-lĂšs-Pernes et se jette dans la Vieille Lys aval au niveau de la commune de Calonne-sur-la-Lys[1] - [2] ;
- le Grand Nocq, cours d'eau naturel de 11,26 km, qui prend sa source dans la commune, et se jette dans la Clarence au niveau de la commune de Calonne-sur-la-Lys[3] ;
- la Calonette, cours d'eau naturel de 3,92 km, qui prend sa source dans la commune de Lapugnoy, et se jette dans la Clarence au niveau de la commune[4]. La Calonette a pour affluent le Becq, cours d'eau naturel de 3,07 km, qui prend sa source dans la commune de LabeuvriĂšre[5] ;
- le ruisseau becq, cours d'eau naturel de 0,03 km, qui prend sa source dans la commune, et se jette dans la Clarence Ă©galement au niveau de la commune[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[7].
ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :
Urbanisme
Typologie
Chocques est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [10] - [11] - [12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[13] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14] - [15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16] - [17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (67,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (53,9 %), zones urbanisĂ©es (20,2 %), forĂȘts (10 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,8 %), prairies (3,2 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,4 %)[18].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[19].
Voies de communication
La commune est desservie par les routes départementales D 70 et D 943 reliant Saint-Omer et Lens et est proche (7 km) de la sortie no 6 de l'autoroute 26 reliant Calais à Troyes[20].
Transport ferroviaire
Sur la commune se trouve la gare de Chocques, située sur la ligne de ligne d'Arras à Dunkerque-Locale, desservie par des trains TER Hauts-de-France.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes ChiocÊ (1081) ; ChochÊ (1084-1099) ; Joches (1087) ; Coches (1100) ; JochÊ (1104) ; Keokes (1152) ; ChiochÊ (1157) ; ChiokÊ, Choches (1163) ; Cokes (1173) ; Ceokes (1176) ; Koches (1177) ; Choces (1178) ; Zoches (1181-1185) ; Coches (1184) ; ChekÊ (1190) ; ChocÊ, CheochÊ (vers 1190) ; Chokes (1202) ; Schokes (1203) ; Chockes (1220) ; Choques (1254) ; Coges (1286) ; Choqes (XIIIe siÚcle) ; Coques (1321) ; Chokes (1323) ; Choukes (1323) ; Choka (1334) ; Cocques (1429) ; Ceoques (1451) ; Chooques (1762)[21], Chocques (1793) et Choques, Chocques depuis 1801[22].
Histoire
Avant la Révolution française, Chocques est le siÚge d'une seigneurie, détenue au XIIIe siÚcle par un membre de la maison de Béthune[24].
Au moment de la Révolution, elle est dans les mains de Louis-Dominique-Eustache de Lencquesaing. Louis Dominique Eustache de Lancquesaing, seigneur de QuiestÚde, Laprée (chùteau de Laprée), Chocques, Meslau, né le , est écuyer, fils de Jean Jacques, écuyer, et de Marie Joseph Eugénie du Puich. Grand bailli d'épée héréditaire du bailliage de Saint-Omer, il est confirmé dans cette charge par lettres de provision du . Ancien capitaine au régiment de Navarre, il devient bourgeois de Lille par achat le , puis échevin de Lille en 1772 et 1773. Il meurt à Lille le . Il épouse à Lille le Marie Cécile Joseph Aronio (1734-1802). Elle est la fille de Philippe Louis Aronio, écuyer, seigneur de Lestrée, Heldinghe, bourgeois de Lille, et de Marie LucrÚce Joseph de Fourmestraux, dame du Hem. Marie Cécile Joseph nait à Lille en novembre 1734 (baptisée le ) et y meurt le . Elle est enterrée au cimetiÚre d'Esquermes[25].
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[22].
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Béthune.
Circonscriptions Ă©lectorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuviÚme circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[34].
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants sont appelés les Chocquois[35].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].
En 2020, la commune comptait 2 821 habitants[Note 6], en diminution de 5,34 % par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 34,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 25,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 397 hommes pour 1 444 femmes, soit un taux de 50,83 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'ancienne abbaye Saint-Jean-Baptiste de Chocques[41].
- L'Ă©glise Notre-Dame.
- La gare de Chocques.
- Le monument aux morts[42].
- Le Chocques Military Cemetery, cimetiĂšre militaire britannique de la PremiĂšre Guerre mondiale au lieu-dit les Basses Rues.
- L'Ă©glise.
- La gare.
Personnalités liées à la commune
- Arnoul de Chocques (XIe siĂšcle-1118), Patriarche de JĂ©rusalem, originaire de Chocques.
- Philippe Joseph Malbrancq (1750-1823), gĂ©nĂ©ral et Ă©crivain français de la RĂ©volution et de lâEmpire, nĂ© Ă Chocques.
- Charlie Pritchard (1882-1916), joueur de rugby Ă XV gallois, mort, durant la PremiĂšre Guerre mondiale, Ă Chocques.
- Alexander Buller Turner (en) (1893-1915), officier de l'Armée britannique, mort, durant la PremiÚre Guerre mondiale, à Chocques.
HĂ©raldique
Blason | D'argent à la barre de sinople chargée d'une merlette d'or à plomb[43]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Chocques », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Chocques » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la SaÎne). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Clarence (E3640620 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Vieille Lys aval (E3640600 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Grand Nocq (E3640640) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Calonette (E3640750) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Becq (E3640670) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau becq (E3641350) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « ZNIEFF 310013743 - Bois du Féru », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013745 - Bois de Lapugnoy », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- © les contributeurs dâOpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, BibliothĂšque nationale de France.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, vol. 2, GenÚve, Droz, (lire en ligne), p. 1215.
- André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 143-144, lire en ligne.
- Paul Denis du PĂ©age, « Recueil de gĂ©nĂ©alogies lilloises - tome I », Recueil de la sociĂ©tĂ© d'Ă©tudes de la province de Cambrai, vol. 12,â 1906-1909, p.206-207 (lire en ligne).
- Notice HECHTER Henri, version mise en ligne le 2 novembre 2010, derniĂšre modification le 14 octobre 2016
- Notice OBRY Florimond par Yves Le Maner, version mise en ligne le 30 novembre 2010, derniĂšre modification le 6 octobre 2013
- DĂ©cĂšs de Louis DELELIS survenu le 25 juin 1971 (article de journal)
- « Chocques : Yvon Massart dĂ©bute un troisiĂšme mandat face Ă une opposition qui se veut constructive », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- AĂŻcha Noui, « Les projets dâYvon Massart, maire de Chocques : « Le boulot de maire est un sacerdoce » : nombreuses qui incombent aux communes. Pour autant les projets avancent, mais Ă petits pas. La faute Ă la baisse des dotations de lâĂtat. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Isabelle Mastin, « Le conseil municipal de Chocques installĂ©, Yvon Massart part pour un quatriĂšme mandat : Ils Ă©taient deux candidats Ă briguer le fauteuil de maire de Chocques. Sans surprise, Yvon Massart lâa emportĂ© face Ă son opposant Alain HĂ©non. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chocques (62224) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
- Antoine-Alexandre-Joseph Gosse prieur d'Arrouaise -Histoire de l'abbaye et de l'ancienne congrégation des chanoines réguliers -1786 - imprimé par Léonard Danel à Lille - page 355 - archive de l'Université du Michigan - numérisé par Google Books
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).