Allouagne
Allouagne est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Allouagne | |||||
Vue panoramique depuis la via Francigena. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | BĂ©thune | ||||
Intercommunalité | CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Andre Hennebelle 2020-2026 |
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Code postal | 62157 | ||||
Code commune | 62023 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Poulouches Poulouches (patois) |
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Population municipale |
2 871 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 368 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 31âČ 52âł nord, 2° 30âČ 32âł est | ||||
Altitude | Min. 20 m Max. 100 m |
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Superficie | 7,81 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | BĂ©thune (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Lillers | ||||
LĂ©gislatives | 9e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | ville-allouagne.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Allouagnais.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.
GĂ©ographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[1].
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Zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le bois de Lapugnoy. Cette ZNIEFF est un ensemble boisé sur une butte sablo-argileuse du Tertiaire[2].
Urbanisme
Typologie
Allouagne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[6] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (78,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (77,9 %), zones urbanisĂ©es (21 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,1 %)[11].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[12].
Voies de communication et transports
La commune est traversée, dans sa partie nord, par l'autoroute A 26, la route départementale 943 et la voie ferrée de la ligne d'Arras à Dunkerque-Locale.
Toponymie
D'un nom de personne germanique Aslannus + -ia[13].
silva Aslonias (vers 1000), Allouagnes (1801).
Histoire
Allouagne était avant la Révolution française, le siÚge d'une seigneurie, détenue notamment par des membres de la famille d'Assignies[14].
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Lillers.
Circonscriptions Ă©lectorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuviÚme circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[19].
Population et société
DĂ©mographie
Ses habitants sont appelés les Allouagnais[20].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[22].
En 2020, la commune comptait 2 871 habitants[Note 6], en diminution de 3,24 % par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 33,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 26,0 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 415 hommes pour 1 491 femmes, soit un taux de 51,31 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs
Dans la commune, on trouve de nombreux kilomÚtres de chemins balisés, appréciés et repris dans les rallyes pédestres :
- le sentier du moulin Ă Pano (Ă panneaux), autour de l'ancien moulin Ă vent de Burbure, dont la mention est faite dans les albums de CroĂż.
- la via Francigena, itinéraire pédestre et cyclable (EuroVelo 5).
Ăconomie
Revenus de la population et fiscalité
En 2019, dans la commune, la part des ménages fiscaux imposés est de 55 % (57,6 % en France métropolitaine). Il y a 1914 ménages fiscaux qui comprennent 2939 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 7] de 20 660 euros, soit supérieur au revenu de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[27] - [28].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Léger, garde un reliquaire contenant un éclat de la pierre tombale de Lazare, sur laquelle Jésus pleura. Cette relique fut rapportée par Godefroy de Bouillon, de retour de croisade, à sa nourrice. Durant des siÚcles la paroisse organisa chaque année la neuvaine à la Sainte-Larme qui est, aujourd'hui, quelque peu tombée en désuétude.
- L'actuelle mairie, dit chùteau d'Alincourt, ancienne demeure de la famille Delorne d'Alincourt, dont deux membres ont été maires du village.
- Le monument aux morts[29].
L'ancienne brasserie des HouillĂšres
Cette brasserie, aujourd'hui désaffectée, a été construite en 1929. Parmi les biÚres fabriquées, il y eut la bock des HouillÚres, la DUVA (Duquesne-Vandermersh) et la fameuse Spéciale 60.
PropriĂ©taire de la famille Duquesne essentiellement, la brasserie est dirigĂ©e successivement par Ămile Duquesne, qui fut maire d'Allouagne, puis son fils Paul Duquesne, puis ses petits-fils Pierre, Alphonse et Ămile ainsi que leur cousin Alphonse Vandermersh et cela jusque dans les annĂ©es 1970. Leurs camions approvisionnaient les cafĂ©s ainsi que des particuliers de la rĂ©gion.
Le maĂźtre-brasseur fut pendant plus de 40 ans Charles Deprez, assistĂ© notamment par Georges Devos qui lui succĂ©da Ă la fin des annĂ©es 1960. Les parents de Charles Deprez tenaient le CafĂ© du Centre qui se trouvait Ă l'angle de la rue Paul-Vaillant-Couturier et la rue du CimetiĂšre, face Ă l'ancienne salle des fĂȘtes, et qui proposait toutes les boissons fabriquĂ©es et proposĂ©es par la brasserie. Charles Deprez, grĂące Ă sa rĂ©putation, a pu accueillir en stage entre autres Patrice Motte, le fils des propriĂ©taires de la fameuse brasserie Motte-Cordonnier, et le petit-fils du gĂ©nĂ©ral de Castelnau.
Le fils de Monsieur Alphonse (Vandermersh) a édité une brochure sur les brasseries d'Allouagne, dans laquelle il raconte aussi en partie l'histoire de la brasserie Brévart, de taille plus modeste. Deux des patrons de la brasserie Brévart ont été maires d'Allouagne, Benoßt, le pÚre et Bernard, le fils.
- Vestige de la brasserie, blason sis sur le mur d'enceinte.
- Monument aux morts d'Allouagne.
- L'Ă©glise Saint-LĂ©ger.
- Chapelle Notre Dame-de-Lourdes.
Seigneurs d'Allouagne
- Antoine Ier d'Assignies, (famille d'Assignies), chevalier, avoué de Thérouanne, seigneur d'Allouagne, Venchy, mestre de camp de cavalerie sous Charles Quint.
- Antoine II d'Assignies, fils d'Antoine Ier, chevalier, seigneur d'Allouagne, lieutenant général des hommes d'armes des Pays-bas[14].
- Jean-Baptiste d'Assignies, chevalier, seigneur de Venchy, Allouagne, Bellefontaine, Escouflons, Saint-Martin-sur-Cogel, avoué de Thérouanne, jouit sans compter la terre de Venchy, d'un revenu de 15 000 livres de rentes. En octobre 1676, la terre de Venchy est érigée en marquisat à son profit : Venvhy représente 281 mesures (environ 126 hectares), de terres labourables, prairoes, pùtures, un moulin. Plusieurs fiefs en relÚvent, elle possÚde toute la justice seigneuriale et procure un revenu de 3000 livres[14].
Autres personnages
- Charles-Joseph Delrue, né en 1758, homme politique.
- Oscar Deprez (1923-1947). Jeune rĂ©sistant pendant la guerre, entre Ă l'Ă©cole des enfants de troupe Ă Tulle. Jeune aspirant en Indochine, ses actions lui valent des citations signĂ©es par le gĂ©nĂ©ral Salan. Est tuĂ© en , Ă la tĂȘte de sa section quelques semaines avant son retour en France. Il est enterrĂ© en Indochine.
- Jules Pruvost, l'un des fondateurs avec Jules Catoire et Joseph Sauty du syndicat libre CFTC. C'est chez ses parents, au café L'Espérance qu'eût lieu la premiÚre réunion fondatrice du syndicat.
- Léon Carnez (1944-2007). Ancien mineur décédé en Haute-Savoie (74).
- Georges Richard (1893 à Paris - 1963 à Nice), élu maire d'Allouagne en 1919 est député du Pas-de-Calais (1919 à 1924), puis du Loir-et-Cher (1924 à 1932), trésorier-payeur général des pays d'outre-mer (Djibouti, Laos et Togo). Il est nommé maire du Burgaud en 1944, et termine sa carriÚre en 1951 comme trésorier général de l'Indochine. Il est de nouveau élu maire d'Allouagne en 1953. Il est médaillé de la résistance et chevalier de la Légion d'honneur.
- Ătienne LaisnĂ©, athlĂšte finaliste aux 50 km marche des Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 1936, Ă Berlin.
HĂ©raldique
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Les armes d'Allouagne se blasonnent ainsi : Dâazur Ă la fasce crĂ©nelĂ©e dâor de quatre piĂšces[30]. |
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Allouagne », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Allouagne » sur Géoportail.
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- Le type 3 dĂ©gradĂ© affecte lâensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallĂ©e moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallĂ©e de la SaĂŽne). Le climat reste ocĂ©anique mais avec de belles dĂ©gradations. Les tempĂ©ratures sont intermĂ©diaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă -5°C). Les prĂ©cipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en Ă©tĂ©, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportĂ©es Ă lâensemble français. La variabilitĂ© interannuelle des prĂ©cipitations est minimale tandis que celle des tempĂ©ratures est Ă©levĂ©e (Source : CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- DĂ©finition de l'unitĂ© de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de mĂ©nages de taille ou de composition diffĂ©rente, on divise le revenu par le nombre dâunitĂ©s de consommation (UC). Celles-ci sont gĂ©nĂ©ralement calculĂ©es de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du mĂ©nage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette Ă©chelle dâĂ©quivalence (dite de lâOCE) tient compte des Ă©conomies dâĂ©chelle au sein du mĂ©nage. En effet, les besoins d'un mĂ©nage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nĂ©cessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le mĂȘme niveau de vie.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « ZNIEFF 310013745 - Bois de Lapugnoy », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest NÚgre
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 48, lire en ligne.
- « Allouagne : AndrĂ© Hennebelle succĂšde Ă Daniel RougĂ© », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=26989 »
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Allouagne (62023) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Banque du Blason