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Chocques

Chocques est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Chocques
Chocques
La mairie.
Blason de Chocques
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Pas-de-Calais
Arrondissement BĂ©thune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Yvon Massart
2020-2026
Code postal 62920
Code commune 62224
DĂ©mographie
Gentilé Chocquois
Population
municipale
2 821 hab. (2020 en diminution de 5,34 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 355 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 32â€Č 33″ nord, 2° 34â€Č 26″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 70 m
Superficie 7,95 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction BĂ©thune
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de BĂ©thune
LĂ©gislatives 9e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Chocques
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Chocques
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Chocques
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Chocques
Liens
Site web chocques.fr

    Ses habitants sont appelés les Chocquois.

    La commune fait partie de la communautĂ© d'agglomĂ©ration de BĂ©thune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune se situe Ă  km Ă  l'ouest de BĂ©thune (chef-lieu d'arrondissement).

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par plusieurs cours d'eau :

    • la Clarence, un cours d'eau naturel de 33 km, qui prend sa source dans la commune de Sains-lĂšs-Pernes et se jette dans la Vieille Lys aval au niveau de la commune de Calonne-sur-la-Lys[1] - [2] ;
    • le Grand Nocq, cours d'eau naturel de 11,26 km, qui prend sa source dans la commune, et se jette dans la Clarence au niveau de la commune de Calonne-sur-la-Lys[3] ;
    • la Calonette, cours d'eau naturel de 3,92 km, qui prend sa source dans la commune de Lapugnoy, et se jette dans la Clarence au niveau de la commune[4]. La Calonette a pour affluent le Becq, cours d'eau naturel de 3,07 km, qui prend sa source dans la commune de LabeuvriĂšre[5] ;
    • le ruisseau becq, cours d'eau naturel de 0,03 km, qui prend sa source dans la commune, et se jette dans la Clarence Ă©galement au niveau de la commune[6].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[7].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 739 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,4 j

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :

    • le bois du FĂ©ru. Cette ZNIEFF prĂ©sente un caractĂšre assez peu boisĂ© permettant l’expression d’une flore et de vĂ©gĂ©tations de milieux ouverts[8] ;
    • le bois de Lapugnoy. Cette ZNIEFF est un ensemble boisĂ© sur une butte sablo-argileuse du Tertiaire[9].

    Urbanisme

    Typologie

    Chocques est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 4] - [10] - [11] - [12]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de BĂ©thune, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 94 communes[13] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de BĂ©thune dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (67,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (53,9 %), zones urbanisĂ©es (20,2 %), forĂȘts (10 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,8 %), prairies (3,2 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,4 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[19].

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes départementales D 70 et D 943 reliant Saint-Omer et Lens et est proche (km) de la sortie no 6 de l'autoroute 26 reliant Calais à Troyes[20].

    Transport ferroviaire

    Sur la commune se trouve la gare de Chocques, située sur la ligne de ligne d'Arras à Dunkerque-Locale, desservie par des trains TER Hauts-de-France.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes ChiocÊ (1081) ; ChochÊ (1084-1099) ; Joches (1087) ; Coches (1100) ; JochÊ (1104) ; Keokes (1152) ; ChiochÊ (1157) ; ChiokÊ, Choches (1163) ; Cokes (1173) ; Ceokes (1176) ; Koches (1177) ; Choces (1178) ; Zoches (1181-1185) ; Coches (1184) ; ChekÊ (1190) ; ChocÊ, CheochÊ (vers 1190) ; Chokes (1202) ; Schokes (1203) ; Chockes (1220) ; Choques (1254) ; Coges (1286) ; Choqes (XIIIe siÚcle) ; Coques (1321) ; Chokes (1323) ; Choukes (1323) ; Choka (1334) ; Cocques (1429) ; Ceoques (1451) ; Chooques (1762)[21], Chocques (1793) et Choques, Chocques depuis 1801[22].

    Pluriel de l'oïl picard choque « souche »[23].

    Histoire

    Avant la Révolution française, Chocques est le siÚge d'une seigneurie, détenue au XIIIe siÚcle par un membre de la maison de Béthune[24].

    Au moment de la Révolution, elle est dans les mains de Louis-Dominique-Eustache de Lencquesaing. Louis Dominique Eustache de Lancquesaing, seigneur de QuiestÚde, Laprée (chùteau de Laprée), Chocques, Meslau, né le , est écuyer, fils de Jean Jacques, écuyer, et de Marie Joseph Eugénie du Puich. Grand bailli d'épée héréditaire du bailliage de Saint-Omer, il est confirmé dans cette charge par lettres de provision du . Ancien capitaine au régiment de Navarre, il devient bourgeois de Lille par achat le , puis échevin de Lille en 1772 et 1773. Il meurt à Lille le . Il épouse à Lille le Marie Cécile Joseph Aronio (1734-1802). Elle est la fille de Philippe Louis Aronio, écuyer, seigneur de Lestrée, Heldinghe, bourgeois de Lille, et de Marie LucrÚce Joseph de Fourmestraux, dame du Hem. Marie Cécile Joseph nait à Lille en novembre 1734 (baptisée le ) et y meurt le . Elle est enterrée au cimetiÚre d'Esquermes[25].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[22].

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton de Béthune.

    Circonscriptions Ă©lectorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuviÚme circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    ca. 1874 Charles Maniez
    1893 1900 Edmond Haviez Brasseur
    Les données manquantes sont à compléter.
    1908 1912 Edmond Haviez Brasseur
    1912 1916 Louis Kinziger Commerçant
    1919 mai 1935 Henri Hechter[26] - [27] SFIO
    mai 1935 octobre 1939 Florimond Obry[28] PCF
    octobre 1939 ? Louis Kinziger Commerçant
    Président de la délégation spéciale
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1944 mars 1971 Louis Delelis[29] PCF Ancien ouvrier
    mars 1971 ? Victor Volant DVG MĂ©decin
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 24 mai 2020)
    Yvon Massart PS Employé retraité
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020[30] - [31] - [32]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[33]

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[34].

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants sont appelés les Chocquois[35].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].

    En 2020, la commune comptait 2 821 habitants[Note 6], en diminution de 5,34 % par rapport Ă  2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0311 0241 0601 1251 3151 3011 2881 3581 374
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4101 5291 6311 6581 7451 8761 8171 8671 766
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8351 9762 2292 6162 8333 0382 8853 0333 302
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    3 5073 7363 4473 2212 9902 9182 9622 9772 961
    2018 2020 - - - - - - -
    2 8412 821-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  34,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 25,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 1 397 hommes pour 1 444 femmes, soit un taux de 50,83 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,5 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,2
    6,2
    75-89 ans
    9,6
    17,5
    60-74 ans
    16,8
    19,9
    45-59 ans
    19,5
    19,4
    30-44 ans
    20,1
    18,5
    15-29 ans
    14,7
    18,0
    0-14 ans
    18,1
    Pyramide des ùges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Arnoul de Chocques (XIe siĂšcle-1118), Patriarche de JĂ©rusalem, originaire de Chocques.
    • Philippe Joseph Malbrancq (1750-1823), gĂ©nĂ©ral et Ă©crivain français de la RĂ©volution et de l’Empire, nĂ© Ă  Chocques.
    • Charlie Pritchard (1882-1916), joueur de rugby Ă  XV gallois, mort, durant la PremiĂšre Guerre mondiale, Ă  Chocques.
    • Alexander Buller Turner (en) (1893-1915), officier de l'ArmĂ©e britannique, mort, durant la PremiĂšre Guerre mondiale, Ă  Chocques.

    HĂ©raldique

    Blason de Chocques Blason
    D'argent à la barre de sinople chargée d'une merlette d'or à plomb[43].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la SaÎne). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Clarence (E3640620 ) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Vieille Lys aval (E3640600 ) » (consulté le )
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Grand Nocq (E3640640) » (consulté le )
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Calonette (E3640750) » (consulté le )
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Becq (E3640670) » (consulté le )
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau becq (E3641350) » (consulté le )
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    8. « ZNIEFF 310013743 - Bois du Féru », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « ZNIEFF 310013745 - Bois de Lapugnoy », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    20. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
    21. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, BibliothĂšque nationale de France.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    23. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, vol. 2, GenÚve, Droz, (lire en ligne), p. 1215.
    24. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 143-144, lire en ligne.
    25. Paul Denis du PĂ©age, « Recueil de gĂ©nĂ©alogies lilloises - tome I », Recueil de la sociĂ©tĂ© d'Ă©tudes de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.206-207 (lire en ligne).
    26. Notice HECHTER Henri, version mise en ligne le 2 novembre 2010, derniĂšre modification le 14 octobre 2016
    27. Notice OBRY Florimond par Yves Le Maner, version mise en ligne le 30 novembre 2010, derniĂšre modification le 6 octobre 2013
    28. DĂ©cĂšs de Louis DELELIS survenu le 25 juin 1971 (article de journal)
    29. « Chocques : Yvon Massart dĂ©bute un troisiĂšme mandat face Ă  une opposition qui se veut constructive », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    30. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    31. AĂŻcha Noui, « Les projets d’Yvon Massart, maire de Chocques : « Le boulot de maire est un sacerdoce » : nombreuses qui incombent aux communes. Pour autant les projets avancent, mais Ă  petits pas. La faute Ă  la baisse des dotations de l’État. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    32. Isabelle Mastin, « Le conseil municipal de Chocques installĂ©, Yvon Massart part pour un quatriĂšme mandat : Ils Ă©taient deux candidats Ă  briguer le fauteuil de maire de Chocques. Sans surprise, Yvon Massart l’a emportĂ© face Ă  son opposant Alain HĂ©non. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    33. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
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    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chocques (62224) », (consultĂ© le ).
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