La Riche
La Riche est une commune française du département d'Indre-et-Loire, dans la région Centre-Val de Loire. La ville est intégrée au sein de la métropole tourangelle, étant située à la frontière ouest de Tours. La Riche a dépassé les 10 000 habitants en 2011 et est la huitième plus grande ville de la métropole en 2015. Sa croissance démographique soutenue depuis les années 1960 a attiré une population mixte.
La Riche | |||||
La mairie | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Tours | ||||
Intercommunalité | Tours Métropole Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Filipe Ferreira-Pousos 2014-2020-2022 |
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Code postal | 37520 | ||||
Code commune | 37195 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Larichois | ||||
Population municipale |
10 372 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 1 270 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 47° 23′ 24″ nord, 0° 39′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 43 m Max. 51 m |
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Superficie | 8,17 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Tours (banlieue) |
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Aire d'attraction | Tours (commune du pĂ´le principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Ballan-Miré | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | ville-lariche.fr | ||||
GĂ©ographie
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
La superficie de la commune est de 817 hectares. Son altitude varie entre 43 m et 51 m[1].
Hydrographie
La commune est bordée sur son flanc nord par la Loire (0,507 km) et traversée par le Cher (0,237 km) qui coule d'est en ouest parallèlement à la Loire. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 6,27 km, comprend en outre trois petits cours d'eau[2] - [3].
Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[4], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [aval pont Mirabeau]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 62 ans pour cette station) varie de 112 m3/s au mois d'août à 622 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 050 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 5,78 m ce même jour[5] - [6]. La hauteur maximale historique a été atteinte le avec une hauteur inconnue mais supérieure à 6,20 m[7]. Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[8].
Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source à 714 mètres d'altitude à Mérinchal, dans la Creuse et se jette dans la Loire à Villandry, à 40 m d'altitude, après avoir traversé 117 communes[9]. Le Cher présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon du Cher tourangeau[4], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [Pont Saint Sauveur]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 53 ans pour cette station) varie de 25,8 m3/s au mois d'août à 192 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 000 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 4,96 m le [5] - [10]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[11] - [12]. Sur le plan piscicole, le Cher est également classé en deuxième catégorie piscicole[8].
Trois zones humides[Note 3] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des Territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « Boire de la Sablière », « Boire de la Grande Maison » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[13] - [14].
Urbanisme
Typologie
La Riche est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[18] et 364 325 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (23,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,7 %), eaux continentales[Note 6] (20,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), terres arables (12,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de La Riche est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher et la Loire. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Tours, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portés à 22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[27] - [28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2016 et 2021[29] - [25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 822 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1822 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1991, 1992, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Histoire
Origines
La ville tient son nom de l'église Notre-Dame-la-Riche de Tours, ancien faubourg séparé de son noyau par la construction de l'enceinte de fortification moderne au milieu du XVIIe siècle ; la ville tire donc son nom d'un édifice religieux qui ne se trouve pas sur son territoire (le cas est identique à l'est de Tours avec Saint-Pierre-des-Corps et au nord avec Saint-Symphorien).
Le ruisseau de Sainte-Anne traversait autrefois la ville, et celui-ci est canalisé au cours du XVe siècle afin de relier la Loire et le Cher. Celui-ci est toutefois comblé au cours du XIXe alors que le jardin botanique de Tours s'installe notamment sur son emplacement, et marque la frontière entre La Riche et Tours[32].
Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée Notre-Dame-la-Riche, porta provisoirement les noms de La Riche-Extra et de La Varenne-de-la-Riche et adopta le nom de La Riche au sortir de cette période[33].
Au XIXe siècle on y cultive surtout le chanvre et les céréales, puis, profitant des qualités du sol, les cultures deviennent principalement maraîchères.
Après-guerre
Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, la ville fut également bombardée à neuf reprises entre juin et [34], notamment le [35]. Un local (rue du 8-Juin) rappelle cet événement.
À partir des années 1950, la ville connait une forte croissance de sa population sous l'impulsion de la ville de Tours. Cette dernière connait une forte croissance aidée par une politique de grands travaux, sous la direction du maire Jean Royer. Alors que ce dernier tente d’agrandir son territoire et fusionne avec deux communes à Tours-Nord, La Riche refuse le de se faire absorber[36].
Grands ensembles
Le développement de La Riche passe aussi notamment par la construction de plusieurs grands ensembles. La première cité sociale est bâtie entre 1954 et 1957 dans le sud-ouest de la commune. Baptisée « cité des Sables », elle est d'abord vue comme un logement d'urgence construit en préfabriqué. L'ensemble réuni jusqu'à 2 000 habitants dans les années 1970, avant d'être détruit entre 1992 et 1994 et remplacé par des zones pavillonnaires dans la zone du « Petit-Plessis »[36].
Les plus importants programmes sociaux sont les quartiers Niqueux-Bruère et Marcel-Pagnol, situés dans le centre-nord de la commune et construits principalement entre les années 1960 et 1970[36]. Ils réunissent aujourd'hui près de 2 000 habitants et sont classés en zone prioritaire de la politique de la ville[37]. Ainsi, le centre de la commune compte près de 50 % de logements sociaux. La population de La Riche est donc relativement mixte, la commune comptant au total près de 28 % de logements sociaux, soit un niveau comparable à celui de Tours[38] - [39].
Plessis-Botanique
Depuis la fin des années 2000, la ville continue son extension urbaine vers le sud et l'est, à la limite de Tours, avec l'aménagement des anciennes zones maraichères et friches industrielles du Prieuré et du Plessis d'une quinzaine d'hectares. Le projet dit de l'« écoquartier Plessis-Botanique » prévoit l'implantation de 1 200 logements, dont 15 % sociaux, la construction d'une nouvelle école primaire, des locaux pour l'Université de Tours et des commerces, avec des travaux s'étalant jusqu'en 2026[40].
En septembre 2014, la faculté de médecine inaugure le batîment Gouazé dans le sud de la commune, soit 4 000 m2 de locaux pour 1 500 étudiants[41]. Les premiers immeubles de logements sont mis en chantier en 2015[42]. Début 2017, la résidence Ambroise Paré est la première livrée avec 47 logements sociaux et 16 privés rue Emile Aron puis la résidence « cité-jardin du Plessis-Botanique » est inaugurée en juin 2017 avec 71 logements privés, rue Ligner[43]. En 2022, seul un tiers de l'opération est réalisé ou en cours de travaux, avec des constructions en périphérie du futur quartier, le cœur restant à réaliser autour de la prolongation de l'avenue Pierre-Mendès-France, qui devrait être piétonne et végétalisée[44] - [45].
Économie et transports
Depuis , la ville accueille le centre commercial La Riche Soleil, une galerie marchande de 45 boutiques et équipé d'un hypermarché Géant.
La ville a été confirmée comme l'un de deux terminus de la seconde ligne du tramway de Tours, qui devrait être réalisée d'ici 2028. Elle pourrait ainsi desservir le prieuré de Saint-Cosme, la mairie puis le nouveau quartier du Plessis avant de rejoindre Tours[46].
Politique et administration
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010[47].
Dans son palmarès 2019, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une deuxième fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[48].
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours
- élection présidentielle de 2002 : 86,27 % pour Jacques Chirac (RPR), 13,73 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 77,83 % de participation[49] ;
- élection présidentielle de 2007 : 54,53 % pour Ségolène Royal (PS), 45,47 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 84,32 % de participation[50] ;
- élection présidentielle de 2012 : 59,71 % pour François Hollande (PS), 40,29 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 77,11 % de participation[51] ;
- élection présidentielle de 2017 : 75.95 % pour Emmanuel Macron (LREM), 24,05 % pour Marine Le Pen (RN), 74,54 % de participation[52].
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[53] - [Note 7].
En 2020, la commune comptait 10 372 habitants[Note 8], en diminution de 0,59 % par rapport Ă 2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
- population municipale en 2004 : 9 573
Enseignement
La Riche se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.
La commune compte plusieurs Ă©tablissements :
- l'Ă©cole maternelle Henri Tamisier ;
- l'Ă©cole maternelle Marie Pellin ;
- l'école élémentaire Ferdinand Buisson ;
- l'école élémentaire Paul Bert.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le monument le plus marquant de la commune est le château de Plessis-lèz-Tours. Plusieurs rois de France y séjournèrent – principalement Louis XI qui en fit sa demeure principale – et fut le théâtre de nombreux évènements historiques.
Peu avant sa mort en 1483, Louis XI fera venir d'Italie François de Paule qui fonde le couvent des Minimes en 1489 et se développe durant les siècles qui suivent. Il ne reste toutefois que des vestiges de cette institution, surtout un corps de logis datant du XVIIIe siècle. François de Paule y est toutefois enterré et une chapelle est construite en 1877 autour de sa sépulture[56].
Les communautés religieuses tourangelles possédaient une grande partie de la commune, dont le prieuré de Saint-Cosme appelé aussi prieuré de Ronsard. Bâti à l'origine sur l'île de la Loire, ce prieuré fut la dernière demeure de Ronsard qui y vécut de 1565 à sa mort en 1585.
À l'intérieur de l'église Sainte-Anne, construite en 1856 (place du Maréchal-Leclerc), on peut trouver la statue de Saint François de Paule ainsi que deux scènes peintes évoquant la vie de l'ermite.
Parmi les monuments historiques de la ville, on trouve aussi le manoir de la Rabaterie datant de la seconde moitié du XVe siècle et situé rue Saint-François. Il aurait été la demeure d'Olivier Le Daim, conseiller du roi[57]. Un autre monument marquant de la commune n'est pas classé, il s'agit de la « gentilhommière agricole des Pavillons » construite en 1640 et située au 34 rue Jules-Verne. Elle est constituée d'une tour centrale et de deux ailes[58].
Personnalités liées à la commune
HĂ©raldique
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Les armes de La Riche se blasonnent ainsi : Parti : au premier mi-parti d'or semé de fleurs de lys de gueules à l'aigle de sable, au second d'azur à Saint Côme et Saint Damien affrontés, vêtus de robes de docteur, sur une terrasse, l'un tenant un livre, l'autre une boite, le tout d'or[59]. |
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Notes et références
Notes
- Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
- Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
- D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de La Riche », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
- « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
- « Station hydrométrique K4900030, la Loire à Tours [aval pont Mirabeau] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Cher », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Station hydrométrique K6710910, le Cher à Tours [Pont Saint Sauveur] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
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- « Tours - Les bombardements » (consulté le ).
- Présentation du patrimoine de la commune de La Riche sur patrimoine.regioncentre.fr
- Quartier Prioritaire : Niqueux Bruère - Marcel Pagnol sur sig.ville.gouv.fr
- Orientation d'aménagement et de programmation sur ville-lariche.fr
- La Riche sur kelquartier.com
- ZAC du Plessis Botanique sur centre.developpement-durable.gouv.fr
- La Riche devient ville universitaire avec le nouveau bâtiment de la FAC de médecine sur info-tours.fr, le 23 décembre 2014
- La première pierre du nouveau quartier sur La Nouvelle République du Centre-Ouest, le 19 septembre 2015
- De nouveaux logements au Plessis Botanique sur La Nouvelle RĂ©publique du Centre-Ouest, le 31 janvier 2017
- La Riche : Wilfried Schwartz revoit sa copie pour l'Ă©coquartier Plessis-Botanique sur La Nouvelle RĂ©publique du Centre-Ouest, le 24 avril 2021
- La Riche : le futur quartier Plessis-Botanique terminé à 15% sur info-tours.fr, le 20 mai 2022
- Tramway : la deuxième ligne reliera La Riche à Chambray sur 37degres-mag.fr, le 24 octobre 2017
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - La Riche, consultée le 26 octobre 2017
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
- « Résultats de l’élection présidentielle de 2002 », sur Le site du ministère de l’Intérieur, Consulté le 07/05/2012.
- « Résultats de l’élection présidentielle de 2007 », sur Le site du ministère de l’Intérieur, Consulté le 07/05/2012.
- « Résultats de l’élection présidentielle de 2012 », sur Le site du ministère de l’Intérieur.
- « Résultats de l’élection présidentielle de 2017 », sur Le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 07/05/2017.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- Ancien couvent des Grands Minimes du Plessis-lès-Tours sur culture.gouv.fr
- Manoir de la Rabaterie sur culture.gouv.fr
- La gentilhommière agricole sur ville-lariche.fr
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes du Val de Loire
- Liste des communes d'Indre-et-Loire
- La Riche Soleil (centre commercial)
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :