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Héric

Héric est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Héric
Héric
L'église Saint-Nicolas.
Blason de Héric
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes d'Erdre et Gesvres
Maire
Mandat
Jean-Pierre Joutard
2020-2026
Code postal 44810
Code commune 44073
Démographie
Gentilé Héricois
Population
municipale
6 407 hab. (2020 en augmentation de 11,08 % par rapport à 2014)
Densité 87 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 48″ nord, 1° 39′ 02″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 66 m
Superficie 73,93 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Héric
(ville isolée)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nort-sur-Erdre
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Héric
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Héric
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Héric
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Héric
Liens
Site web http://www.heric.fr/

    Cette commune du Pays nantais fait partie de la Bretagne historique.

    Géographie

    Situation de la commune d'Héric dans le département de la Loire-Atlantique.

    Héric est située à 25 km au nord de Nantes, sur la voie express Nantes-Rennes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 752 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blain », sur la commune de Blain, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 831 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 26 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Héric est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Héric, une unité urbaine monocommunale[17] de 6 049 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (65 %), prairies (13,8 %), terres arables (10,3 %), forêts (5,2 %), zones urbanisées (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %), eaux continentales[Note 6] (0,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Hyhariacum au XIe siècle[24] dans le cartulaire du Ronceray d'Angers et Hyeric dans le cartulaire de Redon au XIIe siècle. il est encore mentionné sous les formes Hiheric ou Yeric du XIIIe au XVe siècle[25] - [26] - [27] - [28] selon les différents scripteurs et recteurs et s'orthographie définitivement Héric au début du XVIIe siècle[29].

    Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romane en -(i)acum, suffixe d'origine gauloise désignant le lieu, puis la propriété. Le passage de l'élément -IACU (noté -iacum dans les formes les plus anciennes latinisées) à -ic s'explique par l'influence du breton sur l'évolution romane régulière qui aurait dû se faire en -(a)y ou . En effet, les toponymes des alentours terminé par le suffixe -(i)acum ont tous évolué dans ce sens cf. Saffré, Issé, Sucé, Ligné, etc.

    Le premier élément Her- s'explique par l'anthroponyme germanique Hithar[30] - [28], dont le [t] intervocalique s'est régulièrement amuï par la suite en langue d'oïl, d'où la contraction Her-. Le sens global est donc celui de « propriété d'Hithar ».

    Héric possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Éri selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [eʁi], la variante [əʁi] a également été relevée[31].

    Le nom est Hierig en breton[24].

    Histoire

    Héric est composé d'un bourg principal et de plusieurs hameaux qui correspondent en majeure partie aux anciens fiefs et sieuries qui existaient avant la révolution française et dont on retrouve les noms sur les cartes de Cassini[32] - [33] - [34] - [35] - [36]

    C'est à Saint-Félix, futur évêque de Nantes, que la tradition attribue la création de la paroisse de Héric vers 549.

    L'église Saint-Nicolas a été reconstruite au XIXe siècle à l'emplacement de l'ancienne église détériorée pendant la Révolution. La chapelle du Rosaire été ajoutée devant elle et une autre, de la même époque, dans le cimetière situé à l'extrémité du bourg sur la route de Nantes.

    Avant la Révolution, outre l'église, on dénombrait plusieurs chapelles aujourd'hui disparues : la chapelle Sainte-Honorée du nom de l'Abbaye au lieu-dit Bout-de-Bois, les chapelles de Saint-Hubert, de la Primais, du Haut-Fay, du Haut-Brossay[37]. La chapelle du château du Chalonge, n'étant pas visible depuis l'extérieur n'a pas été détruite. Elle est encore visible au Domaine du Chalonge.

    Époque romaine

    Les Romains se sont établis à Héric après avoir découvert une mine de fer entre les lieux de Néron et du Haut-Brossay. Ils exploitèrent ce fer au lieu-dit la Forgette. Les fouilles de l'archéologue Léon Maitre y ont mis au jour des briques ainsi que des pièces de bronze et d'argent.

    Moyen Âge

    C'est sur la terre nommée Boudené (Bout-de-Bois), au nord de Héric, sur les bords de la rivière Isar, que le comte de Nantes Hoël III le Désavoué, dernier de la lignée des Comtes de Cornouaille, prétendant au Duché de Bretagne en 1148, a fait élever le prieuré Sainte-Honorine. Ce prieuré qu'il donne à l'abbaye de Marmoutier fait partie de la dot de sa fille qu'il consacre à Dieu dès le en l'abbaye des Couëts[38].

    L'histoire des ducs de Bretagne n'a retenu que l'initiale O[39] du prénom de cette jeune fille, mais la tradition héricoise la prénomme Odeline[40] et affirme que cette demoiselle se réfugia à Bout-de-bois des suites d'un chagrin d'amour.

    En 1070, Guegon de Blain, cité en 1090 et 1133 dans le cartulaire de Redon, est seigneur de Blain et de Héric[40] - [41].

    La seigneurie de Héric détenue par le seigneur de Blain passe, vers 1150, dans la maison de Pontchâteau par le mariage d'Agnès de Blain et d'Olivier de Pontchâteau.

    Vers 1200, Constance de Pontchâteau épouse Guillaume II de Clisson, dit le Jeune et transmet la seigneurie de Héric à la Maison de Clisson où elle restera jusqu'en 1407, date du mariage de Béatrix, fille ainée du Connétable de France Olivier V de Clisson l'éborgné d'Auray, avec Alain VIII de Rohan.

    Du XVIe au XVIIIe siècle

    La seigneurie de Héric se transmet en 1515 à la Branche de Rohan-Gié par le mariage d'Anne de Rohan avec son cousin Pierre II.

    Dans la seconde partie du XVIe siècle, à la suite de leurs seigneurs Henri Ier de Rohan-Gié et René II de Rohan-Gié tous deux fils d'Isabeau d'Albret, une partie de la population de Héric et notamment une partie de ses notables, est sensibilisée voire se convertit au calvinisme[42] - [43]. Un des vicaires de Héric y est assassiné en 1565 sans que ses meurtriers ne soient pourchassés ni dénoncés par la population.

    En 1642, les trois anciennes châtellenies : Blain, Héric et Fresnay sont réunies en une seule juridiction par Louis XIII, puis érigée en marquisat par Louis XIV en 1660 à la requête de sa cousine Marguerite duchesse de Rohan et princesse de Léon.

    Le marquisat de Blain s'étendait sur dix-sept paroisses : Blain, Fay-de-Bretagne, Vigneux-de-Bretagne, Bouvron, Saffré, Héric, Fresnay, Grandchamp-des-Fontaines, Sucé-sur-Erdre, Puceul, Vay, Guémené-Penfao, Campbon, Plessé, Guenrouët, Fégréac et Avessac[44].

    En 1645, la seigneurie de Héric est transmise à la famille Chabot. Marguerite de Rohan-Gié Princesse de Léon, Duchesse de Rohan et de Porhoët, Dame de Blain, de Héric, de Fresnay, de la Garnache, unique héritière, épouse en 1ères noces Henri Chabot seigneur de Jarnac, d'Apremont, marquis de Saint Aulaye, baron de Mouchamps, qui prend le nom de Henri II de Rohan-Chabot. Héric restera dans cette maison jusqu'à la révolution française.

    Une verrerie d'art est créée à Héric en 1588 par Giovanni Ferro[45] « Gentilhomme de l'art et de la science de la verrerie », natif de l'Altare, au Marquisat de Monferrat en Italie. Il fut naturalisé français en 1596 par décret du Roi de France Henri IV.

    Jean Leray, Maître Cordonnier, né le à Héric, bénéficia en son temps d'une certaine notoriété, il prit le "titre" de "Sieur de la Pantoufle", un terme en qui l'abbé Beziau voit un exemple de "spiritualité et de française malice"[46].

    Héric et ses environs étaient à l'origine couverts d'une épaisse forêt. Elle disparaîtra presque entièrement dans le courant du XVIIIe siècle du fait de l'exploitation humaine.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1951
    (décès)
    M. Hauray
    1951 mars 1971 Auguste Clergeau[Note 7]
    mars 1971 décembre 1994[47]
    (démission)
    Jean Hauray[Note 8] Pharmacien
    janvier 1995[Note 9] mars 2001 Jacques Bernard Chef d'entreprise
    mars 2001 mars 2008 André Thébaud DVD Ingénieur agricole, ancien premier adjoint
    mars 2008 mars 2014 Lionel Lardeux SE Ingénieur informaticien, ancien premier adjoint
    mars 2014 mai 2020 Patrice Leray SE-DVG Employé de banque
    mai 2020 En cours Jean-Pierre Joutard SE Ancien cadre supérieur

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Héric est une ville isolée qui fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Treillières[48]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 89 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 11 % dans des zones « très peu denses »[49].

    Évolution démographique

    En 1871, la commune cède une partie de son territoire, conjointement avec Fay-de-Bretagne, pour permettre la création de Notre-Dame-des-Landes.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].

    En 2020, la commune comptait 6 407 habitants[Note 10], en augmentation de 11,08 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 8152 6452 7513 1163 3493 5993 9273 8044 474
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 5404 5954 6914 1614 2484 2444 2334 0483 950
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 8433 8953 8123 2803 2403 1113 0542 9562 800
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 6242 5312 5213 1403 3783 9904 7644 8135 276
    2015 2020 - - - - - - -
    5 8766 407-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,9 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 070 hommes pour 3 098 femmes, soit un taux de 50,23 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[54]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,8
    4,7
    75-89 ans
    5,1
    12,2
    60-74 ans
    13,5
    21,7
    45-59 ans
    19,9
    20,6
    30-44 ans
    21,2
    17,0
    15-29 ans
    16,7
    23,4
    0-14 ans
    21,7
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[55]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Patrimoine et culture locale

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Nicolas
    • Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours
    • Château de Dréneuf
    • Château de la Courosserie
    • Château de Challonge ou Chalonge
    • Château de la Jubinière
    • Château de la Prairie
    • Château de Beaulieu
    • La mairie.
      La mairie.
    • Chapelle ND du Bon-Secours.
      Chapelle ND du Bon-Secours.
    • Le château de Chalonge.
      Le château de Chalonge.
    • La halte nautique de Bout-de-Bois sur le canal de Nantes à Brest.
      La halte nautique de Bout-de-Bois sur le canal de Nantes à Brest.
    • Chapelle du cimetière.
      Chapelle du cimetière.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    D'argent à la bande de sable chargée de trois molettes d'éperon d'or.
    Commentaires : Blason de la famille de Collobet du Bot. Blason conçu par M. Durivault en 1961.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Réélu en 1953, 1959 et 1965.
    8. Réélu en 1977, 1983 et 1989.
    9. Élu à la suite d'une élection municipale partielle.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Blain - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Héric et Blain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Blain - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Héric et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Héric », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing : Hyhariacum, XIe siècle; Hiheric, 1287 http://marikavel.com
    26. Jean-Yves Le Moing (1990) : Hyhariacum, XIe; Hiheric, 1287". http://marikavel.com
    27. Erwan Vallerie (1995) : Hyhariacum, XIe; Hiheric, 1287; Iheric, XIIIe; Hihiric, 1398". http://marikavel.com
    28. Hervé Abalain (2000) : Hiheric, 1287; http://marikavel.com
    29. Registres paroissiaux de Héric Archives du Conseil général de Loire Atlantique
    30. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit
    31. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
    32. Archives de Loire Inférieure Léon Auguste Maitre Tome 3 série E Titres-Fiefs
    33. La Châtellenie du Chalonge appartient à Sidrac Chambellé sergent de Héric et mari de Jeanne Hamon Dame de Boudené (Bout-de-Bois), tous deux grands-parents de Michel-Sidrac Dugué de Boisbriant, pionnier et Gouverneur de Montréal.
    34. La seigneurie de la Foresterie appartient à 1539 à René de La Touche-Limouzinière mari de Florida de la Lande-Machecoul.
    35. La terre et le château de la Courosserie appartenaient en 1550 à Pierre Fourché mari de Jeanne de Moayre tous deux ancêtres de Louise fille de Jean Fourché de Quéhillac et première épouse de Nicolas Foucquet. Un siècle plus tard, la Courosserie est anoblie au profit de Philippe Bitault écuyer, cette seigneurie sera transmise à la famille Collobet du Bot par le mariage d’Élisabeth Bitault et de Jean Marie Clément Collobel du Bot. Le Blason de la commune de Héric est d'ailleurs le Blason de la Maison Collobet.
    36. Le Château de Dréneuf parfois noté Dréneuc appartenait aux Rohan qui y installèrent des Calvinistes afin de surveiller la rivière et la route menant au Bourg d'Héric. Le , Henri de Bourbon, prince de Condé devenu "seigneur et possesseur de tous les biens ayant appartenu au sieur de Rohan en la province de Bretagne continue à Thomas Guihard Sieur des Jaulnayes, le bail des terres et seigneuries de Blain et Héric". Thomas Guihard est Lieutenant général de la Maréchaussée de Bretagne et procureur aux Eaux, Bois et Forêts du Gâvre. Son fils aîné prénommé Louis (9/08/1620 Blain - 27/10/1691 Blain) entre dans les ordres à la mort de son épouse, après une carrière militaire comme 1er Capitaine du Régiment d'Enghien. C'est en qualité de prêtre et de recteur de la paroisse qu'il va sévir sur les registres paroissiaux de Blain datant de 1550 à 1691 date de sa mort. Il est l'auteur d'une multitude de faux grossiers et de détériorations, allant jusqu'à déchirer de multiples pages, dans le but, notamment, de se créer des quartiers de noblesse. Il sera débouté de ses prétentions nobiliaires à la réformation de 1669. Sources : Annales de la Société Académique de Nantes et du département de la Loire Inférieure - Registres paroissiaux de Blain et Fonds généalogique Freslon Blain vue 73/164 http://archives.loire-atlantique.fr
    37. « Héric : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton de Nort-sur-Erdre) », sur www.infobretagne.com (consulté le ).
    38. Résumé du Dictionnaire historique, géographique et topographique de Nantes ... de J.F. Macé de Vaudoré page 61
    39. Père Anselme Histoire généalogique et chronologique des pairs de France: Bretagne p. 50
    40. Mairie de Héric, « Site Officiel de la Commune de Héric - Bienvenue sur le site officiel de la commune », sur www.heric.fr (consulté le ).
    41. Armorial Général ou Registre de la Noblesse de France pages 39 et suivantes.
    42. Georges Brisset (~ 1570) Sieur des Grustières, Seigneur de Gratence, Auteur de l'Apologie rédigée en considération de " l'attitude inhumaine" du feu le roi de France.
    43. On relève plusieurs actes d'abjuration de la religion réformée sur les registres paroissiaux de Héric http://archives.loire-atlantique.fr
    44. Les lettres royales d'érection du Marquisat furent enregistrées au Parlement de Bretagne en 1662 et à la Chambre des Comptes en 1667.
    45. Maître verrier à Lyon, Nevers, Machecoul (44) puis Nantes (44) vers 1585-1598 et enfin Maître de la verrerie d'Héric (44) suivant l'autorisation donnée par les maire et échevins de Nantes en date du . (tiré de Les Italiens à Nantes et dans le pays Nantais, extrait du Bulletin Italien, t13, 1913, No 2).
    46. Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790. Loire-Inférieure. Archives civiles Volume 05 pt.01 page 208
    47. « La démission de Jean Hauray est confirmée : Élection d'un nouveau conseiller fin janvier », Ouest-France,
      « Jean Hauray, maire depuis 24 ans, avait le 10 novembre dernier, donné sa démission de maire en séance publique ».
    48. « Commune d'Héric (44073) », Insee (consulté le ).
    49. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    54. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Héric (44073) », (consulté le ).
    55. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
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