Jean-Denis Maillart
Jean Jacques Henri Denis Maillart nĂ© le Ă Paris et mort le Ă Illiers-l'ĂvĂȘque (Eure) est un peintre, graveur, illustrateur et dĂ©corateur français. Petit-fils de DiogĂšne Maillart
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DĂ©cĂšs |
(Ă 90 ans) Illiers-l'ĂvĂȘque |
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Roger Maillart (d) |
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ParentĂšle |
DiogĂšne Maillart (grand-pĂšre) |
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MaĂźtre | |
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Distinction |
Biographie
Jeunesse
Jean-Denis Maillart est né le dans le 8e arrondissement de Paris[1]. Ses premiers tableaux et ses dessins de mode sont signés Jean Maillart. En 1939, il a pris comme nom d'artiste Jean-Denis Maillart.
Il est issu d'une famille de peintres par son pÚre, Roger Maillart[2] ainsi que par sa mÚre, Suzanne Marion[3], mariés à Paris[4].
Il a deux ans lorsque meurt son pĂšre[5].
AprĂšs sa scolaritĂ© au collĂšge Sainte-Croix-de-Neuilly, il a passĂ© son baccalaurĂ©at en 1932[6]. Il a Ă©tĂ© Ă©tudiant dans l'atelier dâĂmile Renard tout en frĂ©quentant lâĂcole nationale supĂ©rieure des beaux-arts dĂšs 1929. Inscrit Ă lâĂcole le dans lâatelier d'AndrĂ© Devambez, il a prĂ©fĂšrĂ© suivre lâenseignement dâOthon Friesz et s'est vu primĂ© pour un portrait, son premier envoi, au Salon des artistes français de 1935[7]. « En peinture, j'ai toujours pensĂ© portrait, dira-t-il plus tard ». Mais en mĂȘme temps il voulait aider sa mĂšre et, ayant du gout pour la mode, a utilisĂ© son imagination crĂ©atrice en dessinant robes, chapeaux qu'il vendait aux grands couturiers qui sont toujours Ă l'affut de nouveautĂ©s et d'originalitĂ© artistique. Ătre modĂ©liste indĂ©pendant l'a familiarisĂ© avec les maisons de couture parisiennes, Jeanne Lanvin, Madame AgnĂšs le recevaient ; grand, mince, distinguĂ©, ce bien jeune homme n'en Ă©tait pas moins fĂ©ru d'histoire du costume, hantant les bibliothĂšques. Sa premiĂšre cliente a Ă©tĂ© Marguerite CarrĂ©, entre elle et lui naquit une amitiĂ© Ă vie[8].
Le , il a Ă©pousĂ© Jacqueline Mornand[9], fille de lâhomme de lettres Pierre Mornand[10] - [11] et de Germaine Mornand nĂ©e Poidatz. Ensemble ils auront huit enfants[9].
Cette mĂȘme annĂ©e, lors du vernissage du 5e Salon portraits contemporains Ă la galerie de Paris, il a fait la connaissance de la photographe Laure Albin-Guillot, alors au faĂźte de sa gloire, qui lui a ouvert les portes du Tout-Paris et dont il conservera lâamitiĂ© la vie durant[12] - [13]. Il leur est arrivĂ© d'exposer ensemble, dans la mĂȘme galerie et sur le mĂȘme thĂšme, elle par ses Ćuvres photographiques encadrĂ©es et lui par ses toiles, par exemple « Les Fleurs de Laure Albin-Guillot et de Jean-Denis Maillart »[14] - [15] - [16].
En 1943, il dessine des publicitĂ©s â entre autres pour Mellerio dits Meller[17] â, illustre des magazines de mode[18] - [19] et rĂ©alise des couvertures de roman comme pour La Belle amour de Francis Carco (1952)[20] ou pour Louis-Charles Royer (1952, 1959)[21].
La mode
En septembre 1938, de modĂ©liste indĂ©pendant, Madame Jacques, deuxiĂšme Ă©pouse de Jacques Worth, l'engagea comme modĂ©liste crĂ©ateur[22] au vu des croquis qu'il lui prĂ©senta au 120, Rue du Faubourg-Saint-HonorĂ©, heureuse d'en avoir un masculin. Plein d'enthousiasme dans ce monde de fascinantes couleurs et des plus belles broderies, des plus riches fourrures et tissus rares, il y devint designer en chef, habilla la princesse Faouzia Ă son mariage avec le Chah d'Iran, Mme Albert Lebrun Ă l'occasion du voyage officiel de son mari Ă la cour de Saint-James, la femme de BáșŁo ÄáșĄi, Nam PhÆ°ÆĄng... C'Ă©tait l'Ăąge dâor pour la haute couture parisienne Ă la fin des annĂ©es 1930, il participa Ă la prĂ©paration des collections et travailla avec les couturiers de renom[23]. Les modĂšles conçus et dessinĂ©s par Jean-Denis Maillart (1937-39) ont Ă©tĂ© offerts par la Maison Worth au Victoria and Albert Museum, London. Les maquettes du musĂ©e ont Ă©tĂ© rĂ©unies dans un livre : Victoria and Albert Museum, Department of Prints and Drawings and Department of Paintings: accessions 1957-1958[24]. Voir .
Ă la fermeture de la grande maison, Jean-Denis Maillart entra, dĂ©mobilisĂ© aprĂšs la Seconde Guerre mondiale, chez Jean Patou en 1942[25]. Il avait du succĂšs, son style Ă©tait, lĂ aussi, apprĂ©ciĂ© et tout semblait devoir continuer mais au moment oĂč la mode lui offrait avantageusement une carriĂšre assurĂ©e, il dĂ©cida, au lieu de devenir couturier, de tenter de vivre de sa peinture qu'il n'avait jamais abandonnĂ©e .« De la silhouette de mode Ă la toile de maitre. Ce jeune et audacieux artiste, vous l'avez peut ĂȘtre connu comme moi dans les salons de ces grandes maisons dont il Ă©tait le modĂ©liste. » Le Journal 13 03 1943[26]. Quand il exĂ©cuta de grands dessins pour servir de fond aux photos de mode de Mme Albin-Guillot qui exposait en dĂ©cembre 1941, la peinture rĂ©clamait en lui son dĂ» au styliste.
La peinture
En effet, lâĂ©tĂ© 1942, Jean-Denis Maillart s'Ă©tait installĂ© pour plusieurs mois Ă la campagne, dans la propriĂ©tĂ© de ses beaux-parents, avec son Ă©pouse, ses trois enfants, son jeune Ă©lĂšve et l'ami peintre Luigi Corbellini pour y peindre. Il en rĂ©sulta une premiĂšre exposition personnelle de 30 toiles en Ă la galerie Jean Pascaud au 163, boulevard Haussmann Ă Paris[27] - [28]. Visitant son atelier Ă cette Ă©poque, Paul ValĂ©ry lui dĂ©dia les lignes suivantes :
« Jâai coutume, ou la manie de dire : le peintre cherche la peinture, parole profonde que je nâai pas le loisir, peut-ĂȘtre les moyens, dâexpliquer, mais je crois, mon cher Denis Maillart, que vous avez trouvĂ©. â Paul ValĂ©ry[29] »
En 1943, Jean-Denis Maillart prĂ©senta au Salon des Tuileries sa Dame en noir qui lui valut avant la fin de l'exposition, dix commandes de portraits dans la haute sociĂ©tĂ© parisienne[30]. Au Salon des Tuileries de 1946 oĂč il a envoyĂ© une Ătude pour la danse posĂ©e par RenĂ©e Jeanmaire (qui deviendra Zizi Jeanmaire), la toile Ă©tĂ© acquise par le Fonds national d'art contemporain,conservĂ©e dans la rĂ©sidence de lâAssemblĂ©e nationale[31] - [32]. En 1944, il exposait un autoportrait au Salon des indĂ©pendants[33].La carriĂšre dĂ©marrait.
ĂlĂšve
Jean-Denis Maillart, ayant déjà du succÚs comme peintre, a été, à Paris de 1942 à 1943[34], le professeur de François Morellet ; il lui donnera des cours et lui permettra d'exposer une de ses premiÚres toiles au Salon de Société nationale des beaux-arts[35] - [36].
Ćuvre
Portraits
Au cours de sa carriĂšre, Jean-Denis Maillart rĂ©alise plus de 2 000 toiles : tĂȘtes d'enfants, arlequins, paysages, bouquets de fleurs, avec une tendance symboliste plus tardive et plus de 600 portraits, parmi lesquels ceux de personnalitĂ©s comme le prince Hassan Aziz Hassan et l'impĂ©ratrice d'Iran Fawsia[37], la derniĂšre sultane turque NesliĆah[38], la reine Farida[39], Isa Miranda[40], Barbara[41], Jeanne Moreau[42], Charles Edward Merrill (en), David Rockefeller[43], Bernard et Mirabel Magdelene Kelly, la comtesse de Paris, sa fille la duchesse Diane de Wurtemberg et son Ă©poux duc Carl[44], le prince Albert II de Monaco[44] ou le comte Jacques-Rodolphe de Wurstemberger, le baron Hottinguer, la princesse de Bourbon Parme, le duc de Mouchy, d'Harcourt, Paul-Louis Weiller, Louis de Polignac ; Ă New York, il peint quarante portraits en trois mois en 1957 et soixante en 1961.
Peintures murales
En 1960, La Municipalité de Blonville confie à Jean-Denis Maillart la décoration intérieure de la chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption construite en 1954[45] - [46], dans laquelle il réalise 13 peintures murales.
Scénographie
Entre 1947 et 1954, Jean Denis Maillart a réalisé un grand nombre des maquettes de costumes et une vingtaine de décors de ballet, de théùtre, de film.
- Paris, Opéra Garnier :
- La Péri, chorégraphie de Serge Lifar, musique de Paul Dukas, 1948[47] ;
- Passion, ballet en un acte, chorégraphie de Serge Lifar, 1950[48] ;
- Printemps à Vienne ballet en 1 acte sur un livret de Harald Lander sur la Symphonie no 2 de Schubert, chorégraphie et mise en scÚne de Harald Lander, Dansé par Lyane Daydé, 1954[49] ;
- Combat par Lycette Darsonval, 1957, sur une musique de Rafaello de Banfield[50] ;
- La Valse, chorégraphie de Harald Lander, musique de Maurice Ravel, 1958[51].
- Londres, London Festival Ballet :
- CoppĂ©lia, chorĂ©graphie dâHarald Lander, musique de LĂ©o Delibes, 1956[52] - [53].
- Milan, La Scala :
- La PĂ©ri de Serge Lifar, musique de Paul Dukas, 1950[54].
- Paris, thĂ©Ăątre des Champs-ĂlysĂ©es :
- Silk Rapsody, ballet de Jean-Michel Damase et Clarendon, dansé par Liane Daÿdé, [55].
- Opéra de Marseille :
- La Tendre ĂlĂ©onore, opĂ©ra-ballet, mise en scĂšne de Joseph Lazzini, musique de Jean-Michel Damase, OpĂ©ra de Marseille, 1952[56].
- Décors et costumes de théùtre :
- Le Prince des neiges de Roger Peyrefitte, Théùtre Hébertot Paris, 1947[57] dont l'édition imprimée de 1947 présente un frontispice de Jean-Denis Maillart[58].
- Borgia, mise en scĂšne de Claude Sainval ; piĂšce en 3 actes et 4 tableaux de Herman Closson, avec Françoise Christophe... ComĂ©die des Champs-ĂlysĂ©es, Paris, 1947[59].
- La Dame aux camélias d'Alexandre Dumas fils, avec Edwige FeuillÚre, Jean-Claude Pascal. Théùtre Sarah-Bernhardt, 1949, avec l'aimable autorisation du Théùtre Hébertot[60].
- AnadyomÚne, drame en quatre actes, mise en scÚne de Pierre Valde Texte de Georges Clément. Théùtre Apollo, 1953[61].
- LâĂtourdi - Dom Juan Tenorio, drame en 2 actes et 7 tableaux de Zorilla, adaptation et mise en scĂšne de Henry Mary, 1er Festival d'Art Dramatique, Ajaccio, 1954[62].
- Le Ciel de lit, piÚce en 3 actes et 6 Tableaux de Jan de Hartog, adaptation française de Colette, Mise scÚne de Pierre Fresnay, interprétée par Marie Daems et François Périer, Théùtre de la MichodiÚre, Paris, 1953[63].
- Le Prince de papier, comédie en 2 actes et 6 tableaux de Jean Davray, mise en scÚne de Jacques Charon avec Claudine Coster, Jean-Louis Trintignant, Théùtre Marcel Herrand, Les Mathurins, 1959[64] - [65].
- Monsieur de France, comédie en 3 actes de Jacques François, mise en scÚne de Christian-Gérard Théùtre des Bouffes-Parisiens, 1958[66] - [67].
- De doux dingues, texte de Michel AndrĂ© d'aprĂšs Joseph Carole, mise en scĂšne de Jean Le Poulain , ThĂ©Ăątre Ădouard-VII Paris, 1960[68].
- DĂ©cor et costumes de film :
- Le Fil à la Patte, mise en scÚne de Noël-Noël et Guy Lefranc 1954[69].
DĂ©cors d'expositions et de festivals
Outre des affiches pour ballet[70], expositions ou festivals[71] - [72], Jean-Denis Maillart a également composé des décors pour :
- Floralies internationales de Paris, avril-, au CNIT, Paris La DĂ©fense, dĂ©coration des 700 m2 du pavillon du rosiĂ©riste Georges Delbard[73] : « une prĂ©sentation originale qui tient Ă la fois de lâart du jardinier et de lâart dramatique, dans un dĂ©cor lĂ©ger et fabuleux signĂ© Jean-Denis Maillart â le peintre pour qui rĂ©alitĂ© et songe se mĂȘlent dans le mĂȘme ivoire des siĂšcles â et Bernard Bon, un jeune dĂ©corateur de talent »[74].
- La Fée dentelle, exposition organisée par la Fédération nationale des dentelles et broderies au Palais Miramar à Cannes du 1er au dans un décor de Jean-Denis Maillart[75].
- Décor pour le souper de clÎture du 7e Festival International du Film à Cannes, le , aux Ambassadeurs et illustration de la couverture du programme de la soirée[76].
- DĂ©cor pour le gala de clĂŽture du XVIe Festival du film du Aux Ambassadeurs Ă Cannes[77].
- DĂ©coration de la Rotonde de l'OpĂ©ra Garnier pour la soirĂ©e du Cercle Carpeaux deux annĂ©es de suite les [7] - [78] oĂč le dĂ©cor et les costumes du Divertissement Ă©taient Ă©galement signĂ©s de l'artiste. Et le [79] oĂč il a spĂ©cialement composĂ© la couverture du programme[80].
- Décorateur de la Compagnie fermiÚre de Vichy sous la direction de Jean-Pierre Bourgeois, pour la relance de cette ville, Jean-Denis Maillart rénove « La Restauration » (rebaptisé le « Grand café » inauguré le dimanche 30 juin 1985), le pavillon Sévigné, les pavillons du Sporting (tennis et golf) et des Sources. De 1984 à 1985[81].
Lithographie
- Le Bateau ivre dâArthur Rimbaud, 1944[82].
- Arbre, 1 noir/blanc 1/80, 1972.
- Arbre, 2 noir/blanc 1/80, 1972.
- Le Cri, 6 couleurs 1/80, 1973.
- Les Chevaux marins, 4 couleurs 1/80, l973.
Gravure au burin
- Les Trésors du Monde, cinq gravures sur cuivre sur « Les trésors légendaires à la banque moderne » pour le Crédit lyonnais[83].
- Mercure franchissant les grilles, gravure au burin spécialement composée et gravée pour le dixiÚme anniversaire de la Banque française du commerce extérieur[84].
- Les Rois Mages (Los Reyes Magos), planche sur cuivre composée par l'artiste 41,5 à 31,5 cm pour la Banque de Cuba.
Dessins Ă la plume
Illustration de L'Histoire d'amour de la rose de sable d'Henry de Montherlant pour OpĂ©ra, journal de Roger Nimier, lâhebdomadaire du ThĂ©Ăątre, du CinĂ©ma et des Arts. Douze illustrations dont la publication commence dans le numĂ©ro du pour sâĂ©chelonner jusqu'au [85].
Gouache, aquarelle et mine de plomb
- L'Empreinte du dieu suivi de La Maison dans la dune de Maxence Van der Meersch, 1963 1re et 4e de couverture illustrées couleur, quatre double-pages couleur et 18 dessins en noir hors-texte pleine page[86].
- Missa est, ArthĂšme Fayard, 1951, commentaires et priĂšres de Daniel-Rops, planches photographiques de Laure Albin-Guillot, les culs-de-lampe sont des Ćuvres originales crĂ©Ă©es pour ce livre par Jean-Denis Maillart[87].
- Jeu de cartes pour Odiot orfĂšvre, Paris, dans un coffret « ambrin » dont la transparence dĂ©voile deux visages mystĂ©rieux sur fond marbrĂ© constituant le dos des cartes, assorti dâun motif en vermeil ornant le dessus de la boite[88] - [89].
Expositions
- 1937 : galerie de Paris, 5e Salon Portraits contemporains.
- 1937 : 33e Salon d'automne, Paris.
- 1938 : Salon des artistes français, Portrait de Mgr Petit de Julleville.
- 1938 : Salon dâautomne, Portrait de Mme Marcel RhotĂ©.
- 1940 : Grand Palais, Paris, Salon des artistes français, Portrait de Me Auburtin.
- 1940 : Le Salon, Paris, , Portrait de Laure Albin-Guillot.
- 1940 : galerie Jean Pascaud, 165, boulevard Haussmann, Paris, Variations sur la Mode, Laure Albin-Guillot et Jean-Denis Maillart.
- 1941 : exposition personnelle chez l'artiste, Portrait de Suzy Solidor, Portrait de Mona Goya.
- 1941 : exposition commune chez Laure Albin-Guillot, Paris, 24-, « Fleurs »[90].
- 1943 : Salon national indépendant, Paris, Autoportrait.
- 1942 : galerie Jean Pascaud, Paris.
- 1943 : galerie Charpentier, Paris 11 02, Maximâs. la Vie familiale.
- 1944 : galerie Charpentier, Paris 04, « ScĂšnes et figures parisiennes », Un dĂźner chez Maximâs.
- 1944 : Salon des Tuileries, palais de Tokyo, Paris, La Dame en noir.
- 1943 : galerie des Jacobins, Lyon. Peintures Jean-Denis Maillart/Photographies Laure Albin-Guillot[91].
- 1943 : Salon dâautomne, Paris.
- 1945 : atelier de l'artiste, lithographies originales du Bateau ivre dâArthur Rimbaud.
- 1946 : galerie Charpentier, Paris, La Vie silencieuse.
- Exposition Ă lâatelier Portrait de Mme Vernier, Jeune fille Ă la poupĂ©e.
- Petit Palais, palais de Tokyo, Salon des Tuileries.
- 1947 : Continental-Savoy, Le Caire, Portrait de Jacques François, une trentaine de toiles parmi lesquelles La Dame en noir, Ătude sur fond or, Le BĂ©ret flamand, portraits de Jacqueline Malard-Janet, de Jacques Dacqmine, de Lorraine et France Dubonnet. Galerie Lehmann, Alexandrie (la mĂȘme que celle du Caire).
- Durand-Ruel, Paris, 40 Ćuvres dont le portrait dâAndrĂ©e ClĂ©ment.
- 1948 : Ă lâatelier.
- Galerie Lambert, Paris, peintures de Jean-Denis Maillart, photographies de Laure Albin-Guillot.
- Galerie Alex Cazelles, 93, rue de faubourg Saint-HonorĂ©, Paris, Bord de mer, toile acquise par lâĂtat.
- 1954 : hĂŽtel Miramar, Cannes.
- Galerie Allard, Paris, Peintre de la Danse, Association des Amis de la Danse, le Syndicat des décorateurs et maquetteurs.
- 1958 : hĂŽtel Continental, Deauville.
- 1959 : galerie André Weil, Paris, seize toiles dont le portrait de la princesse Phung Yen, Dany Robin et ses enfants, Jeanne Moreau.
- 1959 : galerie Sem, Deauville, 26 toiles rĂ©centes dont les portraits de Liane DaĂżdĂ©, dâĂlina Labourdette, de Robert Fossorier, de François AndrĂ©, Le Gilet jaune, Nicolas au chapeau rond, La petite fille au perroquet, Enfant au chapeau dĂ©chirĂ©, Fille aux seins nus.
- Galerie 65, Cannes.
- 1965 : villa Les Sablons, Tourgeville-sur-Mer. Portraits du baron Rodolphe Hottinguer, de la princesse Christina Radziwill, de la vicomtesse de La Barre, de Domitille Marbeau Funck Brentano, de Jeanne Moreau, de Richard Reynard, de Xavier Guerrand-HermĂšs.
- 1966 : galerie Wyler, Mulhouse, « Peinture et Théùtre », Arlequin accroupi, Pierrot endormi, Arlequin à la barre (dessin).
- 1967 : Biennale azurĂ©enne, Salon International. Mention dâhonneur.
- 1968 : galerie Grassin-Champerneaud, Saint-Tropez.
- 1971 : galerie Tallien, Saint-Tropez.
- Ansdell Gallery, Londres.
- Galerie Michel-Ange, Monte-Carlo, « The English Garden » (portrait famille Kelly).
- 1977 : galerie Expo 90, Paris.
- 1978 : maquettes de théùtre, Paris, Livres en Liberté.
- 1978 : chùteau médiéval de Tourrettes-sur-Loup.
- 1979 : maquettes des décors et des costumes de théùtre dans les salons de la Société Paul Ricard, avenue Franklin-D.-Roosevelt, Paris.
- Forum Art Gallery, Monte-Carlo.
- HĂŽtel de Paris, Monte-Carlo[92],
- Galerie Haas, Vaduz, Liechtensteiner.
- HĂŽtel Monrepos, Ludwigsburger, Allemagne, les portraits du duc et de la duchesse de WĂŒrttemberg.
- 1980 : musĂ©e des Arts dĂ©coratifs, Paris. « La Famille des Portraits », avec le concours des musĂ©e du Louvre, musĂ©e national dâArt moderne, musĂ©e dâArt moderne de la Ville de Paris, musĂ©e dâAmiens, musĂ©e dâAngers, musĂ©e de Belfort, musĂ©e de Gray, musĂ©e de Menton, musĂ©e de Rouen. Portrait de Gilbert Edard (no 189 du catalogue).
- 1981 : galerie de lâEsplanade, Paris, La DĂ©fense, Le Nouveau Salon de Paris, invitĂ© dâhonneur.
- 1981 : galerie Le TriskĂšle, direction Sophie Babet, Paris.
- 1881 : Grand-Palais, Paris, Salon dâautomne, Le Masque de chair.
- 1982 : Grand-Palais, Paris, Salon dâautomne.
- 1983 : palais des FĂȘtes, VendĂŽme, Art de la Danse. Maquettes de thĂ©Ăątre.
- 1984 : galerie Proscenium, Paris. « Les arlequins vus par⊠», Brayer, Clavé, Carzou, Clayette, Cocteau, Fini, Louradour, MalclÚs, Maillart, Wakhévitch.
- 1984 : mairie de 6e arrondissement de Paris. Talents du 6e.
- 1984 : galerie dâArt municipale, Levallois-Perret, 23 toiles.
- 1985 : galerie ROR Volmar, Vichy.
- 1986 : Grand Palais, Paris, 23e Salon du dessin et de la peinture Ă lâeau, Danseur noir et blanc (gouache), Arlequin (aquarelle sur Japon).
- 1986 : Fontainebleau, salle des fĂȘtes du thĂ©Ăątre, exposition Les VanitĂ©s, Le Vainqueur. Exposants : Bernard Buffet, Chapelain-Midy, Jean CommĂšre, VerlindeâŠ
- 1986 : 4e Salon artistique du Lys organisé par l'Association artistique du Lys, salons de la préfecture de Seine-et Marne, Melun.
- 1988 : Salon artistique du Lys, préfecture de Seine-et Marne, Melun, Je est un autre, reproduit en p. 46 du catalogue.
- Grand-Palais, Paris, Salon dâautomne.
- 1992 : « Les Maillart », galerie Maltier-Vercher, Paris.
- 1993 : galerie Athéna, Saint-Tropez.
- 1998 : 44e Salon dâautomne, Artistes indĂ©pendants de Basse-Normandie. InvitĂ© dâhonneur.
Distinction
MĂ©daille de vermeil attribuĂ©e par la mairie de Paris en 1982 pour lâensemble de son Ćuvre et son rayonnement culturel Ă lâĂ©tranger[93] - [94].
Collections publiques
- Portrait de la Comtesse Annie Penteado, musée d'Art de São Paulo, Brésil[95].
- Portrait de Suzy Solidor, musée du chùteau Grimaldi, Cagnes-sur-Mer, donation par elle en 1973[96].
- Portrait de Jean-Claude Pascal[97], musée d'Argenton-sur-Creuse.
- Portrait de Charles E. Merrill, catalogué dans les collections des sept musées de la Vallée PionniÚre du Massachusetts, Mead Art Museum[98].
- Dessin au lavis de la robe noire conçue pour Edwige FeuillÚre dans l'Acte IV de la Dame aux Camélias, (1951). Théùtre du Costume, Londres[99].
- 67 dessins de figurines qu'il a exĂ©cutĂ©s chez Worth - conservĂ©es Ă Londres au Victoria and Albert Museum - dont la robe intitulĂ©e Imprudence[100] qui est un modĂšle crĂ©Ă© par Jean-Denis Maillart en 1939 Ă la demande de Jacques Worth pour la sortie de son parfum du mĂȘme nom.
- Le Vainqueur, musée de Fontainebleau.
- Portrait du général Augustin Guillaume, Musée Muséum départemental des Hautes-Alpes, Gap.
Achats de lâĂtat
- Symphonie fantastique, trois panneaux décoratifs destinés au Conservatoire national de musique, (CNSM).
- Ătude pour la danse, huile sur toile, 1944 exposĂ©e Ă lâAssemblĂ©e nationale.
- Ćillets dans un pichet dâĂ©tain, toile enregistrĂ©e au FNAC Fonds national dâArt contemporain.
- Paysage, 1958[101] exposé au Sénat
- Fleurs, 1949[102].
- Arlequin Ă la guitare, 1953[103].
Acquisitions de la BibliothĂšque nationale de France
- 95 maquettes de décor et costumes de théùtre.
Citations
L'atelier de Jean-Denis Maillart aussi Ă©trange que fascinant est un atelier oĂč Ă©clate Ă mĂȘme le mur une grande esquisse de Jean Cocteau et ['AntinoĂŒs de PraxitĂšle portant les ailes de lâArchange de Sodome et Gomorrhe conçu par Christian BĂ©rard. L'artiste, qui comme la Rose de Rainer Maria Rilke a semĂ© aux quatre coins du monde ses pĂ©tales depuis qu'il exerce le dur mĂ©tier de l'apparence a reçu comme la foudre l'hommage que lui a rendu Paul ValĂ©ry en lui Ă©crivant : "J'ai coutume - ou la manie - de dire : le peintre cherche la peinture ; parole profonde que je n'ai pas le loisir â peut-ĂȘtre les moyens â d'expliquer. Mais je crois bien, mon cher Denis Maillart, que vous avez trouvĂ©." Le piĂšge ou la trappe de ValĂ©ry aurait pu se refermer sur la longue route de la vie de Maillart, et j'en puis tĂ©moigner, mais Jean-Denis Maillart cherche encore lâapprĂ©hension du rĂ©el, lâincarnation des chairs, la profondeur de l'Ćil et la projection du ciel sur la terre.
Ă contre-courant, son Ćuvre plaide pour l'intĂ©gritĂ© du visage de l'homme. Lâartiste a refusĂ© d'entrer dans le jeu des grandes destructions de lâart contemporain, oĂč les visages et les corps humains sont dĂ©chiquetĂ©s, morcelĂ©s, insultĂ©s.Il croit, solitaire, Ă l'Ă©minente dignitĂ© de l'amour et de la beautĂ©, qui sont les luxes de la vie. Il restera toujours aussi attentif Ă la fragilitĂ©, aux faiblesses de la forme Ă©crasĂ©e par ce monde inhumain oĂč nous sommes entrĂ©s Ă reculons.Les Anges Oniriques de la Chapelle de Blonville, le Bateau Ivre illustrant le poĂšme de Rimbaud, le jeu de cartes, les bijoux, les maquettes de thĂ©Ăątre, les portraits, sur les cimaises du monde entier, ne pourront que grandir avec le temps et tĂ©moignent que Jean-Denis Maillart n'a cessĂ© de peindre Ă travers tant de frĂšres humains qui aprĂšs nous vivront, avec une seule arme, la sienne. Jean-François NoĂ«l[104].
B. Duplessis, in « Jean-Denis Maillart, entre l'intemporel et le concret », Connaissance des Hommes, mars-, no 119, écrit :
« C'est par son art du portrait que Jean-Denis Maillart marqua le plus son Ă©poque car il est un des rares Ă avoir reprĂ©sentĂ© avec autant d'heureuse inspiration le visage de ceux quâil a voulu peindre ou qui lui ont demandĂ© de fixer leurs traits pour longtemps. Il a reconnu d'ailleurs : « J'ai toujours Ă©tĂ© fascinĂ© par le visage humain », ajoutant â et c'est rĂ©vĂ©lateur : « Lorsque j'Ă©cris un visage, j'assouvis un dĂ©sir ». Les mains ont aussi pour lui une trĂšs grande importance : « La main accuse ce que le visage peut ou veut masquer. »[105]. »
Publications
- Yves Mourousi, « Les Peintres de la fĂȘte », La FĂȘte Ă Paris, no 20, , p. 3.
- Fresques. Blonville sur Mer, Paris, Arts et Mémoires, 2016, 70 p. Bilingue français anglais. Préface du R.P. Riquet, (ISBN 978-2-9552621-0-8).
- Esquisse d'un portrait de Laure Albin-Guillot (préf. Paul Guth), Paris, Arts et Mémoires, , 99 p. (ISBN 978-2-9552621-1-5, présentation en ligne).
- NapolĂ©on III ou le MĂ©cĂ©nat d'Ătat, confĂ©rence prononcĂ©e au Grand Casino de Vichy le [106].
- Portraits, In 8°, 185 p. dont 85 reproductions noir et couleur, Arts et MĂ©moires, 2019. â Ă la fois, livre dâart, de souvenirs et dâanecdotes que le peintre se plaisait Ă raconter Ă ses visiteurs..
- Sa Vie, son Ćuvre par lui-mĂȘme, autobiographie, 1 vol. (316 p.) : ill. en coul. ; 24 cm, Paris : Ăditions Arts et mĂ©moires, DL 2021. (ISBN 978-2-9571034-1-6)
Annexes
Bibliographie
- « La Chapelle Maillart », par Martine Sautory. Revue « La Vie ». 12 au no 3489.
- « Les GÚnes du Talent », par François Billaut[107].
- « Quand "les grands" se font tirer le portrait », par Yves Gérard[44].
- « La Duchesse Diane au milieu des artistes », par Maurice Zalewski[108].
- « Le Vernissage de Jean-Denis Maillart »[109].
- « De la Silhouette de mode à la toile de Maitre »[26].
- « Nos Peintres », dâAlfred Edwards[110].
- « Jeunes Artistes », dans le bimensuel Plaisir de France, double-page illustrĂ©e de six photoraphies de Laure Albin-Guillot prises dans lâatelier de l'artiste[111].
- Pierre Moirignot et Hamadi Cherif, Jean-Denis Maillart, Expo 90, .
- « VIIe Festival International du Film », Le Monde Illustré, Unifrance, 1951[112].
Liens externes
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Delarge
- (en) Bénézit
- (nl + en) RKDartists
- (en) Union List of Artist Names
- Ressource relative au spectacle :
- Ressource relative Ă l'audiovisuel :
- (en) IMDb
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- (en) Jean-Denis Maillart sur lâInternet Movie Database
- [vidéo] Visite de la chapelle Notre-Dame de Blonville-sur-Mer sur YouTube.
Notes et références
- Extrait des minutes des actes de naissance du 8e arrondissement de Paris, année 1913.
- Roger Maillart ( Paris 1873-1915 Rieux).ĂlĂšve de son pĂšre DiogĂšne Maillart et de Jules-Ălie Delaunay aux Beaux-arts de 1893 Ă 1898, il y fut logiste chaque annĂ©e et pour finir, PremierPrix de Paysage Jauvin d'Attainville 1898.L'atelier d'Ădouard Detaille lui Ă©tait familier, d'oĂč nette influence dans les toiles qu'il exposait rĂ©guliĂšrement au Salon des Artistes français. Professeur Ă l'Ă©cole Arago de Paris. Voir
- Voir
- Acte de mariage du , mairie du 14e arrondissement de Paris.
- GĂ©rard Schurr - Pierre Cabanne, Les petits Maitres de la Peinture 1820-1920, Paris, Les Ăditions de l'Amateur, , 175 p. (ISBN 2-85917-006-5), Volume III, p. 134, illustration p. 109.
- Annuaire de Sainte-Croix-de-Neuily.
- Point de vue Images du Monde No 34 du 27 janvier 1949
- Madame Marguerite, "premiĂšre" chez Patou, devenue LA technicienne de Christian Dior, son alter ego.
- Whos is who in France.
- Catalogue Bnf, Mornand, Pierre.
- Kandinsky-Pompidou, Mornand.
- Jean-Denis Maillart Esquisse d'un portrait de Laure Albin-Guillot 2016, p. 13.
- Annick Lionel-Marie, Alain Sayag, Collection de photographies du musée national d'Art moderne, 1905-1948, 1996, p. 28.
- « Les Expositions », Beaux-Arts, no 21, .
- « Les arts. Nos Peintres », Le Matin, télégrammes de la nuit, .
- Annonce exposition Maillart-Guillot, galerie des Jacobins, Le Journal, .
- hprints
- « Les Chapeaux de printemps », LâArt et la Mode, no 2683,â .
- « Turban de Sygur », LâArt et la Mode, n°2685,â .
- WorlCatalogue.
- Abe books.
- Actuellement dénommé styliste.
- Les couturiers de renom sur collections.vam.ac.uk.
- Ăditeur : H.M. Stationery Office, 1964, 141 pages.
- Jean Patou , Robe du soir de Jean Patou en jersey gris argent, photographie de Laure Albin-Guillot (1879-1962), photographe , Note(s) : Au dos, titre, date et mentions ms. : « Jean Denis Maillart modéliste » (BNF 40480563).
- Fernand Xau, « De la Silhouette de mode Ă la toile de maĂźtre », Le Journal,â (lire en ligne).
- Comoedia, : « Le peintre Luigi Corbellini peignait avec Jean Denis Maillart lors de cet épisode pictural à la campagne. Une toile Maillart à cette exposition Pascaud représentait les deux femmes de peintres, Jacqueline M. et Nicole C., se reposant couchées dans l'herbe en jupe de couleur. » (Comoedia, en ligne sur Gallica).
- France Europe, : « L'extrĂȘme facilitĂ© avec laquelle Jean-Denis Maillart semble avoir toujours maniĂ© le pinceau devait, les relations mondaines aidant, en faire un brillant portraitiste. La verve, le brio, l'Ă©clat, un certain don de coloriste, toutes qualitĂ©s apprĂ©ciĂ©es du public mais superficielles, Ă©taient son apanage. Il faut lui savoir grĂ© d'avoir bien voulu considĂ©rer, malgrĂ© le succĂšs qui le guettait, que la Peinture est autre chose qu'un art aussi factice. Il faut encore le fĂ©liciter de n'avoir pas la prĂ©tention, en 1942, de redĂ©couvrir CĂ©zanne. Dans cette exposition, on trouvera de jolies recherches d'harmonies tel âNuageâ dans un ciel gris tĂ©moigne d'une belle sensibilitĂ© rĂ©tinienne ; telle petite âĂtude de poireâ possĂšde de rĂ©elles qualitĂ©s picturales ; plusieurs figures de femmes, deux amies couchĂ©es couchĂ©es sur l'herbe, sont d'un coloriste subtil qui aurait peut-ĂȘtre un peu trop regardĂ© par-dessus l'Ă©paule travailler Corbellini. ».
- Laure Albin-Guillot a juxtaposĂ© en montage le fac-similĂ© de cette dĂ©dicace sous un des portraits photographique rĂ©alisĂ©s par elle de lâĂ©crivain ; sous-verre exposĂ© en mai 2013 au MusĂ©e du Jeu de Paume, Paris (cf. « L'Enjeu classique - Laure Albin-Guillot » sur jeudepaume.org).
- Salon des Tuileries, 20e exposition, Palais de Tokyo, catalogue de lâexposition, p. 54 ; Beaux-Arts, .
- Salon des Tuileries, 23e exposition, MusĂ©e des Beaux-Arts de la Ville de Paris, catalogue de lâexposition, p. 52.
- Ătude pour la danse, vers 1940, huile sur toile, 100 Ă 60 cm, achat Ă lâartiste en 1946 par le Fonds national dâart contemporain, inv. FNAC 19515. En dĂ©pĂŽt depuis le Ă l'AssemblĂ©e nationale Ă Paris. Centre national des arts plastiques (CNAP).
- catalogue du 55e Salon des indépendants sur Gallica.
- Serge Lemoine, François Morellet : dessins, Musée de Grenoble, , p. 47.
- Artwiki.
- Fiche RKD, Jean-Denis Maillart.
- (en) Hassan Hassan, « Turkey and England Illustrations », dans In the House of Muhammad Ali, A Family Album, 1805-1952, Cairo, The American University in Cairo Press, (ISBN 9781617972416, lire en ligne), p. 46.
- Alif Art Galeri, NiĆantaĆı - Ä°stanbul.
- Artnet.
- Centre des monuments Nationaux, photographies, SĂ©eberger frĂšres.
- Barbara, sur artnet.
- QUINIO/Gamma-Rapho via Getty Images.
- Nadeaus auction.
- Yves GĂ©rard, « Quand « les grands » se font tirer le portrait », Point de vue Images du monde,â , p. 54-55.
- Fresques de la chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption de Blonville-sur-Mer.
- Chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption sur 14910.net.
- Source : programme du Théùtre national de l'Opéra.
- catalogue Bnf
- (en) J. P. Wearing, The London Stage 1950-1959: A Calendar of Productions, Performers, and Personnel, p. 331.
- catalogie BnF.
- Quatorze maquettes de costumes de Jean-Denis Maillart, 1958, 14 dessins : aquarelle, pastel ; 47,5 Ă 32,5 cm, (BNF 45078197).
- Source : Critique dâAndrew Porter, The Financial Times, London, 3 septembre 1956.
- (en)Dancing Times, 1956, page 10.
- Source : programme 1950-1951 du Théùtre de la Scala, contrat du 12 décembre 1950 entre le Théùtre de la Scala et J.-D. Maillart.
- Le Courrier musical de France, Numéros 33 à 40, Page 166
- Source : contrat entre la Ville de Marseille et J.-D. Maillart, décembre 1961, Le Provençal, 22 janvier 1952.
- catalogue BnF
- (BNF 32524453)
- Catalogue Bnf
- catalogue BnF
- Notice rédigée d'apr. "Pariscope" : Semaine de Paris 30 sept.-6 oct.1953 (BNF 39498716).
- Régie théùtrale, catalogue maquettes
- Bulletin de la BibliothĂšque nationale, Volumes 3 Ă 4, p. 159
- Source : programme du spectacle ; lettre de Mme Harry-Baur, directrice du Théùtre des Mathurins du 14 novembre 1958 adressée à J.-D. Maillart, critique de Jean-Jacques Gautier.
- Paris-théùtre, Numéros 143 à 154, via GGbooks
- Jacqueline Cartier, « Les coulisses des thĂ©Ăątres », L'Aurore,â
- Réalités: femina-illustration, Numéros 144 à 149 , 1958, page 101
- (BNF 39460534).
- Jacques Bucquet, « Le Fil Ă la patte », Le Parisien libĂ©rĂ©,â .
- [image]Ballet Opéra de Paris, 1948, lithographie, de Jean Denis Maillart.
- [image]MĂ©diathĂšque du Festival de Cannes, affiche 1963
- [image]MĂ©diathĂšque Festival de Cannes, affiche 1960, XIIIe festival du film et Floralies
- Bon de commande du 15 novembre 1958 de Georges Delbard.
- Jean-François Noël (1915-1985) auteur dramatique et d'émissions radio. Scénariste et réalisateur.
- Le Parisien libéré, 5 avril 1954.
- Programme de la soirée de gala, Nice Matin 20 avril 1954. Nice Matin 20 avril 1954.
- « Le film français », CinĂ©monde,,â 12 mai 1963.
- lettre du 24 décembre 1948 de Ghislaine Marbeau, secrétaire du Cercle Carpeaux adressée à J.-D. Maillart
- 21/01/1950 de M. P. Prenot du Cercle Carpeaux adressée à J.-D. Maillart
- Programme édité à 250 exemplaires numérotés de 1 à 250 pour la soirée du Cercle Carpeaux le 19 décembre 1949
- https://carteret.pagesperso-orange.fr/Histoire%20Vichy.htm
- Le Bateau ivre dâArthur Rimbaud, vingt feuillets libres non chiffrĂ©s illustrĂ©s de onze planches composĂ©es et dessinĂ©es sur pierre par Jean-Denis Maillart, tirĂ©es format in-folio 34 Ă 43,5 cm sur les presses de Maurice DarantiĂšre, Paris, Ăditions du Raisin, 1944 (BNF 32572560)).
- « Les Trésors du Monde » cinq burins précédant un texte Des trésors légendaires à la banque moderne, éd. Crédit lyonnais, 1950, 5000 ex. 38 à 28 cm (BNF 40379662).
- Mercure franchissant les grilles, gravure au burin spĂ©cialement composĂ©e et gravĂ©e pour la Banque française du commerce extĂ©rieur, tirĂ©e sur les presses du maĂźtre taille-doucier Pierre Thirot, typographie composĂ©e par Charles Peignot Ă Paris, 19500. Sources : correspondance de Jacques Belin 1899-1961 (prĂ©sident de la BFCE, directeur gĂ©nĂ©ral de la Banque de France, professeur Ă l'Institut de sciences politiques de Paris), laquelle indique que la premiĂšre Ă©preuve lui a Ă©tĂ© remise fin (lettre du ) et la planche elle-mĂȘme Ă la mi-, et lettre du , rĂ©vĂ©lant aussi que le cuivre offert Ă la Banque par J.-D. Maillart « fait lâadmiration de mes visiteurs », lettre J. Belin du .
- Source : lettre du journal Opéra du , confiant à J.-D. Maillart le soin d'illustrer le roman d'Henry de Montherlant, L'Histoire d'amour de la rose de sable, à paraßtre dans leur hebdomadaire.
- Maxence van der Meersch (prĂ©f. Armand Lanoux), LâEmpreinte du dieu suivi de La Maison dans la dune, illustrations de Jean-Denis Maillart, Paris, Club des amis du livre, , 460 p.(BNF 33206877).
- Bibliographie de la France, Au Cercle de la Librairie, (lire en ligne), p.122.
- Source : Convention entre Odiot S.A. et Jean-Denis Maillart du .
- (en)Dxpo-Playing cards, Deck of the month, .
- Beaux-Arts Magazine, , no 21.
- Le Journal, , Gallica, BnF.
- « Les expositions », Journal de Monaco, , p. 787.
- Who's who France, 2000-2001, Maillart Jean-Denis.
- (en) « Jean-Denis Maillart », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit , sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787).
- mabfaap.sismu.com.br
- Reproduit dans le catalogue de la donation.
- Le Beau Masque, de Jean-Claude Pascal, Ă©diteur, Robert Laffont, 1986, (ISBN 978-2-2211-7772-3), Chapitre VI.
- Museums.fivecolleges.edu.
- (en) Sidney Jowers et John Cavanagh, Theatrical costume, Masks, Make-up and Wigs a bibliography ans iconography., Routledge London and Newyork, Motley Pesss Romsey, , p14 (fl 1951) n°1495
- Accession number E.22196-1957 Victoria and Albert Museum Londres.
- Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6934, 1958
- Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6841, 1949
- Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6934, 1953
- Préface catalogue exposition galerie Le TriskÚle, 23 rue de Fleurus, 75006 Paris, mai-juin 1981.
- B. Duplessis, « Jean-Denis Maillart, entre l'intemporel et le concret », Connaissance des Hommes,â mars-avril 1987 n°119.
- Ă la demande de Philippe de Chaunac Ă lâoccasion de la rĂ©novation des lieux de cure.
- François Billaut, « Les GĂšnes du talent », Point de vue Images du monde,â , p. 26-27-28-29.
- Maurice Zalewski, « La Duchesse Diane au milieu des artistes », Point de vue Images du monde,â , p. 6-7.
- « Sous la haute prĂ©sidence de la Comtesse de Paris, le vernissage de Jean-Denis Maillart », La FĂȘte Ă Paris,â du 11 mai au 17 mai 1977, p. 10-11.
- Alfred Edwards, « Nos Peintres », Le Matin,â .
- « Jeunes Artistes », Plaisir de France,â , p. 22-23.
- Numéros 286 à 298, p. 596.