Marles-les-Mines
Marles-les-Mines est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Marles-les-Mines | |||||
Vue panoramique sur Marles-les-Mines. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Éric Edouard 2020-2026 |
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Code postal | 62540 | ||||
Code commune | 62555 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Marlésiens | ||||
Population municipale |
5 524 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 1 214 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 30′ 10″ nord, 2° 30′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 99 m |
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Superficie | 4,55 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Auchel - Lillers (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auchel | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | ville-marleslesmines.fr | ||||
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la Clarence, un cours d'eau naturel de 33 km, qui prend sa source dans la commune de Sains-lès-Pernes et se jette dans la Vieille Lys aval au niveau de la commune de Calonne-sur-la-Lys[1] - [2].
Urbanisme
Typologie
Marles-les-Mines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[6] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (63,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (49,6 %), terres arables (23,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,2 %), mines, décharges et chantiers (5,4 %), prairies (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Malnæ (vers 1036) ; Malnes (1152) ; Mares (1165) ; Malenes (1179) ; Masnes (1202) ; Maslene, Mallenes, Malesnes (1202) ; Mernes (1235) ; Marle, Marles (1443) ; Marnes (1515)[13].
Toponyme, d'origine gauloise, de l'oïl marle, d'abord au singulier, marne « terre argilo-calcaire »[14]. « Les marliéres ou marniéres ont été parfois des lieux où l'ont tirait la marne pour amender les terres, parfois de lieux d'extraction d'une terre à poterie »[15].
En français, la préposition « lès » signifie « près de ». D'usage vieilli, elle n'est guère plus rencontrée que dans les toponymes, plus particulièrement ceux de localités. Elle permet de signifier la proximité d'un lieu géographique. Ici les mines et les Corons Saint-Léonard de la compagnie des mines de Marles.
Histoire
En , la terre de Marles est érigée en comté, unie à celle de Fléchin, pour porter le nom de comté de Marles, par lettres données à Bruxelles[16],
Le comté a été maintenu par Louis XIV au profit de la famille Beaulaincourt, comte de Marles en 1696 en unissant les terres de Marles et de la Beuvrière (sur Labeuvrière)[17].
- Adrien de Noyelles, seigneur de Marles, Fléchin, Corroy, baron de Rossignol, chevalier, conseiller d'État et de guerre des archiducs, (gouverneurs des Pays-Bas espagnols), gouverneur d'Arras, chef des domaines et finances, obtient par lettres données à Bruxelles en , que la terre de Marles soit érigée en comté, unie à celle de Fléchin, pour porter le nom de comté de Marles[16].
- Jean Georges de Beaulaincourt, seigneur de Bellenville, Barlet, la Beuvrière achète Marles en 1692 et en est le seigneur. Il demande au roi Louis XIV que la terre de Marles soit réunie à celle de la Beuvrière, avec les fiefs et seigneuries qui en dépendent et qui relèvent du roi du fait du château de Béthune, afin qu'elles forment un comté. Des lettres données à Versailles en février 1696 lui accordent ce qu'il a souhaité et il devient comte de Marles. Jean Georges de Beaulaincourt descend d'une lignée alliée depuis 400 ans aux plus illustres familles. Il a eu pour bisaïeul (arrière-grand-père) Antoine de Beaulaincourt, premier lieutenant au gouvernement de Lille, Douai, Orchies, crée en 1530 par Charles Quint,premier roi d'armes de l'ordre de la Toison d'or, et comme tel chargé par Charles Quint de porter en France à Henri II, le collier de l'ordre de Saint-Michel, et d'aller à Nancy, y prendre et faire porter au Luxembourg le corps de Charles, duc de Bourgogne (Charles le Téméraire). Il a pour frères :
- Georges Philippe de Beaulaincourt, seigneur de La Motte, lieutenant au régiment de Bassigny
- Charles François de Beauffort, seigneur d'Esrevillers, officier au régiment du Beauvaisis, tué au siège de Mayence
- Albert de Beaulaincourt, seigneur de Bayeux, lieutenant au régiment royal Wallon, mort à Nice des suites d'un coup de fusil reçu en combattant dans les montagnes du Piémont[17].
Émile Rainbeaux fonde le la Compagnie des mines de Marles (la présence de houille s'est avérée après quelques sondages en 1852).
En 1861, à la mort de son père, c'est Firmin Rainbeaux qui exploite les gisements de charbon.
En 1904, la Compagnie des mines compte 5 360 ouvriers, dont 4 209 travailleurs de fond.
Le , par décret officiel, Marles devient Marles-les-Mines.
La ville a connu une forte immigration polonaise dans les années 1920. L'exemple vient de la Compagnie des mines de Bruay, épargnée par l'occupation allemande pendant la guerre de 1914-1918, qui a extrait 4,5 millions de tonnes de charbon dès 1917 contre 2 millions en 1914, puis recruté la première des mineurs westphaliens[18], habitués au marteau-piqueur[19], afin de doper la productivité. Elle leur a bâti 1 600 maisons en trois ans, après la conférence gouvernementale franco-polonaise du [19].
Le témoignage d'Édouard Fiba, recueilli par la Cité nationale de l'immigration (www.histoire-immigration.fr, cAtelier du Bruit/CNHI) montre la forte présence polonaise dans la ville « Ici, on aurait dit la Pologne en France » et leur intégration progressive « À Marles, la polonité s'est estompée progressivement ». Pour leur permettre d'arriver en famille, 3 000 maisons ont été bâties, par la Compagnie des mines de Marles[20].
Lors de la crise économique des années 1930, plusieurs expulsions de Polonais grévistes dans les mines ont été effectuées par les autorités :« Mais quand la crise s'est déclenchée, avec le chômage qui montait, je m'en souviens bien, en 1932, 33, 34, ils ont commencé à expulser les Polonais qui leur plaisaient pas. Pour avoir fait grève, pour ceci ou cela. »
Politique et administration
Élections municipales et communautaires
Depuis la Seconde Guerre mondiale, Marles-les-Mines n'a connu que des maires communistes[21].
Marcel Coffre, maire depuis 1992, annonce mettre fin à sa carrière politique et n'est pas candidat en 2020[21].
Le premier tour des élections municipales de 2020 se déroule le . Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde de trois mois la tenue du second tour, qui a lieu le . Au premier tour, Éric Édouard (ex-PS) et Nathalie Laisné (PCF), adjoints, ont chacun monté leur liste estampillée divers gauche. Ils obtiennent respectivement 39 et 14,5 % des suffrages exprimés. Le Rassemblement national présente Jérôme Leroy qui obtient 32 % des voix, et fusionne au second tour avec la liste d'Irène Lignier, arrivée quatrième avec 14,4 % (qui comprenant un adjoint sortant). La liste prend alors l'étiquette divers[21].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2020, la commune comptait 5 524 habitants[Note 3], en diminution de 2,95 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Il est également important de constater que l'évolution de la population suit également l'évolution de l'exploitation minière, notamment dans la fosse de Marles-les-Mines. Cette importante augmentation est due à l'arrivée massive d'immigrants polonais. Cette immigration a d'ailleurs laissé des traces dans la ville, puisque le drapeau polonais flotte aujourd'hui encore sur la place de l'Hôtel-de-Ville.
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 617 hommes pour 2 944 femmes, soit un taux de 52,94 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine mondial
Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 101 de Marles-les-Mines est formé par le chevalement de la fosse no 2 des mines de Marles[34] - [35].
Monument historique
- L'ancienne fosse Saint-Émile, chevalement du puits no 2 avec les parties anciennes du bâtiment de la machine d'extraction, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [36]. Ce monument abrite désormais un musée consacré à l'exploitation minière au sein de la ville.
Autres lieux et monuments
- La gare de Vis-Ã -Marles.
- Le monument aux morts près de la mairie, ancien hôtel de ville[37].
- L'église Saint-Vaast[38].
Personnalités liées à la commune
- Émile Zola (1840-1902), écrivain : il y a vécu lors de l'écriture de son roman Germinal.
- Édouard Pignon (1905-1993), peintre, né à Marles-les-Mines.
- Apo Lazaridès (1925-1998), cycliste sur route français, né à Marles-les-Mines.
- Robert Tyrakowski (1944-2008), footballeur et entraîneur français, né à Marles-les-Mines.
- Françoise Kucheida (1946-), chanteuse, née à Marles-les-Mines.
- Freddy Michalski (1946-2020), traducteur de romans policiers, né à Marles-les-Mines.
- Patrick Varetz (1958-), écrivain, né à Marles-les-Mines.
Héraldique
Blason | D'azur à deux léopards assis d'or, adossés et les queues passées en sautoir, surmontés d'une couronne du même[39]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Marles-les-Mines » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Clarence (E3640620 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Vieille Lys aval (E3640600 ) » (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Auchel - Lillers », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 246.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 255.
- Stéphane Gendron - 2003 - Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 219.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 221, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 60, lire en ligne.
- "De la Petite Pologne à l’intégration" sur l'Echo du 62
- "Polonais méconnus: histoire des travailleurs immigrés en France dans l'entre-deux guerres", par Janine Ponty, page 62
- « "De la discrimination à l’intégration" », Echo62, .
- R. M., « Treize villes où tout peut arriver », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24268,‎ , p. 4-5.
- Sarah Binet, « Marles-les-Mines: la mutation du centre-ville a commencé par les friches : Cinq mois avant les élections municipales, nous faisons le bilan avec les maires de nos communes. Rencontre avec Marcel Coffre, maire communiste de Marles-les-Mines. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Marles-les-Mines : Marcel Coffre, maire, se dit prêt à se remettre au travail : Marcel Coffre, à peine l’écharpe posée sur l’épaule, se montrait très fier de cette confiance renouvelée. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Reno Vatain, « Marles-les-Mines: pour son dernier mandat, Marcel Coffre entend boucler les dossiers en cours : Cinquième et dernier mandat, pour Marcel Coffre, qui cédera ensuite la place. En attendant, il s’agit de boucler les dossiers en cours. Et si possible, concrétiser le projet de salle des fêtes en fin de mandat. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marles-les-Mines (62555) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Bassin minier du Nord-Pas de Calais », sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
- « ancienne fosse Saint-Émile », notice no PA00108470, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « L'église Saint-Vaast », sur le site de la commune (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).