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Fosse n° 2 des mines de Marles

La fosse no 2 dite Saint-Émile ou Émile Rainbeaux de la Compagnie des mines de Marles est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situĂ© Ă  Marles-les-Mines. Un puits no 1 est foncĂ© Ă  partir de 1853, l'eau dĂ©sagrège le terrain et le cuvelage s'effondre en juin 1854. Un puits no 2 est entrepris Ă  cinquante mètres au sud-est Ă  partir de , et bien que le passage du niveau d'eau prĂ©sente de grande difficultĂ©s, la base du cuvelage est Ă©tablie le 15 octobre 1856 dans le terrain houiller Ă  la profondeur de 83 mètres. La fosse commence Ă  produire en 1858, et est rapidement très productive.

Fosse no 2 des mines de Marles dite Saint-Émile ou Émile Rainbeaux
La fosse no 2 en 2011.
La fosse no 2 en 2011.
Avaleresse n° 1
Coordonnées 50,503904, 2,506276
Début du fonçage 1853
Profondeur 55 mètres
Remblaiement ou serrement juin 1854
Puits n° 2
Coordonnées 50,503567, 2,506733[BRGM 1]
Début du fonçage et 1907
Mise en service 1858 (abandon de 1866 Ă  1907)
1917
Profondeur 506 mètres
Étages des accrochages 175 et 285 mètres
Arrêt 1974 (service et aérage)
Remblaiement ou serrement 1974
Administration
Pays France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Pas-de-Calais
Commune Marles-les-Mines
Caractéristiques
Compagnie Compagnie des mines de Marles
Groupe Groupe d'Auchel
Groupe d'Auchel-Bruay
Unité de production UP de Bruay
Ressources Houille
Concession Marles
Protection Logo monument historique Inscrit MH (1992)
Patrimoine mondial Patrimoine mondial (2012)[note 1]

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Fosse no 2 des mines de Marles dite Saint-Émile ou Émile Rainbeaux
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Fosse no 2 des mines de Marles dite Saint-Émile ou Émile Rainbeaux

Le , Ă  huit heures du matin, un fort mouvement se manifeste dans le cuvelage, vers la profondeur de 56 mètres. Ă€ neuf heures et demie, trois pièces de cuvelage se dĂ©tachent, livrant passage Ă  un torrent d'eau. Les travaux de consolidation entrepris deviennent de moins en moins efficaces. Dans la nuit du 2 ou 3 mai, toutes les maçonneries d'alentour, une partie du bâtiment des chaudières, situĂ© Ă  cĂ´tĂ©, ont Ă©tĂ© renversĂ©es ; le bâtiment en planches du puits s'Ă©croule ; la charpente des molettes, le cylindre d'Ă©puisement et tous les engins, placĂ©s au-dessous, disparaissent en quelques instants. En mĂŞme temps, un vaste cratère d'Ă©boulement de trente Ă  35 mètres de diamètre et de dix Ă  onze mètres de profondeur s'ouvre dans le sol autour de l'axe du puits. Le sol lui-mĂŞme se fissure tout autour de ce cratère jusqu'Ă  dix ou quinze mètres au-delĂ  de ses bords. Une demi-heure environ, Ă  la suite de l'Ă©boulement de la tĂŞte du puits, le bâtiment de la machine d'extraction s'Ă©croule Ă  son tour presque complètement, en dĂ©terminant la rupture d'un certain nombre de pièces de cette machine, telles que les colonnes, les entablements et les tuyaux Ă  vapeur.

La fosse est alors laissĂ©e Ă  l'abandon, aucun procĂ©dĂ© connu ne pouvant la remettre en Ă©tat de marche. En 1875, un certain nombre d'intĂ©ressĂ©s de la sociĂ©tĂ© veulent rouvrir la fosse, mais la rĂ©ponse des ingĂ©nieurs est complètement dĂ©favorable Ă  la reprise du puits. Sur les 2 990 hectares de sa concession, 840 hectares sont abandonnĂ©s, par peur des venues d'eau dans les chantiers des autres fosses. En 1907, la Compagnie de Marles reprend la fosse, grâce aux nouveaux procĂ©dĂ©s de la technique, la fosse est de nouveau fonctionnelle en 1908, mais elle est laissĂ©e en sommeil jusqu'en 1917, entretemps l'aĂ©rage de la fosse no 2 bis nouvellement crĂ©Ă©e Ă  830 mètres au sud-sud-ouest. Un puits no 2 ter lui est ajoutĂ© Ă  partir de 1917. La fosse no 2 assure ensuite le service et l'aĂ©rage.

La Compagnie des mines de Marles est nationalisĂ©e en 1946, et intègre le Groupe d'Auchel. Pendant les travaux de modernisation de la fosse no 2 bis - 2 ter, la fosse no 2 est remise en extraction. La concentration remonte sa dernière berline le , tous les puits sont remblayĂ©s cette annĂ©e-lĂ , y compris le no 2, profond de 506 mètres. Son chevalement et sa machine d'extraction ont Ă©tĂ© conservĂ©s.

Le carreau de fosse est aménagé en espace vert. Le chevalement du puits no 2 et les parties anciennes du bâtiment de la machine d'extraction sont inscrits aux monuments historiques depuis le 6 mai 1992. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise la tête de puits no 2. Le chevalement a été classé le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l'Unesco.

La première fosse

La fosse no 1 est commencĂ©e Ă  Marles-les-Mines en 1853, au diamètre de 4,50 mètres[A 1]. La nappe d'eau est rencontrĂ©e Ă  la profondeur de 14 mètres. Le banc d'argile sableuse est assez dur, mais il se dĂ©sagrège au contact de l'eau[L 1]. Ă€ la profondeur de 55 mètres, l'eau dĂ©sagrège le terrain et le cuvelage s'effondre[A 1], en juin 1854[I 1] - [L 1].

La seconde fosse

Fonçage

Une seconde fosse est alors creusĂ©e Ă  cinquante mètres au sud-est de la première en [SA 1]. L'exĂ©cution des travaux est confiĂ©e Ă  LĂ©onard Micha, sous les ordres de Gabriel GlĂ©pin[L 1]. Le passage du niveau d'eau prĂ©sente d'Ă©normes difficultĂ©s, mais la base du cuvelage est Ă©tablie le 15 octobre 1856 dans le terrain houiller[A 1] Ă  la profondeur de 83 mètres[JC 1]. La venue d'eau maximale a atteint jusqu'Ă  8 600 hectolitres Ă  l'heure. Le puits est cuvelĂ© de 8,20 mètres de profondeur jusqu'Ă  la tĂŞte du terrain houiller[SA 1]. L'orifice du puits est Ă  l'altitude de 55 mètres[JC 1]. Le passage du niveau d'eau a coĂ»tĂ© 314 758,47 francs, soit 4 210,18 francs le mètre[C 1].

La fosse est nommée Saint-Émile, en l'honneur d'Émile Rainbeaux, le directeur de la Compagnie de Marles[L 1].

  • SchĂ©mas dĂ©taillĂ©s
  • Vue latĂ©rale du chevalement.
    Vue latérale du chevalement.
  • Vue faciale du chevalement.
    Vue faciale du chevalement.
  • Diamètre du puits, cuvelage, et outillage.
    Diamètre du puits, cuvelage, et outillage.
  • Pièces de cuvelage.
    Pièces de cuvelage.
  • Pièces dans le puits.
    Pièces dans le puits.

Exploitation

La fosse no 2 vers 1865.

La fosse commence Ă  extraire en 1858[C 1]. La production est de 62 487 tonnes en 1865, toutefois, les venues d'eau sont très importantes[A 1]. Le puits est profond de 231 mètres[SA 1]. Les accrochages sont situĂ©s Ă  175 et 225 mètres[SA 1]. Les annĂ©es passent, et l'eau est toujours aussi prĂ©sente dans les travaux, faute de moyens, elle est difficile Ă  combattre[L 1].

Éboulement

Le 28 avril 1866, Ă  huit heures du matin, on s'aperçoit qu'un fort mouvement se manifeste dans le cuvelage, vers la profondeur de 56 mètres ; deux pans de cuvelage sont repoussĂ©s notablement vers l'intĂ©rieur sur une hauteur de cinq mètres[C 2]. L'ingĂ©nieur fait arrĂŞter le trait, car l'une des cages ne passe plus qu'en frottant très fort, remonter les ouvriers et exĂ©cuter des travaux de consolidation au moyen de longues clames verticales et d'Ă©querres aux angles[C 2] - [C 1].

La fosse éboulée.

À neuf heures et demie, trois pièces de cuvelage se détachent, livrant passage à un torrent d'eau. Le terrain inconsistant est entrainé ; il se forme de grands vides derrière le cuvelage qui se desserre et se déforme de plus en plus, d'heure en heure, et les travaux de consolidation qu'on entreprend deviennent de moins en moins utiles[C 2]. Dès le 29, le puits est considéré comme perdu. Gabriel Glépin, arrivé le soir, trouve les clames relevées et recourbées, les guides des cages repoussés par la chute des pièces de cuvelage. Il conseille d'arracher ces clames et de couper les guides, de manière à pouvoir travailler à la réparation du cuvelage[C 2]. Toute la nuit se passe sans pouvoir parvenir à détacher les clames. Le lendemain matin, le puits n'est pas encore accessible au-dessous des vides qu'il est si important d'obstruer pour arrêter l'écroulement du terrain[C 2].

On essaye d'arriver à ce résultat par le goyau. Mais le vide, derrière le cuvelage, s'agrandissant de plus en plus, les cadres se mettent en mouvement, et le 30, vers onze heures et demie du matin, de nouvelles chutes de cuvelage ont lieu, et les ouvriers, occupés dans le puits, n'échappent que par miracle[C 2]. La fosse continue à se décuveler progressivement et par intermittences plus ou moins prolongées. Vers trois heures et demie de l'après-midi, Gabriel Glépin descend avec le maître porion par le tonneau ; il peut voir la tête des éboulements, reconnaître que le cuvelage inférieur a disparu presque complètement[C 2], que des excavations considérables se sont produites, et qu'aucun travail humain n'est possible[C 3]. L'éboulement de la fosse est inévitable.

Cet Ă©boulement se produit complètement en effet, dans la nuit du 2 ou 3 mai[C 3]. Toutes les maçonneries d'alentour, une partie du bâtiment des chaudières, situĂ© Ă  cĂ´tĂ©, ont Ă©tĂ© renversĂ©es ; le bâtiment en planches du puits s'Ă©croule ; la charpente des molettes, le cylindre d'Ă©puisement et tous les engins, placĂ©s au-dessous, disparaissent en quelques instants. En mĂŞme temps, un vaste cratère d'Ă©boulement de trente Ă  35 mètres de diamètre et de dix Ă  onze mètres de profondeur s'ouvre dans le sol autour de l'axe du puits[C 3]. Le sol lui-mĂŞme se fissure tout autour de ce cratère jusqu'Ă  dix ou quinze mètres au-delĂ  de ses bords. Une demi-heure environ, Ă  la suite de l'Ă©boulement de la tĂŞte du puits, le bâtiment de la machine d'extraction, situĂ© Ă  une dizaine de mètres environ par derrière, s'Ă©croule Ă  son tour presque complètement, en dĂ©terminant la rupture d'un certain nombre de pièces de cette machine, telles que les colonnes, les entablements et les tuyaux Ă  vapeur[1] - [C 3].

Le renforcement des terrains en 1907.
Le chevalement de fonçage.
Le chevalement définitif, en 1908.

Abandon

La perte du puits de Marles, oĂą l'on n'a eu Ă  dĂ©plorer la mort de personne, est un vĂ©ritable dĂ©sastre pour les Compagnies des 70 et des 30 %[C 3]. Cependant, des circonstances favorables leur permettent d'y remĂ©dier promptement, puisque la fosse no 3 est mise en exploitation, et les mineurs y sont mutĂ©s. Mais ce n'est pas seulement un puits productif qui est anĂ©anti, c'est encore une partie importante de la concession, par suite de ses richesses, qui est stĂ©rilisĂ©e, par la nĂ©cessitĂ© de laisser inexploitĂ©s, non seulement le champ de ce puits, mais des espontes considĂ©rables pour l'isoler des autres travaux[C 3]. On abandonne ainsi 840 hectares sur les 2 990 que comprend la concession, soit plus du quart, et dans une partie très productive[C 3].

Aussi, dès 1867, Gabriel Glépin propose de relever et de rétablir complètement le puits éboulé[C 3]. Il indique même les moyens à employer, tout en ne se dissimulant pas les immenses difficultés qu'une telle reconstruction aurait présenté[C 3], difficultés que, selon lui, l'art des mines saurait surmonter. Il n'a pas été donné suite alors à ce projet[C 4].

En 1875, un certain nombre d'intéressés de la Société d'exploitation soulèvent à nouveau la question de reprise de la fosse écroulée de Marles, à cause des dangers que les travaux inondés pourraient faire courir, soit aux travaux de cette concession, soit à ceux des concessions voisines[C 4]. Cette question a été soumise à une commission d'ingénieurs composée de Messieurs de Clercq, de Bracquemont, Alayrac et Lamborot, à laquelle a été remis un mémoire de M. Callon, exposant les faits et posant les points à examiner. La réponse des ingénieurs est complètement défavorable à la reprise du puits ; elle est motivée sur les considérations suivantes[C 4] :

Premièrement, la reprise paraĂ®t impraticable par aucun des procĂ©dĂ©s actuellement connus. Elle prĂ©senterait des difficultĂ©s immenses, exigerait des dĂ©penses Ă©normes, sans assurance de rĂ©ussite. La fosse mĂŞme reconstruite n'offrirait aucune sĂ©curitĂ© et il y aurait toujours Ă  craindre d'y voir la mĂŞme catastrophe s'y renouveler[C 4]. Deuxièmement, les travaux des puits actuels sont arrĂŞtĂ©s Ă  500 mètres du lac souterrain de la fosse no 2, de manière Ă  laisser une esponte de cette Ă©paisseur. Du cĂ´tĂ© de la concession de Bruay, cette esponte est de 1 000 mètres. Il n'y a donc aucun danger Ă  redouter pour les travaux actuels de Marles et de Bruay[C 4]. Enfin troisièmement, la superficie de la concession de Maries est de 2 990 hectares et le pĂ©rimètre abandonnĂ© est de 840 hectares, il reste Ă  exploiter 2 150 hectares pouvant suffire Ă  sept grands sièges d'exploitation, trois sont ouverts, il en reste quatre Ă  ouvrir, avant de songer Ă  reprendre le puits Ă©croulĂ©. On peut donc attendre longtemps avant de reprendre ce puits[C 4].

La Compagnie de Marles a donc agi sagement en abandonnant le puits no 2, et en ajournant sa reprise à un avenir éloigné[2] - [C 5].

Reprise de la fosse

En 1907, la Compagnie de Marles dĂ©cide de rouvrir la fosse no 2[A 2]. Celui-ci est dĂ©blayĂ©, et grâce aux progrès de la technique, la fosse est terminĂ©e en 1908. L'extraction ne reprend qu'en 1917, puisqu'entretemps, la fosse no 2 assure l'aĂ©rage de la fosse no 2 bis[A 2], Ă©tablie 830 mètres au sud-sud-ouest[note 2].

La Compagnie des mines de Marles est nationalisĂ©e en 1946, et intègre le Groupe d'Auchel[B 1]. La fosse no 2 sert au service et Ă  l'aĂ©rage, mais elle assure l'extraction au dĂ©but des annĂ©es 1950 lorsque la fosse no 2 bis - 2 ter est modernisĂ©e. La concentration extrait sa dernière gaillette le , la fosse no 2 n'a plus aucune utilitĂ©, et son puits, profond de 506 mètres, est remblayĂ© en 1974[B 1] - [3].

Reconversion

Le chevalement du puits no 2 et les parties anciennes du bâtiment de la machine d'extraction font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [4]. Au dĂ©but du XXIe siècle, Charbonnages de France matĂ©rialise la tĂŞte de puits no 2. L'emplacement de l'avaleresse no 1 n'est en revanche pas indiquĂ©. Le BRGM y effectue des inspections chaque annĂ©e[5]. Le chevalement du puits no 2 fait partie des 353 Ă©lĂ©ments rĂ©partis sur 109 sites qui ont Ă©tĂ© classĂ©s le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l'Unesco. Il constitue le site no 101[6].

  • Puits no 2, 1854 - 1974.
    Puits no 2, 1854 - 1974.
  • La tĂŞte de puits matĂ©rialisĂ©e no 2.
    La tête de puits matérialisée no 2.
  • La salle des machines.
    La salle des machines.
  • Une cage, juste au-dessus de l'orifice du puits.
    Une cage, juste au-dessus de l'orifice du puits.
  • Vue globale du chevalement et de la salle des machines.
    Vue globale du chevalement et de la salle des machines.
  • Le chevalement vu en contre-plongĂ©e.
    Le chevalement vu en contre-plongée.

Les cités

Des cités, ainsi qu'une église et des écoles, ont été construites au début du XXe siècle afin de loger les mineurs des fosses nos 2 et 2 bis - 2 ter. Ces cités sont très étendues.

  • Des habitations destinĂ©es Ă  la dĂ©molition.
    Des habitations destinées à la démolition.
  • Des habitations groupĂ©es par deux.
    Des habitations groupées par deux.
  • Des habitations en plain-pied.
    Des habitations en plain-pied.
  • Des habitations groupĂ©es par deux.
    Des habitations groupées par deux.
  • Des habitations post-Nationalisation.
    Des habitations post-Nationalisation.
  • Des habitations post-Nationalisation.
    Des habitations post-Nationalisation.

Notes et références

Notes
  1. L'inscription aux monuments historiques concerne le chevalement du puits no 2 et les parties anciennes du bâtiment de la machine d'extraction, tandis que l'inscription sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco concerne le chevalement.
  2. Les distances sont mesurées grâce à Google Earth. Dans le cas de puits, la distance est mesurée d'axe en axe, et arrondie à la dizaine de mètres la plus proche. Les têtes de puits matérialisées permettent de retrouver l'emplacement du puits sur une vue aérienne.
Références
  1. Gabriel Glépin, De l'établissement des puits de mines dans les terrains ébouleux et aquifères (texte) : Construction et éboulement des fosses de Marles (Pas-de-Calais), Librairie Polytechnique de J. Baudry, éditeur, Paris, , 385 p. (lire en ligne)
  2. Rapport des Ingénieurs chargés par la Compagnie des mines de Marles de traiter la question de la reprise de la fosse de Marles, 1875.
  3. (fr) Jean-Louis Huot, « Mines du Nord-Pas-de-Calais - La fosse no 2 des mines de Marles », http://minesdunord.fr/
  4. « Chevalement du puits no 2 de la Compagnie des mines de Marles », notice no PA00108470, base Mérimée, ministère français de la Culture
  5. [PDF] Bureau de recherches géologiques et minières, « Article 93 du Code minier - Arrêté du 30 décembre 2008 modifiant l’arrêté du 2 avril 2008 fixant la liste des installations et équipements de surveillance et de prévention des risques miniers gérés par le BRGM - Têtes de puits matérialisées et non matérialisées dans le Nord-Pas-de-Calais », http://dpsm.brgm.fr/,
  6. « Bassin Minier Nord-Pas de Calais », sur https://whc.unesco.org/, Unesco
Références aux fiches du BRGM
Références à Guy Dubois et Jean Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais. Tome I,
Références à Guy Dubois et Jean Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais. Tome II,
Références à Émile Vuillemin, Le Bassin Houiller du Pas-de-Calais. Tome I, Imprimerie L. Danel,
Références à Gabriel Glépin, De l'établissement des puits de mines dans les terrains ébouleux et aquifères (texte) : Construction et éboulement des fosses de Marles (Pas-de-Calais),
  1. Glépin, p. 5
Références à Jules Gosselet, Les assises crétaciques et tertiaires dans les fosses et les sondages du Nord de la France : Région de Béthune, vol. III, Imprimerie nationale, Paris,
  1. Gosselet 1911, p. 146
Références à Bertrand Cocq et Guy Dubois, Histoire des mines de l'Artois, Imprimerie Léonce Deprez à Béthune,
Références à Alfred Soubeiran, Études des gîtes minéraux de la France : Bassin houiller du Pas-de-Calais, sous-arrondissement minéralogique de Béthune, Imprimerie nationale, Paris,
  1. Soubeiran 1898, p. 284

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Guy Dubois et Jean-Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais : Des origines Ă  1939-45, t. I, , 176 p., p. 152-156. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Guy Dubois et Jean-Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais : De 1946 Ă  1992, t. II, . Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Émile Vuillemin, Le Bassin Houiller du Pas-de-Calais. Tome I : Histoire de la recherche, de la dĂ©couverte et de l'exploitation de la houille dans ce nouveau bassin, Imprimerie L. Danel, Lille, , 348 p. (lire en ligne), p. 234-237, 255. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Jules Gosselet, Les assises crĂ©taciques et tertiaires dans les fosses et les sondages du Nord de la France : RĂ©gion de BĂ©thune, vol. III, Imprimerie nationale, Paris, , p. 146. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Gabriel GlĂ©pin, De l'Ă©tablissement des puits de mines dans les terrains Ă©bouleux et aquifères (texte) : Construction et Ă©boulement des fosses de Marles (Pas-de-Calais), Librairie Polytechnique de J. Baudry, Ă©diteur, Paris, , 385 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Gabriel GlĂ©pin, De l'Ă©tablissement des puits de mines dans les terrains Ă©bouleux et aquifères (atlas) : Construction et Ă©boulement des fosses de Marles (Pas-de-Calais), Librairie Polytechnique de J. Baudry, Ă©diteur, Paris, (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Bertrand Cocq et Guy Dubois, Histoire des mines de l'Artois, Imprimerie LĂ©once Deprez Ă  BĂ©thune, , 162 p., p. 55. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Alfred Soubeiran, Études des gĂ®tes minĂ©raux de la France : Bassin houiller du Pas-de-Calais, sous-arrondissement minĂ©ralogique de BĂ©thune, Imprimerie nationale, Paris, , 399 p. (lire en ligne), p. 284. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
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