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Lavoux

Lavoux est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Lavoux
Lavoux
Château de Bois-Doucet.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Poitiers
Maire
Mandat
Maguy Lumineau
2020-2026
Code postal 86800
Code commune 86124
Démographie
Population
municipale
1 183 hab. (2020 en augmentation de 3,68 % par rapport à 2014)
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 35′ 47″ nord, 0° 31′ 49″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 129 m
Superficie 15,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chasseneuil-du-Poitou
Législatives Première circonscription
Localisation
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Lavoux

    Géographie

    Les habitants se nomment les Lavousiens et les Lavousiennes.

    Localisation

    La commune se situe à la croisée des routes de Chauvigny (11 km), de Châtellerault (25 km), de Poitiers (15 km du centre ville) et du Futuroscope (15 km).

    Les communes limitrophes

    Géologie et relief

    La région de Lavoux présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées. C'est un pays de carrières, entouré de cultures céréalières et localisé à proximité de la forêt domaniale de Moulière.

    Le terroir se compose[1] :

    • sur les plateaux du seuil du Poitou de terres de brandes pour 65 % de la surface du territoire communal ;
    • sur les plaines calcaires, de groies profondes (35 %). Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite.

    En 2006, 67 % de la superficie de la commune étaient occupés par l'agriculture, 28 % par des forêts et des milieux semi-naturels, et 5 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides … constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 733 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chapelle-Moulie », sur la commune de La Chapelle-Moulière, mise en service en 1951[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 697,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 17 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Lavoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,7 %), forêts (28 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), zones urbanisées (6,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Lavoux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lavoux.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[24]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[25]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. 95,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999 et 2010, par la sécheresse en 1989 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[22].

    Risque technologique

    La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de km se mettent à l'abri[Note 9]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 10] - [28] - [29].

    Toponymie

    Le nom du village dérive du latin lavatorium qui signifie lavoir[30].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Depuis 2015, Lavoux est dans le canton de Chasseneuil-du-Poitou (no 1) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Lavoux était dans le canton no 24 de Saint-Julien-l'Ars dans la 1re circonscription.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31] - [32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1800 François Terrason
    1800 1813 Jacques Girault
    1813 1815 Antoine Joseph César de Lattre de Tassigny
    1815 1815 Antoine Brissonnet
    1816 1816 N. Peronet
    1816 1826 Hugues Alexandre Joseph Meunier (à partir de 1821, âgé et malade, il est dans l'incapacité d'exercer son mandat et Lavoux est sous tutelle d'un administrateur)
    1826 1830 Ferdinand Vezien de Montmartin (gendre du précédent)
    1830 1843 Antoine Brissonnet
    1843 1848 André Roy
    1848 1852 François Serre
    1852 1870 Antoine Brissonnet
    1870 1878 Paulin Brissonnet
    1878 1880 Jacques Guillot
    1880 1888 François Serre
    1888 1890 Désiré Brissonnet
    1890 1892 François Serre
    1892 1900 Jacques Girault
    1900 1904 Célestin Deforges
    1904 1919 Louis Girault
    1919 1944 Jean Brissonnet
    1944 1945 Henri Barillet
    1945 1953 Henri Fleurant
    1953 1955 Alphonse Fleurant
    1955 1959 Savin Martin
    1959 1977 Maurice Pouvreau
    1977 1999 Jean-François Lachaume
    mars 2008 avril 2014 Jean-Jacques Pain
    avril 2014 Maguy Lumineau

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

    En 2020, la commune comptait 1 183 habitants[Note 11], en augmentation de 3,68 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    288384351705661753837885884
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9991 0171 014622711819812725803
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    795753824753883793763641639
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6176375687488811 0081 1031 1151 177
    2020 - - - - - - - -
    1 183--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 74 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[37], il y a dix exploitations agricoles en 2010 contre neuf en 2000. Lavoux est une des rares communes du département de la Vienne qui voit le nombre d'exploitations augmenter en 10 ans

    Les surfaces agricoles utilisées ont logiquement augmenté (+ 17 %) et sont passées de 844 hectares en 2000 à 988 hectares en 2010. 46 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 35 % pour les oléagineux (colza), 3 % pour le fourrage et 1 % reste en herbes. En 2000, un hectare (0 en 2010) était consacré à la vigne.

    Industries

    La société CARRIERES DE LA VIENNE exploite les carrières situées sur le territoire communal.

    La pierre de Lavoux est extraite et utilisée pour la construction de maisons et bâtiments (cité des Castors à proximité de Poitiers), pour des aménagements intérieur et extérieur. Elle est exportée à l’étranger pour la restauration d’édifices ou des monuments historiques (la cathédrale de Lausanne en Suisse). Elle est également utilisée en sculpture (les vases et les statues du Jardin des Tuileries à Paris).

    La pierre de Lavoux a ainsi été utilisée pour la construction de l'Opéra de Paris et de la façade des Galeries Lafayette (Paris).

    Sur la quinzaine de carrières au plus fort de l’exploitation de la pierre, seules deux carrières sont encore en activité.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine civil

    • Le château du Bois-Dousset est classé monument historique depuis 1966 pour ses douves, ses communs, son parc, son escalier, sa porte, son élévation et sa toiture. Le château de Bois-Dousset (ou aussi Bois-Doucet) est entouré de douves. Il date du XVIe siècle et a été agrandi au XVIIe siècle. Il comprend une aile de style Renaissance aux ouvertures richement ornées. Le corps de logis, plus classique, abrite un bel escalier de pierre.
    • Entre Lavoux et Saint-Julien-l'Ars, le long de la D 1, à km, à droite, le petit château de Coudavid date du XIXe siècle.

    Patrimoine naturel

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[38], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un chêne rouvre situé sur le domaine de Bois Doucet.

    Équipement culturel

    La commune possède une bibliothèque publique qui détient environ 2 400 ouvrages.

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques et Louis Clocher (Marquet), soldats des troupes de la Marine en Nouvelle-France au XVIIe siècle, ayant fait souche au Québec[39].

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Le périmètre de km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
    10. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Chapelle-Moulie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Lavoux et La Chapelle-Moulière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Chapelle-Moulie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Lavoux et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Lavoux », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lavoux », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    30. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    31. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    32. Site de "Lavoux Patrimoine et Histoire", consulté le 9 août 2017
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    38. Poitou-Charentes Nature, 2000
    39. Les marsouins sur la piste de leurs origines sur lanouvellerepublique.fr.
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