La Capelle-Bleys
La Capelle-Bleys (La Capèla Blèis en occitan) est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.
La Capelle-Bleys | |
Façade de l'église Saint-Jérôme. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aveyron |
Arrondissement | Villefranche-de-Rouergue |
Intercommunalité | Communauté de communes Aveyron Bas Ségala Viaur |
Maire Mandat |
Alain Bessac 2020-2026 |
Code postal | 12240 |
Code commune | 12054 |
Démographie | |
Gentilé | Capellois(e) |
Population municipale |
347 hab. (2020 ) |
Densité | 22 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 17′ 44″ nord, 2° 11′ 01″ est |
Altitude | Min. 514 m Max. 728 m |
Superficie | 15,63 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Villefranche-de-Rouergue (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Aveyron et Tarn |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | lacapellebleys.fr |
Géographie
Localisation et communes limitrophes
La commune de La Capelle-Bleys se trouve à l'ouest du département de l'Aveyron, dans la petite région agricole du Ségala[1].
Elle se situe à 45 km par la route[Note 1] de Rodez[2], préfecture du département, à 17 km de Villefranche-de-Rouergue[3], sous-préfecture, et à 6 km de Rieupeyroux[4], bureau centralisateur du canton d'Aveyron et Tarn dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Rieupeyroux[I 1].
Les communes les plus proches sont[5] - [Note 2] : Vabre-Tizac (3,7 km), Rieupeyroux (4,5 km), La Bastide-l'Évêque (6,4 km), Saint-Salvadou (6,7 km), Lescure-Jaoul (7,7 km), La Salvetat-Peyralès (8,5 km), Lunac (8,6 km), Castanet (8,7 km), Pradinas (8,9 km).
La Bastide-l'Évêque | Compolibat | Prévinquières | ||
Saint-Salvadou | N | Rieupeyroux | ||
O La Capelle-Bleys E | ||||
S | ||||
Vabre-Tizac | La Salvetat-Peyralès | Pradinas |
Paysages et reliefs
Située à l'ouest du plateau du Ségala, La Capelle-Bleys est une commune rurale de 391 habitants répartis entre le bourg centre, autrefois appelé Douzoulet, et plusieurs hameaux : Bleys, Ayres, Montloubet, La Bessarède, la Fage, Jarlagou où prend sa source le Jaoul qui constitue à l'est la limite avec la commune de Rieupeyroux. Son altitude varie de 514 m sur les bords du Jaoul, vers Tarfume, à 728 m au Puech Haut. Sa superficie est de 1563 hectares.
Hameaux
La commune comprend plusieurs hameaux : Ayres, Bleys, La Fage, La Bessarède, La Peyrière (ZA), Le Bourgnou, Le Jarlagou, Le Parayre, Montloubet, ainsi que quelques fermes isolées. Le bourg de cette commune s'appelait autrefois Le Douzoulet.
Réseau hydrographique
La commune est drainée par la Petite Serène, le Jaoul, le Lézert, le ruisseau de Pouzoulet, le ruisseau de Bourgnounet et par divers petits cours d'eau[6].
La Petite Serène, d'une longueur totale de 13,6 km, prend sa source dans la commune de La Capelle-Bleys et se jette dans la Petite Serène à La Fouillade, après avoir arrosé 5 communes[7].
Le Jaoul, d'une longueur totale de 22,5 km, prend sa source dans la commune de Rieupeyroux et se jette dans le Viaur à La Salvetat-Peyralès, après avoir arrosé 5 communes[8].
Le Lézert, d'une longueur totale de 39 km, prend sa source dans la commune de Baraqueville et se jette dans le Viaur à Millau, après avoir arrosé 12 communes[9].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[10].
La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[11] - [12]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[13] - [14].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
|
La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[15].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[15]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[17]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 31 km à vol d'oiseau de la commune[18], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[19], à 10,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22] - [23] - [24].
Urbanisme
Typologie
La Capelle-Bleys est une commune rurale[Note 4] - [25]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2] - [26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,7 %), zones agricoles hétérogènes (32,2 %), forêts (13,6 %), prairies (3,5 %)[27].
Planification
La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment la communauté de communes Aveyron Bas Ségala Viaur, dont la commune est membre[28].
La commune avait engagé en 2017 l'élaboration d'une carte communale[29].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de La Capelle-Bleys est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers, les risques radon et minier[30] - [31].
Risques naturels
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[32].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[33].
Risques particuliers
La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[34].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Capelle-Bleys est classée à risque moyen à élevé[35].
Histoire
La commune de La Capelle-Bleys tire son nom d'une chapelle, située autrefois au Puech de la Sala et dont les fondations de l'église et du presbytère étaient encore visibles à la fin du XVIIe siècle. On y avait accolé le nom du village le plus important situé à l'est, Bleys. Reliés à la paroisse de Rieupeyroux, les habitants de La Capelle-Bleys ressentaient des difficultés dans la pratique du culte du fait de leur éloignement. Ils demandèrent donc à être réunis en paroisse en 1779. La requête reçut une réponse favorable de l'évêque de Rodez, Mgr Champion de Cicé : celui-ci, par ordonnance, créa la nouvelle paroisse de La Capelle-Bleys. La même année, le Vicaire Général Charles de Layrolle, après avoir visité les lieux, décide que le village de Douzoulet accueillera la nouvelle église.
Après de nombreuses années où le culte s'est pratiqué dans différents lieux de la paroisse, la première église a été construite en 1812. En 1872, le conseil municipal décide la construction d'un nouvel édifice dont la construction prend fin en 1884. L'autonomie de la commune, qui constituait jusque-là une section de la commune de La Bastide L'Évêque, est votée par l'Assemblée nationale le . Son premier maire, nommé par arrêté préfectoral, sera Jean Pierre Vialadieu[36].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de La Capelle-Bleys est membre de la communauté de communes Aveyron Bas Ségala Viaur[I 5], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Rieupeyroux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 5]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aveyron et Tarn pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 5], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[38].
- La Capelle-Bleys dans l'intercommunalité en 2020.
- La Capelle-Bleys dans le canton d'Aveyron et Tarn en 2020.
- La Capelle-Bleys dans l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue en 2020.
Élections de 2020
Le conseil municipal de La Capelle-Bleys, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[39] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[40]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[41] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 58,28 %[42]. Alain Bessac, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [43].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[44]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes Aveyron Bas Ségala Viaur[45].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].
En 2020, la commune comptait 347 habitants[Note 6], en diminution de 8,44 % par rapport à 2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
L'école de la Capelle-Bleys est en lien avec celle de Lescure-Jaoul.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 152 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 348 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 790 €[I 6] (20 640 € dans le département[I 7]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 8] | 7,9 % | 7,2 % | 5,6 % |
Département[I 9] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 197 personnes, parmi lesquelles on compte 72,1 % d'actifs (66,5 % ayant un emploi et 5,6 % de chômeurs) et 27,9 % d'inactifs[Note 8] - [I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1] - [I 11]. Elle compte 147 emplois en 2018, contre 150 en 2013 et 192 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 134, soit un indicateur de concentration d'emploi de 109,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49 %[I 12].
Sur ces 134 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 81,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
25 établissements[Note 9] sont implantés à La Capelle-Bleys au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10] - [I 15]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 25 entreprises implantées à La Capelle-Bleys), contre 13 % au niveau départemental[I 16].
Agriculture
La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 46 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 33 en 2000 puis à 29 en 2010[56] et enfin à 20 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 57 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[57] - [Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 212 ha en 1988 à 1 112 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 26 à 56 ha[56].
Culture locale et patrimoine
Personnalités liées à la commune
- Nicole Belloubet (1955), professeur de droit, femme politique, ministre de la Justice dont la famille paternelle s'est installée sur la commune à la fin des années 1920[58].
Bibliographie
- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Pierre Marty), Riu-Peirós : La Bastida-de-l'Evesque, La Capèla-Bleis, Previnquièiras, Sent-Sauvador, Vabre-Tisac / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Riu-Peiros, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 304 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-42-4, ISSN 1151-8375, BNF 37078683)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
- Les distance sont mesurées ici à vol d'oiseau entre chefs-lieux de communes.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de La Capelle-Bleys » (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
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- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
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- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à la Capelle-Bleys » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à La Capelle-Bleys » (consulté le ).
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Autres sources
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- « Communes les plus proches de La Capelle-Bleys », sur https://www.villorama.com (consulté le ).
- « Fiche communale de la Capelle-Bleys », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la Petite Serène »
- Sandre, « le Jaoul »
- Sandre, « le Lézert »
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- Révocation de Marius Bouscayrol par le gouvernement de Vichy en 1941 puis rétablissement dans ses fonctions de maire en 1944. À son décès en 1970, intérim d'Irénée Clarenc.
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