Karl-Jean Longuet
Karl-Jean Longuet-Marx né à Paris le et mort à Auray le est un sculpteur français.
Naissance | |
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DĂ©cĂšs |
(Ă 76 ans) Auray |
SĂ©pulture | |
Nom de naissance |
Charles Jean Paul Longuet-Marx |
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PĂšre | |
MĂšre |
Anita Desvaux (d) |
Fratrie | |
Conjoint | |
Enfants | |
ParentĂšle |
Karl Marx (arriĂšre-grand-pĂšre) |
Archives conservées par |
BibliothĂšque Kandinsky (LONBOI)[1] |
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Il est l'Ă©poux de la sculptrice Simone Boisecq (1922-2012).
Biographie
Karl-Jean Longuet naĂźt au sein dâune famille dâintellectuels socialistes Ă©troitement mĂȘlĂ©e Ă lâhistoire sociale de leur temps. Il est lâarriĂšre-petit-fils de Karl Marx. Son grand-pĂšre, Charles Longuet, journaliste, exilĂ© Ă Londres aprĂšs la Commune, a en effet Ă©pousĂ© la fille aĂźnĂ©e de Marx, Jenny. Son pĂšre, Jean Longuet, est avocat et homme politique proche de Jean JaurĂšs.
Karl-Jean Longuet commence ses Ă©tudes au lycĂ©e Lakanal Ă Paris. De santĂ© fragile, il les poursuit seul Ă la campagne. Un moment caricaturiste de presse, il entre en 1927 Ă lâĂcole des arts dĂ©coratifs dans lâatelier de Paul Niclausse, oĂč il cĂŽtoie Ătienne Hajdu puis frĂ©quente de 1929 Ă 1932 lâatelier de Jean Boucher aux Beaux-Arts de Paris, recevant en 1932 une bourse de voyage pour lâEspagne. Il admire Auguste Rodin et Aristide Maillol qui, en 1937, partagera avec lui son modĂšles, Dina Vierny[2]. Charles Despiau vient frĂ©quemment Ă son atelier et suit avec intĂ©rĂȘt son travail. Ă partir de 1932, Longuet expose au Salon d'automne et prĂ©sente Ă©galement ses Ćuvres aux Salon des Tuileries et au Salon des indĂ©pendants. Ses premiĂšres sculptures, bustes ou grandes figures, Ă©purent les volumes et les formes du corps humain dans le sens du dĂ©pouillement. En 1935, il sĂ©journe Ă SĂ©ville. En 1937, il rĂ©alise une fontaine monumentale pour l'Exposition internationale des arts et techniques de Paris. LĂ©on Blum arrive Ă Saint-LĂ©onard-de-Noblat, en 1937 pour inaugurer un monument dĂ©diĂ© Ă Adrien Pressemane. Le buste est sculptĂ© par Karl-Jean Longuet[3].
ExemptĂ© de service militaire en raison de sa mauvaise santĂ©, engagĂ© durant la Seconde Guerre mondiale dans la RĂ©sistance, menacĂ© d'ĂȘtre arrĂȘtĂ©, Karl-Jean Longuet quitte Paris en 1940 pour NĂźmes puis, pour plus d'une annĂ©e, Ă Marseille. Il y travaille pour le cinĂ©ma, notamment pour le dĂ©corateur Alexandre Trauner et Louis Jouvet. RentrĂ© Ă Paris, l'Ă©tat-major national clandestin des FFI se rĂ©unit frĂ©quemment chez lui, rue Visconti, ou dans son atelier, avenue Denfert-Rochereau[4]..
AprĂšs la LibĂ©ration, il expose au Salon de la jeune sculpture, au Salon de mai, au Salon Comparaisons, au Salon des rĂ©alitĂ©s nouvelles et au Salon d'automne). Il fait en 1946 la connaissance de Simone Boisecq[4]. qui, venue dâAlger lâannĂ©e prĂ©cĂ©dente, travaille dans son atelier, et lâĂ©pouse en 1949. En 1948, il rĂ©alise le mĂ©daillon de Paul Langevin pour lâĂcole de physique et de chimie de Paris et un Monument aux RĂ©sistants Ă la prĂ©fecture de police. Il prĂ©sente en 1953 sa premiĂšre exposition personnelle.
La rencontre de Brancusi en 1948 et ses recherches personnelles lâamĂšnent Ă accentuer le dĂ©pouillement de ses sculptures, taillĂ©es dans la pierre, le granit ou le marbre, le bois, mais aussi rĂ©alisĂ©es en bronze, en plomb et en cuivre, qui le mĂšne autour de 1954 au seuil de l'abstraction. Il expose Ă Paris en 1961 et participe Ă de nombreuses manifestations collectives en France et Ă lâĂ©tranger, aux Biennales de Turin, Middelheim-Anvers, Carrare, Sonsbeek-Arnhem, SĂŁo Paulo (1965).
Ă partir de 1956, Karl-Jean Longuet collabore avec les architectes dans la crĂ©ation de nombreuses sculptures monumentales pour des collĂšges et lycĂ©es, notamment pour le lycĂ©e HonorĂ©-de-Balzac Ă Paris en 1956, 1959 et 1964, l'Ă©cole de filles Ă Saint-Denis en 1956, le groupe scolaire Ă Limoges en 1956-1959, l'Ă©cole de ChĂątenay-Malabry en 1959, le collĂšge technique du Mans en 1960, le groupe scolaire de Montreuil en 1963, le groupe scolaire dâAthis-Mons en 1964, le complexe universitaire de Toulouse en 1966-1968, le lycĂ©e de Massy-VilgĂ©nis en 1971, l'Ă©cole Jules-Verne de Vitry en 1972, l'universitĂ© de Lille et le groupe Paul-Ăluard de Vigneux en 1973, le lycĂ©e Henri-Wallon dâAubervilliers en 1976.
Ses Ćuvres sont Ă©galement prĂ©sentes sur des places publiques et dans de grands ensembles : place du Mont-Mesly en 1960-1962 et centre commercial du Palais de CrĂ©teil en 1974, centre dâaccueil de la Peñarroya de la tour Montparnasse en 1976, place Ă Montigny-le-Bretonneux et Hommage Ă Salvador Allende Ă ChĂątenay-Malabry en 1981.
On lui doit, en 1955, la sépulture définitive du poÚte Yvan Goll au cimetiÚre du PÚre-Lachaise à Paris[5], en particulier le bas-relief en bronze d'aprÚs Marc Chagall représentant Claire et Yvan Goll, fondue par Emmanuel Auricoste, déposée au musée Pierre-Noël de Saint-Dié-des-Vosges en 1972[6] - [7].
Karl-Jean Longuet a rĂ©alisĂ© pour la Monnaie de Paris plusieurs sculptures et mĂ©dailles (Fernand LĂ©ger, Paul Ăluard, Bernard Shaw, Anna de Noailles, Karl Marx, Engels, SchĆlcher).
Des expositions rĂ©trospectives de son Ćuvre sont organisĂ©es Ă ChĂątenay-Malabry et Metz en 1983, Meudon, Ris Orangis[8] et TrĂšves en 1984, Rouen[9] et Thionville en 1987. Sous le titre Karl-Jean Longuet et Simone Boisecq, de la sculpture Ă la citĂ© rĂȘvĂ©e une exposition est prĂ©sentĂ©e en 2011 aux musĂ©es d'Agen, de Colmar, de Limoges, de Poitiers et de Reims.
RĂ©ception critique
« La sculpture de Longuet se prĂ©sente comme une masse de pierre progressant vers la lumiĂšre d'une base aux rythmes assez complexes et vers un sommet plus lĂ©ger, plus aĂ©rĂ©, plus simplifiĂ©. La grande rigueur de cette sculpture ne s'accompagne d'aucune de ces sĂ©cheresses auxquelles il est facile de succomber. L'artiste a rĂ©ussi Ă allier le lyrisme d'un poĂšme Ă l'intransigeance d'une Ă©quation mathĂ©matique. Ă l'aide d'Ă©videments, un Ă©clairage pĂ©nĂštre jusque dans l'ossature de l'Ćuvre qui se dresse de plus en plus dĂ©pouillĂ©e jusqu'Ă l'unitĂ© finale, comme une sorte de chapiteau baignĂ© de tous cĂŽtĂ©s par la lumiĂšre. »
â Pierre Lemonnier, in: Architecture française, nos 213-214, Paris, 1960.
« C'est par leur silence que peut-ĂȘtre les Ćuvres de Karl-Jean Longuet se caractĂ©risent surtout. Sculptures ou bas-reliefs sans titres, ses sculptures se prĂ©sentent comme un ensemble de formes denses trĂšs architecturĂ©es aux rythmes mystĂ©rieux d'oĂč se dĂ©gagent Ă©quilibre et harmonie. Ces formes trouvent leur rĂ©alitĂ© Ă travers un dialogue interne mais aussi grĂące Ă la lumiĂšre, qui selon le matĂ©riau ou les plans formels, leur donne un relief diffĂ©rent. »
â Aube Lardera, in « Karl-Jean Longuet », dans Ionel Jianou, GĂ©rard Xuriguera, Aube Lardera, La Sculpture moderne en France, Paris, Arted Ăditions d'Art, 1982.
« Faut-il Ă©crire que ses sculptures s'intĂšgrent bien Ă l'architecture ? Elles l'accompagnent plutĂŽt. Elles possĂšdent par elles-mĂȘmes une architecture propre, qui rĂ©pond Ă celle des constructions qu'elles voisinent. Karl-Jean Longuet aimait cette contrainte de la proximitĂ© d'une Ćuvre architecturale, cela l'obligeait Ă une rigueur plus grande encore, Ă une coordination plus prĂ©cise des lignes, des forces et des axes. Retrouvant la grande tradition des sculpteurs des siĂšcles passĂ©s, il travaillait sur les chantiers, comme un artisan. [âŠ] Il laisse une Ćuvre importante qui rĂ©sume l'Ă©volution de la sculpture de ce siĂšcle dans ce qu'elle a de plus fort et de plus durable. Sa passion fut toujours accompagnĂ©e d'intelligence et de mesure et si, aujourd'hui, les plus grands musĂ©es possĂšdent nombre de ses Ćuvres, c'est qu'il restera un artiste marquant pour les temps Ă venir. »
â Francis Villadier, in Karl-Jean Longuet, prĂ©face de Francis Villadier, textes de Jean-Jacques Lerrant, RenĂ© Deroudille, Pierre Lemonnier, K. T. Maugis et Denys Chevalier, MusĂ©e d'art et d'histoire de Meudon, 1984.
Ćuvres dans les collections publiques
- Agen, Musée des Beaux-Arts d'Agen : Esquisse pour le mur extérieur de l'amphithéùtre du complexe universitaire agricole Toulouse Auzeville, plùtre patiné, 45,5 à 62,5 à 4,3 cm, n° inventaire 2010.3.2.
- Boulogne-Billancourt, Musée Paul Belmondo : Buste de Victor Schoelcher, vers 1940, pierre.
- Brest, musée des Beaux-Arts : Le Phare, 1977, pierre.
- Colmar, musée Unterlinden[10] :
- Buste de Simone Boisecq, 1947, plĂątre ;
- Grand couple, 1952, plùtre patiné, 167 à 44 à 41 cm, n° inventaire 2010.10.3 ;
- Narcisse, 1952, plùtre patiné ;
- Jeune homme endormi, 1952-1954, plùtre patiné ;
- Opéra de Pékin, 1954, résine noire ;
- Balzac, 1957, pierre ;
- La grande vasque, 1964, plùtre patiné noir ;
- La Porte de la nuit, 1981, plùtre, 280 à 140 à 100 cm, n° inventaire 2010.10.7.
- Dijon, musée des Beaux-Arts[11] :
- Buste de Simone Boisecq, 1946, plĂątre, 42 Ă 37,5 Ă 25 cm, inv. 2021-7-35 ; ;
- Femme accroupie, 1949, plĂątre, 40 Ă 49 Ă 38 cm, inv. 2021-7-29 ;
- Trois danseuses, 1950, plĂątre, 24 Ă 19 Ă 14,5 cm, inv. 2021-7-36 ;
- Grand Couple, 1952, plĂątre, 164 Ă 44 Ă 40 cm, inv. 2021-7-22 ;
- Opéra de Pékin, 1954, résine, 102 à 97 à 25,8 cm, inv. 2021-7-26 ;
- La Musique, 1958, résine, 108,4 à 89 à 14 cm, inv. 2021-7-27 ;
- ForĂȘt, 1960, fonte, 20,3 Ă 49,5 Ă 4,8 cm, inv. 2021-7-28 ;
- Grand Bois, 1958, chĂȘne, 227 Ă 39 Ă 43,1 cm, inv. 2021-7-20 ;
- LâArbre aux enfants, 1958, plĂątre, 98 Ă 38 Ă 38 cm, inv. 2021-7-30 ;
- Oiseau, vers 1960, terre crue, 27 Ă 16,4 Ă 13,4 cm, inv. 2021-7-37 ;
- Tour de Créteil, 1962, plùtre, 102,5 à 19 à 15,5 cm, inv. 2021-7-24 ;
- Bas-relief (Toulouse), 1966, plĂątre, 219 Ă 97 Ă 12 cm, inv. 2021-7-25 ;
- Projet de fontaine, 1968, terre crue, 23 Ă 12 Ă 15 cm, inv. 2021-7-33 ;
- Trois pierres, 1970, pierre, 107,5 Ă 25 Ă 19 cm,72 Ă 35 Ă 19 cm et 86,5 Ă 27 Ă 22,5 cm, inv. 2021-7-21 ;
- Projet architectural, 1970, plĂątre, 20,5 Ă 14,5 Ă 12 cm, inv. 2021-7-32 ;
- Bas-relief (Lille), plĂątre, 1972, 156,5 Ă 97 Ă 25,5 cm, inv. 2021-7-25 ;
- Soleil, 1976, marbre, 55,5 Ă 45 Ă 28 cm, inv. 2021-7-34 ;
- L'Envol, bronze, 1981 (d'aprĂšs le plĂątre de 1975), 86 Ă 191,5 Ă 46 cm, inv. 2007-1-1 ;
- La Porte de la nuit, 1981, terre crue, 27,5 Ă 14,5 Ă 12 cm, inv. 2021-7-34 ;
- La Porte de la nuit, 1981, plĂątre, 28 Ă 14 Ă 19,5 cm, inv. 2021-7-38 .
- Dunkerque, Lieu d'Art et Action contemporaine :
- Femme assise, 1949, terre cuite ;
- LâArbre de la science, 1976, plĂątre ;
- LâArbre de la science, 1976, grand plĂątre ;
- LâArbre de la science, 1976, pierre ;
- LâArbre de la science, 1976, aluminium ;
- LâArbre de la science, 1976, deux dessins, crayon et encre.
- Limoges, musĂ©e de l'ĂvĂȘchĂ© : Femme assise, 1949, terre cuite.
- Metz, musée de la Cour d'Or : Orphée, 1956, plomb, 157 à 58 à 68 cm, n° inventaire 82?25.1.
- Meudon, musée d'Art et d'Histoire :
- Architecture, 1965, pierre ;
- Soleil noir, granit, 1968-1969, 140 à 60 à 50 cm, n° inventaire 1992.2.1 (dépÎt).
- Nancy, musĂ©e des Beaux-Arts : LâHomme, 1954, plomb.
- Paris :
- collections du Centre national des arts plastiques[12] :
- Baigneuse, entre 1935 et 1937, pierre, 160 x 45 à 42 cm, n° inventaire 3989, en dépÎt depuis 1937 à la Mairie de Lille ;
- Baigneuse, entre 1935 et 1937, plùtre, 160 x 45 à 42 cm, n° inventaire 3991
- République, avant 1940, buste pierre, 80 x 43,5 à 30 cm, n° inventaire 6148, en dépÎt depuis 1947 à la Mairie de Cambrai ;
- Femme assise, 1942, Pierre de Lavoux, 135 x 52 à 75 cm, n° inventaire 6402, en dépÎt depuis 1948 à la Mairie de Manosque, place des marchands[13] ;
- Monument à Philippe Lebon, entre 1944 et 1946, pierre, n° inventaire 6775, en dépÎt depuis 1946 à la mairie de Chaumont, square Lebon[14] ;
- Victor Schoelcher, buste pierre de Stockholm, 1948, 66 x 36 à 32,4 cm, n° inventaire 7069, en dépÎt depuis 2017 au Musée franco-américain du chùteau de Blérancourt ;
- Figure décorative, 1953, plomb, n° inventaire 7600, en dépÎt depuis 1953 à la Mairie de Sceaux :
- Le Couple, 1955-1956, granit, n° inventaire 8033, en dépÎt depuis 1965 à l'ambassade de France à Bangui.
- bibliothĂšque de l'Institut national d'histoire de l'art : fonds de documents et de lithographies (Ă©tats et tirages d'Ă©preuves) relatifs Ă l'Ă©dition de l'ouvrage de Charles Baudelaire Le Spleen de Paris : petits poĂšmes en prose, illustrĂ© par Karl-Jean Longuet et paru Ă lâImprimerie nationale en 1979.
- Maison de Balzac : Balzac, 1958, bronze.
- musée d'Art moderne de Paris[15] :
- Jeune fille à la pomme, 1931, bronze, 156 à 39 à 42 cm, n° inventaire AMS 255 ;
- Portrait de Simone Boisecq, 1946 ou vers 1955, bronze, 45 à 21,5 à 28 cm, n° inventaire AMS 204 ;
- Femme, 1949, granit.
- Maternité, vers 1953, pierre, 47,5 à 34,4 à 31,5 cm, n° inventaire AMS 202 ;
- Soleil, vers 1960, pierre blanche, 31 à 44,1 à 20,5 cm, n° inventaire AMS 518 ;
- Sans titre, vers 1963, plomb martelé et soudé, 105 à 30,5 à 18,5 cm, n° inventaire AMS 291 ;
- Sans titre', 1964, pierre d'Anstrude, 73 à 26 à 22,5 cm, n° inventaire AMS 290.
- musée national d'Art moderne :
- Le Couple ou Le Baiser, 1934, granit rose, 76 Ă 27 Ă 26 cm ;
- Femme accroupie, 1949, granit noir, 40 à 35 à 48 cm, n° inventaire AM 901.S ;
- Couple, 1949, plùtre original teinté, 84 à 21 à 19 cm ;
- Buste de Karl Marx, 1950, plùtre original patiné sur pierre taillée, 59 à 40 à 39 cm ;
- Couple, 1952, bronze, 24 Ă 32 Ă 21,5 cm ;
- Balzac, 1958, plĂątre original, 108 Ă 43 Ă 40 cm ;
- La Tour, 1959, bronze, 96 à 30,5 à 30 cm, n° inventaire AM 2018-7 ;
- La ForĂȘt, 1960, marbre, 74 Ă 22 Ă 10 cm ;
- Bois, 1960, 155 Ă 42 Ă 30 cm ;
- Racine, 1968, bois d'olivier, 112 Ă 85 Ă 42 cm.
- collections du Centre national des arts plastiques[12] :
- Poitiers, musée Sainte-Croix :
- L'Arbre aux enfants, 1958, plùtre, 300 x 100 à 100 cm, n° inventaire 987.9.1 ;
- La ForĂȘt, 1961, bronze, 50 Ă 50 Ă 5 cm.
- Reims, musée des Beaux-Arts[16] :
- Karl Marx, vers 1930, plùtre, 32 à 36 à 39,5 cm, n° inventaire 2012.5.2 ;
- Africaine, 1931, plùtre patiné, 61 à 38 à 25,5 cm, n° inventaire 2012.5.3 ;
- TĂȘte pour le paquebot "Normandie", 1934, plĂątre, 33,8 Ă 17,5 Ă 26,5 cm, n° inventaire 2012.5.4 ;
- Dina, 1937, plùtre patiné, 22,8 à 23,5 à 23, n° inventaire 2012.5.1 ;
- Ćdipe conduit par Antigone, 1944, plĂątre teintĂ© sur armature de bois, 110 Ă 111 Ă 19 cm, n° inventaire 2012.5.5 ;
- TĂȘte de la LibĂ©ration, 1944, plĂątre, 33,5 Ă 28,5 Ă 32,5 cm, n° inventaire 2012.5.6 ;
- Femme au bras levé, 1948, pierre reconstituée ou moulée, 67 à 25 à 31 cm, n° inventaire 2012.5.7 ;
- Femme accroupie, 1949, terre cuite teintée, 37,5 à 35,3 à 46,5 cm, n° inventaire 2004.3.1 ;
- Le Couple, 1953, bronze, 164,7 à 44,5 à 39 cm, n° inventaire 2008.3.1 ;
- La ForĂȘt, 1958, fonte de fer, 50,6 Ă 50,2 Ă 5,3 cm, n° inventaire 2012.5.8 ;
- Hommage à la musique, 1958, plùtre teinté sur armature de bois, 106 à 87 à 14 cm, n° inventaire 2012.5.9 ;
- Soleil noir, incertain 1968-1969 ou 1971, granit, 125 à 44 à 50 cm, n° inventaire 2012.4.1 ;
- Projet pour une allÚge de la Faculté de Lille, vers 1970, plùtre, 51,4 à 149 à 10,5 cm, n° inventaire 2012.5.11 ;
- Architecture Créteil, incertain 1974, plùtre, 100,5 à 19 à 17,4 cm, n° inventaire 2012.5.10.
- Valence, musée d'Art et d'Archéologie : Fontaine, 1957, bronze, 105 à 57 à 48 cm n° inventaire D 2013.4.1[17].
Sculptures monumentales
- 1934 : quatre bas-reliefs pour les pilles du Pont de Champigny, petit bras du viaduc, architecte Pillet.
- 1936-1938 : Travaux des Hommes et Travaux des Femmes, bas-reliefs pour les écoles élémentaires Robespierre et Voltaire à Montreuil.
- 1937 : fontaine monumentale, Exposition internationale des arts et techniques dans la vie moderne, Paris.
- Monument Ă Adrien Pressemane, buste en bronze et portique en pierre, Saint-LĂ©onard-de-Noblat[14].
- 1939 : Légende de Raymond Lulle et Les Alchimistes, bas-reliefs pour la nouvelle faculté de médecine de Paris, rue des Saints-PÚres, architecte Louis Madeline.
- StĂšle Ă TomĂĄĆĄ Masaryk, Deauville.
- 1942 : Femme assise, 1942, sculpture ronde-bosse, pierre de Lavoux, 135 x 52 x 75 cm, place des marchands, Manosque.
- 1948 : MĂ©daillon Ă l'effigie de Paul Langevin, Ăcole supĂ©rieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris.
- 1949 : Le Résistant (Le Gisant), monuments aux résistants, Préfecture de Police de Paris, 120 à 288 à 132 cm.
- 1952 : Fontaine, plomb, ChĂątenay-Malabry, architecte Pierre Sirvin
- 1954 : bas-relief pour le groupe scolaire de BerniĂšres-sur-Mer, Ă©cole de filles, architecte Georges Trouillot.
- 1956 : Fontaine, plomb, 1,54 m de hauteur, groupe scolaire des Blagis, Sceaux, architecte Paul Herbé.
- 1956-1959-1964 : Balzac, pierre, hauteur 3,30 m, et mur sculpté de 26 mÚtres, bas-reliefs, Lycée Honoré de Balzac, Paris, architecte Jean-Pierre Paquet (1 % artistique).
- 1958 : bas-relief pour le collÚge d'Ussel, architecte René Blanchot.
- Fontaine, plomb, groupe scolaire TomĂĄĆĄ Masaryk, ChĂątenay-Malabry, architecte Pierre Sirvin.
- L'Arbre aux enfants, pierre, hauteur 2,80 m, groupe scolaire des Bénédictins, Limoges-Bénédictins, architecte René Blanchot.
- 1960 : sculpture, pierre, collĂšge technique du Mans, architecte Pierre Vago.
- 1961 : La Tour, pierre, lycée Gay-Lussac, Limoges.
- 1963 : Signal, plomb, hauteur 3 m, groupe scolaire de Nanteuil, Montreuil, architecte Pierre Audra (1 % artistique).
- 1964 : Monument à Léon Betoulle, Limoges, architecte René Blanchot.
- Sculpture, pierre, Ă©cole nationale de mariniers, Saint-MammĂšs, architecte Fildier.
- Sculpture, pierre, hauteur 3 m, groupe scolaire, Athis-Mons, architecte René Blanchot.
- 1965 : ensemble sculpté, pierre, grand ensemble à Rosny-sous-Bois, architecte Jean de Mailly.
- 1966 : sculpture, pierre, collÚge du Val de l'Aurence, Limoges, architecte René Blanchot.
- Bas-reliefs, pierre, 5 m2.50 pour une cité de Montreuil, architecte Maurice Novarina.
- 1967 : mur, 12 m2, centre commercial du Palais, Mont-Mesly, Créteil, architecte Charles-Gustave Stoskopf.
- 1968 : mur extérieur, briques, 500 m2, complexe universitaire agricole Toulouse Auzeville, architecte André Remondet (1966-1968).
- Deux fontaines, Mont-Mesly, Créteil, architecte Charles-Gustave Stoskopf.
- Signal, cuivre, hauteur 5 m, collÚge d'enseignement secondaire mixte Saint-Symphorien, Quartier Saint-Symphorien de Tours [renommé CES Pierre-de-Ronsard], architecte Jean Aubert (1 % artistique).
- Signal, plomb, villede Dreux.
- 1969 : sculpture, pierre; hauteur 3,30 m, cour d'honneur du lycée Guy-Lussac, Limoges, architecte René Blanchot
- 1970 : L'arbre de la science, collĂšge Pierre-et-Marie Curie, quartier des Chamards, Dreux, architecte Jean-Paul Chauliat.
- Bas-relief, face au centre commercial de Créteil, boulevard Kennedy, architecte Charles-Gustave Stoskopf
- Fontaine pour un bassin, pierre, 5,40 x 3,80 Ă 3,40 m, Argenteuil, architecte Richard Dubrulle.
- 1971 : La Tour, pierre, hauteur 6 m, lycée du parc de Vilgénis, Massy, architecte René Blanchot.
- 1972 : La Fleur, pierre, hauteur 3,50 m, Ă©cole Jules Verne, Vitry-sur-Seine, architecte Mario Cappa (1 % artistique)[18].
- 1973 : L'Arbre de la libertĂ©, polyester, hauteur 6 m, collĂšge Paul Ăluard, Vigneux-sur-Seine, architecte RenĂ© Blanchot (disparue au dĂ©but des annĂ©es 1980).
- Parement de façade, béton, 7 à 2 m, Université de Lille, faculté de Droit et de Lettres, Villeneuve-d'Ascq, architecte Pierre Vago (1 % artistique).
- Sculpture, pierre, hauteur 3 m, collĂšge de Fameck, architecte Zonca.
- 1974 : deux sculptures, pierre, hauteur 3 m, collÚge de Legé, architecte Jean-Paul Chauliat.
- Signal, laiton, lycée Napoléon, L'Aigle, architecte Paul Vimond (1 % artistique).
- Dix piliers sculptés, centre commercial du Palais, Créteil, architecte Samuel Goldenberg.
- 1975 : sculpture, pierre, hauteur 3 m, collĂšge de Woippy, architecte Zonca.
- 1976 : sculpture, cuivre, hauteur 5 m, lycée Henri Wallon, Aubervilliers, architecte André Remondet.
- 1977 : deux bas-relief, plomb, 8 m2, hall d'accueil de la Société miniÚre et métallurgique de Peñarroya, 49Ú étage de la Tour Montparnasse, Paris.
- 1979 : Signal, cuivre, hauteur 5 m, centre commercial, Martigues-nord, architectes Vibert, Stroebel, Salles et Noack.
- 1981 : Signal, cuivre, hauteur 5,5 mÚtres, quartier des Prés, Montigny-le-Bretonneux, architecte Maurice Novarina].
- Hommage Ă Salvador Allende (maquette); 1984, bronze, 284,5 x 100 Ă 79 cm, Parc LĂ©onard-de-Vinci, ChĂątenay-Malabry[19].
Ăditions par la Monnaie de Paris
- MĂ©daille George Bernard Shaw, 1966, bronze, diamĂštre 12,4 cm.
- Labyrinthe, 1974, bronze, 12,6 Ă 14,1 cm.
- Bas-relief, 1976, bronze, 33 Ă 10 cm.
- Plaque bas-relief biface, 1976, bronze, 17 Ă 13 cm.
- Plaque bas-relief biface, 1978, bronze, 17 Ă 13 cm.
- L'Arbre en flammes, 1980; bronze, hauteur 24,5 cm[20]
- MĂ©daille Hein SchĂŒtz, bronze, diamĂštre 7 cm.
- MĂ©daille Fernand LĂ©ger.
- MĂ©daille Friedrich Engels
- MĂ©daille Anna de Noailles""
Illustrations
- Jean Guichard-Meili, La Vue offerte (Mondrian, Klee, MirĂł, Zack, EstĂšve, Beaudin, Szenes, Bazaine, Elvire Jan, Vieira da Silva, Adam, Longuet, Lobo, Manessier, Singier, Le Moal, Paul Kallos, Cherkaoui), Paris, La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1972.
- Charles Baudelaire, Le Spleen de Paris, Petits poĂšmes en prose, lithographies de Karl-Jean Longuet, Paris, Imprimerie nationale, 1980[21].
Publications
- Friedrich Teja Bach, Constantin Brancusi : Metamorphosen Plastischer Form, entretien avec Karl-Jean Longuet, Cologne, 1987.
Voir aussi
Archives
- Fonds Karl Longuet-Marx et Simone Boisecq (1926-2020) [archives écrites et photographiques ; 42 boites]. Cote : LONBOI 1 - 42. Paris : BibliothÚque Kandinsky, Centre Pompidou (présentation en ligne).
Articles connexes
- Karl Marx, son arriĂšre-grand-pĂšre (1818-1883)
- Charles Longuet, son grand-pÚre (1839-1903), qui a épousé Jenny Marx (1844-1883)
- Jean Longuet, son pĂšre (1876-1938)
- Simone Boisecq, son Ă©pouse (1922-2012)
Bibliographie
: source utilisée pour la rédaction de cet article
Monographies
- « Karl-Jean Longuet », Les Cahiers d'art â Documents, no 139, GenĂšve, Ăditions Pierre Cailler, 1960.
- Anne Longuet Marx, Le Soleil et l'envol, Ă la rencontre de Simone Boisecq et Karl-Jean Longuet, sculpteurs, Paris, L'atelier contemporain, 2022. (ISBN 9782850350559) -
Catalogues d'expositions
- Jean Guichard-Meili, Karl-Jean Longuet, 36e Salon des Réalités Nouvelles, Paris, 1982.
- Jean Guichard-Meili, Karl-Jean Longuet, musĂ©e de Metz, Ăditions des musĂ©es de Metz, 1983.
- Karl-Jean Longuet, préface de Francis Villadier, textes de Jean-Jacques Lerrant, René Deroudille, Pierre Lemonnier, K. T. Maugis et Denys Chevalier, Musée d'art et d'histoire de Meudon, 1984
- Karl-Jean Longuet, Centre culturel Jacques Brel de Thionville, 1987.
- Anne Longuet Marx, Karl Jean Longuet, dans LumiĂšre, Couleurs, Formes (Roger BissiĂšre, Jean Bazaine, AndrĂ© Beaudin, Jean Bertholle, Simone Boisecq, Maurice EstĂšve, Ătienne-Martin, Eudaldo, AndrĂ© Fougeron, LĂ©on Gischia, Elvire Jan, Charles Lapicque, Lucien Lautrec, Jean Le Moal, Karl Jean Longuet, Alfred Manessier, Juana Muller, Alicia Penalba, Ădouard Pignon, Mario Prassinos, Gabriel Robin, Hans Seiler, Gustave Singier, François Stahly, ĂrpĂĄd Szenes, Pierre Tal Coat, Raoul Ubac, Maria Elena Vieira da Silva, Jacques Villon), HĂŽtel de Ville d'Aulnay-sous-Bois, , p. 28.
- Karl-Jean Longuet et Simone Boisecq, de la sculpture Ă la citĂ© rĂȘvĂ©e, MusĂ©e des Beaux-Arts d'Agen; MusĂ©e Unterlinden de Colmar; MusĂ©e des Beaux-Arts de Limoges; MusĂ©e Sainte-Croix de Poitiers; MusĂ©e des Beaux-Arts de Reims - Lyon, Fage Ă©ditions, 2011, 216 pages (ISBN 978 2 84975 218 0).
- La Collection d'art moderne, musĂ©e de la Cour d'Or â Metz MĂ©tropole, Silvana Editoriale, 2014, 204 pages (ISBN 9788836628070).
- Chefs-dâĆuvre du musĂ©e des Beaux-Arts de Reims, Lienart, 2017 (p. 238-239).
- Simone Boisecq et Karl-Jean Longuet, une sculpture vivante entre Bretagne et Saint-Germain-des-Prés, Archives et Patrimoine, Auray, 2021.
- Au cĆur des abstractions, Marie Raymond et ses amis, MusĂ©e de TessĂ©, Le Mans, Arteos, 2021
- Donation Boisecq Longuet au musĂ©e des Beaux-Arts de Dijon, prĂ©face de François Rebsamen, textes de Anne Longuet Marx, AgnĂšs Werly, Blandine Chavanne, Thierry DufrĂȘne et Sabrina Dubbeld, Silvana Editoriale/musĂ©e des Beaux-Arts de Dijon, 2022, 112 p.
Articles de presse
- Georges Boudaille, « La sculpture actuelle au carrefour », dans Cimaise, no 52, Paris, 1961, p. 89.
- Gérald Gassiot-Talabot, « Karl-Jean Longuet », dans Cimaise, no 68, Paris, 1964, p. 48-58.
- « Karl-Jean Longuet », dans Le Club Français de la médaille, no 15, Paris, 1967, p. 48.
- Anne Longuet Marx, « Les sculpteurs Karl-Jean Longuet et Simone Boisecq : nouvelles acquisitions », dans La Revue des Musées de France, revue du Louvre, Paris, no 5, , p. 77-86
- Anne Longuet Marx, « Le Balzac de Karl-Jean Longuet au Musée Honoré-de-Balzac » et Yves Gagneux, « Le Balzac de Karl-Jean Longuet à la Maison de Balzac », Revue Sculptures, no 4, Publications de l'Université de Rouen et du Havre 2017 (p. 123 et 125).
- Marion Pacot, « Simone Boisecq et Karl-Jean Longuet, un couple de sculpteurs modernes », dans Revue Péristyles, Cahiers des Beaux-Arts de Nancy, .
Ouvrages généraux
- Michel Seuphor, La Sculpture de ce siĂšcle, Ăditions Griffon, NeuchĂątel, 1959.
- P. M. Leroy, Adam Saulnier, LâArt prĂ©sent dans la citĂ©, SociĂ©tĂ© centrale immobiliĂšre de la Caisse des dĂ©pĂŽts, Paris, 1969, p. 108
- Dictionnaire de l'art contemporain, Paris, Larousse, 1965.
- Michel Ragon et Michel Seuphor, Karl-Jean Longuet, dans L'art abstrait, 4, 1945-1979, Paris, Maeght Ă©diteur, 1974.
- Aube Lardera, « Karl-Jean Longuet », dans Ionel Jianou, GĂ©rard Xuriguera, Aube Lardera, La Sculpture moderne en France, Paris, Arted Ăditions d'Art, 1982
- Claude Louis-Combet, Karl-Jean Longuet, dans Des Artistes, Septentrion Presses universitaires, Villeneuve dâAscq, 2010, p. 103-104.
Filmographie
- Karl-Jean Longuet, sculpteur, par Denis LĂ©vy, 1983 (13 minutes).
Liens externes
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Delarge
- (de + en) Artists of the World Online
- (nl + en) RKDartists
- « Karl-Jean Longuet » sur photo.rmn.fr.
Notes et références
- « https://archivesetdocumentation.centrepompidou.fr/ead.html?id=FRM5050-X0031_0000310 » (consulté le )
- Anne Longuet Marx, Le Soleil et l'envol, Paris, L'atelier contemporain, 2022, p. 12.
- Jean-Francois Julien, « Le jour oĂč LĂ©on Blum inaugure Ă Saint-LĂ©onard, le buste de Pressemane, sculptĂ© par l'arriĂšre petit-fils de Marx », sur lepopulaire.fr, Le Populaire du Centre, (consultĂ© le ).
- Anne Longuet Marx, Le Soleil et l'envol, Paris, L'atelier contemporain, 2022, p. 13.
- Catalogue Claire Goll, 2012, Saint-Dié-des Vosges, p. 39.
- Catalogue Claire Goll, op. cit., p. 251.
- Seuls les noms d'Auricoste et de Marc Chagall sont inscrits. Il est prĂ©cisĂ© que Longuet a retravaillĂ© en trois dimensions l'Ćuvre de Chagall (op. cit., p. 146).
- Catalogue préfacé par Francis Villadier.
- Catalogue préfacé par Jean Guichard-Meili.
- https://webmuseo.com/ws/musee-unterlinden/app/collection/expo/42?lang=fr Images des Ćuvres de Karl-Jean Longuet et Simone Boisecq au MusĂ©e Unterlinden.
- Toutes les Ćuvres de Karl-Jean Longuet sont reproduites dans Donation Boisecq Longuet au musĂ©e des Beaux-Arts de Dijon, prĂ©face de François Rebsamen, textes de Anne Longuet Marx, AgnĂšs Werly, Blandine Chavanne, Thierry DufrĂȘne et Sabrina Dubbeld, Silvana Editoriale/musĂ©e des Beaux-Arts de Dijon, 2022, 112 p.
- https://www.cnap.fr/collection-en-ligne#/artworks?filters=authors%3ALONGUET%20Karl-Jean%E2%86%B9LONGUET%20Karl-Jean&page=1&layout=grid&sort=by_author Sculptures de Karl-Jean Longuet dans les collections du Centre national des arts plastiques
- « / Cnap », sur cnap.fr (consulté le ).
- (en) « à nos Grands Hommes - La monumentalité en cartes postales : Sculpteur⊠», sur musee-orsay.fr (consulté le ).
- http://www.mam.paris.fr/fr/collections-en-ligne#/artworks?filters=authors%3ALONGUET%20Karl-Jean%E2%86%B9LONGUET%20Karl-Jean&page=1&layout=grid&sort=by_author Images des sculptures de Karl-Jean Longuet conservées au musée d'Art moderne de Paris
- https://musees-reims.fr/fr/musee-numerique/oeuvres-en-ligne?ZoneCreation-PersonneChamp=6ef817f6-ad3f-4e71-82f1-20437732c091 Images des sculptures de Karl-Jean Longuet conservées au musée des Beaux-Arts de Reims.
- « Fontaine », sur museedevalence.fr (consulté le ).
- « Sans titre », sur Mairie de Vitry-sur-Seine, Mairie de Vitry-sur-Seine (consulté le ).
- « Hommage à Salvador Allende (Karl-Jean Longuet) », sur atlasmuseum.net (consulté le ).
- Bulletin du Club français de la médaille, no 69, 2e semestre 1980, p. 71, reproduction.
- « Le Spleen de Paris illustré par Karl-Jean Longuet (1904-1981) », sur inha.fr, (consulté le ).